Sécurité informatique : Supprimer les « faux positifs »


La supervision d’un réseau informatique

supervision de réseau informatiqueDans un réseau informatique, on trouve de multiples outils de supervision du réseau, qui permettent, par exemple :

  • de détecter les intrusions, c’est-à-dire les accès non autorisés au réseau
  • de détecter et de contrer les virus et autres spams
  • de détecter un composant matériel défectueux sur le chemin de câble jusqu’à la prise informatique
  • d’enregistrer toutes les performances inhabituelles
  • de connaître tous les logiciels installés
  • de connaître les comportements non autorisés par la charte informatique, comme l’heure de connexion ou de déconnexion des utilisateurs
  • etc.

Ce sont des dizaines, centaines, milliers d’alertes qui composent les journaux (logs) quotidiens de supervision.

L’analyse de ces alertes détermine le degré de sécurité d’un réseau.
Chaque alerte doit faire l’objet d’une analyse, puis les mesures supplémentaires de sécurité seront prises en fonction des risques révélés par cette analyse.

Les « Faux-positifs »

Un « Faux positif » est une alerte qui s’avère, après examen, une fausse alerte.

Le ratio entre les alertes réelles et sérieuses et les Faux-positifs indique la précision trop élevée, trop faible ou correct des outils de supervision et de prises de mesure.

Le temps perdu à analyser des Faux-positifs est autant de temps perdu pour l’analyse des « vraies » alertes.

Réduire les « Faux-positifs »

Pour réduire le nombre de fausses alertes, voici quelques recommandations :

  1. Avoir en permanence la configuration exacte des systèmes et du réseau
  2. Assurer la formation continue du personnel en charge de la sécurité
  3. Evaluer la fiabilité et l’obsolescence des systèmes de sécurité
  4. Affiner les réglages et paramètres des outils de supervision
  5. Installer les mises à jour des logiciels de supervision
  6. Regrouper les données événementielles identiques et répétitives
  7. Regrouper les événements de sécurité provenant de différentes sources
  8. Rapprocher les alertes de sécurité avec les vulnérabilités des systèmes
  9. Automatiser le traitement de certaines alertes choisies pour leur moindre criticité
  10. Sensibiliser les utilisateurs à la sécurité, notamment sur ce qui est acceptable ou non
  11. Mettre en oeuvre un processus d’amélioration continue
  12. Automatiser les tableaux de bord de la gestion de la sécurité du réseau

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Réseau LAN ou WAN ralenti : Comprendre 1/2
Parefeu : Optimisation des règles
Compétences numériques : Sécurité informatique

4 acteurs de la sécurité informatique
Sécurité informatique : Les scénarii de risques
Charte informatique : Le Garant ou Officier de sécurité

Autres Informatique et Sécurité :

Récapitulatif 18 Informatique
Récapitulatif 18 Sécurité

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Les différents types de trimestres pour la retraite


La durée d’assurance pour le droit à la retraite

vieillir ensemble main dans la mainPour avoir le droit de partir à la retraite, il faut avoir l’âge minimum requis, généralement 62 ans, bien qu’on oublie facilement que l’âge légal est 67 ans.

Il faut aussi avoir un certain nombre de trimestres, qui dépend des évènements tout au long de sa carrière et de certaines circonstances de sa vie.

C’est ainsi que différents types de trimestres sont pris en compte pour l’assurance retraite.

Les trimestres cotisés

Chaque durée de trois mois consécutifs d’activité professionnelle et soumise à la cotisation vieillesse est comptée comme trimestre.
Donc 4 par année d’activité professionnelle sans interruption

Les périodes assimilées

Les périodes sans activité professionnelle suivantes donnent droit à un trimestre lors des évènements suivants :

  • maladie, accident du travail, maladie professionnelle reconnue
  • maternité
  • service national
  • chômage indemnisé et, dans certains cas non indemnisé
  • invalidité, etc.

Les périodes rachetées

Certains évènements durant sa carrière autorisent le rachat des périodes, c’est-à-dire le paiement des cotisations retraite pour les périodes concernées, limitées à 24 trimestres.

Par exemple :

  • les périodes de stages, à racheter dans les 2 ans qui suivent la fin du stage
  • les périodes d’expatriation, sous réserve que la France a un accord de sécurité sociale avec le ou les pays où vous avez vécu
  • certaines périodes de formation
  • etc.

Les majorations de durée d’assurance

Des évènements de la vie peuvent avoir provoqué une interruption dans sa carrière.

Ils donnent le droit à des trimestres supplémentaires :

  • avoir eu ou élevé un enfant
  • avoir élevé un enfant handicapé
  • avoir eu un adulte handicapé à sa charge
  • avoir pris un congé parental
  • avoir été exposé à un ou plusieurs facteurs de risque professionnel

source : www.lassuranceretraite.fr

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

La retraite du Régime Général
Retraite : Il faut la demander
Bientôt retraité (e) : Bien préparer sa retraite

ATS ou Allocation transitoire de solidarité pour les chômeurs touchés par le recul de l’âge de la retraite
Retraite : Avant de s’expatrier
Ehpad : nouveau nom pour les maisons de retraite médicalisées

Autres Bien-être et Juridique :

Récapitulatif 18 Bien-être
Récapitulatif 18 Juridique
abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Un salon sur Internet, c’est quoi ?


Salons, foires, expositions

salon foire expositionDepuis la nuit des temps, les échanges des produits de l’agriculture et de l’artisanat se sont fait sur les marchés. Puis, ce furent les produits industriels. De nos jours, les services s’y sont rajoutés.

Du quotidien à l’hebdomadaire, les rencontres entre producteurs ou distributeurs et les clients potentiels ont lieu lors d’événements, généralement annuels, dont la dénomination change selon son contenu.

La foire

La foire reste le terme le plus ancien pour un marché annuel, où les exposants cherchent à vendre leurs produits directement aux consommateurs. Ce sont des produits manufacturés ou agricoles.

C’est le plus connu des événements marchands.

La foire est aussi l’occasion de s’amuser à diverses attractions, qui, parfois, occupent toute la place, alors qu’initialement, elles permettaient de faire venir le chaland sur la place du marché. Il nous est resté l’expression « Faire la foire ».

L’exposition

L’exposition permet de présenter des objets, utilitaires ou artistiques, contemporains ou anciens, d’ici ou de là-bas. L’objectif principal est de montrer le savoir-faire des créateurs des objets exposés.

Parfois, l’exposition est aussi ouverte à la vente, surtout lorsqu’il s’agit d’Art.

L’exposition peut être permanente, et rappelle un musée. Généralement, l’exposition est ponctuelle, et, quelquefois, elle est même itinérante.

Le salon

Le salon permet aux exposants de présenter leurs produits et leurs services sur un thème commun aux professionnels qui exposent.

Le salon peut être ouvert au grand public ou réservé à des visiteurs professionnels.

La vente indirecte s’ajoute à la vente directe. Se faire connaître permet de générer des commandes, même en dehors de l’exposition.

L’objectif principal pour un exposant est de développer son activité, en se faisant connaître auprès de prospects et de fidéliser sa clientèle. Il augmente sa notoriété et fait parler de lui.

Le salon sur internet

Depuis l’arrivée de l’Internet et sa diffusion dans la plupart des foyers, le salon sur Internet remplit les mêmes objectifs que le salon en présentiel.

La principale différence est la disparition des déplacements, tant pour l’exposant que pour le visiteur. Cela génère une économie importante des frais occasionnés par le salon physique et du temps passé.

Merci de répondre à ce sondage sur le nom à donner à un tel salon

Philippe Garin

Pour échanger sur le sujet traité, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Salons de l’emploi 3 types d’exposants
La relation commerciale : source d’insatisfactions
Emploi ou Business : 10 conseils pour sa veille

Les cartes du bruit
Loi Chatel pour le développement de la concurrence au service des consommateurs
La Communication externe : Double face

Autres Communication:

Récapitulatif 16 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Dégradation de la relation personnelle avec le responsable hiérarchique


A l’aide ! Mon chef ne m’aime plus

Que s’est-il passé ?Mon chef ne m'aime plus

Lorsque des relations personnelles entre deux personnes se dégradent, c’est qu’à un moment il y a eu un évènement déclencheur. Il s’agit,

  1. d’un évènement unique et souvent brutal, comme une conversation qui a mal tournée et qui a brisé la relation, ou
  2. d’un évènement qui s’est ajouté à une série d’autres événements, c’est le phénomène de la « goutte d’eau qui fait déborder le vase »

Que faire ?

Dans le premier cas

  • essayez de vous rappeler de quel évènement il peut s’agir,
  • demandez un entretien individuel, et
  • tentez de donner des explications ou des excuses, selon l’évènement.

Une discussion dans laquelle vous vous exprimez et vous écoutez l’explication de votre chef, vous permettra de montrer votre volonté de ne plus reproduire cet évènement. En général, selon la gravité de ce qui s’est passé, le pardon permet d’apaiser les tensions et la confiance revient, avec le temps.

Dans le deuxième cas

C’est plus compliqué. Puisqu’il s’agit d’une série d’évènements, essayez d’en établir la liste. Souvent il s’agit de déceptions, de reproches, d’erreurs, qui, répétés, a dégradé les relations avec le temps. C’est un phénomène d’usure de la patience de votre chef vis-à-vis de vous et de votre travail ou attitude.

Là aussi, demandez un entretien individuel pour dire que vous avez remarqué un changement d’attitude de sa part envers vous et que vous voudriez bien savoir pourquoi et ce que vous pouvez faire pour améliorer vos relations.

Et si ça vient de l’autre ?

Le changement dans votre relation peut aussi avoir une origine sans rapport direct avec vous. Il peut provenir de la situation personnelle de votre chef : un changement dans sa vie privée sentimentale ou la ménopause (pour une femme), produisent une exagération de ses réactions vis-à-vis de ce que vous pouvez avoir fait ou dit, car sa disponibilité et sa tolérance vis-à-vis de paroles ou d’actes dans le service sont diminuées et c’est vous qui étiez là au moment de l’évènement qui a déclenché sa réaction.

Alors

Ne restez pas dans l’attente, un entretien est la meilleure solution. Il faut qu’il soit entre votre chef et vous, sans aucun témoin, de façon à ce que vous puissiez, tous les deux, vous exprimer avec la volonté de comprendre ce qui s’est passé et comment améliorer les choses.

Si, à cette occasion, votre chef vous fait plein de reproches, vous saurez de quoi il s’agit. Il sera alors temps pour vous d’en tirer les conséquences, soit en montrant que vous savez vous améliorer et changer d’attitude, soit en réfléchissant sur votre avenir professionnel dans cette entreprise. Prenez alors le temps de réfléchir avant de prendre une décision.

Parfois, demander une formation complémentaire peut pallier au défaut principal que votre chef vous signalera et peut désamorcer un conflit qui s’agrandirait autrement.

Plus vous attendrez avant d’avoir cet entretien et plus vous vous mettez la pression et vous stresserez par manque d’information. Sans information, aucune possibilité de rectifier ce qui ne va pas.

Merci Hakim d’avoir inspiré cet article.

Philippe Garin

Vous aussi, faites-nous part de vos préoccupations, vous recevrez nos conseils., contactez-moi : phgarin@gmail.com

Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en avoir plus :


En complément :

Règles pour un manager pour des phases difficiles de communication
L’entretien individuel annuel : préparations, déroulement et commentaires
Bien démarrer l’entretien individuel annuel avec un collaborateur

Comment bien mener un entretien efficace
Les cinq clés de la Communication pour un manager
Approche pour la construction d’une atmosphère de sympathie dans le cadre d’un entretien

Autres Communication et Management :

Récapitulatif 12 Communication
Récapitulatif 12 Management

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

La Communication externe : Moyens et Diffusion


La Communication externe : Moyens et Diffusion

Le choix des moyens et des canaux de diffusion

Ce choix est très important, tant en la fond, la forme, le budget associé, le temps à passer, l’impact ou les résultats attendus.

Sommaire :

  1. Définition et stratégie
  2. Message et Cible
  3. Moyens et Diffusion
  4. Double face
  5. L’affaire de tous

Exemple 1 : le message présente l’organisation

L’organisation va rédiger un ou des messages écrits, choisir des photos, des vidéos. Bien écrits, belles images, son parfait sur les vidéos. L’objectif est de mettre en valeur cette carte de visite à grande échelle.

canaux de diffusion

Selon sa taille et ses moyens financiers, elle va lancer une campagne de publicité, dans les journaux locaux, régionaux, nationaux, internationaux, tant sur papier, qu’à la radio ou/et la télévision.

La participation ou la création d’évènements font partie de la panoplie des moyens de communication, la distribution d’objets publicitaires, le sponsoring, le dépôt dans les boîtes-aux-lettres de cibles (postales ou messageries).

Exemple 2 : le message annonce un événement

En plus ou sans les moyens décrits dans le premier exemple, l’organisation va annoncer son évènement par une campagne de distribution de prospectus ou flyers, un affichage visible de la rue ou/et dans les magasins. Tout cela sans oublier le porte-à-porte, la campagne téléphonique ou de mailing, ni la manifestation dans la rue ou devant un bâtiment connu, ou encore le bouche à oreille.

La diffusion et la reprise

On utilise, de plus en plus, le vocable de « buzz » ou « faire le buzz ». Le buzz va au-delà de ce les journalistes appellent un « scoop ».

Un « scoop » est une information réelle et vérifiée, annoncée pour la première fois, par un journaliste au travers de son journal ou dans son blog.

Le « buzz » est une information, vraie ou fausse, reprise par d’autres que par son auteur. Ce phénomène s’est développé avec les médias sociaux et Internet.

Selon le message et son support, l’idéal pour l’organisation qui les diffuse est que l’information soit reprise, par un maximum de canaux de diffusion.

Si une entreprise sponsorise la course cycliste du village, alors les banderoles de cette entreprise ou son logo sur les maillots des coureurs, auront un impact sur un plus grand nombre de consommateurs potentiels, si le journal local écrit un article, avec photo de cet événement.

Une manifestation de syndicats aura un impact et des résultats différents si le télévision interview le leader et ne se contente pas d’un bref communiqué, si elle en parle.

L’annonce d’une journée porte-ouverte, par exemple, par un consultant lors d’un salon professionnel, lui ouvre un public d’entreprises clientes qui ne l’auraient pas connu sans cela.

Plus l’information externe est reprise, de préférence gratuitement, et plus l’image de l’organisation se renforce auprès du public cible.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Comment utiliser le succès d’un concurrent : démonstration par Microsoft
Astuces pour que vos mails soient lus
Mail bloqué : Explications

Courriel publicitaire : Que dit la Loi pour la confiance dans l’économie numérique LCEN
Efficacité : Fermer sa messagerie
Quels réseaux sociaux sur Internet

Autres Communication et Management:

Récapitulatif 10 Communication
Récapitulatif 10 Management

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Leçon de français aux francophiles


Le français expliqué aux Francophones

Les 4 principaux pays francophonesEvidammant, tairminer sur des mots du langage sans chercher à savoir pourquoi il y a de nombreuses erreurs quand on écrit « évènement » à la place de « événement ;».

Adverbe, Verbe

« évidemment » ne s’écrit pas « évidamment » parce que ce mot vient de la juxtaposition du mot « évident » et du suffixe adverbial « ment » et « évident » s’écrit avec un « e » et non par un « a » car « ant » est l’orthographe du participe passé des verbes et que « évident » n’est pas un verbe. Ouf !

Hé ! Aïe !

« terminer » ne s’écrit pas « tairminer » parce qu’il signifie « mettre un terme à », où « terme » vient du latin « terme » pour indiquer une borne qui fermait un terrain, qui le terminait

Le son [ε] peut s’écrire de différentes manières : è, ê, ei, e, ai. è ê ei e ai, alors pour s’y retrouver…

G vs G

« langage » : le premier « g » se prononce « g » parce que la lettre qui le suit est un « a », ce qui est pareil si la lettre était un « o » ou un « u », alors que le second « g » se prononce « j » devant un « e » ou un « i ». Pour avoir le son « g » devant un « e » ou un « i », on ajoute entre les deux un « u » que l’on ne prononce alors pas. C’est ainsi que l’on écrit « langue »

Syllabes

« chercher » est un verbe du premier groupe, qui se terminent tous avec les lettres « er », prononcées « é » alors que la première syllabe, qui s’écrit pareil que la seconde, est prononcée comme « èr » puisque le « e » précède la lettre « r ». Le mot « chercher » se prononce donc comme « chèr-ché ».

Y-criture

Quant à la lettre « y », dans « il y a », prononcée « i », elle s’écrit ainsi pour plusieurs raisons :

Elle s’écrit seule et on aurait pu, au Moyen-Âge ne pas pouvoir bien lire la lettre « i » seule. Les lettrés de l’époque, écrivaient à la main. Le « y » est utilisé pour représenter un double « i », deux « i » accolés ont donné la forme du « y » avec le temps.

Accent

« évènement » à la place de « événement » est l’exemple typique d’une erreur courante qui consiste à remplacer le « é » par un « è » ou réciproquement. Cela vient tout simplement d’un accent régional, d’habitudes linguistiques que l’on retranscrit dans les mots écrits.

Qui est le plus francophone ?

Le français écrit s’est construit et continu de se construire au fil du temps.

Le français parlé en Europe possède des différences selon le pays où il est enseigné. C’est ainsi que l’on parle de « nonante » à la place de « quatre-vingt-dix » en Belgique ou en Suisse.

Les différences sont encore plus grandes entre le français parlé en Europe, où les pays sont en contacts étroits entre eux, et le Québec, qui a conservé le français tel qu’il était parlé par les colons et qui l’a enrichi, généralement en opposition à l’anglais, jusqu’à un point où ses habitants utilisent des mots français quand les français utilisent des mots anglais. Par exemple, les panneaux « stop » en Europe, contiennent aussi le mot « arrêt » au Québec.

Un remerciement à Jackie, qui se sera reconnu

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

L’origine du français et de son orthographe
Différence entre le français et l’allemand
Comment interpréter la phrase : » Qu’est-ce que tu bois ?«

Pourquoi le français est une langue difficile pour les étrangers
Le langage des fleurs
Quand phonèmes et graphèmes rendent la langue française difficile

Autres Communication et Voyage :

Récapitulatif 10 Communication
Récapitulatif 10 Voyage

Tous les articles de ces catégories sont listés dans les pages Communication et Voyage de la page Autres catégories

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

L’entretien individuel annuel : préparations, déroulement et commentaires


La période des entretiens individuels annuels est généralement au début de l’année.

tête à tête au fémininC’est le moment privilégié du « tête à tête » entre le manager et chacun de ses collaborateurs, ceci tout au long, de haut en bas de la hiérarchie.

Les deux parties principales de cet entretien individuel annuel sont :

  1. Le point sur l’année passée
  2. Les objectifs et attentes de l’année qui démarre

Une bonne préparation

Que vous soyez le manager ou le collaborateur, la préparation commence par lister les évènements majeurs de l’année écoulée.
En deux colonnes : ceux que vous considérez comme positifs et les autres.

Pour les uns comme pour les autres, il faut se rappeler les circonstances et les résultats.
Ils vont serviront à justifier, selon le cas, les imperfections ou les contre-arguments pour minimiser les imperfections.

Les objectifs

Les objectifs sont donnés par le supérieur hiérarchique.

Généralement, les surprises sont rares. Les objectifs se reproduisent d’une année sur l’autre avec des quantités plus élevées ou une meilleure qualité.

Si vous êtes le manager, vérifier auparavant que les objectifs soient bien smart.

Si vous êtes le collaborateur, faites-en de même. Signalez les difficultés que vous auriez à rencontrer, et profitez-en pour évoquer vos besoins de formations.
Demandez des formations en rapport avec vos besoins et ceux de l’entreprise.

Le respect réciproque

L’entretien individuel annuel est un moment où les deux critiquent et se défendent.

Attention, seuls les faits, les évènements, le travail, doivent être pris en compte. En aucun cas, la personne en tant que telle ne doit faire l’objet des discussions.

Si vous sentez le besoin de parler du comportement de l’autre, faites-le, en conservant dans le discours qu’il s’agit du comportement au travail et non pas des qualités ou défauts de la personne.

Respectez aussi la parole de l’autre. Ne lui coupez pas la parole.

Vous avez le droit de ne pas être d’accord, sur l’un ou/et un autre point. Vous pouvez l’écrire en tant que commentaire. Le manager ne peut s’opposer à ce que le collaborateur écrit dans son commentaire.

A contrario, le collaborateur doit signer le document, qu’il soit d’accord ou pas avec son contenu. C’est seulement la preuve que l’entretien individuel annuel a bien eu lieu.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

L’entretien individuel annuel : conseils pour le salarié pour déstresser
L’entretien individuel : un exercice difficile pour le manager
Mener un entretien d’évaluation d’un collaborateur

Approche pour la construction d’une atmosphère de sympathie dans le cadre d’un entretien
Comment bien mener un entretien efficace
Qu’est-ce qu’un objectif concret, smart ?

Autres Communication et Management :

Récapitulatif 8 Communication
Récapitulatif 1-1 Management
Récapitulatif 1-2 Management
Récapitulatif 9 Management

Tous les articles de ces catégories sont listés dans la page Management et la page Communication de la page Autres catégories

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Emploi ou Business : 10 Conseils pour sa veille concurrentielle ou pour sa recherche d’emploi


Emploi ou Business : 10 Conseils pour chercher

marché caché de l'emploi ou du businessQue vous soyez à l’écoute du marché caché de l’emploi pour dénicher une opportunité de poste avant que l’entreprise passe une petite annonce, ou pour obtenir des renseignements qui vont vous permettre d’écrire une lettre de candidature,

Que vous soyez en recherche d’idées pour votre offre de services ou pour créer de nouveaux produits, pour garder un oeil sur vos concurrents et anticiper les évolutions de votre affaire,

Vous êtes confronté à la nécessité d’assurer une veille, d’écouter ce qui se passe autour de vous, de cibler les entreprises et de rassembler un maximum d’informations pertinentes avant de déclencher une action.

Pour sa veille concurrentielle ou pour sa recherche d’emploi

Voici 10 conseils pour votre veille concurrentielle ou pour votre recherche du marché caché de l’emploi

  1. Sélectionner les entreprises de votre domaine d’activités
     
  2. Chercher les personnes qui travaillent à des postes de responsabilité dans ces entreprises : patrons, directeurs ou collaborateurs, dans les réseaux sociaux, Viadeo, Facebook, LinkedIn et sur Twitter
     
  3. Mettez en place des alertes sur l’actualité de ces entreprises et de ses personnes au travers de Google Alerts
     
  4. Abonnez-vous aux Newsletters de ces entreprises pour déceler un indice vous permettant d’écrire une lettre de motivation spontanée ou vous en inspirez pour déclencher des idées de business
     
  5. Vérifier la bonne santé financière des entreprises sélectionnées
     
  6. Visitez les sites Web et les blogs des sociétés et des personnes qui y travaillent ou qui y ont travaillé
     
  7. Renseignez-vous sur la fréquentation des sites Web de ces entreprises, grâce aux services d’outils comme Dataopedia
     
  8. Fréquentez les salons où exposent les entreprises sélectionnées et récupérez leurs plaquettes commerciales, la présentation de leurs produits et services
     
  9. Allez les voir à l’occasion d’évènements qu’ils organisent : journée portes ouvertes, séminaires, etc.
     
  10. Prenez contact avec eux

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Pôle emploi : Surveillez votre messagerie
Comment utiliser le succès d’un concurrent : démonstration par Microsoft
Le Titre Emploi Service Entreprise ou Tese pour simplifier les formalités d’embauche et de gestion

Carrière : Cinq conseils pour booster votre carrière
Offre d’emploi et petites annonces ne pas confondre
Les 6 défis de la modernité

Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 7 Emploi
Récapitulatif 7 Management

Tous les articles de ces catégories sont listés dans la page Emploi et dans la page Management

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

L’observation est un travail des cinq sens


L’observation est un travail des cinq sens

périscope binoculaireUtiliser son sens de l’observation, c’est être conscient de ce qui se passe maintenant, à l’endroit où l’on se trouve.

Observer, c’est aussi, se détacher de son système de valeurs personnelles. C’est faire en sorte de séparer l’observation et l’interprétation.

« Pure utopie ! » diront certains, puisque chacun d’entre nous ne peut s’empêcher de filtrer ce qu’il perçoit, voit, goûte, sens ou entend.

Soit !

Il est, cependant, possible de s’entraîner à observer :

  • Choisissez chaque jour un élément différent à observer.
    Par exemple, en choisissant l’heure et la minute exacte auxquelles vous souhaitez consacrer dix minutes à observer et en changeant ce moment tous les jours.
    En fonction du lieu où vous serez à ce moment-là, vous observerez des éléments différents.

Les critères suivants font partie de ce que vous pouvez observer :

  • Le nom des objets qui vous entourent. Leurs formes, leurs couleurs, leurs aspects, etc.
  • Le nom des personnes qui vous entourent. Leurs odeurs, leurs vêtements, leurs postures et leurs mouvements, les expressions de leurs visages, le ton et le rythme de leurs voix, etc.

Notez alors vos observations « objectives ».

Après une première période d’observation, par exemple, une semaine, reprenez les descriptions de vos observations et ajoutez des commentaires sur les événements qui ont eu lieu aux moments des observations.

Répétez cette analyse, par exemple sur une période d’un mois,  et notez les répétitions et les relations de cause à effet.

Êtes-vous devenu un(e) bon(ne) observateur (trice) ?

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Guide d’observation d’une visite d’entreprise
La communication non verbale : le message total
Congruent : Définition Communication verbale et non verbale

Quelques bonnes résolutions à partir de maintenant
Ce que vous devez atteindre
Burnout ou Syndrome d’épuisement professionnel

Autres Bien-être :

Récapitulatif 4 Bien-être

Tous les articles de cette catégorie sont listés dans la page Bien-être de ce blog

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter