Les types de questions en Communication


Les 5 types de questions

J’ai six fidèles serviteurs qui dirigent toute ma vie, ils s’appellent :
qui,    quoi,    où,    quand,    comment,    pourquoi
(R. Kipling)

Rudyart Kipling

Rudyart Kipling

Questionner, c’est découvrir les besoins, la situation, les projets de son interlocuteur

QUESTIONS

EXEMPLES

EFFETS

Fermées

Alternatives :

Est-ce que… ?
Avez-vous… ?
Êtes-vous… ?

Choix multiples :

Vous payez comptant, à crédit ou en leasing ?
On se rappelle jeudi, vendredi ou la semaine prochaine ?

Informatives :

Qui est responsable de … ?
Quand avez-vous acheté… ?
Où avez-vous installé… ?

Elles sont précises, utiles.
Elles servent à obtenir une information ou à vérifier quelque chose

Peuvent être inquisitoriales si mal dosées

Ouvertes

Pourquoi ?
Pour quel raison ?
Comment ?
De quelle façon ?
De quelle manière ?
Qu’est-ce que ?
Quel ?
Que pensez-vous de ?
De quoi s’agit-il ?
Parlez-moi de… ?
Expliquez-moi, dites-moi… je vous écoute

Elles créent le dialogue.
Elles incitent à s’exprimer.

Peuvent occasionner un silence

Relais

En quoi, en quel sens ?
Sur quel plan ?
Par exemple ?
Dans quel domaine ?
C’est-à-dire ?
Ah bon ? Ah oui ? Vraiment ?

Elles servent à approfondir et à relancer en repartant d’une réponse à des questions ouvertes ou fermées

Miroir

Les conditions de financement ne sont pas celles que j’attendais.
–          Pas celles que vous attendiez ?

Elles servent à entrer dans la logique de l’autre en l’amenant à s’exprimer de son point de vue

Exigent une bonne intonation et se pratiquent à petite dose

Suggestives

Le mieux ne serait que nous démarrions le 15 de ce mois, non ?
Vous ne trouvez pas que les délais sont un peu courts ?
Ne pensez-vous pas que la concurrence va réagir vite ?
Personne ne veut rien ajouter ?

Elles visent à influencer.

La fiabilité des réponses n’est pas assurée.

L’interlocuteur peut finir par se sentir privé de son libre arbitre

Source : Pôle emploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Recrutement : Le premier contact téléphonique 
Entrevue d’embauche : 4 questions pas si anodines
Tout l’intérêt de communiquer par son image

Réussir une bonne première impression
12 conseils pour convaincre
Deuxième entretien d’embauche : Se préparer pour réussir

CLIQUEZ ICI POUR VISITER NOS ANNUAIRES DE L’EMPLOI

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai


4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai

Période tous les dangers, la période d’essai peut capoter, si vous vous y prenez mal.

Il existe de nombreux pièges où les croyances que vous avez peuvent vous desservir durant cette période que vous souhaitez réussir, c’est-à-dire aller jusque sa fin et confirmer votre embauche.

période d'essaiLa ponctualité

C’est tout bête. Soyez à l’heure, tant pour arriver sur votre lieu de travail qu’au moment des pauses ou à la fin de votre journée.

Bien sûr, il est tentant de montrer son zèle en adoptant les horaires des collègues voir celles de votre chef. Seulement, la fatigue durant la période d’essai est plus grande que la fatigue quand on a attrapé la routine.

Soyez souple aussi. Si un coup de collier est nécessaire pour une action commune, prenez alors vos responsabilités.
Si le dépassement d’horaires est la règle, à vous de voir si vous l’acceptez ou si votre intérêt est d’interrompre la période d’essai.

Prendre le rythme

Les automatismes viennent avec le temps.

prendre le rythme

prendre le rythme

Vous découvrez de nouvelles façons de faire, des logiciels, un environnement de travail. Tout cela contribue à vous prendre du temps avant d’être aussi opérationnel (le) que les collègues.

Discutez avec les autres, posez-leur des questions, demandez leur aide.
Se faire aider pour acquérir plus vite les connaissances indispensables pour devenir plus efficace.

Restez, cependant, mesuré (e), car vous risquez de ralentir le travail des autres et de trop les déranger. Profitez des moments de leurs pauses où ils sont plus au calme pour vous répondre ; si vous pouvez attendre.

Faites-vous bien voir

Le partage d’opinion et l’expression de son point de vue impliquent de connaître la situation dont il est question.

Laissez les autres lancer la conversation et participez-y en posant des questions, plutôt en donnant votre opinion, surtout si elle est en contradiction avec ce que vous entendez.

Mieux vaut faire profil bas, du moins, durant la période d’essai et ainsi éviter des conflits inutiles.

conversation entre collègues

Attendez avant les remises en question

Il est probable que vous ferez la comparaison entre votre précédent travail et le nouveau.

Si prendre l’initiative de proposer des changements est souvent bien vu de la hiérarchie, le contraire l’est tout autant. L’opposition existe déjà, elle est encore plus forte quand c’est le (la) dernier (ère) arrivé (e) qui en est le point de départ.

La remise en cause doit se faire à bon escient, avec un degré d’acceptation élevé. A vous de trouver les arguments qui touchent ou attendez la fin de votre période d’essai pour le faire.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Les 100 jours de la période d’essai réelle
Période d’essai : Les débuts comme chef de service
Malade pendant la période d’essai : Conséquence

Management : L’entretien d’intégration
Comment présenter un avantage ou un inconvénient
Premier emploi : Adaptation impérative

CLIQUEZ ICI POUR VISITER NOS ANNUAIRES DE L’EMPLOI

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

8 étapes pour s’orienter professionnellement


S’orienter professionnellement en huit étapes

Le chemin vers l’emploi passe parfois par un changement d’orientation, au début, au milieu ou à la fin de sa carrière. Jeunes diplômés, chômeurs, ou simple envie de faire autre chose.

Il est alors temps de se poser les bonnes questions pour s’orienter correctement.

A Confronter ses caractéristiques personnelles à celles du métier

Suis-je en mesure d’exercer ce métier ?

choisir un métier Yalc'had Skoazell

Choisir un métier

B Chercher de l’information sur le marché du travail et de la formation

Est-ce que je connais les débouchés ?

C Trouver des pistes de métier diversifiées

Dans quels nouveaux métiers puis-je me projeter ?

job_index

D Prioriser des pistes de métier

Quel est le métier que je préfère ?

E Expliciter son expérience, ses choix et son projet professionnel

Suis-je capable d’expliquer mon projet et d’argumenter mes choix ?

F Mettre en œuvre et adapter mon plan d’actions

Est-ce que je connais les étapes pour réaliser mon projet ?

Gestion de projet : diagramme de Gant

Gestion de projet : diagramme de Gant

G Identifier dans son environnement les soutiens à son projet

Mon entourage soutient-il mes choix ?

H Activer et élargir son réseau

Comment faire jouer mes relations ?

Source : Pôle emploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Orientation professionnelle : Les classements de métiers
Reconversion : Les étapes
Le Conseil en Évolution Professionnelle : Les 8 questions fondamentales

Les 5 types de risques dans un projet pro ou perso
Changement : Dix conseils pratiques pour en gérer la conduite
Communication : La notion de filtre dans la déperdition d’information

CLIQUEZ ICI POUR VISITER NOS ANNUAIRES DE L’EMPLOI

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Que faut-il connaître sur l’entreprise avant l’entretien d’embauche


Se renseigner sur l’entreprise pour trouver quelles infos pertinentes

Dans tout processus de recrutement, il y a au moins un entretien d’embauche.

Là, vous êtes reçu par un ou plusieurs recruteurs ; futur chef direct, son supérieur, chargé (e) de recrutement interne ou externe, …

Ils s’attendent tous à ce que vous veniez avec un minimum d’informations sur l’entreprise, dans la mesure où vous avez appris, au plus tard lors de la prise de rendez-vous.

stratégie d'entreprisePlus vous êtes motivé (e) et plus vous devrez en savoir plus sur l’entreprise.

Oui, et de quelles informations avez-vous besoin ?

1 Son secteur d’activité

Si vous voulez travailler dans la menuiserie et qu’il s’agit d’une entreprise de charpenterie, irez-vous en entretien ? Attention au secteur d’activité dans les offres d’emploi.

Mieux savoir ce que propose l’entreprise : produits, services…

2 Sa structure et son organisation

Entreprise indépendante ou appartenant à un Groupe ? Établissement unique ou multi-sites ?

Organigramme et emplacement du poste proposé dans l’organigramme.

Création de poste ou remplacement ?

Quel est son style de management ?

organigramme-type pour entreprise

3 Ses chiffres-clés

Le chiffre d’affaire, le nombre de salariés sont deux des chiffres à connaître avant de se rendre au rendez-vous de recrutement.

Plus encore, ce sont leurs évolutions qui montrent si l’entreprise progresse ou régresse.

4 Son actualité et ses projets

Certaines entreprises sont cachotières, d’autres très communicantes.

Ces deux attitudes dépendent de la bonne santé de l’entreprise et de son développement.

La vision du chef d’entreprise et les projets en cours ou à venir sont sources de motivation.

5 Le code vestimentaire et le langage métier

En face-à-face, directement ou par écrans interposés, mieux vaut savoir comment s’habiller pour que l’entretien d’embauche.

De même, le vocabulaire employé sera prépondérant pour la réussite de votre entretien.
Un langage simple face à une personne des RH, plus métier face aux futurs collègues directs.

6 Autres informations utiles

  1. Le positionnement par rapport à la concurrence
  2. La stratégie de l’entreprise, notamment la stratégie numérique
  3. Les outils, techniques et méthodes utilisés ou prévus de l’être
  4. Les distinctions et prix, les fiertés et succès des dirigeants
  5. Les dernières nominations aux postes de responsables
  6. Le parcours du recruteur qui vous reçoit

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Entretien d’embauche : Les nouvelles questions pièges liées à la pandémie
Contrôle de référence, côté recruteur
Recrutement : Attirer des candidats par la RSE

10 conseils pour réussir son entretien d’embauche par vidéo
La Reformulation : Une technique efficace
Quelques conseils avant un entretien d’embauche

CLIQUEZ ICI POUR VISITER NOS ANNUAIRES DE L’EMPLOI

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Des milliers et des milliers d’offres d’emploi via l’annuaire de ce blog


Des offres par dizaines, centaines, milliers, centaines de milliers

Quand on est à la recherche d’un emploi, de nombreuses sources d’informations existent sur la Toile.

Bien que votre propre réseau soit la principale source qui vous permette de connaître les opportunités de retrouver un emploi, il est pratique d’avoir un annuaire où des centaines de sites sont répertoriés.

Pour vous aider

Le Blog de Philippe Garin vous rend ce service avec la page Annuaires.

menu du Blog de Philippe Garin avec annuairesTrouvez l’offre qui vous convient parmi le millier de sites qui proposent des offres d’emploi.

La restructuration de ce blog se poursuit.

Vous y trouvez la page Annuaires qui regroupe trois annuaires :

  • Des entreprises qui proposent des offres d’emploi pour leurs propres besoins
  • Des sites d’offres d’emploi, de stages, de missions, de provenance diverses : Jobs boards généralistes ou spécialisés, Presse, Sites institutionnels, Cabinets de recrutement, etc.
  • Des sites d’informations sur l’Emploi ou la formation

Aidez-vous et les autres

Les sites évoluent sans cesse.Les URL changent

Les organisations changent. Des entreprises apparaissent ou disparaissent, ou créent de nouveaux sites, notamment spécifiques à leur recrutement.

Il est important de conserver des annuaires constamment à jour, avec des liens toujours « vivants ».

me contacter

Votre collaboration est indispensable pour maintenir ces annuaires et signaler d’éventuelles anomalies.

De même, vos propositions de sites d’emploi ou d’informations sur l’emploi sont les bienvenues.

Merci d’avance
Contactez-moi : phgarin@gmail.com

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour en (s)avoir plus :

En complément :

Recherche d’emploi efficace 1/2 : Bien se préparer
Chercher une offre d’emploi avec Google
Se renseigner pour une candidature spontanée

Recherche d’emploi : Méthodes classiques et nouvelles
Recrutement : Palmarès des moyens les plus utilisés par les employeurs
Emploi : Internet pour se renseigner sur l’entreprise, mode d’emploi

LES ANNUAIRES DE L’EMPLOI

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

La Reformulation : Une technique efficace


Tout l’intérêt de reformuler

La reformulation est une technique qui consiste à répéter les propos de votre interlocuteur qui s’assure ainsi d’avoir bien transmis son message.

C’est une sorte de feedback, du point de vue de celui qui reçoit le message verbal.

C’est une technique douce qui se combine avec l’écoute passive.

technique de reformulation

Le point commun avec l’écoute active est que votre attention est centrée sur la personne qui vous parle.
La différence vient que vous gardez vos opinions et vos idées pour vous, car le seul intérêt de la reformulation est de faire comprendre à l’émetteur du message que son message est parvenu avec un minimum de pertes de l’information.

La personne doit être mise en confiance. Elle doit avoir l’impression de bienveillance et de compréhension sans jugement de la part de celles et ceux qui l’écoute.

La personne qui parle est la plus vulnérable.
La (les) personne (s) qui reformulent est (sont) une (des) personne (s) de confiance.

Comment reformuler

La reformulation consiste à répéter ce qui a été entendu, comme une sorte d’écho, avec la possibilité d’utiliser un autre vocabulaire pour synthétiser, simplifier ou pour montrer sa compréhension.

Les expressions les plus utilisées sont :

  • « Ainsi selon vous … »
  • « Vous voulez dire … »
  • « En d’autres termes … »
  • « À votre avis donc … »
  • « … C’est bien ça ? »
  • « … J’ai bien compris ? »

La reformulation permet aussi à l’émetteur du message de prendre conscience du message qu’il vient de transmettre.

Le dialogue reprend, souvent avec plus de clarté, sans que celui ou celle qui reformule n’ait donné l’impression d’être un (e) inquisiteur (trice), puisque l’interrogatoire est non invasif.

La reformulation permet alors d’éviter l’interprétation et d’aider l’autre à structurer son discours.
Et aussi, à faire ressortir ses sentiments avant de devenir plus objectif (ve).

Pour reformuler correctement, il faut avoir de l’écoute et être bienveillant (e), et aussi avoir, en même temps, du recul et de l’empathie.

Dans la vie privée

Ceux qui utilisent le plus la reformulation sont les personnes à l’écoute des autres.

Fort de ce principe, tout le monde peut utiliser cette technique. Quelques exemples :

  • Un policier ou une assistante sociale face à une femme battue par son compagnon
  • Un parent face à son enfant, dans des moments où ce dernier se sent mal dans sa peau, par exemple à l’adolescence
  • Un (e) ami (e) qui cherche à consoler face à un chagrin d’amour ou autre événement triste.
  • etc.

Dans le monde professionnel aussi

Le manager à l’écoute de ses collaborateurs utilise la reformulation pour s’assurer des propos qui lui sont rapportés.

Cela l’aide à comprendre les circonstances et les actions.
Il peut ainsi plus facilement définir des mesures correctives, donner des instructions plus adaptées, et même recadrer une personne.

En entretien d’embauche, quand le (la) candidat (e) est tellement stressé (e) ou timide, que l’enjeu empêche de s’exprimer, le recruteur reformule pour mettre en confiance tout en s’assurant d’avoir bien compris.

L’absence de jugement permet alors de construire un dialogue de meilleur niveau.

Philippe Garin, plus de 20 de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :

En complément :

Les 4 registres de la Communication interpersonnelle
Entendre n’est pas comprendre
Communication : La notion de filtre dans la déperdition d’information

Les sons ou phonèmes français en langage phonétique
CNV Communication Non Violente : Les 4 étapes de l’OSBD
Techniques d’animation : Comment redonner confiance en soi

Autres Communication :

Récapitulatif 20 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Définir son projet : Un plan d’actions


Comment définir son nouveau projet professionnel

Au chômage, avec de l’expérience, senior ou pas, il arrive un moment dans la vie où vous vous posez des questions sur votre avenir professionnel.

Certains appellent cela la crise de la quarantaine ou, maintenant, la crise de la cinquantaine, puisque nos carrières sont plus longues désormais.

mûrir son projet

En panne d’idées ou manque d’une méthode pour définir son projet ?
En voici :

Avoir et laisser mûrir son projet

Il faut du temps pour mûrir ses idées et plus encore pour en avoir.
Quand on est en réflexion sur la suite de sa carrière, il faut :

  • se poser les bonnes questions,
  • faire un bilan de ce qu’on a fait jusque là, pour
    • se rappeler les bons moments,
    • ceux qui ont fourni de l’énergie,
    • qui ont fait plaisir,
    • où vous vous êtes éclaté (e) dans votre travail

Actions, projets, rencontres

Ce sont souvent des moments courts, parfois de longs moments pendant lesquels vous vous êtes senti (e) bien, très bien même.

Un bilan de compétences est idéal pour se pencher sur ces sujets.
Il permet de se remettre en mémoire ces moments, ces actions en décrivant les circonstances, ainsi que d’en tirer certaines conclusions comme le ressenti, « j’aime, je n’aime pas », ou les compétences acquises.

Quand on a fait le tour de son métier, il est normal de se pencher sur d’autres horizons.

C’est là qu’interviennent les passions, les envies et les refus, les centres d’intérêts.
Tout cela contribue aussi à définir ce qui vous donne la pêche et vous donne envie d’aller voir.

Il est rare que les loisirs ou passe-temps soient suffisants pour en faire une nouvelle carrière.
Par contre, ils permettent de retrouver les moments de plaisir et ainsi ce qui vous boostent.

De même, les moments extraprofessionnels influencent sur les moments de plaisir professionnels.

Un métier qui plait

L’idéal est de s’orienter vers un métier qui vous plait, vers des activités qui donnent du plaisir.

Hélas, la réalité nous rattrape souvent au porte-monnaie, c’est alors que vous acceptez des postes qui donnent peu de satisfaction en dehors de la paye. Et encore !

Il faut profiter de cette période délicate du chômage, et plus encore du confinement (covid-19), pour se lancer dans la prospective professionnelle.

  1. Pourquoi certains postes/secteurs d’activité m’attirent plus que d’autres ?
  2. Quel est le marché de l’emploi pour ces postes ?
  3. Quels sont mes critères de sélection : salaire, intérêt du travail, lieu, secteur géographique, secteur d’activité, valeurs … ?
  4. Quelles sont mes contraintes : maison, famille, dettes, permis de conduire, … ?

Rester cohérent (e)

Il existe de nombreuses méthodes pour définir vers quoi se diriger pour la suite de sa carrière.
Néanmoins, il est être cohérent.

Il est très difficile de jeter à la poubelle tout son passé.
Il y a toujours quelques choses qui restent et qui va servir encore.

De même, parmi tout ce qui reste, il est rare de retrouver tout ce que l’on sait, que l’on a fait, que l’on a envie de faire, dans son prochain emploi.

Les compétences acquises seront utilisées en partie pour certaines, en totalité pour d’autres, et pas du tout pour les dernières.

C’est pourquoi :

  1. Quand on reste dans la droite ligne de ses anciens postes, ce sont les savoir-faire qui priment.
  2. Quand on se lance dans une évolution, c’est-à-dire des métiers proches, ce sont les savoirs et comportements (soft skills) qui sont dans ses bagages.
  3. Quand on prévoit une reconversion, ce sont les savoir-être qui dominent.

Plan d’actions

Ces trois orientations : Poursuite, évolution et reconversion, demandent une adaptation à l’entreprise, l’acquisition plus ou moins importante de nouveaux savoirs et savoir-faire, selon le cas.

Avec ces quelques lignes directrices, mettez en place un plan d’actions pour aboutir à un résultat qui vous convient.

  1. De quelles informations avez-vous besoin avant de prendre une décision sur la suite de votre carrière ?
  2. Comment obtenir ses informations ?

Voilà les deux questions pour vous permettre de définir ce plan d’actions.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Reconversion : Motivation et décision, le mode d’emploi
Stagnation dans sa recherche d’emploi : se remettre en question
Prendre du recul : Une évolution positive

Créativité : Le pouvoir du « Ou bien »
Réflexions pour une orientation professionnelle
Changer d’emploi pour un revenu inférieur ?

Autres Emploi :

Récapitulatif 20 Emploi

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Mieux travailler en équipe ou Introduction au TMS Team Management System


Les préférences dans le travail

margerison et mc'cannFin des années 80, Charles Margerison et Dick McCann ont étudié le comportement des équipes dirigeantes d’entreprises équivalentes entre elles, aux États-Unis.

Ce fut le point de départ d’un système d’analyse des comportements au sein d’une équipe qu’ils ont nommé TMS pour Team Management System.

Le TMS a consisté à identifier les tâches-clés qui doivent être réparties au sein d’une équipe pour que celle-ci devienne performante.

Les fonctions-clés dans une équipe

Ce modèle identifie 9 fonctions-clés qui sont communes à toutes les équipes, quel que soit le contenu de leurs activités :

  1. Conseiller
  2. Innover
  3. Promouvoir
  4. Développer
  5. Organiser
  6. Produire
  7. Inspecter
  8. Maintenir
  9. Coordonner

L’Index TMS

Dans un lieu de travail, il y a quatre questions fondamentales qui sont au cœur de la gestion des différences. Celles-ci sont les suivantes :

  • Quels sont les types de relations que les gens préfèrent établir ?
  • Comment les gens préfèrent-ils recueillir et utiliser l’information ?
  • Comment les gens préfèrent-ils prendre leurs décisions ?
  • Comment les gens préfèrent-ils s’organiser et organiser les autres ?

Ces quatre questions fondamentales révèlent des préférences dans le travail.

  1. Dans une relation interpersonnelle, nous sommes extravertis ou introvertis.
  2. Nous préférons être créatifs ou pratiques dans la recherche et l’utilisation d’informations.
  3. Nous sommes très analytiques ou nous prenons nos décisions sur des convictions
  4. Nous avons une organisation flexible ou structurée.

La Roue TMS

La Roue TMSParmi les membres d’une équipe qui fonctionne bien, certains se ressemblent et d’autres ont des comportements opposés.

Dans les équipes avec des résultats moins bons, tout le monde se ressemble.
Le principe du clone ou « je ne veux voir qu’une seule tête » produit une bonne ambiance et de mauvaises performances. C’est raté.

Les antagonismes provoquent souvent des heurts, des frictions, des jugements négatifs.
Ils provoquent aussi, avec une prise de conscience de ses préférences au travail et de celles des autres, une meilleure écoute les uns des autres, un rendement meilleur.

Les résultats obtenus à partir de l’index TMS désignent le secteur de la Roue qui représente la préférence majeure d’une personne et deux autres secteurs qui représentent ses rôles connexes ou de « soutien ».

Ainsi, par exemple, quelqu’un peut exprimer sa préférence majeure pour le secteur Créateur-Innovateur avec des rôles connexes dans les secteurs Propulseur-Organisateur et Finaliseur-Producteur, ou encore se montrer Contrôleur-Inspecteur avec des rôles connexes Finaliseur-Producteur et Supporteur-Mainteneur.

Les équipes qui « marchent » sont celles qui recouvrent toute la Roue et qui acceptent le point de vue des autres.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Manager une équipe, c’est en être le coordinateur
Productivité : Demandez à votre Némésis : La compétition motive
Réussir Accueil et Intégration du nouvel embauché

Le MBTI pour mieux se décrire en quelques mots
Se connaître, trouver son mode de fonctionnement
Comment reconnaître mon propre comportement de fuite au travail

Autres Organisation et Management :

Récapitulatif 19 Organisation
Récapitulatif 19 Management

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Communication : La notion de filtre dans la déperdition d’information


Un filtre ? C’est quoi ?

La notion de filtre dans la communication et dans la perte d’information lors d’une transmission d’une personne à une autre, est une vue de l’esprit.

C’est un moyen de faire comprendre que nos sens, principalement l’ouïe et la vue sont des capteurs d’informations et que l’organe principal est le cerveau.

La restitution des informations transmise, appelée aussi feedback ou souvenir, utilise les sens de la parole et du toucher (quand on tape sur un clavier, par exemple ou quand on dessine). Là encore l’organe principal est le cerveau.

information filtrée

Compte tenu de ce constat, et en attendant des questions précises, je vous recommande la lecture de mes articles suivants :

La déperdition d’information

Déperdition de l’information : Pourquoi
Communication : convention et référentiel commun indispensables
Schéma de la déperdition de l’information

Dans ces 3 premiers articles, vous trouverez des explications sur le phénomène.

Il y a perte d’information, par exemple, quand l’un des filtres, celui des conventions s’applique avec des conventions différentes, par exemple lors d’une traduction le même mot peut supporter une idée qui est compris différemment par son interlocuteur, tant à l’oral qu’à l’écrit.
Des quiproquos peuvent en être la conséquence.

Exemple : « les fils de la dentelière ». S’agit de laine ou de coton, ou des frères de ses filles ?

Diminuer la perte d’information

La langue française est difficile parce que pour la comprendre, il faut connaître le contexte. Donc, plus il y a de mots et mieux on comprend. Mais, s’il y a trop de mots alors on ne comprend plus ou pas bien.

Il s’agit principalement de mémoire et d’attention.

Le feedback, un moyen de tester la réalité
6 Facteurs de diminution de la déperdition d’un message
L’écoute active : mode d’emploi

Renforcer la transmission

Ces trois derniers articles contiennent aussi des indications pour renforcer l’échange par la concentration et des techniques d’écoute et d’émission du message.

Les généralisations et les règles pour mieux se faire comprendre
Une information précise est proche de l’expérience sensorielle
La communication non verbale : le message total

Dans chacun de mes articles, vous trouverez des liens vers d’autres articles.
Faites votre moisson d’informations.

Si vous avez encore des questions, n’hésitez pas à m’en faire part pour approfondir un point ou un autre.

Philippe Garin, plus de 20 de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :

En complément :

Pourquoi le français est une langue difficile pour les étrangers
Entendre n’est pas comprendre
Compétences numériques : Le traitement de l’information

Les sons ou phonèmes français en langage phonétique
CNV Communication Non Violente : Les 4 étapes de l’OSBD
La voix pour bien communiquer en entretien d’embauche et ailleurs

Autres Communication :

Récapitulatif 19 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

À quoi sert une réunion de travail


Réunion de travail : Définition et objectif

Sommaire :

À quoi sert une réunion de travail

Bien préparer une réunion de travail

Réussir l’animation d’une réunion de travail

Le rapport ou compte-rendu de réunion

Dans toute organisation, les réunions sont un pilier du bon fonctionnement, en plus d’être inévitable.

à quoi sert une réunion de travail

Il y a les réunions obligatoires, individuelles ou collectives, définies par la loi, telles que la réunion de seconde partie de carrière ou les négociations entre les représentants du patronat et représentants des salariés.

Les échanges d’informations peuvent prendre différentes formes et passer par différents canaux.
Cependant, la réunion à plusieurs permet, de raccourcir les échanges par un contact direct entre les participants.

Le déroulement d’une réunion dépend beaucoup de la culture d’entreprise et de la culture du pays.

C’est ainsi que le mode de fonctionnement « à la française » est incompréhensible pour un anglo-saxon, sans, pour autant, que la productivité en soit diminué, bien que :

Les participants se coupent la parole ou la prennent sans prévenir,

  • Les heures prévues de début, avec un quart d’heure de retard minimum, et de fin, qui s’éternise,
  • Des discussions sans aucune décision n’aient été prises,
  • Certains s’endorment ou presque pendant que d’autres parlent,
  • Etc.

À quoi sert une réunion ?

La réunionite !

La fameuse réunionite est une réunion régulière, fixée à l’avance, sans objectif particulier et qui donne l’impression aux participants de perdre leur temps.

C’est pourquoi, pour être efficace, une réunion de travail doit répondre aux questions suivantes :

  • Cette forme d’échanges d’informations est-elle utile ?
  • Quel est l’objectif ou quels sont les résultats attendus à l’issue de la réunion ?
  • Qui doit y assister et pourquoi ?

Un réunion qui consiste à recueillir les compte-rendus de ses collaborateurs n’est pas une réunion de travail.
C’est une réunion d’informations où le responsable souhaite que chaque participant sache où en sont rendus les autres dans leur travail.

Si ces informations sont utiles d’être partagées à plusieurs, alors une réunion est organisée, sinon il s’agit d’un échange entre le responsable et chacune des autres personnes qui lui fait un rapport sur son activité.

D’autres canaux d’échanges peuvent être utilisés en dehors d’une réunion de travail, par exemple le téléphone ou la messagerie interne

L’objectif d’une réunion

Sans objectif, une réunion est inutile. Elle s’apparente alors un moment de pause où les participants s’échangent des informations pour rien.

Une réunion sert pour :

  • Transmettre un message, sans débat, par exemple pour informer le personnel d’une décision de la Direction
  • Faire le point sur un projet en cours
  • Chercher et trouver une solution à un problème, un conflit, un dysfonctionnement, etc.
  • Créer de nouveaux services ou produits
  • Prendre une décision en demandant l’avis de tous les participants
  • Former les participants

C’est à l’organisateur de la réunion d’indiquer le but de la réunion et le résultat attendu.

Il indiquera aussi quels seront les participants, et fixera le moment et la durée de la réunion, ainsi que les moyens matériels utiles pour son bon déroulement.

Lorsque c’est nécessaire, il fournira aux participants des indications sur le rôle de chaque participant ainsi que l’ordre des interventions.

Ainsi avertis, les participants pourront préparer leurs interventions.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Le matin, dessinez une carte des actions à mener
Open space : Des solutions humaines
Management participatif : Votre but principal

Faute du recruteur : 4. Organiser un entretien improvisé à plusieurs
Je confie les tâches à bon escient
Actions d’amélioration au sein d’une entreprise

Autres Organisations :

Récapitulatif 19 Organisation

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Le MBTI pour mieux se décrire en quelques mots


Un test pour décrire son mode de fonctionnement

C’est important pour son orientation professionnelle et sa carrière.

Lire l’article précédent pour comprendre pour c’est aussi important pour soi.

Par principe, vous serez plus heureux (se) et efficace si votre orientation, votre métier est en adéquation avec votre mode de fonctionnement.

Le MBTI, Myers Briggs Type Indicator, permet de se décrire en quatre mots, ou encore en quatre lettres.

Bien sûr, chacun de nous a un mode de fonctionnement qui est une combinaison de toutes les lettres, même si nos tendances naturelles sont représentées pas 4 d’entre elles, d’après ce test.

Il est rare que le sentiment soit absent d’une décision après l’avoir analyser, par exemple. Ou encore, de jeter tous ces catalogues de fournitures et de listes de prix, péniblement rassemblés, pour décider sur un coup de cœur.

Les mots-clé de la personnalité

Les huit préférences du MBTI sont issues des réponses aux questions aux grandes questions suivantes :

1. Par quoi êtes-vous le plus attiré ?

Extraversion (E) : par le monde extérieur

Introversion (I) : par le monde intérieur

2. À quoi vous attachez-vous pour recueillir de l’information ?

Sensation (S) : aux faits, au concret

Intuition (N) : aux nouvelles possibilités

3. Comment prenez-vous vos décisions ?

Pensée analytique (T, Think en anglais) : de façon logique et rationnelle

Sentiment (F, Feel en anglais) selon vos valeurs personnelles

4. Quel est votre mode de vie idéal ?

Jugement (J) : organisé, voire routinier

Perception (P) : souple, adaptable

Combinaisons

Avec toutes les combinaisons possibles votre profil s’adaptera facilement, ou non, aux études que vous allez poursuivre et au travail que vous allez exercer.

Alors , choisissez bien !

MBTI est une marque déposée de OPP

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être ?
Offre d’emploi : Les exigences et les souhaits dans les annonces
Prise de décision : Comment est-elle prise ?

Qualités personnelles recherchées ou points forts pour un recrutement
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche
Réorientation, reconversion : Faites ce que vous aimez ?

Autres Bien-être et Communication :

Récapitulatif 19 Bien-être
Récapitulatif 19 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Se connaître, trouver son mode de fonctionnement


Connaître son mode de fonctionnement pour soi

son mode de fonctionnement personnelC’est également important pour son orientation professionnelle.

Tourné (e) vers

Difficile de penser qu’un comptable puisse être un extraverti.
Et pourtant cela existe.

Sera-t-il plus heureux dans son travail ?
Il y a peu de chance que ce soit le cas, car cela va à l’encontre de cette tendance naturelle d’aller vers les autres.

S’informe

La décision de prendre telle ou telle orientation dans ses études ou sa carrière est également conditionnée par la quantité d’informations nécessaires pour prendre la décision qui vous convient.

Certains ont besoin de beaucoup d’informations et passent un temps important à se renseigner avant de se lancer ou d’éviter de se lancer.

C’est le cas inverse pour les aventuriers, les découvreurs.
Ils partent en vacances avec un objectif : découvrir une région, une ville sans se préoccuper davantage des conditions de vie sur place.
Alors que les premiers vont passer un mois pour aller dans un endroit qu’ils connaissent déjà pour éviter toutes surprises, les mauvaises principalement.

Chacun son truc pour se sentir bien dans la vie, comme au travail !

Décide

Décider est aussi une question de sensation et d’intuition.

La sensation est physique et l’intuition est intellectuelle.

Nombreux sont ceux qui « sentent » concrètement qu’ils sont faits pour suivre la voie de droite, que de nombreux indices ou très peu soient présents, alors les autres n’ont aucune idée de ce à quoi ils vont avoir affaire, mais qui se décident pour suivre la voie de gauche, quand même, parce qu’ils ont l’intuition qu’ils vont apprendre de ce choix.

Action

Après le recueil d’information et la prise de décision, il faut se lancer dans l’action.
Vous agissez après analyse de la situation, donc après l’avoir jugée, ou vous agissez selon vos sentiments, donc d’après ce que votre cœur vous dicte.

Se découvrir

Dans les relations de travail, et dans les entretiens d’embauches, il est question de faire passer des tests de personnalité.
Le MBTI est l’un de ceux-là.

Bien que sa fiabilité soit subjective, puisque passer le test à plusieurs semaines d’intervalle peut produire des résultats différents, il est utilisé car il s’appuie sur des préférences, donc sur la personnalité.

Il s’agit d’une série de questions dont les réponses indiquent les tendances psychologiques de votre personnalité.

Lire la suite dans ce second article

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

La pyramide de Maslow
PNL : Découvrez votre dominante par ce test
Voyez-vous bien les couleurs ? Le test de Diana Derval

Points faibles Points forts : Les connaître, pourquoi ?
Connaître ses limites face à un recruteur en entretien d’embauche
Harmonisation des objectifs professionnels et privés

Autres Bien-être et Communication :

Récapitulatif 19 Bien-être
Récapitulatif 19 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Recrutement : De nouveaux métiers recrutent


De nouveaux métiers en plein recrutement

Hydrolienne nouveau métier écologie énergie environnement

Hydrolienne

De nouveaux métiers voient le jour, notamment dans le numérique et dans le juridique.
Le premier domaine à cause de spécialisations des métiers sur Internet, le second car le nombre de lois et de règlements augmente très fortement chaque année.

L’évolution de l’économie créée aussi de nouveaux métiers dans l’économie sociale et solidaire ou les métiers « verts » de l’écologie et de l’environnement.

L’évolution de la société en général est aussi génératrice de nouveaux métiers, par exemple dans la cybersécurité.

Même d’anciens métiers évoluent grâce l’usage de nouveaux canaux d’informations pour la communication, le journalisme, ou les outils et objets connectés pour le recrutement, l’agriculture, le bâtiment.

Vous cherchez des pistes, des liens vers des sites d’emploi, je vous en propose plus de mille dans mon site :
http://www.boosteremploi.com/des-sites-d-emploi/

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Lettre de motivation : Sa structure la plus classique
Internet-signalement.gouv.fr : Mode d’emploi en images
Nouvel emploi : A chacun son intégration

Créer son propre emploi : oui, non, peut-être
Emploi : 14 pistes pour trouver un emploi en ligne
Emploi des seniors : Et pourtant, ils sont si bons !

Autres Emploi :

Récapitulatif 18 Emploi

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Devise 074 : Connaissance égale profit


Devise 074 des Devises de l’Acquisition des Ferengi (Star Trek)

« Connaissance égale profit« 

« Knowledge equals profit »

source : L’imposteur (Inside Man) (TOS, The original serie)

Littéralementmode de Platon de la connaissance

Connaissance égale profit

Interprétation

Les Ferengi sont toujours à la recherche du profit. Il leur faut donc acquérir des informations qui leur permettent d’accéder aux richesses.

Comme ce sont de grands voyageurs à bord de leurs navires spatiaux, ils passent une partir de leur formation à connaître le fonctionnement des techniques du transport.

Leur principale force vient de la connaissances des devises de l’acquisition qu’ils appliquent à la lettre, souvent au détriment d’autres espèces ou d’autres Ferengi.

Leurs constitution physique avec leurs grandes oreilles leur permet d’entendre les propos d’autres personnes et de rassembler des informations qui vont les conduire à des affaires les plus lucratives.

Commentaires

Plus généralement la connaissance est l’enregistrement d’informations, leur compréhension, de telle façon que le cerveau puisse les comparer les assembler et en tirer des conclusions pour des actions à mener.

L’objectif de ces actions est d’acquérir des profits. Plus la quantité d’informations est importante, plus elles renforcent les connaissances et donc les actions qui mènent au profit.

C’est une chaîne de l’acquisition d’informations jusqu’au résultat attendu.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Star Trek et ses dérivés sont propriétés de Paramount Pictures (CBS)

Pour en savoir plus :


En complément :

Devise 065 : Gagner ou perdre, il y a toujours du cafard huyperien à priser
Devise 075 : Ta maison est là où est ton cœur, mais les étoiles sont faites en or

Emploi des seniors : Et pourtant, ils sont si bons
Connaître plus que sa langue maternelle
IST MST : Signes, Risques, Complications

Mon futur patron demande mon casier judiciaire : Droit et contenu
Entretien d’embauche : L’antisèche est recommandée
Le Compte d’Engagement Citoyen ou CEC : C’est quoi

Autres Science-Fiction :

Récapitulatif 18 Science-Fiction

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

6 Facteurs de diminution de la déperdition d’un message


Plusieurs facteurs minimisent la déperdition d’un message

Imaginez deux personnes qui discutent. L’une raconte une histoire personnelle à l’autre, avec beaucoup de détails et de précision, durant une heure, sans prise de notes.

Comment la seconde personne va-t-elle rapporter ce qu’elle a entendu par écrit avec suffisamment de fidélité au récit initial ?

discussion à deuxLà, commence la mémoire à fonctionner d’une manière sélective.
Certains facteurs entrent alors en jeu pour permettre un rapport plus précis en diminuant la déperdition de l’information ordinaire.

1. L’attention

Il parait évident que plus la seconde personne va prêter attention à ce que dit la première, plus elle retiendra d’informations dans sa mémoire.

La concentration sur les paroles attendues augmentera la mémoire.

2. Le savoir

Le savoir du passé, que l’on appelle aussi connaissance, est un facteur qui favorise la mémoire.

Si les deux personnes se connaissent bien, la seconde a, peut-être, des connaissances sur le passé de la première, ce qui lui permettre de rapporter plus tard des circonstances ou des éléments qui ont été répétés durant cette conversation.

De plus, si la seconde personne a elle=même, des connaissances sur le sujet raconter, elle sera susceptible de retenir plus d’informations que si elle découvrait le sujet pour la première fois.

3. L’objectif ou intérêt

Savoir que l’on va avoir un résumé à rédiger, ou, plus généralement, que l’on va avoir à rapporter des paroles que l’on a attendu, favorise la mémoire.

Si l’enjeu du rapport est en lien direct avec un objectif important pour la deuxième personne, elle retiendra plus d’informations.

4. Le réflexe professionnel

Il y a le facteur appelé un mécanisme professionnel.

En effet, certaines professions sollicitent la mémoire, à titre professionnel, ce qui l’active plus que pour d’autres professions. Exemples : forces de l’ordre, journalistes, comédiens, ou … élève, etc.

5. Le talent oratoire

La première personne a un talent oratoire plus ou moins développé qui va retenir, plus ou moins, l »intérêt de son auditoire.

Par exemple, une histoire dramatique, effrayante ou cocasse sera plus facilement retenue qu’une histoire banale du quotidien.

6. Le non-verbal et l’ancrage

Encore un autre facteur, les autres sens que l’ouïe. Une association peut se faire entre un son ou une odeur et l’histoire entendue.

Par exemple, si l’histoire racontée l’a été autour d’une tasse de thé avec un gâteau forêt-noire dans le salon à la décoration à grosses fleurs sur la tapisserie, au milieu de meubles de style normand avec une pendule qui a marqué seize heures par 4 coups de gong et son tic-tac, il se passe alors un phénomène d’ancrage.

Se retrouver dans des conditions similaires et la mémoire revient d’un seul coup grâce à ces stimuli avec plus de détails que sans ancrage.

La combinaison de plusieurs facteurs

La combinaison de deux facteurs ou plus parmi ceux cités augmente le pourcentage d’informations retenues dans la mémoire ou, plus précisément, va les faire revenir plus facilement dans la mémoire consciente au moment de rédiger un rapport du récit entendu.

La déperdition de l’information sera fortement diminuée.

Merci à ma lectrice, qui a inspiré cet article.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Déperdition de l’information : Pourquoi
La communication non verbale : Le message total
Convention et référentiel commun indispensables

Congruent Définition Communication verbale et non verbale
Compréhension dans la communication
La quantité d’informations transmises par un message

Autres Communication :

Récapitulatif 17 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter