Postuler plusieurs fois dans la même entreprise : Mode d’emploi


Un autre chance de rentrer dans la même entreprise

Après avoir espéré décrocher le poste pour lequel vous avez postulé, vous avez reçu une réponse négative.

Cela vous ferme-t-il les portes de l’entreprise pour la vie ? C’est ce que la très grande majorité des candidats pense.
A tort.

Digérez l’échec

Même et surtout si vous êtes allé jusqu’au bout du processus, avec un ou plusieurs entretiens d’embauche, il faut faire le deuil de sa candidature pour mieux rebondir. Cette étape est incontournable.

échec professionnel

candidature rejetée

Attendez 6 mois minimum voir 8 à 10 mois pour envoyer une seconde candidature.

Restez à l’écoute de l’actualité de l’entreprise, notamment ses offres d’emploi, pour guetter le développement de l’entreprise, ses besoins en compétences.

Que ce soit en spontané ou en réponse à annonce, soyez à l’affut de toute opportunité qui correspond à votre profil.

Tirez les leçons de votre échec

Si vous refaites pareil que lors de votre première candidature, alors vous répéterez les mêmes erreurs.

Il convient donc d’analyser les causes du refus de vous embaucher.

exemple de causes à analyser pour mieux se préparer

exemple de causes à analyser pour mieux se préparer

Refus avant entretien

La première sélection se fait par le CV.

  • Votre CV donne-t-il envie d’être lu ?
  • Met-il bien vos compétences en avant ?
  • Vos savoir-faire correspondaient-ils à ceux attendus ?
  • Avez-vous le diplôme ou le niveau souhaité par le recruteur ?
  • Vos valeurs sont-elles en phase avec celles de l’employeur ?
  • Votre lettre de motivation était-elle bien rédigée ?

Refus après entretien

L’entretien est décisif pour faire la différence.

  • Étiez-vous bien préparé (e), physiquement vêtements, coiffure, etc. ?
  • Et mentalement : confiance en soi, estime de soi, maîtrise du stress ?
  • Et opérationnellement : trajet et emplacement pour se garer reconnus, prise de notes, pitch de présentation, réponses aux questions les plus courantes ?
  • Sourire ? Maîtrise de votre attitude ? Voix mal posée ?
  • Avez-vous repéré les pièges tendus par le recruteur et réagit avec professionnalisme ?

Le retour du recruteur, après l’annonce du refus, vous permet d’affiner l’analyse en demandant les raisons de cette décision.

C’est toujours bon à savoir pour la prochaine fois.

Préparez la prochaine candidature

Avant votre prochaine candidature dans la même entreprise, préparez-la en tenant compte des résultats de l’analyse de votre premier échec.

plusieurs candidatures pour le même employeur comment postuler à la Poste

plusieurs candidatures pour le même employeur ?

Un nouveau CV, plus orienté compétences, sobre, clair, aéré, facile à lire, fera une meilleure impression.

Une lettre de motivation qui démontre l’adéquation de votre profil avec celui du candidat idéal, aura plus de succès.

Éliminez toutes fautes d’orthographe ou de grammaire de votre CV et de votre lettre de motivation.

Suivre une formation complémentaire, même sans obtention d’une qualification ou d’un diplôme, vous permet de mieux répondre aux questions techniques en entretien.
Pour cela, les organismes de formation sont nombreux, et des formations en ligne sont encore plus nombreuses.

Le recruteur

La personne qui, chargée du recrutement, vous a reçu, puis éliminé ou qui l’a fait dès la lecture de votre CV, 6 à 10 mois après votre première candidature, sera-t-elle la même que celle chargée de votre seconde candidature ?

deuxième candidature, deuxième recruteur

deuxième candidature, deuxième recruteur ?

Si oui, il vous faudra être plus dynamique en entretien, plus à l’écoute et plus convaincant (e).

Si non, alors c’est comme si vous postulez pour la première fois, en étant plus fort (e) dans votre tête et informé (e) sur l’entreprise.

Dans les deux cas, vous pouvez joindre d’autres documents : copie des diplômes nouvellement obtenus ou preuve du suivi de formations, recommandations, notamment d’anciens chefs ou collègues.

Et si ça ne marche toujours pas ?

Considérez alors que tout ce que vous avez préparé pour cette seconde candidature vous servira pour postuler ailleurs ou pour une troisième candidature, si vous n’avez pas trouvé un autre poste entre temps.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Les recettes magiques vers l’échec
La résilience : Définition et principes
Deuxième entretien d’embauche : Se préparer pour réussir

Les meilleurs mois pour postuler sont
Être en phase avec la Culture d’Entreprise en 5 critères
Recrutement : Le premier contact téléphonique 

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Le traumatisme du chômage


« Au secours, je suis au chômage ! »

Volontaire ou victime, se retrouver dans une situation de perte de son statut social, acquis par son travail, tout le monde aurait préféré éviter.

Vous n’êtes plus représenté(e) par le titre de votre poste, puisque vous l’avez perdu.

Financièrement, vous savez que les temps risquent d’être durs, que vous allez devoir serrer les cordons de votre bourse et réduire votre train de vie précédent.

perte d'emploi qui suis-jeFaire face

Que l’on soit trentenaire, après quelques années d’emploi, en pleine forme, seul(e) ou accompagné(e) dans la vie, vous étiez bien engagé(e) pour faire carrière.
Elle est stoppée net.

Quadra, vous avez de l’expérience, engagé(e) financièrement dans un achat de logement ou lié(e) à un loyer pour votre famille, vous angoissé(e) pour vos revenus, tout en étant à l’affut d’une nouvelle opportunité d’emploi.

Plus de 50 ans, expert(e) dans votre domaine, les préjugés contre l’emploi des séniors vous font craindre de rester sans emploi jusqu’à l’âge de la retraite et de tomber dans la précarité.

Isolé(e)

Le premier constat est que la vie change au quotidien.

faire face à son imageLe rythme du lever au coucher évolue.
Difficile de se motiver pour se lever à la même heure qu’avant, de respecter l’heure du repas le midi, voire de changer d’alimentation, de passer son temps devant Internet, d’aller se coucher d’aussi bonne heure qu’au moment qui était devenu habituel.

Les amis sont joignables, certes, sur leurs moments libres donc le midi ou le soir seulement. Du moins, celles et ceux qui sont restés en contact.

Vous devez  supporter que les autres vous traitent désormais comme un(e) assisté(e), profiteur(se) d’un système.

Des conséquences matérielles

La baisse de revenus entraîne une base du taux d’imposition pour le prélèvement à la source. Encore faut-il effectuer la démarche auprès du centre des impôts.

baisse de revenus réduire ses dépensesVotre loyer ou votre remboursement de prêt immobilier ne change pas.
Et pourtant, avec moins d’entrée d’argent, il faut continuer à payer. Au mieux, un décalage peut avoir lieu sous réserve d’avoir pris une assurance dès la signature du prêt.

Les loisirs et les petits plaisirs qui coûtent vont se trouver réduits proportionnellement à la baisse de revenus.

Les démarches

Après la démarche d’inscription à Pôle emploi, simple si tous les documents, comme les bulletins de salaire, y compris le dernier, et l’attestation de l’employeur, viennent les démarches de recherche d’emploi.

Déception face à des réponses négatives, frustration en cas d’absence de réponse, énervement en cas d’abandon de processus de recrutement ou en cas de promotion interne.

Il est temps de prendre patience, d’analyse ses échecs pour mieux repartir à la bataille de l’emploi.

C’est aussi le moment de rencontrer son réseau, d’établir de nouveaux contacts et d’élargir son cercle de connaissances. L’une d’elles peut vous apporter une information qui vous mènera à votre futur employeur.

Le temps passe

alphonse de lamartine ô temps suspens ton volPour éviter procrastination et ennui, des formations en ligne ou en présentiel, sont toujours possible, à condition de les financer ou d’obtenir un financement via Pôle emploi.

Envisager une reconversion ou se lancer dans une VAE, validation des acquis de l’expérience, sont des solutions pour s’occuper, en dehors de la télévision, des jeux, de la cuisine, du bricolage ou du sport

Toutes ces activités permettent de se découvrir des talents et d’ouvrir des pistes nouvelles vers le retour à l’emploi.

C’est un moment privilégié pour faire le point sur vos envies et vos critères de choix du futur emploi.

Le plus important est de trouver ce qui correspond le mieux à vos compétences, vos valeurs et envies, dans de meilleures conditions de travail.

L’idéal est peut-être à porter de main.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Zone de confort et Chômage : Évolution obligatoire
Comment regagner de la confiance en soi
Chômeurs, un traitement inégal par Pôle emploi

Chômage : Sortez de votre indécision
Pourquoi une candidature spontanée a plus de succès qu’une réponse à annonce ?
Chômage : Le nombre de jours sans indemnité

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Comment reprendre confiance malgré les phrases négatives de notre enfance


Comment reprendre confiance malgré les malédictions entendues de notre enfance

Il y a des moments dans la vie, privé ou professionnelle, où nous demandons ce que nous faisons là.

À d’autres moments, des évènements arrivent brusquement et nous obligent à nous poser des questions.

malédiction invective

C’est là que nous découvrons un manque de confiance en nous, pire, une estime de soi dévalorisée par les phrases négatives entendues pendant notre enfance.

Comment s’en sortir

Tout d’abord, il faut se dire que nous avons passé le cap de l’enfance et de l’adolescence.
Nous sommes adultes et devons réagir et agir comme des adultes et non comme des enfants attardés.

Nos parents ont, certes, une grande influence. Cependant, d’autres personnes se sont ajoutés dans le cercle des « influenceurs » : Nos amis, nos amours, nos collègues, un mentor, une personnalité, un chef.

Il y a des savoirs nouveaux, des découvertes sur soi, des propos tenus par d’autres personnes qui nous aident à avoir un autre point de vue, à prendre du recul sur ces phrases assassines et répétitives.

L’éducation, l’apprentissage, le milieu où l’on vit et celui où l’on travaille, contrecarrent l’acquis de l’enfance.

Prendre conscience de son estime de soi repousse l’idée que les gènes dictent nos choix

Pourquoi faudrait-il se comparer aux autres pour savoir ce que l’on vaut.
Chacun d’entre nous a des qualités et des défauts.
Mieux vaut chercher à s’améliorer pour soi-même que pour faire plaisir aux autres ou pour comparer les mérites respectifs.

Les autres sont « meilleurs ». Tant mieux pour eux ! Et alors ?

Nous avons des moments de réussites et des échecs dans la vie.
Ceux qui tentent quelque chose, font des erreurs et apprennent de leurs erreurs.
Les autres peuvent toujours s’y mettre.

Les circonstances dans lesquelles nous avons entendu des messages négatifs dans notre enfance ont peu de chance de se reproduire.
Et si cela arrive, alors nous raisonnons différemment, parce que nous avons appris à faire la part des choses.

« Toujours » et « Jamais » sont des mots tellement forts, il faudrait toujours les éviter et les oublier à jamais.

Même quand nous avons entendu de telles phrases, prononcées à l’encontre d’autres enfants, nous les avons enregistrées dans notre subconscient, pour notre perte d’estime de soi.

Là encore, les autres ne sont pas nous. Nous sommes tous différents.
Ce que nous avons pris pour nous, correspond tellement peu à ce que nous sommes et même à ce que nous étions dans ces moments-là.

Au moment de l’adolescence et du début de l’âge adulte, nous cherchons à savoir qui nous sommes et ce que nous sommes capables de faire.
Or, la vie d’adulte démarre seulement. Il est rarement possible, à ce moment important de la vie de tout connaître, de savoir ce que l’on veut faire.
Seuls les charlatans prédisent l’avenir.

En conclusion

Pour transmettre un état d’esprit positif à nos enfants, évitons ces phrases tellement dévalorisantes.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Migraine : 10 phrases à ne jamais prononcer
Personne toxique, relation toxique : Définition et exemples
La Reformulation : Une technique efficace

Techniques d’animation : Comment redonner confiance en soi
Des mots pour se définir
6 comportements des personnes mentalement fortes

Autres Bien-être :

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6 comportements des personnes mentalement fortes


6 choses que les personnes mentalement fortes font

fort mentalementDans votre entourage, vous connaissez sûrement quelqu’un que vous qualifiez de personne mentalement forte.

Vous aussi, faites partie des personnes mentalement fortes si vous avez les comportements suivants :

1. Vous évitez de vous apitoyez sur vous-même

L’herbe est toujours plus verte à côté. Quel dommage que votre pelouse soit moins belle ! Bof !

Se concentrer constamment sur le négatif vous empêche de voir les bons côtés de votre situation. Vous laissez échapper ce qu’il y a de bon et de beau.

L’apitoiement sur soi est une perte de temps, crée des émotions négatives et détruit les relations.

Ce qui semble négatif aujourd’hui s’avéra positif plus tard.

2. Vous voyez les changements comme des opportunités

Les changements dans la vie peuvent être effrayants. À titre personnel ou professionnel, les changements mènent à l’inconnu, aujourd’hui.

Cependant, s’y opposer repousse seulement la mise en place du changement à plus tard.

Plus vous attendez, plus il est difficile de changer quelque chose. Certaines occasions risquent de passer à tout jamais.

3. Vous n’essayez pas de plaire à tout le monde

Lorsque vous prêtez plus d’attention au jugement que les autres portent sur vous, vous réagissez, à votre manière.

C’est une ligne de conduite qui vous empêche de développer votre potentiel. C’est l’opposé de la force mentale.

Quelle importance quand les autres sont en colère contre vous ! Il est impossible de plaire à tout le monde.

4. Vous vivez tourné (e) vers le futur

Si vous regardez, sans cesse, vers le passé, vous le ressassez, au lieu de vous tourner vers le futur et de profiter de votre vie de maintenant.

Il est impossible de changer le passé – quoi que vous fassiez. Bon et moins bon.

La seule chose positive que vous pouvez tirer de mauvais souvenirs est d’apprendre de vos erreurs et de celles des autres pour éviter de les reproduire.

5. Vous persévérez après le premier échec

Après un échec, certains abandonnent. Vous êtes mentalement fort (e) quand vous, vous pensez que les défaites vous permettent de découvrir que vous pouvez être meilleur (e).

L’échec sert à acquérir des connaissances pour préparer le futur.

Le succès prend souvent du temps.

6. Vous savez avoir des moments rien que pour vous

Être seul (e) présente de nombreux avantages.

Vous pouvez réfléchir dans le calme, vous concentrez.

Vous êtes également plus productif (ve), plus créatif (ve) et vous pouvez vraiment vous détendre.

Les personnes mentalement fortes utilisent le potentiel de la solitude.

Elles se réjouissent des moments passés en société.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Prendre du recul : Une évolution positive
Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire
Pour améliorer sa situation dans la durée

Les 10 premières choses sur les 20 qui arrivent quand tu viens d’avoir un bébé
Se connaître, trouver son mode de fonctionnement
Zone de confort et Chômage : Évolution obligatoire

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Embauche : Parti fâché (e), comment l’expliquer en entretien


Comment expliquer en entretien d’embauche une relation difficile

Séparation ruptureLa séparation d’avec son précédent employeur, voire d’avec ses précédents employeurs, s’est mal passée.

Que ce soit votre faute ou celle de votre responsable, lors d’un entretien d’embauche pour le prochain poste, mieux vaut éviter le sujet.

Seulement voilà, il y a des recruteurs, notamment les employeurs qui veulent savoir comment ça s’est passé au sein de votre dernière entreprise.

Son intérêt est de savoir comment vous étiez intégré, si tout s’est bien passé avec vos anciens collègues et avec votre ancien chef.

Son objectif est de se rendre compte de votre capacité à intégrer sa propre organisation et d’avoir une idée sur votre caractère.

Il est évident qu’il sait très bien que votre ancien employeur et vous pouvez avoir eu des différends.

Le motif de votre séparation est donc important.

Si vous avez un caractère de cochon, il hésitera à vous embaucher malgré toutes vos compétences.

Si vous avez fait une erreur ou subit un échec, la reproduiriez-vous ?

De même, si la rupture a votre ancien employeur pour origine, votre futur employeur a besoin de savoir ce qui s’est mal passé pour connaître votre réaction, car les circonstances peuvent l’amener involontairement ou volontairement à reproduire la cause du différend entre vous.

Alors comment expliquer sans dénigrer ?

Le dilemme pour vous est qu’il vous est impossible de parler de votre ancien employeur en mal sans que, par solidarité ou analogie, votre ex-futur employeur prenne vos arguments pour lui.

Il s’imagine que vous pourriez dire du mal aussi de lui ou de son entreprise, comme vous le faites au cours de votre entretien.

Non, impossible !

Maîtrisez-vous !

Restez vague quant aux « vrais » motifs de votre départ.

S’il faut bien reconnaître que votre relation a été difficile, à cause de la possibilité pour le recruteur d’effectuer un contrôle de référence, il est inutile de s’énerver pour cela, au risque de montrer votre incapacité à vous maîtriser.

Passez le plus rapidement possible sur les circonstances et les faits pour évoquer ce que vous avez retenu de cette mauvaise relation.

Parlez-en en mode positif : Il est préférable de dire ce que vous souhaitez trouver comme ambiance avec les collègues ou comme relation de confiance et de respect mutuel avec votre futur chef.

Évitez aussi de mécontenter le recruteur en lui annonçant que vous refusez de lui répondre sur ce point, ce serait mettre votre candidature en échec.
Vous y perdriez sa confiance et … le poste.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Le Pourquoi de certaines questions en entretien d’embauche
Quand répondre à une question provoque des regrets
Points faibles à citer en entretien 3/6 : Un défaut, et alors ?

Recrutement : Contrôle de référence, mode d’emploi
Période d’essai interrompue : En tirer les leçons
Entrevue d’embauche : Parlez-moi d’une de vos erreurs

Autres Emploi :

Récapitulatif 19 Emploi

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Comment regagner de la confiance en soi


Les caractéristiques de la confiance en soi

Manque de confiance en soi

même pas peur confiance en soiLe manque de confiance en soi est caractérisé par :

  • La peur de ne pas y arriver
  • Des hésitations permanentes
  • Un jugement négatif sur ses capacités
  • Le sentiment de ne pas être à sa place (syndrome de l’imposteur)
  • Une mise en avant de ses échecs
  • etc.

Le manque de confiance vient de la perception de l’on a de sa valeur.

Certains cultivent de sentiment et s’engagent dans une spirale de déboires en tout genre, d’ordre privé et professionnels.

Sans être une maladie, le pessimisme semble être la règle, car le manque de confiance en soi est un état qui dure longtemps.

Il pénalise la carrière et paralyse les relations avec les autres.

Gain de confiance en soi

Comme contre la timidité, il est possible de combattre cet état et d’améliorer sa confiance en soi.

D’abord, la pensée positive et l’envie de s’améliorer doit se mettre en place.
Sans la volonté de vouloir faire évoluer son comportement, tenter d’avoir l’apparence d’une meilleure confiance en soi restera une tentative infructueuse.

Les caractéristiques d’un gain de confiance en soi :

  • Prendre du recul
  • Avoir un jugement réaliste et objectif
  • Tolérer ses propres erreurs, se pardonner
  • Apprendre de ses erreurs, en tirer des leçons pour le futur
  • Avancer pas à pas
  • Diminuer l’ampleur de ses objectifs pour pouvoir les atteindre
  • Écouter les critiques et retenir les axes d’amélioration
  • Se convaincre de pouvoir réussir
  • etc.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

La méthode Coué
Être timide et réservé : Point faible ou point fort ?
Peur de ne pas réussir : Comment réagir

Le trac : Comment le vaincre
Incompétence ou 10 conseils pour faire face aux critiques
Chômage : Sortez de votre indécision

Autres Bien-être et Organisation :

Récapitulatif 19 Bien-être
Récapitulatif 19 Organisation

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Pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être


La personnalité plus que les compétences ?

soft kills = esprit d'équipeDepuis quelques années, les caractéristiques personnelles, appelées aussi savoir-être et, de plus en plus souvent parce que ça fait bien et plus court, les soft skills ou « compétences douces ».

Même Pôle emploi s’y est mis en mettant désormais les qualités personnelles au même niveau que les compétences techniques ou savoir-faire, dans la saisie de son CV en ligne pour les demandeurs d’emploi.

Le CV classique a évolué pour faire apparaître des qualités que l’on réservait auparavant dans la lettre de motivation.

Les chargé(e)s de recrutement sont à l’affut de l’attitude de chaque candidat (e) en entretien d’embauche, pour déterminer ou vérifier sa capacité à intégrer l’équipe plus que sa capacité à effectuer le travail.

Pourquoi cela ?

Le taux d’échec d’une embauche est trop important pour être négligé par les entreprises.

D’un côté, il y a beaucoup de postulants, dont la plupart ont les compétences nécessaires pour exécuter les tâches et assumer les responsabilités d’un poste, en théorie.

De l’autre, à compétences égales, il faut choisir le ou la futur (e) collaborateur (trice) avec qui on va le mieux s’entendre. C’est-à-dire ses collègues, ses collaborateurs éventuels et sa hiérarchie.

Parmi les raisons de l’échec d’un recrutement, selon une étude américaine de Mark Murphy, les principales raisons de l’échec d’une embauche sont :

1.       26% incapacité à accepter les retours de son supérieur hiérarchique

2.       23% difficultés à comprendre et à gérer ses émotions

3.       17% manque d’ambition et d’envie d’exceller

4.       15% surestimation de la capacité personnelle nécessaire pour assumer son poste

5.       Et seulement 11% d’incompétences techniques ou de manque de connaissances

Avec de tels chiffres, il est facile de comprendre que les compétences techniques soient un seul des critères de sélection des candidats.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Recrutement : La richesse de la personnalité
Faut-il avoir peur des tests de personnalité informatisés ?
Engagement militaire : Réformé P4 ou P5, ça veut dire quoi ?

Intégration en entreprise : Plus ou moins formalisée
Nouvel emploi : Bien s’intégrer pour réussir sa période d’essai
Carrière : Cinq conseils pour booster votre carrière

Autres Emploi :

Récapitulatif 19 Emploi

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Coupez tous vos appareils électroniques


Coupez tous vos appareils électroniques

sans électricitéDrame. Catastrophe. Imaginez une coupure de courant durable qui fait qu’aucun de vos appareils électriques et électroniques ne fonctionnent.

Pire ! Des interférences bloquent vos communications téléphoniques fixes ou smartphones.

Et maintenant, travaillez !

Outre ce scénario apocalyptique, que se passerait-il si vous faites une pause, libre de tous appareils électroniques.

  • Fermez votre ordinateur,
  • éteignez votre smartphone,
  • Pas de montre ou autre objet connecté.

Le monde continuerait de tourner.

Combien de temps allez-vous tenir ? Comment allez-vous travailler ?

Il était une fois, au vingtième siècle et jusque dans le milieu des années 80, un monde sans téléphone portable, sans Internet grand public, dans lequel l’information passait par la télévision, quelques chaînes, la radio et la Presse écrite sur du papier journal.

On prenait ses rendez-vous avec un téléphone fixe. On se rendait chez son client ou son fournisseurs, son partenaire commercial, en voiture, pour apprendre que le rendez-vous était annulé.

Par contre, on faisait le trajet dans le calme et la tranquillité.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Comment structurer une entreprise ou une organisation
Les paramètres de la maturité des systèmes d’information
Évolution de l’informatique dans l’entreprise

Comment favoriser le renouvellement et le dynamisme des organisations
Principaux éléments des structures d’une organisation
Actions d’amélioration au sein d’une entreprise

Autres Organisation:

Récapitulatif 17 Organisation

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Entrevue d’embauche : Trac et patatras


Perdre ses moyens à cause du trac

nous sommes tous égauxQuand l’enjeu est important, le trac s’installe.

C’est le cas lorsque vous vous présentez à une entrevue d’embauche.

La sueur commence à perler au front, dans le cou et sur tout le corps. La vision se trouble. L’audition baisse. L’esprit se vide.
Vous oubliez ce que vous voulez dire. Vous vous sentez paralysé (e). Vous perdez vos moyens.

Le trac est une énergie. C’est une sorte de peur.

Si nos ancêtres n’avaient jamais eu peur, notre race aurait disparue depuis longtemps.
Il faut de l’énergie pour fuir le danger… ou lui faire face.

Quand le trac arrive, ce sont les premiers instants qui comptent le plus.

Préparez-vous

Il faut comprendre et se préparer :

  • un look en phase avec le poste et le style de l’entreprise,
  • arriver à l’heure ou moins de cinq minutes avant le début de l’entretien,
  • serrer la main que votre interlocuteur vous tend, fermement sans l’écraser,
  • et surtout sourire.

Juste avant d’arriver devant la porte du bâtiment où va se dérouler l’entretien d’embauche, respirez un bon coup.

Évidemment, pas de cigarette, de gomme à mâcher ni de parfum qui pourraient mettre mal à l’aise votre interlocuteur.
Votre coiffure est en ordre. Vos chaussures sont propres. Voilà le recruteur qui arrive.

Inférieur(e) ou égal(e)

Le trac vient de la peur du jugement par l’autre.

L’accumulation des échecs entretient le sentiment que cette fois-ci sera comme les autres, un échec.

Il est très facile de se dévaloriser, de croire à la malchance ou à la loi des séries.
Il est tout aussi facile de penser que l’on est très inférieur à ce juge tout puissant qui va décider de la suite de votre candidature, à défaut de votre carrière toute entière.

La peur produit un effet qui peut se traduire par le besoin de fuir. Sauf que, là la fuite signifierait l’échec garanti.

Se replacer

D’abord, physiquement

Attendez que le recruteur vous le propose pour vous assoir. Vous avez environ 1 à 5 secondes pour regarder autour de vous pendant que vous posez votre sac à main, si vous en avez un, que vous enlevez votre manteau ou votre imperméable, en hiver ou en temps de pluie.

Prenez place sur le siège, ni trop au fond, ni sur le bord. Vous devez pouvoir vous adossez sans effort.

C’est le moment de poser la question d’autorisation de prendre des notes. Question de pure forme puisque tous les recruteurs répondent oui.
Sortez alors votre bloc-notes, votre stylo ou crayon. Posez le tout sur une de vos cuisses.

Gardez le buste droit, c’est le moment de détente. Très court, certes, et pourtant primordial.

Ensuite, Mentalement

L’autre est là pour vous dire si vous correspondez à la description de ce que l’entreprise attend de vous. C’est tout.

Ce qui va être jugé, c’est l’adéquation entre ce que vous savez faire, ce que vous êtes et ce que l’employeur imagine trouver.

Être respectueux, c’est se sentir que l’on est au même niveau que l’autre.

C’est un dialogue et non un interrogatoire.
Vous avez le droit de poser des questions, même en cours d’entretien, sans attendre sa fin.

Quand vous êtes dans le feu de l’action, le trac disparait.

Vous écoutez votre interlocuteur attentivement pour garder en tête, ou/et sur papier, les informations les plus utiles à la conversation.
Vous repérez le ton et l’attitude de l’autre.

Vous même, inconsciemment ou tout à fait consciemment, vous vous faites une idée sur le recruteur.
Vous le trouvez sympathique ou antipathique. Peu importe, il faut faire avec.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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Trac : Conseils pour lutter contre
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Entretien d’embauche : Jamais les mêmes questions. Zut alors !

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Visualisez votre raisonnement pour être au plus performant


Visualisez votre raisonnement ou alors oubliez-le

Visualisez le but et le chemin

visualiser le coloriage

Un des principes de l’efficacité est de prendre quelques instants pour visualiser son raisonnement.

Imaginez le résultat que vous souhaitez obtenir. Voyez-le dans votre esprit.

Faites de même avec les différentes alternatives qui vous permettraient d’atteindre votre but.

Que ce soit par une image, un film ou un écrit, le fait de visualiser sa réflexion permet de graver dans son esprit le but, le chemin pour l’atteindre et les différentes conséquences, positives et négatives des alternatives.

Cela vous permet de choisir le moyen le plus approprié pour parvenir au résultat que vous attendez.

Ces quelques instants de réflexion, avec une image précise de ce que vous avez à faire, va vous gagner du temps et va améliorer la qualité de votre action.

C’est comme si vous étiez dans un labyrinthe et que vous réfléchissiez avant de vous lancer tête baissée dans l’action. Si vous prenez le premier chemin qui vous vient à l’esprit, il est possible qu’il soit le bon, bien qu’en général, il y ait un meilleur chemin.

Et quand on connait le chemin

À part une action répétitive, déjà issue d’une réflexion précédente, prenez le temps de vous posez des questions, de visualiser ce que vous avez à faire et vous gagnerez en efficacité.

C’est ce que font les sportifs; Par exemple, un sauteur à la perche, un skieur d’un slalom géant ou un participant à un rallye automobile, sans parler des joueurs d’échecs.

Nombreux sont les exemples dans le domaine sportif de haut niveau. Cela s’applique aussi au quotidien, au travail ou même à la maison.

Avant de se mettre à cuisiner, mieux vaut visualiser le plat à réaliser et tous les gestes qui sont nécessaire. Cela permet d’éviter d’oublier un ingrédient ou une partie de la recette.

Bon appétit, bon exercice physique et intellectuel et bon efficacité. Soyez les meilleurs dans votre domaine et vous obtiendrez satisfaction et reconnaissance.

Et quand on n’y parvient pas

Quand vous ne parvenez pas à visualiser votre raisonnement, soit il est trop abstrait, soit vos efforts se perdent dans la multitude des alternatives, alors appuyez-vous sur des méthodes de résolution de problèmes.
Ou alors oubliez tout car vous êtes un robot.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Peur de ne pas réussir : Comment réagir


Pire que le trac, la déconsidération de soi

peur de l'échecVous doutez de vous-même ?

Après une série d’échecs ou une seule rebuffade, votre moral est au plus bas.

Un dépit amoureux ou un licenciement, un cadeau raté reçu à votre anniversaire ou une réduction qui vous est passé sous le nez, une remontrance de votre chef ou un harcèlement sur Internet, etc. : il y a tellement d’occasions de se sentir oublié (e), frustré (e), décontenancé (e), rabaissé (e), au point de penser que l’on est bon à rien, malgré ses qualités et son savoir-faire.

La peur de l’échec

La peur de l’échec est un des premiers symptômes que l’on éprouve dans sa vie.

Elle apparaît dès l’école, surtout quand une leçon est mal apprise ou que l’on s’est entiché de son ou sa camarade de classe.

La peur de manquer des connaissances ou des compétences pour parvenir au résultat envisagé est au moins aussi forte que celle d’essuyer un refus et de perdre l’estime de l’autre.

Le manque de confiance en soi

Le manque de confiance en soi vient aussi des discours entendus dans sa vie professionnelle autant que dans sa vie personnelle.

Quand vos parents, vos professeurs, votre conjoint (e), vos enfants, vos chefs disent du mal de vous ou vous répètent que d’autres font mieux que vous, ou encore vous ignorent, on peut dire que cela pèse sur le moral.

Se sous-estimer

Mettez-vous la barre trop haute ?

Sans vouloir pécher par excès de zèle ou surestimer ses qualités et ses compétences, dites-vous que l’opinion des autres sur vous-même à moins d’importance que votre propre opinion sur vous-même.

C’est vous qui avez raison !

Accumulez les échecs pour progresser

Si vous ratez cette fois-ci, ce sera pour une prochaine fois.

Préparez-vous, formez-vous, renseignez-vous et quand vous pensez être prêt (e), lancez-vous.

Avoir peur de l’échec conduit à la paralysie, alors dites-vous que l’occasion fait le larron : une opportunité que l’on laisse passée vous fait éprouver des regrets.

Préférez-vous avoir des regrets ou des remords ? Ceci est une question entendue dans un entretien d’embauche.

Agir, c’est se donner le droit de se tromper. Le droit à l’erreur que l’on s’accorde, permet de rebondir sur de meilleures bases, sous réserve d’avoir compris ce qu’il aurait fallu faire.

Analyser ses erreurs

Certains échecs sont sans rapport avec vous :

Un amour non réciproque, un licenciement économique, une inondation soudaine, etc. sont autant d’exemples où l’échec est indépendant de votre volonté.

D’autres échecs sont bien les vôtres :

Ne rejetez pas systématiquement tous les malheurs qui vous arrivent sur les autres. On a vite fait de trouver des boucs-émissaires alors qu’une analyse plus objective montre que vous avez commis une erreur.

Faites la part des choses et rebondissez.

Progresser

D’autres font mieux que vous ou ont plus de chance. Et alors ? La jalousie est un sentiment négatif.
Être envieux (se) devrait vous aider à vous surpasser.

Si vous voulez parvenir à atteindre les mêmes objectifs que les plus chanceux, les plus intelligents ou les plus entreprenants, alors déterminez vos points forts et vos axes d’amélioration.

Renforcez les premiers et minimisez les seconds.

Philippe Garin

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Devise 058 : Rien ne vaut la réussite


Devise 058 des Devises de l’Acquisition des Ferengi (Star Trek)

« Rien ne vaut la réussite« 

« There is no substitute for succes »

source : Légende des Ferengi (DS9)

yes signe de réussite

Littéralement

Il n’y a pas de substitut pour le succès.

Interprétation

La réussite d’une affaire est la récompense suprême. Il faut réussir tout ce que l’on entreprend. L’échec est inenvisageable.
Seuls les succès sont à conserver et les échecs à oublier.

Pire, l’échec est interdit.

Commentaires

Le dogme de la réussite à tout prix est enseigné, dès le plus jeune âge, aux enfants.
Nous « devons » parvenir à connaître par coeur toutes les informations détaillées que l’on nous transmet, être capable de réfléchir et de trouver les réponses à tous les problèmes ou questions que l’on nous pose, être capable d’initiative, d’interprétation et de créativité.

Il « faut » être le plus grand, le plus beau, le meilleur.
Plus fort, plus loin, plus haut.

Nos efforts sont récompensés uniquement si le succès est au rendez-vous et en pure perte dans le cas contraire.

La récompense est la satisfaction de la réussite atteinte, la fierté de son environnement, l’honneur.
L’échec est le déshonneur, la perte de son statut social, de ses repères.

Et avec tout ça, si vous vous sentez stressé par l’obligation de réussite, quoi de plus « normal », n’est-ce pas ?

Philippe Garin

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Star Trek et ses dérivés sont propriétés de Paramount Pictures (CBS)

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Licenciement pour insuffisance professionnelle


L’insuffisance professionnelle est un motif de licenciement

journée Jaccede nantes en 2007Pour être considéré comme valable, le licenciement pour insuffisance professionnelle implique que  :

  1. le salarié soit responsable des faits qui lui sont reprochés
  2. les faits soient précis et vérifiables (Cass. Soc. 20 sept 2006, n°0448381) et en rapport avec le secteur d’activité

Quels sont les insuffisances professionnelles ?

Parmi les faits conduisant à un licenciement pour insuffisance professionnelle, on trouve :

L’insuffisance professionnelle n’est pas une faute

Si le manque de résultat est un motif de licenciement, il ne fait pas partie des insuffisances professionnelles, sauf s’il est la conséquence d’une mauvaise volonté et de l’absence d’actions caractérisée et vérifiable.

La procédure de licenciement est identique à un licenciement pour motif non fautif.

En conséquence, le salarié conserve ses droits :

  • l’indemnité de licenciement, pour un CDI
  • l’indemnité compensatrice de préavis,  si le salarié est concerné
  • l’indemnité compensatrice de congés payés, pour les congés encore à prendre

Source : NetPME

Philippe Garin

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Entrevue d’embauche : Parlez-moi d’une de vos erreurs


Raconter une erreur en entretien d’embauche

piège cageAïe, aïe, aïe ! Une question piège, comme il y en a tant.

Avec cette question, vous vous sentiez coincé (e). Et pourtant, vous savez que vous devez répondre, réagir, enfin. Le temps passe et le recruteur vous scrute avec attention. Comment réagir ?

Impossible d’éviter la question

Faire comme si la question n’avait pas été posée est impossible. Faire la sourde oreille ou appliquer le principe de l’autruche est irrecevable.

Répondre que vous n’avez connu aucun échec ou difficulté dans votre travail ou vos études est ridicule. Il faut répondre.
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Pourquoi pose-t-il cette question ?

Le recruteur cherche à savoir comment vous avez réagi à une situation difficile et comment vous avez rebondi.

Vos capacités d’autocritique, d’analyse et de description synthétique d’une situation sont révélées par votre réponse. Votre sens du jugement et de la réparti aussi.

Répondre par l’humour est déplacé, la question est trop sérieuse !

Le recruteur veut savoir si vous avez tiré les leçons de votre erreur pour éviter de les reproduite dans le nouveau poste.

Comment répondre ?

Choisir la « bonne » anecdote, c’est choisir celle qui permet de répondre aux objectifs du recruteur.

Il faut éviter une situation qui vous a échappé complètement.
Mieux vaut retenir et décrire une situation que vous avez trouvée difficile sans en être la cause ou, du moins, involontairement, et dont les conséquences auraient pu être graves si vous n’aviez pas été là pour trouver la solution.

Ce qui compte, c’est être crédible. Inutile de fournir beaucoup de détails. L’accent doit être mis sur votre capacité à réagir positivement, professionnellement, avec succès, de préférence seul (e) ou à votre initiative.

Vous n’en n’avez pas ? Le plus simple est de prendre à son compte une situation que vous avez vue ou que l’on vous a décrite. Sachez l’expliquer, car vous savez aussi tirer parti des expériences des autres et de leurs erreurs.

Philippe Garin

Pour réussir votre entretien d’embauche, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Défaite : Une question de point de vue


Présenter les choses est tout un art

un_pere_et_sa_fillePapa demande :

Comment s’est passé votre course ?

Julie répond :

Très bien, je suis arrivée deuxième !

Papa :

Et ta soeur ?

Julie :

Oh ! Seulement avant-dernière.

Papa :

Vous étiez combien ?

Julie :

Deux

Comme quoi, tout est une question de point de vue.

Présenter les choses objectivement et dire la vérité peut s’avérer un art,
pour peu qu’une défaite semble une victoire.

Philippe Garin

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