La bienveillance peut-elle nuire au rendement dans les entreprises ?


Un mode inédit de management : La bienveillance

Depuis le 19ème siècle, le management a énormément changé au sein des entreprises. 
D’un modèle très directif, ressemblant à une relation d’aristocrates à serfs, où le manager donne des ordres et les salariés les exécutent sans discuter, on est passé à de multiples formes de management.

Avec l’arrivée de la pandémie et de la généralisation du télétravail, et les générations des Z et des milléniums, l’ambiance au travail a changé. Les conditions évoluent.

Nouvelle approche du management, la bienveillance permet de recruter plus facilement et de garder les talents. Néanmoins, le rendement est-il au rendez-vous ? Voyons cela !

management bienveillant

management bienveillant

Avantages de la bienveillance dans les entreprises :

  1. Meilleur climat de travail : La bienveillance crée un environnement où les employés se sentent valorisés et respectés, favorisant ainsi un climat de travail positif et productif.
    C’est tout l’inverse de la surveillance permanente, du contrôle incessant générateur de stress.

  2. Renforcement de l’engagement des employés : Les managers bienveillants reconnaissent les contributions de leurs équipes, ce qui peut renforcer l’engagement des employés envers leur travail et l’entreprise.
    Etant plus engagés, ils ont plus à cœur de montrer ce dont ils sont capables et le rendement s’améliore en conséquence.

  3. Amélioration de la rétention des talents : Les employés sont plus susceptibles de rester dans une entreprise où ils se sentent soutenus et appréciés, ce qui peut réduire le taux de rotation du personnel et les coûts associés au recrutement et à la formation.

  4. Stimulation de la créativité et de l’innovation : Un environnement bienveillant encourage la prise de risques et l’expression libre des idées, ce qui peut stimuler la créativité et l’innovation au sein de l’entreprise.
    C’est notamment le cas dans les start-up. Cependant, les entreprises déjà établies peuvent proposer des primes à l’innovation.

  5. Meilleure santé mentale et bien-être : La bienveillance au travail peut contribuer à réduire le stress et l’anxiété des employés, favorisant ainsi une meilleure santé mentale et un plus grand bien-être général.
    Ceci entraîne une diminution notable des absences et congés maladie.

  6. Augmentation de la collaboration et de la coopération : Lorsque les employés se sentent soutenus et encouragés par leurs collègues et leurs supérieurs hiérarchiques, ils sont plus enclins à travailler ensemble de manière collaborative et coopérative pour atteindre les objectifs de l’entreprise.

subir un abus de bienveillance pour apprendre à dire non ?

subir un abus de bienveillance pour apprendre à dire non ?

Limites de la bienveillance dans les entreprises :

  1. Possibilité d’abus : Dans certaines situations, la bienveillance excessive peut être perçue comme de la faiblesse et encourager certains individus à abuser du système ou à prendre avantage de la gentillesse des autres.
    Des règles sont à définir, comme le respect de la hiérarchie et de ses collègues.

  2. Difficulté à prendre des décisions difficiles : Les managers bienveillants peuvent avoir du mal à prendre des décisions impopulaires ou à donner des retours négatifs, ce qui peut compromettre le rendement de l’entreprise à long terme.
    Les sanctions existent toujours, même dans une entreprise bienveillante.

  3. Risque de favoritisme : La bienveillance excessive envers certains employés peut créer un sentiment de partialité ou de favoritisme au sein de l’équipe, ce qui peut nuire au moral et à la cohésion de groupe.
    Les biais cognitifs ont tendance à influencer positivement ou négativement selon que l’on se sent bien avec telle ou telle personne.

  4. Impact sur la performance : Dans certains cas, la recherche constante du bien-être des employés peut être perçue comme une distraction ou un obstacle à la performance et à la réalisation des objectifs de l’entreprise.

  5. Fragilité culturelle : Une culture d’entreprise axée uniquement sur la bienveillance peut être fragile face aux défis et aux pressions externes, ce qui peut compromettre la résilience de l’organisation dans des situations difficiles.
    Alors que, au contraire, en cas de coup de collier à donner, une équipe soudée fera beaucoup pour compenser les difficultés du moment.

  6. Besoin d’équilibre : Il est essentiel de trouver un équilibre entre la bienveillance et l’efficacité opérationnelle dans les entreprises, en veillant à ce que la gentillesse ne compromette pas la capacité de l’organisation à atteindre ses objectifs commerciaux.
    Quand on veut plaire à tous, il faut impérativement fixer des règles et que tous les respectent.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Baisse du salaire pour cause de crise économique


Licenciement ou baisse du salaire

Les entreprises et les salariés sont bien malmenés pendant les périodes de crise économique.

Comme le Monde est devenu un immense village, tout le monde est touché.
Plus question de s’exiler pour aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte.
Elle est aussi sèche que chez nous, et peu importe où se trouve ce chez nous.

crise économiqueEn France, certains chefs d’entreprise pose un presque ultimatum à leurs salariés : un choix cornélien entre perdre son emploi et perdre une partie de son salaire.

Faisons le point sur les possibilités légales de cette baisse de salaire.

1 Pas de baisse sans accord du salarié

Le salaire est un des éléments de base du contrat de travail. A ce titre, il est obligatoire d’avoir l’accord du salarié avant toute modification du contrat.
Tous les autres éléments constitutifs de la rémunération qui se trouvent dans le contrat de travail sont soumis aussi à accord du salarié avant modification.

Si le salarié peut refuser un changement à la baisse de son salaire, les éléments de sa rémunération qui en sont exclus, eux, peuvent être revu à la baisse.
Ce peut être des primes exceptionnelles, 13ème mois définis par une habitude maison ou un accord d’entreprise.

Dans ce dernier cas, c’est l’accord qui doit être préalablement revu.
Il concerne l’ensemble des salariés et non plus chacun d’eux.

Entre les éléments de salaire inclus dans le contrat de travail, intouchables individuellement, et un accord d’entreprise, révisable, il existe aussi des revenus variables selon les résultats de l’entreprise.

Là, le salaire est revu à la baisse quand les résultats attendus sont inférieurs aux attentes.
C’est ainsi qu’une baisse du chiffre d’affaires induit une baisse de la prime accordée à un commercial et basée sur le CA.

2 Et les raisons économiques valables

En cas de crise grave, l’employeur a le droit de proposer une baisse de salaire, à titre exceptionnel.

indemnités versées en cas de licenciement économiqueEn cas de refus du salarié, celui-ci fait alors l’objet d’une procédure de licenciement économique, pour cause réelle et sérieuse. Les articles du Code du Travail L 1322-6 et L 1233-3 décrivent cette procédure.

Les causes indiquées dans la loi sont les suivantes :

« 1° A des difficultés économiques caractérisées soit par l’évolution significative d’au moins un indicateur économique tel qu’une baisse des commandes ou du chiffre d’affaires, des pertes d’exploitation ou une dégradation de la trésorerie ou de l’excédent brut d’exploitation, soit par tout autre élément de nature à justifier de ces difficultés.

Une baisse significative des commandes ou du chiffre d’affaires est constituée dès lors que la durée de cette baisse est, en comparaison avec la même période de l’année précédente, au moins égale à :

  1. a) Un trimestre pour une entreprise de moins de onze salariés ;
  2. b) Deux trimestres consécutifs pour une entreprise d’au moins onze salariés et de moins de cinquante salariés ;
  3. c) Trois trimestres consécutifs pour une entreprise d’au moins cinquante salariés et de moins de trois cents salariés ;
  4. d) Quatre trimestres consécutifs pour une entreprise de trois cents salariés et plus ;

2° A des mutations technologiques ;

3° A une réorganisation de l’entreprise nécessaire à la sauvegarde de sa compétitivité ;

4° A la cessation d’activité de l’entreprise ».

3 L’accord de performance collective

apc accord de performance collectiveDepuis 2017, l’accord de performance collective ou APC est un accord d’entreprise qui autorise les parties à modifier les contrats de travail, donc le salaire de base et autres éléments de la rémunération contenus dans ces contrats, sans descendre toutefois au-dessous du SMIC et des salaires minima conventionnels.

4 Le chômage partiel

Le chômage partiel a pour but de soulager financièrement l’entreprise tout en conservant ses salariés dans les effectifs. En contrepartie, les salariés concernés travaillent moins, voire pas du tout durant la période de chômage partiel.

Il leur est interdit de travailler pour un autre employeur durant cette même période.

Source : Cadremploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Crise : Quelques conseils pour une entreprise
Salarié protégé : Comment le devenir
Télétravail : La Loi Warsmann adoptée le 29 février 2012

Travailler la nuit, travailler le soir : Que dit la Loi ?
Licenciement économique : Comment dresser la liste des salariés concernés
Licenciement, Rupture conventionnelle, Démission, Jurisprudence : Définitions

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Pourquoi mettre à jour son serveur informatique


Serveur informatique : Pourquoi la mise à jour

C’est quoi un serveur ?

serveur informatiqueLe serveur dans une organisation est l’ordinateur principal dans lequel on trouve généralement les programmes et les données de l’organisation.

Ces contenus sont mis à la disposition du personnel de l’organisation.
Quelquefois, les données sont accessibles par Internet à des personnes extérieures, comme des particuliers ou d’autres entreprises ou administrations.
On parle alors de serveur internet.

Dès que l’organisation grandit, les infrastructures informatiques évoluent avec la présence de plusieurs serveurs.
Par exemple, un serveur d’impression, un firewall, un serveur de messagerie, un serveur de stockage des informations.

C’est quoi une mise à jour ?

Quand on parle de mise à jour, il s’agit essentiellement de l’installation de la dernière version ou du dernier correctif, appelé aussi patch,  du système d’exploitation, ou des programmes, comme le navigateur ou le site Internet, ou encore d’un des progiciels sous licence ou non.

Pour tout ce qui est logiciels et système d’exploitation, le service informatique signe un contrat de maintenance logicielle, comme il le fait, par ailleurs, pour la maintenance du matériel.

Pourquoi une mise à jour ?

En effet, système, logiciels ou matériels, ont besoin d’évoluer pour les raisons suivantes :

  1. Plus on s’en sert, moins c’est rapide
  2. Plus on s’en sert, plus il y a de pannes ou des arrêts imprévus
  3. Plus le temps passe, plus les logiciels réclament de la puissance et de la performance
  4. Plus on en fait, plus on en veut
  5. Plus on attend, moins c’est fiable, par des fonctions supplémentaires techniques
  6. Plus récente est le système d’information, plus il est sécurisé

Un contrat de maintenance est différent d’une assurance.

On espère d’avoir jamais besoin de faire intervenir l’assurance, alors que l’on veut des interventions de maintenance pour être toujours à jour, pour avoir un système d’informations performant, fiable et sécurisé.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

10 risques quand une baie de serveurs est installée hors d’une salle informatique
Salle informatique ou salle serveur : Quels risques sanitaires ?
Migrer un parc informatique sur une nouvelle version de système d’exploitation

Installer une nouvelle version du système d’exploitation : Le lotissement
Alerte au piratage 2/2
Conservation des logs dans une entreprise

Autres Informatique :

Récapitulatif 19 Informatique

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Sécurité informatique : Supprimer les « faux positifs »


La supervision d’un réseau informatique

supervision de réseau informatiqueDans un réseau informatique, on trouve de multiples outils de supervision du réseau, qui permettent, par exemple :

  • de détecter les intrusions, c’est-à-dire les accès non autorisés au réseau
  • de détecter et de contrer les virus et autres spams
  • de détecter un composant matériel défectueux sur le chemin de câble jusqu’à la prise informatique
  • d’enregistrer toutes les performances inhabituelles
  • de connaître tous les logiciels installés
  • de connaître les comportements non autorisés par la charte informatique, comme l’heure de connexion ou de déconnexion des utilisateurs
  • etc.

Ce sont des dizaines, centaines, milliers d’alertes qui composent les journaux (logs) quotidiens de supervision.

L’analyse de ces alertes détermine le degré de sécurité d’un réseau.
Chaque alerte doit faire l’objet d’une analyse, puis les mesures supplémentaires de sécurité seront prises en fonction des risques révélés par cette analyse.

Les « Faux-positifs »

Un « Faux positif » est une alerte qui s’avère, après examen, une fausse alerte.

Le ratio entre les alertes réelles et sérieuses et les Faux-positifs indique la précision trop élevée, trop faible ou correct des outils de supervision et de prises de mesure.

Le temps perdu à analyser des Faux-positifs est autant de temps perdu pour l’analyse des « vraies » alertes.

Réduire les « Faux-positifs »

Pour réduire le nombre de fausses alertes, voici quelques recommandations :

  1. Avoir en permanence la configuration exacte des systèmes et du réseau
  2. Assurer la formation continue du personnel en charge de la sécurité
  3. Evaluer la fiabilité et l’obsolescence des systèmes de sécurité
  4. Affiner les réglages et paramètres des outils de supervision
  5. Installer les mises à jour des logiciels de supervision
  6. Regrouper les données événementielles identiques et répétitives
  7. Regrouper les événements de sécurité provenant de différentes sources
  8. Rapprocher les alertes de sécurité avec les vulnérabilités des systèmes
  9. Automatiser le traitement de certaines alertes choisies pour leur moindre criticité
  10. Sensibiliser les utilisateurs à la sécurité, notamment sur ce qui est acceptable ou non
  11. Mettre en oeuvre un processus d’amélioration continue
  12. Automatiser les tableaux de bord de la gestion de la sécurité du réseau

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Réseau LAN ou WAN ralenti : Comprendre 1/2
Parefeu : Optimisation des règles
Compétences numériques : Sécurité informatique

4 acteurs de la sécurité informatique
Sécurité informatique : Les scénarii de risques
Charte informatique : Le Garant ou Officier de sécurité

Autres Informatique et Sécurité :

Récapitulatif 18 Informatique
Récapitulatif 18 Sécurité

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Sécurité informatique : Les scénarii de risques


Risques informatiques : Les scénarii de risques

Risque de blocage par la neige

blocage par la neige

Dans un processus d’analyse des risques informatiques, il est bien aisé de trouver une méthode qui permette de les évaluer au travers des événements possibles susceptibles de les révéler.

Pour cela, voici une liste de risques qui peuvent toucher un système d’information et son environnement.

L’évaluation des risques se fait en appliquant une échelle selon leur gravité (voir plus bas).

Les risques

Indisponibilité passagère de ressources

  • Absence de personnel
  • Accident ou panne mettant hors service une ou plusieurs ressources matérielles
  • Bug logiciel
  • Impossibilité de maintenance
  • Vandalisme depuis l’extérieur
  • Vandalisme intérieur.
  • Indisponibilité totale des locaux

Destruction d’équipements

  • Catastrophe naturelle ou accidentelle
  • Incendie
  • Inondation
  • Terrorisme ou sabotage depuis l’extérieur

Performances dégradées

  • modification du logiciel
  • modification du matériel
  • Surutilisation accidentelle de ressources informatiques ou réseau
  • Surutilisation malveillante de ressources informatiques ou réseau

Destruction de software

  • Effacement de code exécutable ou de configurations
  • Écrasement accidentel d’un disque fixe
  • Effacement accidentel de logiciel
  • Vol ou effacement d’un support amovible
  • Effacement ou destruction de configurations logicielles utilisateurs

Altération de logiciel

  • Altération malveillante des fonctionnalités prévues d’une application via une bombe logique ou une porte dérobée,…
  • Modification volontaire des fonctionnalités prévues d’une application informatique
  • Modification volontaire ou accidentelle des fonctionnalités prévues d’une fonction bureautique (macro-instruction, feuille de calcul, etc.)

Altération de données

  • Accident de traitement
  • Erreur de saisie

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Manipulation de données

  • Données applicatives faussées pendant la transmission
  • Rejeu de transaction (doublement de la transaction)
  • Saisie faussée de données
  • Substitution volontaire de supports
  • Manipulation de fichiers
  • Falsification de message

Divulgation de données ou d’informations

  • Accès au système et consultation
  • Captation d’informations fugitives
  • Vol de documents écrits ou imprimés
  • Détournement d’informations en transit
  • Détournement d’informations temporaires générées par les systèmes

Détournement de fichiers de données

  • Accès au système et copie de fichiers de données applicatives
  • Vol de supports de données applicatives
  • Accès aux serveurs et copie de fichiers bureautiques
  • Détournement de code source

Perte de fichiers de données ou de documents

  • Effacement par bombe logique
  • Effacement de supports par virus
  • Effacement malveillant direct de supports
  • Perte accidentelle de fichiers
  • Vol de supports
  • Perte accidentelle de documents

Sinistre immatériel total

  • Effacement de fichiers par bombe logique
  • Effacement malveillant des supports

Non-conformité à la législation et à la réglementation

  • Attaque d’une tierce société
  • Violation des droits de propriété industrielle
  • Chaque scénario de risque est associé à :
    • un ou plusieurs éléments d’infrastructure dotés de besoins DIC,
    • une ou plusieurs menaces affectées d’une probabilité d’exposition,
    • une ou plusieurs mesures de sécurité plus ou moins matures.

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L’évaluation des risques

Un risque est plus ou moins grave pour l’entreprise.

L’échelle à appliquer pour chaque ligne de la liste précédente des risques va de 1, non significatif, à 4, insupportable.

Par exemple, une panne qui empêche l’accès à distance à votre serveur, alors qu’il contient votre site de e-commerce, a pour impact une perte sèche des commandes qui n’auront pas été passées ainsi que la perte de clients qui ne reviendront pas à cause de l’indisponibilité du site, sans compter la mauvaise réputation qui repoussera tout nouveau prospect. C’est insupportable car très grave.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour mieux protéger vos données et vos équipements informatiques, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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Iphone Blackberry et autres smartphones : Sources de danger pour la sécurité de vos informations
Sécurité des données en entreprises : Les 12 bons réflexes

Keylogger : Espionnage facile de votre PC
Sécurité informatique : 1 milliard de dollars volé
Smartphone : Autodestruction dans 5 secondes

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Récapitulatif 14 Informatique
Récapitulatif 14 Organisation
Récapitulatif 14 Sécurité

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Recruteur : La présélection des candidats


La mission du recruteur : présélectionner des candidats

tirage au sortLe travail des cabinets de recrutement est de présélectionner des candidats, de dresser une short-list et de présenter les dossiers des candidats présélectionnés à l’entreprise qui recherche un nouveau collaborateur ou une nouvelle collaboratrice. Par principe et par la loi, une sélection en fonction du sexe est interdite.

Le recruteur extérieur est donc mandaté pour trouver la perle rare, le mouton à cinq pattes, l’oiseau rare. Rarement tous les critères souhaités par l’entreprise correspondent aux caractéristiques d’un seul candidat, même dans des domaines professionnels très pointus.

L’entreprise exige du recruteur des résultats à la hauteur de ses attentes et du coût que représentent les prestations du cabinet de recrutement. Pour ce dernier, un client satisfait est un client qui lui passera ses futures recherches de collaborateurs. Il est donc très important pour lui de réussir sa mission.

Que demandent les entreprises à leur futur collaborateur ?

  • La performance dans les actions du collaborateur
  • La satisfaction de l’entreprise par rapport aux objectifs qu’elle fixe au collaborateur
  • L’engagement du collaborateur dans ses tâches et ses responsabilités au sein de l’entreprise

Que cherchent les recruteurs chez les candidats ?

  • Des aptitudes, expériences, connaissances, savoir-faire
  • De la personnalité, des traits de caractères pour accomplir ses tâches et s’intégrer dans l’entreprise
  • Des motivations pour apprendre et rester dans l’entreprise

Le choix des critères de sélection

Pour trouver les candidats appropriés, le recruteur et l’employeur doivent se mettre d’accord sur les critères de sélection. Lorsque le recruteur est interne à l’entreprise, sa tâche est, a priori, facilitée par la proximité des responsables demandeurs et décideurs, et par leur connaissance approfondie des besoins et de la culture d’entreprise.

Pour un recruteur externe qui découvre l’entreprise, cette connaissance doit lui être fournie par son client. Il doit adapter le besoin exprimé en ses propres termes du jargon RH, à ses méthodes de recrutement et à ses outils d’évaluation des candidats.

La correspondance des critères

C’est ainsi que l’on rapproche :

  • La performance avec les aptitudes
  • La satisfaction avec la personnalité
  • L’engagement avec les motivations

Et après ?

Après avoir établi, d’un commun accord, les critères de sélection, le recruteur démarre sa mission et recherche des candidats.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Faute du recruteur : 2. Élargir le champ des possibilités
Avoir la certitude que 5 ou 6 « OK » = « extra ordinaire »
Suivre scrupuleusement un script pré défini

Définition Points faibles Points forts
Quels Points faibles mettre dans une lettre de motivation ?
Comment rater son entretien d’embauche

Autres Emploi :

Récapitulatif 12 Emploi

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Le Cloud computing : un nouveau business modèle pour réduire le TCO informatique


Le Cloud computing : un nouveau business modèle pour réduire le TCO informatique

Parce qu’aujourd’hui maîtriser ses dépenses est devenu pour les entreprises un leitmotiv implacable, les DSI se doivent de satisfaire les objectifs de leurs dirigeants en proposant des stratégies et des méthodes pour réduire les coûts, tout en améliorant le fonctionnement de l’entreprise. Afin d’obtenir un bon équilibre entre coûts et performances, les entreprises utilisent donc des méthodes telle que le Total Cost of Ownership (TCO Coût Total de Propriété) qui permet de déterminer les coûts directs et indirects d’un produit ou d’un système

Voyons ensemble ce que recouvre cette notion, et dans quelles mesures il est aujourd’hui possible d’envisager une réduction de ce TCO en utilisant les dernières technologies sur le marché.

Qu’est-ce que le TCO informatique ?

Le Cloud Computing pour réduire le TCO informatiqueLe concept du TCO a été utilisé dans une multitude de domaines, notamment pour les systèmes d’information et les systèmes informatiques depuis la fin des années quatre-vingt. De nombreuses méthodologies et outils informatiques ont ainsi été développés afin de quantifier l’impact financier du déploiement d’un produit tout au long de son cycle de vie : achat, installation, maintenance et évolutions.

Le TCO informatique comprendra donc les coûts tels que les coûts des logiciels et matériels informatiques, nécessaires au déploiement et à l’utilisation d’une application (réseau, serveurs, stations de travail, installation et intégration des outils, frais de licences et de garanties, migration ou risques), les dépenses opérationnelles y afférant (surfaces pour les infrastructures, énergie électrique, tests, indisponibilités ou dégradations des performances, sécurité et moyens de sauvegardes, formation, audit, assurance, temps de gestion des services dédiés), et les dépenses à long terme (remplacement, dépenses pour mises à jour (upgrades) ou changements d’échelle).

Il comprendra également tout ce qui concerne les coûts de formation et de support utilisateur, les coûts liés à une mauvaise utilisation des outils ou encore, les coûts liés aux indisponibilités du service.

Comment réduire le TCO ?

Parmi les technologies les plus attendues par les DSI, il en est une qui se prête particulièrement à la réduction du TCO, le Cloud Computing. En effet, le Cloud Computing permet de ne plus avoir à assumer la propriété d’une partie, plus ou moins importante, de l’infrastructure et de sa maintenance.

On distingue actuellement trois types de services de Cloud : L’Infrastructure en tant que Service (IaaS – Infrastructure as a Service), les Plateformes comme Service (PaaS – Platform as a Service) et les Applications en tant que Service (SaaS – Software as a Service)

Quelles réductions du TCO informatique peut-on espérer avec le Cloud ?

Dans le cas d’un service de type IaaS, le fournisseur de service Cloud prend à sa charge la virtualisation, les matériels serveurs, le matériel de stockage et de préservation des données et l’ensemble de l’infrastructure réseau. Autant de postes sur lesquels le client pourra réaliser de sérieuses économies (surfaces, maintenance, etc.).

Dans le cas d’un service PaaS, le fournisseur « Cloud » prendra, en sus, à sa charge, les logiciels serveurs, le gestionnaire de bases de données, l’intégration de l’architecture orientée services (SOA) et les runtimes (logiciel de lancement, en français).

Enfin, pour un service de type SaaS, le fournisseur se chargera aussi des applications, qui tourneront à distance pour le client et dont les mises à jour et tests seront réalisés par le fournisseur du service lui-même.

Dans le cas du déploiement d’une application en tant que service, les facteurs de diminution du TCO atteignent jusqu’à 40%, selon l’institut de recherche IDC (International Data Corporation). Et, lorsque le client tient à conserver la maîtrise de ses applications et souhaite alléger sa facture sur la seule infrastructure, le facteur de diminution peut aller jusqu’à 44%. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par la ville de Bergheim, en Allemagne, qui a analysé les coûts annuels engendrés par les postes de travail, sur une durée de sept ans. Il en a été ainsi conclu que les coûts annuels pour un poste de travail de type client léger (=sans disque dur local) s’élèvent à 44% de moins que pour un poste de travail PC décentralisé.

Avec un marché qui devrait atteindre 1 milliard de dollars en 2014, le Cloud est en phase d’adoption par les entreprises. S’agit-il d’un effet de mode, où les bénéfices sont-ils bien réels ? En attendant la confirmation de cette tendance, il faut savoir que les grandes institutions cautionnent déjà le Cloud. C’est, par exemple, le cas de la Commission Européenne, qui a réalisé une étude sur le sujet en 2011, et qui voit dans le Cloud le moyen de rendre les PME européennes plus compétitives et de faire baisser la facture énergétique. Il semblerait donc que le Cloud soit un nouvel eldorado capable de faire réaliser aux entreprises de réelles économies !

Auteurs : Nathalie Gonzalves et Jérôme Chapeau, Ivision

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En complément :

TCO : Les coûts de logiciels dans le Coût total de possession
Le MTBF ou temps moyen entre 2 pannes : second critère de choix après le TCO ou coût total de possession
TCO : Les éléments à prendre en compte pour le calcul

Le TCO ne suffit pas pour changer de logiciel en entreprise
TCO, LCC et MTBF expliqués pour les nuls
Un sourire ne coûte rien

Autres Informatique :

Récapitulatif 8 Informatique

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9 conseils pour atteindre et tenir ses objectifs


Toujours plus haut, toujours plus loin, et …

Que ce soit dans le domaine privé ou le domaine professionnel, tenir ses objectifs tient parfois de la haute performance.

atteindre et tenir ses objectifs

1. Se fixer des objectifs réalistes et atteignables

Devenir astronaute est certes plus ambitieux que devenir policier, encore que… vous avez peut-être la bosse des maths et pas celles des relations sociales.

Si vos capacités intellectuelles, vos résultats scolaires, votre bilan de compétences, vos moyens financiers sont insuffisants, tenir vos objectifs relèvent du miracle.

A contrario, des objectifs plus faciles à atteindre, vous permettrons de vous sentir mieux plus rapidement.

Se lever avant midi le dimanche.
Arrêter de fumer.

Gagner quelques minutes en commençant une réunion à l’heure, au lieu d’attendre les éternels retardataires. Ils apprendront, peut-être, à être là dès le début de votre intervention.

2. La volonté ne suffit pas

Par contre, avec des objectifs moins ambitieux, vous pouvez mettre en œuvre des actions qui vont vous permettre de les atteindre.

Plus d’un cherche à devenir Président de la République.
Un seul y parvient tous les 5 ans, en France.

Le découragement peut venir vite si ses objectifs sont éloignés dans le temps, ou nécessitent une torture de l’esprit ou des moyens financiers disproportionnés par rapport à vos revenus réels.

3. Inutile d’avoir trop d’objectifs

« Qui trop embrasse, mal étreint », dit le proverbe.

Selon le degré de complexité des moyens à mettre en œuvre et du temps nécessaire pour atteindre vos objectifs, avoir un nombre trop important d’objectifs par rapport à vos moyens et vos disponibilités vous condamne à ne pas les atteindre tous, voire n’en atteindre aucun.

Apprendre un mot par jour dans une langue étrangère et vous en aurez retenu près de 3000 en 8 ans, nombre de mots que maîtrise un enfant de 3 ans, toujours bavard !

Auriez-vous la volonté de vous y tenir ?

4. Fixez-vous un planning et des étapes

Pour tenir ses objectifs, il faut procéder pas à pas et, surtout, l’un après l’autre.

Mettez vos actions dans un planning.

Si vous ambitionnez de devenir élu d’une quelconque institution politique, syndicale, sociale, associative, vous devrez prendre votre temps, apprendre et connaître vos amis et néanmoins concurrents.

En segmentant en objectifs à plus court terme, vous atteindrez plus facilement votre objectif final, et avec plus de satisfaction à chaque étape.

Vouloir acheter une maison, par exemple, vous condamne à avoir un travail suffisamment rémunérateur pour placer une somme d’argent assez importante pour obtenir un prêt bancaire.
Vous devrez aussi consulter les annonces, visiter des maisons, choisir, signer un compromis de vente, obtenir le prêt, signer l’acte authentique avant de devenir propriétaire.

5. Faites-vous aider

Pour atteindre vos objectifs, il vous faut de l’aide.

Vous avez besoin d’un(e) enseignant(e) pour une formation.

Vous avez besoin d’un guide pour monter au sommet d’un plus de 8000 mètres, sans compter le sponsor, les fournisseurs de matériels, les transporteurs.

Vous avez besoin d’un professionnel pour votre projet immobilier.

Vous avez besoin d’un conseiller en évolution professionnelle pour votre recherche d’emploi.

Bref ! Vous avez besoin de trouver des contacts et des compétences diverses selon les objectifs que vous vous êtes fixés

6. Soyez égoïste : Faites-vous plaisir

Vos objectifs sont peut-être ceux de votre hiérarchie.

Vous devez améliorer la qualité de votre travail, gagner des marchés, de nouveaux clients.

Ce sont peut-être vos objectifs, aussi.

Le plaisir que vous aurez en atteignant ces objectifs sera toujours plus grand, si vous en tirez une satisfaction personnelle, et moindre que vos propres objectifs personnels.

7. Soyez positif !

Vous avez échappé à la mort, suite à une maladie grave, un accident, une séparation douloureuse, une perte d’emploi.
Votre moral est au plus bas.

Ayez un esprit de reconquête et rédigez vos objectifs avec des mots positifs, des tournures de phrases positives, orientés vers le futur.

Dite « je peux à nouveau marcher ou m’habiller » plutôt que « je ne peux plus faire du sport »

Dite « je vais trouver un emploi qui correspond à mon parcours et mes capacités » plutôt que « je dois retrouver un boulot à tout prix, quitte à faire n’importe quoi ». En plus, vous serez plus crédible.

8. S’y mettre rapidement

Si vous espérez écrire un best-seller en six mois, vous avez intérêt à vous y mettre tout de suite.
Ecrire est une chose, parvenir à convaincre un éditeur en est une autre.
Votre texte doit l’interpeller, être au goût des lecteurs, et provoquer la chance en rencontrant les « bonnes personnes ».

Si vous attendez avant de vous lancer, vous êtes sûr(e) de ne pas tenir vos objectifs.

Malheureusement, la réciproque s’avère souvent plus compliquée.

Que votre voyage soit long ou court, il commence par le premier pas.

Et, si vous ne faites pas ce premier pas, vous ne partirez jamais.
Votre objectif restera alors une idée ou des mots sur un papier ou dans votre ordinateur.

9. Apprendre de ses échecs

Les revers, les déboires, les déceptions, les coups du sort sont autant de difficultés que vous allez rencontrer avant d’atteindre vos objectifs.

Vous achetez des actions boursières et le cours de la bourse baisse.
Vous rencontrez celui ou celle que vous croyez devenir votre compagnon ou compagne pour la vie, il/elle vous trompe et votre objectif de créer une famille échoue.

Vous pensiez avoir trouvé votre « home sweet home » et une autoroute, une usine, ou une HLM va être construite à côté de chez vous.
Votre maison perd de sa valeur.

Vous passez un entretien d’embauche et vous n’êtes pas choisi (e).

Un objectif atteint ou à atteindre peut donc être remis en question.

Alors re-com-men-cez ! Gardez courage et fixez-vous un nouvel objectif !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Je peux le faire ! ou motivation personnelle en 8 étapes
Prise de décision : Comment est-elle prise ?
Concentrez vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré(e)

Comment retenir et valoriser ses propres idées
Analyse de mes habitudes de travail
Principes de la planification

Autres Organisation :

Récapitulatif 2 Organisation
Récapitulatif 3 Organisation
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La méthode des 5S


La méthode des 5S

carte des 5S

source : Wikipedia

La méthode des 5S fait partie de ces méthodes et techniques d’amélioration de la qualité et de la performance industrielle.

Les 5 S représentent les initiales de 5 mots japonais suivant :

  • Seiri
  • Seiton
  • Seiso
  • Seiketsu
  • Shitsuke
= Débarrasser
= Ranger
= Nettoyer
= Ordonner
= Être rigoureux

Concrètement, cela donne la mise en œuvre d’actions d’amélioration du poste de travail :

  • Seiri
= Ôter l’inutile. Si un objet est inutile à ce poste de travail alors il faut l’enlever.
  • Seiton
= Ranger. « Une chose a sa place, une place pour chaque chose ».
  • Seiso
= Nettoyer. Mettre en place les mesures d’hygiène nécessaire et chercher des anomalies pour les supprimer le plus possible.
  • Seiketsu
= Mettre en évidence ce qu’il faut faire et où l’on en est par des moyens visuels.
  • Shitsuke
= Etre rigoureux, systématique et remettre en cause en permanence les résultats déjà obtenus dans une démarche d’amélioration.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Roue de Deming ou Méthode PDCA
Méthode Lean ou supprimez l’inutile : Gestion de la qualité
Méthode Six sigma

Carences dans une organisation décelées par son informatisation
Méthodes et outils de résolution de problèmes
Méthode d’Analyse de situation comment fixer des priorités

Autres Organisation :

Récapitulatif 2 Organisation
Récapitulatif 4 Organisation
Récapitulatif 6 Organisation

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10 Caractéristiques du management


10 Caractéristiques du management

Pour ceux qui veulent connaître le management, voici les principales caractéristiques qui le définissent

décaèdre

  1. Le management est lié aux performances d’un groupe et non d’un individu
  2. Le management est fait de fonctions inter-agissantes
  3. Le management est un processus continu, un comportement
  4. Le management se situe à la convergence de la rationalisation et de l’humanisation de la gestion
  5. Le management est une application universelle
  6. Le management implique des objectifs
  7. Les objectifs sont atteints par l’institution de relations entre les ressources humaines et les ressources matérielles
  8. Le manager n’accomplit pas nécessairement les choses par lui-même mais il atteint les objectifs par l’intermédiaire des autres, dans le cadre d’un travail de groupe
  9. Le manager décide
  10. Les deux principales fonctions du manager sont la Planification et l’Exécution, puis viennent le contrôle, l’évaluation et le souci d’amélioration

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En complément :

Les 4 missions du dirigeant
Les 10 qualités d’un coach
Les rôles du manager Que fait un manager

Caractéristiques typiques de styles d’organisation et de management
Management : À savoir pour manager la génération Y
Management participatif : comment ça marche, points forts, points faibles

Autres Management :

Récapitulatif 5 Management

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Les recettes magiques vers l’échec


10 recettes de managementmauvaise recette du management

1. Ne prenez pas de risques

Laissez les autres descendre dans l’arène et imitez ceux qui réussissent.
C’est la façon la plus sûre et la plus économique de rester dans la course

2. Contentez-vous du statu quo

Le changement est mauvais et n’engendre que des soucis

3. Appuyez-vous sur l’expérience du passé

(c’est plus sûr), ne modifiez pas vos méthodes et vos habitudes.
Si elles vous ont amené jusqu’ici, c’est qu’elles sont bonnes

4. Ne changez pas une stratégie qui donne de bons résultats

même si l’environnement et les conditions changent.
Il faut s’accrocher à ce que l’on sait faire et continuer

5. Ne soyez pas exigeant

Le niveau actuel est suffisant pour vous, pour votre entreprise, pour vos clients.
On sait depuis longtemps que « Le mieux est l’ennemi du bien »

6. Déléguez les décisions importantes à des spécialistes

et n’ayez pas peur de prendre le risque de vous « paralyser par l’analyse ».
Une décision tardive est moins grave qu’une mauvaise décision

7. Surveillez vos concurrents plutôt que vos clients.

N’hésitez pas à perdre la guerre du marché pour gagner la bataille de la concurrence

8. Justifiez la baisse de vos performances

A l’évidence, les problèmes proviennent de la conjoncture économique, de la concurrence, de l’État, des syndicats, etc.

9. Pensez d’abord à vous et à votre honneur

Pour garder tout votre prestige, n’admettez jamais une erreur.
Reportez la critique sur quelqu’un d’autre ou, mieux encore, sur le monde extérieur

10. Attachez plus d’importance aux apparences qu’aux réalités

aux avantages et au prestige de votre fonction qu’à votre mission

Ces recommandations sont faites par Roberto Goizueta, patron de Cola-Cola au moment de ces propos.

Arrêtez-vous un instant et répondez à la question :
à partir de laquelle de ces recettes n’avez-vous plus été d’accord et
avez-vous compris que R. Goizueta voulait insister sur ce qu’il ne faut surtout pas faire ?

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En complément :

Comment est-on un mauvais manager
Les 4 missions du dirigeant
Jack Welch : « Mes conseils pour réussir »

Du Coca Cola sur une disquette
Les schémas directeurs classiques
Peur de ne pas réussir : Comment réagir

Autres Management :

Récapitulatif 4 Management

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Définition de l’effectivité et définition de l’efficience


Définition de l’effectivité et définition de l’efficience et de l’efficacité

Efficience des secteurs publics de pays an 2000Effectivité : to do the right things

(Faire les bonnes choses)

Efficience : to do the things right

(Faire les choses bien)


L’effectivité est une méthode de raisonnement qui se traduit en actions.

L’efficience est la capacité de rendement, de performance.

L’efficacité est une qualité qui permet de produire l’effet attendu.


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En complément :

Indicateurs d’efficacité
L’inefficacité de Franz Schubert
Si un homme ne sait pas vers quel port il se dirige

Efficacité : Oubliez la perfection
La mémoire pour une meilleure efficacité personnelle
Amélioration : 10 principes pour être efficace en entreprise et ailleurs

Autres Bien-être et Organisation :

Récapitulatif 2 Bien-être
Récapitulatif 2 Organisation

La structure des potentialités d’une entreprise


La structure des potentialités d’une entreprise

Domaine des potentialités:

potentialités en entreprise

  • Recherche et développement
  • Production et logistique
  • Marketing
  • Planification et contrôle de gestion

Type de potentialités:

  • Possibilité spécifique de performance (actif)
  • Possibilité d’utilisation (passif)

Potentialités de performance:

  • Potentialités humaines (personnes)
  • Potentialités techniques (matériels)
  • Potentialités Financières (ressources financières)

Potentialités d’utilisation:

  • L’information, par exemple, objectifs, stratégies, connaissance des marchés et savoir-faire des produits
  • Connaissance de l’organisation et de la culture d’entreprise sur les processus structurels
  • Les valeurs et les normes en vigueur

 

 

Potentialités
d’utilisation

Type de potentialités

Domaine des potentialités

Potentialités
de performance

Personnes Matériels Ressources financières Système
cible
Système
de stratégie
Connais-
sances
Recherche et développement Potentia-
lités humaines
Potentia-
lités techniques
Potentia-
lités financières
Potentia-
lités d’objectifs
Potentia-
lités de stratégie
Potentia-
lités de savoir-faire
Production et logistique
Marketing
Planification et contrôle de gestion

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En complément :

Carences dans une organisation décelées par son informatisation
Quelles sont les menaces qui pèsent sur une entreprise
Stratégies à l’usage d’un dirigeant d’entreprise

Axe des compétences de l’entreprise ou Outils de management du dirigeant d’entreprise
Comment favoriser le renouvellement et le dynamisme des organisations
Devise 009 : Occasion + Instinct = Profit

Autres Management et Organisation :

Récapitulatif 1-1 Management
Récapitulatif 1-2 Management
Récapitulatif 1 Organisation

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Objectifs pour définir un plan stratégique informatique


Objectifs pour définir un plan stratégique informatique

stratégie en entrepriseLors d’une réflexion sur un plan stratégique informatique à long terme plusieurs objectifs peuvent être fixés, comme, par exemple :

  1. Extension planifiée systématique et coordonnée des services proposés par l’informatique et ses infrastructures
  2. Mises en œuvre efficace et régulière des ressources informatiques à disposition
  3. Diminution des doublons par une évaluation et la mise en place de nouveaux composants matériels et logiciels
  4. Utilisation optimale de l’infrastructure informatique par les utilisateurs finaux
  5. Rationalisation du plan stratégique informatique et amélioration les bases d’informations pour des décisions stratégiques dans le domaine informatique
  6. Diminution des obligations, en particulier des obligations technologiques
  7. Assurance que la stratégie informatique soit totalement intégrée à la stratégie générale de l’entreprise

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En complément :
Plan d’un rapport d’audit en entreprise
Évolution de l’informatique dans l’entreprise
Pourquoi un schéma directeur ?

Les schémas directeurs classiques
Approche d’un schéma directeur
Application du schéma directeur

Autres Informatique et Management :

Récapitulatif 3 Informatique
Récapitulatif 5 Informatique
Récapitulatif 5 Management

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Pour être un manager performant


8 conseils pour être, ou devenir un manager performant,

être ou devenir managerDevenir manager ou être un encadrant réclame de se positionner dans la position d’avoir une équipe à diriger, à prendre en compte l’environnement, à fixer des objectifs et à superviser que toute l’équipe oeuvre dans le même sens, celui qu’il a choisit.

Le manager doit avoir une vision du présent et du futur, choisir ses collaborateurs, déléguer et sanctionner toute dérive au cap qu’il a fixé.

Pour cela, il faut :

  1. Penser clairement le rôle de manager, prévoir une stratégie
  2. Développer la sensibilisation et la confiance en soi, penser de façon positive
  3. Se fixer sur ce qui se passe autour de soi : écouter, soutenir, donner un retour et accompagner
  4. Faire preuve d’intégrité dans la prise de décisions et prendre des décisions, même si elles sont impopulaires ou se révèlent être des erreurs
  5. Partager les informations, impliquer les collaborateurs
  6. Avoir suffisamment confiance pour admettre ses erreurs et en tirer des leçons, confiance et humilité
  7. Soutenir ses collaborateurs, surtout dans des tâches nouvelles ou qui pourraient dépasser leurs compétences
  8. Déléguer l’autorité et la responsabilité, promouvoir les talents

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En complément :

Comment est-on un mauvais manager
Les rôles du manager Que fait un manager
Les 4 missions du dirigeant

Psychologie positive, Pensée positive, Parler positif
Bien diriger : Les recettes de six grands patrons
Incompétence ou 10 conseils pour faire face aux critiques

Autres Management :

Récapitulatif 1-1 Management
Récapitulatif 1-2 Management

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