L’assertivité pour une meilleure relation interpersonnelle


Quels éléments composent l’assertivité ?

L’assertivité est une manière de s’exprimer qui permet de dire ce que l’on pense sans blesser son ou ses interlocuteurs.

L’assertivité implique la capacité à exprimer ses pensées, sentiments et besoins de manière claire et directe, sans agressivité ni passivité, ni manipulation.
Par exemple, au lieu de dire « Je suppose que ça va » (passivité) ou « Tu ne comprends jamais rien » (agressivité), une personne assertive dirait : « Je me sens frustré lorsque cela se produit, pouvons-nous en discuter ? »

aassertivité : savoir dire non sans blesser

aassertivité : savoir dire non sans blesser

1/ Respect des droits personnels

Être assertif signifie reconnaître et respecter ses propres droits ainsi que ceux des autres. Cela inclut le droit de dire non, le droit de faire des erreurs et le droit d’avoir ses propres opinions et sentiments.

2/ Empathie et écoute active

L’assertivité implique également d’être capable d’écouter activement les autres, de comprendre leurs perspectives et leurs sentiments, tout en restant fidèle à ses propres convictions et sentiments.

3/ Gestion appropriée des émotions

Les personnes assertives sont capables de gérer leurs émotions de manière appropriée, en exprimant leurs sentiments de manière calme et respectueuse, sans être submergées par la colère ou la frustration.

assertivité, c'est aussi respecter l'autre, même en cas de désaccord

assertivité, c’est aussi respecter l’autre, même en cas de désaccord

4/ Confiance en soi

L’assertivité est étroitement liée à la confiance en soi. Une personne assertive croit en sa propre valeur et en sa capacité à communiquer efficacement avec les autres, même dans des situations difficiles.

5/ Défense des droits et intérêts personnels

Être assertif signifie également défendre ses propres droits et intérêts de manière appropriée, sans empiéter sur ceux des autres. Cela implique de prendre position pour ce qui est juste et équitable.

Ces éléments sont cruciaux pour développer des compétences assertives qui permettent de communiquer de manière efficace tout en préservant les relations interpersonnelles, tant au travail que durant sa recherche d’emploi ou au quotidien avec famille et amis.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Comprendre pourquoi encore « surqualifié » pour le poste !


La réponse que l’on ne peut plus entendre

A la fin d’un entretien d’embauche, il arrive que l’on entende la réflexion du recruteur : « vous êtes surqualifié pour le poste », lorsqu’il vous annonce qu’il renonce à vous recruter.

Cela devient très irritant lorsqu’il s’agit de la n-ième fois.
Vous avez beau mis toutes les chances de votre côté avec un beau CV, une belle lettre de motivation et un pitch superbe, vous êtes confronté à un décalage entre vos espérances et la réalité du terrain.

Êtes-vous vraiment « surqualifié » ?

Au moment de la perte de son emploi, il se passe un phénomène très courant ; la perte de sa confiance en soi et de son estime de soi. La conséquence de ce phénomène est que l’on craint de mettre un temps trop long pour retrouver un emploi.

surqualifié pour le poste

surqualifié pour le poste – emplois.ca

La pression est forte et vous pensez avoir perdu de la valeur sur le marché de l’emploi. Vous avez oublié que vous avez du talent et vous postulez à des postes qui demandent moins de compétences que celles que vous avez réellement.

Cela peut venir d’un manque de diplôme et d’expérience, de votre âge ou d’une période d’absence chez un employeur pour élever vos enfants.

La solution consiste à postuler à des postes qui correspondent à son véritable niveau.
« Qui peut le plus, peut le moins » est un mauvais conseil en matière de recherche d’emploi.
« Qui peu le plus, postulera pour le plus » devrait être la devise du chercheur d’emploi.

Êtes-vous suffisamment « convaincant » ?

Tout au long de votre parcours professionnel, vous avez réalisé des tâches avec un but et un résultat. Ce sont parmi elles que vous allez chercher les plus convaincantes.
Les réalisations convaincantes sont celles à citer en entretien d’embauche.

Si vous évoquez des réalisations d’un niveau au-dessus des tâches qui incombent au poste à pourvoir, vous vous mettez en difficulté. Vous êtes, certes, capable de les exécuter, cependant vous démontrer ainsi des compétences qui sont déphasées par rapport à celles demandées.

Choisissez plutôt vos anecdotes parmi celles qui sont le plus en adéquation avec les compétences demandées pour le poste que vous visez. Ceci, quel que soit le niveau du poste.

Êtes-vous suffisamment « intégrable » ?

En plus de votre savoir-être, le recruteur cherche à se faire une idée de la facilité de votre éventuelle intégration dans l’équipe en place. Ces critères sont toujours absents des offres d’emploi, car ils supposent une bonne connaissance des forces et des faiblesses relationnelles et des attentes des futurs collègues.

intégration façon puzzle

êtes-vous la pièce grise ?

Il est quasiment impossible de savoir comment vous pouvez être accueilli au sein d’une équipe en place.
Avec un peu de chance et beaucoup de recherche, si vous connaissez le nom de l’entreprise, au moyen du réseautage, vous pouvez poser la question de l’ambiance de travail. Malheureusement, il est rare de lire de nom de l’entreprise lorsqu’elle recherche via un cabinet spécialisé.

Votre apparence, votre accent, vos difficultés à vous exprimer par oral, votre manque d’humour ou votre humour décalé, vos loisirs, et toute votre personnalité ont une influence sur votre comportement.

Restez comme vous êtes ! En entretien de recrutement, il est contre-productif de tenter de parler contre sa nature. Le langage non verbal est plus important que ce que vous dites.

La façon dont vous présentez ce que vous avez fait et ce que vous êtes a une influence sur l’interprétation du recruteur qui vous écoute. Là encore, il peut vous jauger au-dessus du niveau moyen de l’équipe et estimer que vous n’y avez pas votre place.

Êtes-vous « trop qualifié » pour le N+1 ?

Le futur chef a son mot à dire sur son futur subordonné.
Lorsqu’il rencontre un candidat qui possède bien les compétences recherchées, tout va bien.
Lorsque ce candidat en possède d’autres qui sont celles nécessaires pour devenir le chef à sa place, là rien de va.

Le N+1, le chef direct, va s’opposer à votre embauche par crainte pour son propre poste. Après un temps, plus ou moins court, sa hiérarchie va se rendre compte que vous feriez son job mieux que lui. De plus, il craint aussi que vous le critiquiez, que vous mettiez en doute ses décisions ou sa façon de manager.

Comme il ne tient absolument pas à perdre son poste, il préfère, de loin, rejeter votre candidature.

attention manipulation

Êtes-vous en face d’un « bon » recruteur ?

Hélas, vous êtes, peut-être, tombé sur un recruteur incompétent. Hé oui, il en existe.

Parfois le manque de professionnalisme du recruteur peut se retourner contre vous, malgré tous vos efforts. Le recruteur peut manquer de vision, d’écoute et d’empathie. Il peut être provocateur, blessant, manquer de respect, tenter de vous déstabiliser. Il procède par élimination des profils plus par exercice d’un pouvoir plus que par honnêteté intellectuelle.

En tant que candidat, vous ne pouvez vous sentir responsable de toutes les réponses négatives que vous entendez. Quels que soit votre préparation, vos arguments, votre talent oratoire, en plus de vos compétences, soft skills et traits de caractères, il arrive que vous soyez « trop qualifié » pour le poste.

Soyez persévérant, vous trouverez bien le poste qui vous convient.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Sécurité informatique : Les scénarii de risques


Risques informatiques : Les scénarii de risques

Risque de blocage par la neige

blocage par la neige

Dans un processus d’analyse des risques informatiques, il est bien aisé de trouver une méthode qui permette de les évaluer au travers des événements possibles susceptibles de les révéler.

Pour cela, voici une liste de risques qui peuvent toucher un système d’information et son environnement.

L’évaluation des risques se fait en appliquant une échelle selon leur gravité (voir plus bas).

Les risques

Indisponibilité passagère de ressources

  • Absence de personnel
  • Accident ou panne mettant hors service une ou plusieurs ressources matérielles
  • Bug logiciel
  • Impossibilité de maintenance
  • Vandalisme depuis l’extérieur
  • Vandalisme intérieur.
  • Indisponibilité totale des locaux

Destruction d’équipements

  • Catastrophe naturelle ou accidentelle
  • Incendie
  • Inondation
  • Terrorisme ou sabotage depuis l’extérieur

Performances dégradées

  • modification du logiciel
  • modification du matériel
  • Surutilisation accidentelle de ressources informatiques ou réseau
  • Surutilisation malveillante de ressources informatiques ou réseau

Destruction de software

  • Effacement de code exécutable ou de configurations
  • Écrasement accidentel d’un disque fixe
  • Effacement accidentel de logiciel
  • Vol ou effacement d’un support amovible
  • Effacement ou destruction de configurations logicielles utilisateurs

Altération de logiciel

  • Altération malveillante des fonctionnalités prévues d’une application via une bombe logique ou une porte dérobée,…
  • Modification volontaire des fonctionnalités prévues d’une application informatique
  • Modification volontaire ou accidentelle des fonctionnalités prévues d’une fonction bureautique (macro-instruction, feuille de calcul, etc.)

Altération de données

  • Accident de traitement
  • Erreur de saisie

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Manipulation de données

  • Données applicatives faussées pendant la transmission
  • Rejeu de transaction (doublement de la transaction)
  • Saisie faussée de données
  • Substitution volontaire de supports
  • Manipulation de fichiers
  • Falsification de message

Divulgation de données ou d’informations

  • Accès au système et consultation
  • Captation d’informations fugitives
  • Vol de documents écrits ou imprimés
  • Détournement d’informations en transit
  • Détournement d’informations temporaires générées par les systèmes

Détournement de fichiers de données

  • Accès au système et copie de fichiers de données applicatives
  • Vol de supports de données applicatives
  • Accès aux serveurs et copie de fichiers bureautiques
  • Détournement de code source

Perte de fichiers de données ou de documents

  • Effacement par bombe logique
  • Effacement de supports par virus
  • Effacement malveillant direct de supports
  • Perte accidentelle de fichiers
  • Vol de supports
  • Perte accidentelle de documents

Sinistre immatériel total

  • Effacement de fichiers par bombe logique
  • Effacement malveillant des supports

Non-conformité à la législation et à la réglementation

  • Attaque d’une tierce société
  • Violation des droits de propriété industrielle
  • Chaque scénario de risque est associé à :
    • un ou plusieurs éléments d’infrastructure dotés de besoins DIC,
    • une ou plusieurs menaces affectées d’une probabilité d’exposition,
    • une ou plusieurs mesures de sécurité plus ou moins matures.

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L’évaluation des risques

Un risque est plus ou moins grave pour l’entreprise.

L’échelle à appliquer pour chaque ligne de la liste précédente des risques va de 1, non significatif, à 4, insupportable.

Par exemple, une panne qui empêche l’accès à distance à votre serveur, alors qu’il contient votre site de e-commerce, a pour impact une perte sèche des commandes qui n’auront pas été passées ainsi que la perte de clients qui ne reviendront pas à cause de l’indisponibilité du site, sans compter la mauvaise réputation qui repoussera tout nouveau prospect. C’est insupportable car très grave.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour mieux protéger vos données et vos équipements informatiques, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Incompétence ou 10 conseils pour faire face aux critiques


En entreprise, avoir du culot pour masquer son incompétence

est un art que certain (e)s maîtrise (nt) particulièrement bien.

Voici 10 conseils pour vous en sortir, par Philippe Gaultier

Incompétence : c'est pas moi, c'est luiIncompétences en 10 règles

Je vais partager avec vous les meilleures règles qui permettent à l’ignorance d’atteindre des sommets inattendus. Je suis sûr que vous en reconnaîtrez certaines, pour avoir côtoyé des personnes se présentant comme des professionnels à part entière, bien qu’en réalité ils ne sont que de vulgaires débutants sans qualité particulière. Les points suivants sont à mon avis les plus marquants :

1. « Accuser les autres »

Quoi qu’il arrive, il y aura toujours quelqu’un pour faire porter le chapeau de tous les maux sur autrui, quel que soit le niveau de responsabilité. Dans l’argot des inutiles, cette règle s’appelle « détourner la conversation », qui inclut « le chien a mangé le rapport que j’avais préparé », un grand classique du genre.

2. « S’approprier et tirer parti du résultat des autres »

C’est la règle essentielle pour monter très haut en laissant ceux d’en bas se plaindre sans cesse de notre incompétence. Dans l’argot des inutiles, cela s’appelle : « Porter les médailles des autres ».

3. « Ce n’est pas moi, je n’ai rien fait »

Même filmé en train de commettre le crime du siècle, niez tout en bloc. Il sera toujours possible de penser qu’il s’agit en fait d’une machination complexe que votre pire ennemi aura préparée pour remettre en question votre honnêteté.

4. « Ne pas faire face aux responsabilités et éviter les déclarations »

N’essayez jamais de vous défendre si vous avez fait quelque chose de mal. Ils vous accuseraient de choses que vous n’auriez même pas pensé. Le mieux est d’éviter les déclarations et réciter une ligne : « Je n’ai rien fait. C’est un complot contre mon honnêteté et mes résultats ».

5. « Chercher des faux témoins pour appuyer le mensonge »

Il y a toujours un ami distrait, un qui n’attend que d’être de votre côté, disposé à déclarer n’importe quoi et consolider votre mensonge. Il est toujours important d’en avoir un sous la main.

6. « Laisser les autres témoigner pour vous »

Si n’avez pas d’autres choix et que vous ne pouvez pas appliquer la règle 4, les choses vous iront bien mieux si d’autres personnes témoignent pour vous. En complément de la règle antérieure sur les témoins, essayez maintenant de faire que des personnes déclarent en votre faveur, de préférence des individus un peu soporifiques, car ils finissent par ennuyer tellement qu’on ne prête plus attention à ce qu’ils disent.

7. « Faire témoigner un avocat en votre faveur »

Si le point précédent ne donne pas de résultat, faites appel à un avocat qui répond par des tergiversations et des contradictions.

8. « Vous inventer un rôle de Saint »

Si en fin de compte vous devez dire quelque chose, il est important d’avoir raconté une histoire crédible qui vous élève au rang d’Esprit Saint et amène tout le monde à penser qu’en aucun cas vous n’agiriez de telle façon.

9. « Jeter des pierres sur le toit de l’ennemi »

Quelqu’un veut nous pousser sur les cordes ? Pour autant saint que l’opposant soit, il ou elle aura bien un côté sombre. Trouvez ce côté sombre et assenez avec force jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucun doute qu’il s’agit d’une personne pire que le diable.

10. « Inventer un complot »

Si quelqu’un est parvenu à vous pousser sur les cordes et que, malgré tout, vous n’êtes pas arrivé à détruire l’opposant, il ne reste plus d’autre option que de créer un écran de fumée. Les histoires les plus populaires sont ceux qui font mention du viol ou du harcèlement envers une femme, car il est toujours facile de recueillir de nombreux répète-jacquot absurdes.

J’aime particulièrement parler de choses positives mais, parfois, il est important de mentionner les mauvaises pratiques car, qu’on le veuille ou non, il s’agit des premiers usages que nous devons éviter. Aucun n’est sorti d’Internet ou d’un livre quelconque. Je les ai tous souffert moi-même à un moment ou à un autre, dans des procédures légales ou des attaques.

À ce sujet, je recommande le livre de Fernando Trías de Bes, « Little Black Book of Entrepreneurship », où il mentionne les grosses erreurs de nombreux entrepreneurs, puisque l’on apprend bien plus des erreurs que des réussites. Fidèle au style de Fernando, je serai en mesure d’éditer l’ouvrage « Le livre noir de l’entraîneur » (ou du politicien, ou du banquier, substituez l’intitulé par celui que vous voulez) ; les exemples d’incompétents ne manquent pas.

Soyez prudent car, ces derniers temps, les ignorants semblent réussir particulièrement.

 Philippe Gaultier

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Présenté par Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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