Compétences numériques : La Communication


Compétences : Communication numérique

QR code pour mieux communiquerTraiter l’information et créer du contenu numérique sont deux compétences numériques définies dans le CV européen.

Cette troisième compétence concerne la capacité à communiquer en utilisant tous les outils que nous avons à notre disposition.

Voici une grille pour découvrir comment vous vous en sortez.

Utilisateur élémentaire

  • Je peux communiquer avec les autres par téléphone portable, voix sur IP (Skype, etc.), courriel ou bavardage en ligne – en utilisant les fonctions de base (messagerie vocale, SMS, envoi et réception de courriels, échange de textes, etc.).
  • Je peux partager des fichiers ou du contenu à l’aide d’outils simples.
  • Je sais que je peux utiliser les technologies numériques pour interagir avec des services (services publics, banques, hôpitaux, etc.).
  • Je sais qu’il existe des sites de réseautage social et des outils de collaboration en ligne.
  • Je sais que lors de l’utilisation des outils numériques, certaines règles de communication doivent être respectées (par ex. lorsqu’on poste un commentaire ou que l’on partage des informations personnelles).

Utilisateur indépendant

  • Je peux utiliser certaines fonctions complexes de plusieurs outils de communication (utiliser la voix sur IP et partager des fichiers, etc.).
  • Je peux utiliser les outils de collaboration et intervenir par ex. sur des documents ou fichiers partagés créés par quelqu’un d’autre.
  • Je peux utiliser certaines fonctions des services en ligne (par ex. services en ligne administratifs, bancaires ou commerciaux).
  • Je transmets ou partage des connaissances en ligne avec d’autres personnes (en utilisant les outils de réseautage social ou les communautés en ligne, etc.).
  • Je sais qu’il existe des règles de communication en ligne (« nétiquette ») et je les applique.

Utilisateur expérimenté

  • J’utilise activement une large gamme d’outils de communication (courriel, bavardage en ligne, SMS, messagerie instantanée, blogs, micro-blogs, réseaux sociaux) pour communiquer en ligne.
  • Je peux créer et gérer du contenu à l’aide d’outils de collaboration (par ex. agenda électronique, système de gestion de projet, correction en ligne, feuilles de calcul en ligne).
  • Je participe activement aux espaces en ligne et j’utilise plusieurs services (services en ligne administratifs, bancaires ou commerciaux, etc.).
  • Je peux utiliser des fonctions avancées des outils de communication (vidéoconférence, partage de données, partage d’application, etc.).

Source : Europass

Les niveaux de compétences des 5 domaines du numérique :

  1. Traitement de l’information
  2. Création de contenu
  3. Communication
  4. Résolution de problème
  5. Sécurité

Pour vous aider à autoévaluer votre propre niveau, cliquer sur les liens pour accéder aux grilles

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :


En complément :

Canular : Les dangers de la rumeur sur Internet
Astuces pour vos mails soient lus
Cybersquatting et typosquatting : Définitions

Votre e-réputation sur le Web 2.0
La Communication externe : Moyens et Diffusion
Emploi : Avoir un beau profil sur les réseaux sociaux

Autres Communication, Emploi et Informatique :

Récapitulatif 16 Communication
Récapitulatif 16 Emploi
Récapitulatif 16 Informatique

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Échelle d’évaluation pour Aptitudes et comportements 5


Échelle d’évaluation pour Aptitudes et comportements 5

Développement des subordonnés et Collaboration

Échelle d’évaluation pour Aptitudes et comportements 5

Sommaire :

Échelle d’évaluation 1/7 pour Aptitudes et comportements
Échelle d’évaluation 2/7 pour Aptitudes et comportements
Échelle d’évaluation 3/7 pour Aptitudes et comportements

Échelle d’évaluation 4/7 pour Aptitudes et comportements
Échelle d’évaluation 6/7 pour Aptitudes et comportements
Échelle d’évaluation 7/7 pour Aptitudes et comportements
.

FACTEURS

9. Développement des subordonnés

10. Collaboration

DÉFINITIONS

Capacité d’évaluer, de former ou d’améliorer ses subordonnés L’harmonie et la facilité dans les relations de travail. Esprit d’équipe.

Tact

 

A

Très bon juge, entraîne et développe systématiquement Une harmonie parfaite, un excellent esprit d’équipe

B

Bon juge et intéressé par le développement des subordonnés Fonctionne bien avec tout le monde, les relations sont toujours bonnes

C

Assez bon juge. Fait un effort pour développer les subordonnés En général coopère. De temps en temps les relations sont difficiles

D

Médiocre juge, fait peu d’efforts pour développer ses subordonnés Mauvais coopérateur, non obstructif, relations souvent difficiles à obtenir avec lui

E

Piètre juge. N’est pas intéressé par le développement des subordonnés

 

Ne coopère pas. Relations difficiles et désagréables

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Nouvel emploi : Accueil et intégration
Livret d’entretiens avec un nouveau collaborateur
Mener un entretien d’évaluation d’un collaborateur

Critiquer sans blesser : Mode d’emploi
Déléguer au travail : Entre craintes et promotions
Prime sur objectif : Mode d’emploi et jurisprudence

Autres Management :

Récapitulatif 1-1 Management
Récapitulatif 1-2 Management
Récapitulatif 5 Management

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Limites et réalités du partenariat pour un développement informatique spécifique


Limites et réalités du partenariat pour un développement informatique spécifique

Partenariat d’entreprises

partenariat poignées de main

  1. Partenariat : c’est un état d’esprit. Chacun s’engage à faire aboutir un projet pour un bénéfice commun. C’est un contrat d’exigence totale fixant les règles du jeu, la structure de dialogue, le mode de règlement des conflits
  2. Le partenariat suppose l’adhésion du fournisseur aux objectifs de l’entreprise et de ses utilisateurs
  3. Il implique un climat de confiance à long terme, fondé sur les hommes et dépassant le cadre de la relation contractuelle conventionnelle
  4. Le partenariat, c’est une relation contractuelle difficile car :
    1. Les techniques évoluent
    2. Les relations entre maître d’œuvre, maître d’ouvrage et utilisateurs sont complexes
    3. Les besoins évoluent et leur définition claire et précise n’est pas aisée
  5. Dans le partenariat, l’entente des gens qui réalisent est importante :
    1. Du côté du maître d’ouvrage : chef de projet, analystes et utilisateurs
    2. Du côté du maître d’œuvre : chef de projet, développeurs et formateurs
  6. Le partenariat suppose une évolution du dialogue entre les techniciens, le maître de l’ouvrage et les utilisateurs futurs
  7. Le partenariat suppose une structure de collaboration adéquate entre client et fournisseur, structure qui est fonction de la taille de l’entreprise et de la complexité du système à développer. Il suppose ensuite une méthode commune de travail
  8. Le partenariat implique une forte mobilisation des hommes sur des projets importants et longs ; cela suppose, de la part des deux partenaires, la reconnaissance mutuelle des compétences humaines
  9. Le partenariat implique de solides compétences de part et d’autre. Si le personnel détaché par le fournisseur n’est pas d’excellente qualité, le client s’interrogera sur le bien-fondé de l’association et vice versa. Plus l’on est exigeant réciproquement, plus les équipes s’estiment mutuellement et mieux elles travaillent ensemble.
  10. La relation de partenariat peut se prolonger au-delà de la réalisation de l’ouvrage, par la mise en place, par exemple, d’une solution de démonstration à disposition du maître d’œuvre ou par la mise en place d’un centre de démonstration
  11. La responsabilité du partenariat est partagée par toutes les parties prenantes du contrat

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Finalité du partenariat

  1. La finalité du partenariat, c’est de résoudre des projets qui durent un certain nombre d’années, qui nécessitent une pérennité de responsabilité et qui supposent une imbrication des équipes de réalisation du client et de la société de services. Il sera prudent de définir les responsabilités pour chaque phase de la conception réalisation de l’ouvrage
  2. La finalité du partenariat, c’est de faire en sorte que fournisseur et client se rapprochent pour maîtriser les coûts, les spécifications, les délais et la qualité de l’ouvrage
  3. Le partenariat, c’est une recherche de bénéfices croisés. Il faut savoir pourquoi chaque partie a envie d’être partenaire de l’autre :
    1. Le client n’a pas la compétence nécessaire ; il veut faire développer une solution spécifique
    2. Le client cherche à obtenir le meilleur rapport qualité/prix
    3. Le client souhaite bénéficier d’un service prioritaire en cas de problèmes
    4. Le fournisseur veut acquérir une compétence approfondie d’un secteur particulier en vue de prospecter de nouvelles couches d’utilisateurs
    5. Le fournisseur souhaite ajouter une référence de poids à son palmarès le fournisseur souhaite disposer d’un lieu de démonstration

Difficultés du partenariat – Conditions de réussite

  1. Pilotage précis du projet au niveau des activités, des délais, des coûts et des résultats. Le premier coût du partenariat, c’est le coût du système de contrôle et de pilotage du projet à mettre en place par les deux parties
  2. Durée des projets, mobilité des hommes et rareté des compétences. Le partenariat se caractérise par un engagement très fort d’homme à homme ; si les interlocuteurs changent en cours de réalisation de l’ouvrage l’esprit du partenariat peut être perçu différemment et il peut en résulter des difficultés
  3. Les zones de risques doivent être identifiées ensemble, au début du partenariat et elles sont à partager contractuellement. Ce point doit être relié à l’importance de la méthode de travail commune et de l’organisation mise en place de manière à maîtriser l’évolution du projet : spécifications, délais, prix, qualité
  4. Contrôle des coûts : le coût objectif est inscrit dans le contrat. Tout dépassement est à discuter soit avec la structure de pilotage, soit avec la direction de l’entreprise Certaines phases du partenariat peuvent être traitées au forfait ou en maintenance ; l‘important, c’est que les engagements soient clairement pris au départ
  5. Le temps passé sur le projet par les partenaires est deux à trois fois supérieur à celui d’une relation classique « vendeur – acheteur » mais la qualité finale de l’objet, le « retour sur investissements » sera bien supérieur

Définition du début, respectivement de la fin du partenariat

  1. Virtuellement, l’esprit de partenariat se manifeste déjà lors des premiers contacts ; il se caractérise essentiellement par la capacité d’écoute du vendeur et par son aptitude à s’identifier aux problèmes de son interlocuteur. Formellement, le partenariat débute lors de la signature des contrats et le texte de ces derniers reflètera l’esprit qui les anime
  2. Juridiquement parlant, le partenariat se termine à la fin de la réalisation, ou à la fin de la période de garantie. Cependant, l’esprit du partenariat qui a animé une « équipe gagnante » demeure en général après la fin juridique du contrat, les relations d’homme à homme ayant pris le pas sur la technique et sur les clauses contractuelles

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

A vérifier et à savoir sur les contrats informatiques
Un Cahier des charges pour éviter des conflits entre client et fournisseur
Responsabilité de l’entreprise pour ses sous-traitants

La compatibilité en informatique, c’est quoi ?
Démission d’un salarié = fuite d’informations : Comment s’en prémunir
Devise 027 : Il n’y a rien de plus dangereux qu’un homme d’affaires honnête

Autres Informatique :

Récapitulatif 3 Informatique

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Critères de jugement du personnel


Critères de jugement du personnel

ponctuels au travail

toujours ponctuels

A ne pas confondre avec les critères de jugement personnel.

Il s’agit ici de l’évaluation de ses collaborateurs, dans le cadre du travail.

Uniquement.

01. Connaissance du travail

Compétence et expérience, Maîtrise des techniques, procédures, etc.

02. Efficacité dans le travail

Application au travail et dans les résultats (volume, vitesse, documentation, qualité) ; Degré de supervision requis

03. Capacité d’analyse et de jugement

Capacité d’analyse d’un problème en tenant compte de tous les facteurs importants triés par importance ;
Capacité à définir les mesures à prendre et leurs conséquences.

04. Décisions et Responsabilités

Capacité à prendre des décisions et d’assumer ses responsabilités.

05. Initiative et imagination

Capacité à innover, à prendre des initiatives ; Développement de nouvelles idées ; Mise en application dans le travail.

6. Planning et organisation

Planification d’activités à court et moyen terme ; Capacité à effectuer les activités planifiées ;
Ordre et méthode dans l’organisation du travail.

07. Collaboration

Relations harmonieuses et faciles dans le travail ; Esprit d’équipe et tact.

08. Adaptation

Adaptation à l’environnement, aux circonstances, au changement, etc.

09. Loyauté à l’entreprise

Attentif aux intérêts de la société ; Défense des intérêts de la société à l’intérieur et à l’extérieur.

10. Self control

Contrôle de ses réactions émotionnelles vis à vis d’événements, de tension, de critique, etc.

11. Expression écrite et orale

Clarté dans la présentation des idées et des faits. Style dans l’expression orale et écrite.

Sentiment général

Efficacité générale ; Évaluation dans le poste en tenant compte des performances et des aptitudes

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Mener un entretien d’évaluation d’un collaborateur
Critères quantitatifs et qualitatifs de primes pour les commerciaux
Règles pour un manager pour des phases difficiles de communication

Axe de qualification des collaborateurs
Bien démarrer l’entretien individuel annuel avec un collaborateur
Conflit entre salarié et employeur : Les intervenants

Autres Management :

Récapitulatif 1-1 Management
Récapitulatif 1-2 Management
Récapitulatif 5 Management

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