3 astuces pour se concentrer et gagner du temps


Principes de productivité

Dans son travail, il arrive que la fatigue ou la procrastination nous font décaler une tâche, à moins que le temps prévu pour l’exécuter soit allongé. En tout cas, aucune satisfaction à la clé. Le travail perd de son intérêt.

Voici quelques astuces pour gagner en efficacité :

1/ Fixer objectifs et priorités

Parmi toutes les tâches que vous avez, certaines sont plus prioritaires que d’autres.

Les plus prioritaires sont celles qui vous permettent d’atteindre vos objectifs. Évidemment, vous avez, au travail, toujours deux types d’objectifs : ceux qui vous sont donné par votre hiérarchie et vos propres objectifs.

principe_d_eisenhowerPar ailleurs, il est plus facile de se fixer des étapes pour atteindre ses objectifs à long terme et de déterminer les actions à mener pour atteindre chaque objectif intermédiaire. Cela permet, en plus, de maintenir sa motivation et la satisfaction du travail effectué.

2/ Soyez linéaire

Une chose après l’autre. La première de la journée sera la plus importante. Qu’elle soit simple ou compliquée, la tâche la plus importante est à faire en premier, quand les énergies sont au plus fort.

Évitez les distractions et fixez-vous une limite de temps avant la pause. Restez sur cette tâche jusqu’à ce que vous ayez atteint un degré suffisant de satisfaction, par exemple quand elle est terminée ou suffisamment avancée pour passer, plus tard, à la suite.

Conservez les pauses entre les tâches pour vous ressourcer. Dormez, mangez, faites de l’exercice physique, respirez, sont indispensables pour restaurer son énergie avant de poursuivre.

Si vous manquez d’éléments pour travailler sur une tâche ou si l’envie vous manque, mieux vaut passer à une autre tâche de même priorité.

planification détaillée

planification détaillée

3/ Planifier sans excès

Quand vous êtes un exécutant, un membre d’une équipe avec des tâches bien précises, il est difficile de planifier plus de 70% de son temps. Les 30% restants sont dus à des interruptions imprévues de tout ordre.

Quand vous êtes encadrant d’une équipe, la limite est de 50%. En effet, vous êtes plus sollicité que les premiers par des éléments extérieurs indépendants de votre volonté.

Prévoyez des moments où vous êtes indisponible pour tout dérangement et des plages horaires pour des activités non planifiées. Si on veut vous déranger, qu’on attende le « bon » moment, celui que vous aurez fixé.

Vous avez gagné du temps, estimez la durée de la prochaine tâche et voyez si vous avez le temps de l’exécuter avant la fin de la journée, sinon choisissez une tâche plus courte, voire de moindre priorité qui peut être terminée dans le temps restant.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Productivité : Fixez-vous des objectifs physiques
Harmonisation des objectifs professionnels et privés
Du découpage d’un projet en tâches

Comment s’assurer que toutes les tâches prévues ont bien été menées
40 pièges pour perdre du temps
Pour être un manager performant

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Être en phase avec la Culture d’Entreprise en 5 critères


Se sentir bien dans son activité professionnelle

S’il y a bien un point commun à toutes les organisations, toutes les entreprises, administrations ou associations, c’est qu’elles possèdent une culture d’entreprise, sans exception.

Que l’on postule pour en faire partie ou que l’on soit déjà en poste, pour s’y sentir bien, il faut être en phase avec la culture d’entreprise.

i love my jobPour cela, voici 5 critères pour vous aider à y voir plus clair.

1 Satisfaction personnelle

L’indicateur le plus sûr pour connaître le degré de satisfaction des salariés au travail est le turnover, c’est-à-dire la fréquence avec laquelle les salariés quittent l’organisation.

Plus il y a de départs sur un an et moins les salariés étaient satisfaits.

A l’inverse, quand personne n’a envie de quitter la structure, c’est un bon signe.

2 Équilibre vie pro vie perso

Avoir un manager et/ou un patron qui favorise l’équilibre vie personnelle et vie professionnelle de ses collaborateurs est la situation la plus favorable à ces derniers.

Horaires, télétravail, primes, congés, avantages en nature, etc. sont les indicateurs d’une vie harmonieuse ou d’un désastre pour sa vie privée.

équilibre vie pro vie perso par le télétravail

télétravail

3 Travailler ensemble

Une équipe qui gagne est une équipe où ses membres s’apprécient, se respectent, communiquent entre eux.

Le travail avance bien parce que chacun sait ce qu’il apporte pour atteindre les objectifs avec les moyens mis à leur disposition.

4 Un management de valeurs

Lorsqu’un salarié est en phase avec les valeurs de l’entreprise ou, du moins, les respecte, alors son travail est également respecté.

Il reçoit un but à atteindre et travaille en autonomie ou/et en équipe sous la direction de managers qui favorisent la prise d’initiative.

Plus le salarié adhère aux mêmes valeurs et au mode de management, plus sa productivité et ses performances augmentent. Par ailleurs, l’entreprise a un taux d’absentéisme et d’accidents du travail en forte baisse, critères d’appréciation de ce critère.

tennis de table au travail

5 Conditions de travail

Lorsque le lieu de travail permet des aménagements comme la présence d’une salle de repos, d’une garderie ou d’une salle de jeux, il est plus agréable d’y travailler.

Recharger ses batteries durant les pauses permet de reprendre efficacement son travail.

Le taux d’erreurs, de perte ou de gain de productivité, de non-conformités, sont alors les indicateurs qui permettent de savoir si les salariés se sentent bien et sont performants.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Le syndrome de l’imposteur ou Suis-je à ma place
Les accords toltèques : Explications
Travailler la nuit, travailler le soir : Que dit la Loi ?

Organisation verticale : D’où provient la reconnaissance du manager par son équipe ?
Les causes des dysfonctionnements
Les bases de la productivité 4/4 : Les outils et principes

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Devise 089 : Ne demande pas ce que ton profit peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ton profit


Devise 089 des Devises de l’Acquisition des Ferengi (Star Trek)

« Devise 089 : Ne demande pas ce que ton profit peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ton profit »

« Ask not what your profits can do for you, but what you can do for your profits »

source : Légendes des Ferengi (DS9)

LittéralementTaj Mahal = dépenses somptueuses

Ne demande pas ce que ton profit peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ton profit

Interprétation

Les Ferengi ont un but suprême : Accumuler un maximum de profits.
Ce sont des marchands dont l’objectif est de vendre ce qu’ils ont acquis ou fabriqués avec une marge nette la plus grande possible.

La marge nette est le résultat du calcul : prix de vente – prix d’achat – frais

Cette devise leur rappelle qu’aucun autre but est plus grand que celui-là.

Commentaires

C’est de l’égoïsme au plus haut degré dans les autres civilisations, celles que nous avons sur Terre.

John Fitzgerald Kennedy prônait, dans sa citation originale, l’amour de sa patrie et l’effort que chaque citoyen devait consentir pour son pays, l’individualisme est mis au service d’une cause commune.

C’est tout l’inverse chez les Ferengi qui considèrent que la plus grand fierté et le plus grand signe de satisfaction personnelle est de gagner de l’argent.

A leurs yeux, tous les efforts ont un seul but, celui de la richesse personnelle et seulement pour soi.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Star Trek et ses dérivés sont propriétés de Paramount Pictures (CBS)

Pour en savoir plus :


En complément :

Devise 085 : Ne laisse pas la concurrence connaître tes pensées

Devise 094 : Ne mélange jamais les femmes et les finances

9 conseils pour atteindre et tenir ses objectifs
Les bases de la productivité 1/4 : L’état d’esprit
Élections : Scrutateur 100 pour 100 organisé

Créer son propre emploi : oui, non, peut-être
Paix mondiale : Les 23 indices
L’intéressement et la participation : Ne pas confondre

Autres Science-Fiction :

Récapitulatif 19 Science-Fiction

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Entreprise : Pourquoi les structures transversales remplacent les structures verticales ?


Pourquoi les entreprises substituent-elles des structures transversales aux anciennes structures verticales ?

La structure verticale

Le principe de la structure verticale est que le « sachant » est le supérieur hiérarchique.
D’ailleurs, rien que le terme « supérieur » indique une notion de supériorité intellectuelle en plus de l’autorité qui va avec le poste.

Les subordonnés sont considérés comme des outils.
On parle pour les postes hiérarchiques intermédiaires de « courroie de transmission » car ils sont là pour transmettre les ordres du haut vers le bas.

structure verticale d'une entreprise classique

Inversement, quand un subordonné émet une idée, il l’a transmet à son supérieur direct, qui décide de la faire remonter à son propre supérieur hiérarchique ou de l’abandonner.
Ce phénomène conduit à une étroitesse et à la déperdition d’informations ou/et d’idées, notamment d’amélioration.

Il conduit aussi à l’isolement d’un niveau de la hiérarchie entre son niveau juste au-dessus et son niveau juste en dessous.
Aucune passerelle pour aller au-delà. Chacun a sa place.

L’ambition personnelle est de « grimper » dans la hiérarchie pour avoir « plus de monde » donc « plus de pouvoir » « sous » soi.

Dans une structure verticale, les sentiments sont laissés de côté, chacun les garde pour soi.

Plus on reste dans l’entreprise et plus on a de chance de monter en grade.
On se méfie de ceux « d’en-dessous » qui peuvent/veulent prendre votre place et on cherche à prendre la place de son supérieur.

Les relations humaines sont pleines de sous-entendus, de coups bas à la moindre faute de son supérieur ou de soi-même.

Quant à ceux qui sont bien dans leur poste, la routine s’installe.

Le moteur est une relation de pouvoir. Les rouages sont bien huilés, chacun sait ce qu’il a à faire et généralement il le fait bien.

La structure transversale

Dans une structure transversale, le principe est que chacun collabore avec les autres pour « libérer » le potentiel des collaborateurs.

Le responsable hiérarchique permet à chacun de montrer et de démontrer son savoir et son savoir-faire, pour que l’entreprise profite au maximum des efforts de tous.

La récompense est indépendante de la hiérarchie, elle est différente d’une progression hiérarchique et est plus dans l’accomplissement personnel du collaborateur et la satisfaction de son responsable d’avoir choisi un collaborateur efficace.

Les énergies et les potentiels sont libérés, les gens s’expriment plus librement.
Plus le collaborateur est content dans son travail et plus il travaille.

Dans une structure transversale, les sentiments s’expriment, la créativité se déclenche, le partage d’idées conduit à une collaboration étroite entre des personnes sur des objectifs communs, même s’ils sont dans des hiérarchies ou dans des niveaux de hiérarchie différents.

La méfiance vient plus de la maîtrise du savoir et de la gestion des relations humaines.

Le respect n’est plus en fonction de sa position hiérarchique mais en fonction de ses capacités personnelles et des actions au sein d’un projet ou pour un objectif commun.

La routine s’installe dans le dynamisme de l’équipe. La moindre défaillance ou fatigue se fait immédiatement remarquée.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :
Structure
La structure des potentialités d’une entreprise
La gestion stratégique du management

Les 3 types de management
Les trois temps d’une structuration interne
Déléguer ET contrôler, sinon gare aux conséquences !

Autres Management et Organisation :

Récapitulatif 17 Management
Récapitulatif 17 Organisation

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Si vous pouvez le faire en 2 minutes, faites-le maintenant


Si vous pouvez le faire en 2 minutes, faites-le maintenant

maintenant en plusieurs languesIl est très facile de perdre du temps. Beaucoup plus que d’en gagner.

Dans une journée, il y a ce que l’on a prévu de faire et ce que l’on fait.

Comme nous sommes des êtres humains, nous vivons en communauté. Nous agissons en commun, notamment au travail et en famille.

Quel que soit son degré de sociabilité, nous sommes influencés par les autres et nous les influençons à notre tour. Ce qui est évoqué ici sont les interactions des uns envers les autres et non les influences d’opinion.

C’est ainsi que nous devons répondre aux sollicitations des autres, qu’ils s’appellent chef, collègue, collaborateurs, ou conjoint (e), enfant, voisin, par exemple, ou encore client, fournisseur, fonctionnaire.

Maintenant ou plus tard

Lorsque l’on est sollicité, que l’on sollicite, l’action est cours est interrompue ou vient de se terminer. Avant de commencer la suivante, il faut s’imaginer le temps qu’elle va prendre.

Lorsque l’action à mener est rapide, en moins de 2 minutes, alors exécutez-la. Inutile d’attendre, de la repousser à plus tard.

En effet, reprendre ou démarrer une activité, c’est recommencer à se mettre au courant de ce qu’il y a à faire.
« Se remettre dans le bain » implique de passer moins de 2 minutes à se remémorer ce qu’il y a à faire.

Alors pourquoi perdre ces précieuses minutes ?

Autre conséquence d’une action rapide : Plus besoin de la planifier à nouveau. Terminée l’action, place à l’action suivante.

Évidemment, il peut y avoir une suite à l’action menée. Peu importe le moment où elle est exécutée, elle aura la même suite à donner.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Quelques bonnes résolutions à partir de maintenant
IST : La prévention contre les infections sexuellement transmissibles
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Récapitulatif 17 Organisation

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Coupez tous vos appareils électroniques


Coupez tous vos appareils électroniques

sans électricitéDrame. Catastrophe. Imaginez une coupure de courant durable qui fait qu’aucun de vos appareils électriques et électroniques ne fonctionnent.

Pire ! Des interférences bloquent vos communications téléphoniques fixes ou smartphones.

Et maintenant, travaillez !

Outre ce scénario apocalyptique, que se passerait-il si vous faites une pause, libre de tous appareils électroniques.

  • Fermez votre ordinateur,
  • éteignez votre smartphone,
  • Pas de montre ou autre objet connecté.

Le monde continuerait de tourner.

Combien de temps allez-vous tenir ? Comment allez-vous travailler ?

Il était une fois, au vingtième siècle et jusque dans le milieu des années 80, un monde sans téléphone portable, sans Internet grand public, dans lequel l’information passait par la télévision, quelques chaînes, la radio et la Presse écrite sur du papier journal.

On prenait ses rendez-vous avec un téléphone fixe. On se rendait chez son client ou son fournisseurs, son partenaire commercial, en voiture, pour apprendre que le rendez-vous était annulé.

Par contre, on faisait le trajet dans le calme et la tranquillité.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Comment structurer une entreprise ou une organisation
Les paramètres de la maturité des systèmes d’information
Évolution de l’informatique dans l’entreprise

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Simulez l’inaptitude quand vous en avez besoin


Pas le temps, comment dire non ?

Vue côté manager

inaptitudeUn des rôles du manager est de répartir les tâches à mener entre ses collaborateurs, selon leurs compétences.

C’est une règle à avoir en tête lors d’un recrutement. Une entreprise embauche un candidat parce qu’il est à même d’exécuter les tâches qui lui seront confiées.

Un bon responsable est celui, ou celle, qui va s’entourer de personnes parmi lesquelles il trouvera toujours les compétences qu’il recherche pour déléguer une tâche.

Seulement voilà ! Pour des nombreuses raisons, plus ou moins rationnelles, le chef a tendance à confier beaucoup de tâches aux plus compétents et moins aux autres.

Parfois même, il est obligé de mener seul certaines tâches car personne d’autre, dans son équipe, ne peut le faire à sa place.

Vue côté collaborateur (trice)

Il arrive, du côté du collaborateur, que ce dernier soit submergé de tâches à accomplir qui s’accumulent sans qu’il en voit la fin.

Soit il accepte tout ce qui lui est demandé car il est très compétent, soit il n’en peut plus, frise le burn-out, ou, au contraire, il sent qu’il ne réussira pas à parvenir au résultat attendu par son chef.

Simuler = rejet

Pour celles et ceux qui n’ont pas envie de faire le travail demandé ou qui ne se sentent pas à la hauteur ou qui pensent être dans incapacité d’atteindre le résultat dans le délai demandé, ils arrivent de simuler.

Cette simulation se traduit par une apparence de surmenage, qui est peut-être réel malheureusement. Idem pour la maladie.

Certains sont des spécialistes dans le défilement et attendent que le chef choisisse une autre collaborateur, et peuvent même aller jusqu’à faire l’éloge d’un collègue pour de dégager de la délégation.

D’autres vont plus loin et comment à répondre au manager qu’ils n’ont pas les aptitudes ou les connaissances nécessaires pour exécuter la tâche demandée.

Attention, cependant : Le chef peut se rendre compte qu’il s’agit d’une simulation et alors des sanctions sont à craindre.

Il est aussi possible que le collaborateur passe pour un incompétent et risque de se voir fermer toute possibilité de promotion. Il peut même craindre un licenciement pour incompétence, motif de licenciement souvent utilisé dans les entreprises.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Déléguer au travail : Entre craintes et promotions
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Echelle d’évaluation pour Aptitudes et comportements 4
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Quand dire que l’on est travailleur handicapé

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Visualisez votre raisonnement pour être au plus performant


Visualisez votre raisonnement ou alors oubliez-le

Visualisez le but et le chemin

visualiser le coloriage

Un des principes de l’efficacité est de prendre quelques instants pour visualiser son raisonnement.

Imaginez le résultat que vous souhaitez obtenir. Voyez-le dans votre esprit.

Faites de même avec les différentes alternatives qui vous permettraient d’atteindre votre but.

Que ce soit par une image, un film ou un écrit, le fait de visualiser sa réflexion permet de graver dans son esprit le but, le chemin pour l’atteindre et les différentes conséquences, positives et négatives des alternatives.

Cela vous permet de choisir le moyen le plus approprié pour parvenir au résultat que vous attendez.

Ces quelques instants de réflexion, avec une image précise de ce que vous avez à faire, va vous gagner du temps et va améliorer la qualité de votre action.

C’est comme si vous étiez dans un labyrinthe et que vous réfléchissiez avant de vous lancer tête baissée dans l’action. Si vous prenez le premier chemin qui vous vient à l’esprit, il est possible qu’il soit le bon, bien qu’en général, il y ait un meilleur chemin.

Et quand on connait le chemin

À part une action répétitive, déjà issue d’une réflexion précédente, prenez le temps de vous posez des questions, de visualiser ce que vous avez à faire et vous gagnerez en efficacité.

C’est ce que font les sportifs; Par exemple, un sauteur à la perche, un skieur d’un slalom géant ou un participant à un rallye automobile, sans parler des joueurs d’échecs.

Nombreux sont les exemples dans le domaine sportif de haut niveau. Cela s’applique aussi au quotidien, au travail ou même à la maison.

Avant de se mettre à cuisiner, mieux vaut visualiser le plat à réaliser et tous les gestes qui sont nécessaire. Cela permet d’éviter d’oublier un ingrédient ou une partie de la recette.

Bon appétit, bon exercice physique et intellectuel et bon efficacité. Soyez les meilleurs dans votre domaine et vous obtiendrez satisfaction et reconnaissance.

Et quand on n’y parvient pas

Quand vous ne parvenez pas à visualiser votre raisonnement, soit il est trop abstrait, soit vos efforts se perdent dans la multitude des alternatives, alors appuyez-vous sur des méthodes de résolution de problèmes.
Ou alors oubliez tout car vous êtes un robot.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Carences dans une organisation décelées par son informatisation
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Réussir son premier recrutement


Premier recrutement : de l’enjeu à la satisfaction

compte rendu entretien d'embauche ?

premier contrat de travail ??

L’un de mes correspondants a été embauché comme psychologue du travail dans une organisation où travaillent des centaines de personnes.

Cette embauche est récente et il vient de changer de poste. Il est désormais chargé de recrutements.

C’est le lot du personnel des Services des Ressources Humaines. Les « RH » se trouvent tantôt d’un côté, tantôt de l’autre côté de la table en entretien d’embauche.

L’enjeu

Mon correspondant m’a annoncé avoir réussi son premier recrutement, malgré sa trouille initiale.

L’enjeu était important pour lui, puisqu’il pouvait perdre son emploi, étant donné que sa période d’essai est toujours en cours.

Son stress aurait pu lui jouer un mauvais tour. Plusieurs candidats et la question à fort enjeu : Comment déterminer celui qui sera retenu ?

Bien sûr, la théorie voudrait que le meilleur candidat puisse avoir les compétences demandées, l’expérience nécessaire et soit capable de bien s’intégrer dans sa future équipe.

Seulement voilà, tous les candidats finalistes semblaient répondre à ces critères.

Le choix

Certains méritent le poste proposé. D’autres auront une autre chance lors d’un prochain recrutement. D’autres sauront mieux rebondir et occuper un autre poste, là ou ailleurs, à la hauteur de leurs capacités plus que dans le poste à pourvoir immédiatement.

La difficulté du recruteur est de déterminer dans quelle catégorie se situe le candidat en face de lui.

Est-ce une bonne chose que de lui dire qu’il est retenu ou est-ce mieux pour le candidat de lui annoncer que ses talents auront plus d’intérêt pour un autre poste que celui-là ?
C’est la question qui revient à chaque fois devant chaque candidat.

Le risque

Souvent le recruteur se pose la question à l’envers. Il tient compte uniquement de l’intérêt de l’entreprise ou de l’organisation pour laquelle il travaille.
L’intérêt de celui qui paye passe alors avant l’intérêt du candidat.

L’idéal est de parvenir à satisfaire l’un et l’autre.
L’inconvénient est qu’il y a plus d’un candidat pour un seul poste et qu’il y aura fatalement des déçus.

Il y a aussi le risque pour le recruteur de se tromper. Une personne a été suffisamment convaincante pour être retenue alors qu’une personne moins douée pour la communication réussirait mieux dans le travail au poste proposé.

Le recruteur doit accepter de se tromper.

Le jugement

Généralement, quand la personne embauchée est bien intégrée, c’est que le recrutement est bon. C’est le seul critère à retenir pour le recruteur.

C’est quand le candidat échoue à son nouveau poste, qu’il faut remettre en question son jugement.

Il est impératif d’analyser ce qui a provoqué l’erreur de jugement.

La décision de renvoyer la personne de ce poste ou son départ volontaire peut provenir d’éléments extérieurs au processus de recrutement. Tout n’est donc pas la faute du recruteur.

Un recrutement interne où les candidats sont déjà des salariés est appelé une « promotion ». Il s’agit de promouvoir un bon élément à un poste supérieur dans la hiérarchie.

Là aussi, une personne peut être excellente à un poste et échouer au poste à responsabilité plus élevée. La cause de cet échec peut avoir une autre origine que l’erreur de casting du recruteur.

La satisfaction du recruteur

Déjà, il y a la satisfaction d’avoir été à la hauteur des enjeux.

Ensuite, celle d’avoir appliqué les consignes et d’en voir les résultats.

Enfin, la satisfaction d’avoir fait une bonne action.

Je considère que aider une personne qui en a besoin fait partie des plus grandes satisfactions qui existent.

Ce premier succès permet de conforter ou de donner confiance en ses capacités d’analyse.

Comme dans tous les métiers, plus on accumule des expériences positives et plus on se sent bien dans ta tête.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Recruteurs : 7 conseils pour évaluer les candidats
Les acteurs d’un entretien d’embauche et leurs objectifs
Recrutement : Le choix se fait par les détails

Management : Comment évaluer l’intégration d’un nouveau salarié
Peur de ne pas réussir : Comment réagir
Devise 019 : Satisfaction n’est pas garantie

Autres Emploi :

Récapitulatif 17 Emploi

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Créer son propre emploi : oui, non, peut-être


Ça veut dire quoi : créer son propre emploi

musée de Tautavel, taille de pierre

premier tailleur de pierre ?

« Créer son propre emploi » est une expression qui signifie trouver une alternative au recrutement classique par une indépendance dans le travail.

Indépendance vs autonomie

L’autonomie

L’autonomie est la possibilité de décider à l’intérieur d’un cadre et avec des contraintes librement consenties ou partiellement imposées par une autorité autre que soi-même.

L’autonomie est accordée dans une entreprise par le contrat de travail, le statut du poste et le style de management.

Par exemple, les cadres supérieurs gèrent les ressources mises à leur disposition comme ils l’entendent en tenant compte de leur domaine de responsabilité et de la politique fixée par le conseil d’administration ou/et le patron.

L’indépendance

L’indépendance est de n’avoir de compte à rendre à qui que ce soit. Cela est vrai dans le domaine du travail quand on est seul à décider de ses activités et seulement à l’intérieur des limites que l’on se fixe soi-même. Quoi que !

Se mettre à son compte est idéal pour ceux qui souhaitent trouver un travail rapidement sans avoir de patron, gérer leur temps de travail à leur guise. Cependant, des limites existent toujours.

Les limites de la création de son propre emploi

Les limites du statut

D’abord, il faut décider du statut de son activité. Cela va de l’auto-entrepreneuriat à la Société anonyme, en passant par tout un panel de statuts, selon que l’on veut créer son entreprise seul ou à plusieurs.

Le statut détermine la manière dont la rémunération sera effectuée, dont les impôts seront calculés et donc la protection sociale sera assurée.

Les limites financières

S’il est possible de créer une entreprise sans apporter un capital élevé, il en faut suffisamment pour avoir une trésorerie capable d’assurer les dépenses incontournables pour l’investissement et le fonctionnement de l’entreprise.

Cela implique son argent personnel, l’apport de financement externes et les aléas de la vie d’une entreprise, comme les retards de paiement des clients ?

Les limites commerciales

On peut être très bons dans son domaine de prédilection, encore faut-il trouver des clients et les satisfaire en leur apportant services et produits qui leur conviennent.

Le temps à passer, les efforts de communication et de persuasion, pour trouver des prospects et les transformer en clients, se heurtent à la concurrence, à la fatigue, au manque de connaissance, etc.

Les limites psychologiques

Si bien souvent, on a envie de quitter son job ou du chômage pour créer son propre emploi, franchir le pas nécessite une réflexion, une envie et un environnement favorable en plus des connaissances, compétences et du franchissement des limites ci-dessus.

Devenir son propre patron, c’est avoir le soutien des siens, familles, amis, personnes prêtes à aider le futur entrepreneur.
C’est aussi passé du statut de salarié ou d’ex-salarié, ou encore d’étudiant, à celui d’aventurier des affaires.

S’il est possible de se perdre, de perdre son temps et son argent, voire son environnement familier, il est possible que créer son propre emploi génère aussi de substantiels revenus, qui assureraient un meilleur avenir financier, d’accomplissement de soi et de satisfaction.

Alors toujours hésitant (e) ?

Philippe Garin

Pour vous faciliter la transition, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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Réussir sa transition entre l’école et le monde du travail
Dépôt de bilan : rebondir

Autres Emploi, Juridique et Management :

Récapitulatif 17 Emploi
Récapitulatif 17 Juridique
Récapitulatif 17 Management

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Productivité : Demandez à votre Némésis : La compétition motive


La compétition est un facteur de motivation

nemesis rivalité ennemiVotre « Némésis » est votre pire ennemi.

Vouloir faire mieux que son concurrent, c’est comme battre son ennemi.
La compétition entre deux personnes, collaborateurs ou/et concurrents, est un point fort de la motivation et, par-delà une source de productivité.

Un manager avisé ira jusqu’à mettre en avant « l’employé (e) du mois ». Il peut aussi accorder une prime au rendement ou exceptionnelle.

Toutes les motivations qui vont générer de la fierté, un sentiment d’être meilleur (e) que les autres entraîneront l’envie de faire plus et mieux que les « concurrents »

Plus la rivalité est forte et plus les rendements seront meilleurs ; du moins tant que le chef maîtrise la situation.
Attention, cependant, à ce que la rivalité reste limitée à la compétition et éviter d’aller jusqu’au conflit ouvert entre les individus.

L’ambition et la promesse, explicite ou attendue, d’une reconnaissance par le chef, sont aussi des facteurs forts de productivité. C’est pourquoi, il convient de féliciter à défaut de récompenser. L’un comme l’autre reste à la hauteur des moyens de l’entreprise ou de la satisfaction personnelle du collaborateur

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


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Devise 047 : Ne fais jamais confiance à un homme qui porte un meilleur costume que toi
Mener un entretien d’évaluation d’un collaborateur
Définition des critères d’exigence dans le domaine de la Motivation

Autres Management et Organisation :

Récapitulatif 17 Management
Récapitulatif 17 Organisation

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Insatisfaction client : Les causes financières


Insatisfaction client : Les causes financières

causes financièresLes premières sources d’insatisfaction sont potentielles dès le premier contact avec un prospect ou un client, peu importe le produit ou le service, ou qu’ils soient standards, forfaitaires ou à la demande.

Sommaire :

  1. Gérer les insatisfactions des clients
  2. La relation avec le commercial : source d’insatisfactions
  3. Insatisfaction client : Les causes financières
  4. La gestion de la réclamation
  5. Gérer les suggestions des clients
  6. Insatisfactions et suggestions des clients : Les objectifs

Les conditions de ventes

Autres sources d’insatisfaction pour le client, que les relations commerciales, sont les conditions générales de vente (CGV) et surtout les conditions particulières qui lui seront accordés.

Le client attend à avoir une réponse positive à toutes les conditions de prix, de délai de livraison, de conditions de paiement et que le fournisseur s’y conforme en tout point.

Chaque condition particulière demandée et chaque compromis qui diffère de son envie initiale est source d’insatisfaction. Il est possible que le client accepte des conseils, recommandations et le devis du client avec des différences par rapport à ses demandes.

Par contre, s’il doit faire un compromis sur de trop nombreux points, voire sur la totalité, il est aisé de comprendre sa frustration.

Le paiement de la facture

Une fois le produit reçu, totalement ou partiellement, ou que la prestation effectuée, vient la délicate partie du règlement de la facture.

D’abord la facture doit correspondre aux délivrables, à leur qualité, délai et coût. Il est possible que le client refuse des paiements partiels en cas de livraison partielle, ou cherche à renégocier le prix initialement prévu pour toutes sortes de raisons, plus ou moins valable.

Le blocage de tout ou partie du paiement ou le retard de celui-ci est connu de toutes les entreprises. Le client y voit son intérêt. Il est donc possible que cet élément soit alors pris autant comme cause d’insatisfaction que de satisfaction, par le client, pas par le fournisseur, bien sûr.

Les relances

Selon la culture de la région ou du pays, les coutumes sont différentes.

Certains doivent systématiquement envoyer des rappels car tous les clients ont l’habitude d’attendre la troisième relance avant de payer alors que dans d’autres, le client porte plainte et fait un procès au lieu de chercher une solution à son insatisfaction.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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En complément :

Échelles de notations financières
Insertion par l’Activité économique ou IAE : Définition
La Communication externe : Moyens et Diffusion

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Taux de change dans les échanges intracommunautaires DEB, DES

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Recruteur : La présélection des candidats


La mission du recruteur : présélectionner des candidats

tirage au sortLe travail des cabinets de recrutement est de présélectionner des candidats, de dresser une short-list et de présenter les dossiers des candidats présélectionnés à l’entreprise qui recherche un nouveau collaborateur ou une nouvelle collaboratrice. Par principe et par la loi, une sélection en fonction du sexe est interdite.

Le recruteur extérieur est donc mandaté pour trouver la perle rare, le mouton à cinq pattes, l’oiseau rare. Rarement tous les critères souhaités par l’entreprise correspondent aux caractéristiques d’un seul candidat, même dans des domaines professionnels très pointus.

L’entreprise exige du recruteur des résultats à la hauteur de ses attentes et du coût que représentent les prestations du cabinet de recrutement. Pour ce dernier, un client satisfait est un client qui lui passera ses futures recherches de collaborateurs. Il est donc très important pour lui de réussir sa mission.

Que demandent les entreprises à leur futur collaborateur ?

  • La performance dans les actions du collaborateur
  • La satisfaction de l’entreprise par rapport aux objectifs qu’elle fixe au collaborateur
  • L’engagement du collaborateur dans ses tâches et ses responsabilités au sein de l’entreprise

Que cherchent les recruteurs chez les candidats ?

  • Des aptitudes, expériences, connaissances, savoir-faire
  • De la personnalité, des traits de caractères pour accomplir ses tâches et s’intégrer dans l’entreprise
  • Des motivations pour apprendre et rester dans l’entreprise

Le choix des critères de sélection

Pour trouver les candidats appropriés, le recruteur et l’employeur doivent se mettre d’accord sur les critères de sélection. Lorsque le recruteur est interne à l’entreprise, sa tâche est, a priori, facilitée par la proximité des responsables demandeurs et décideurs, et par leur connaissance approfondie des besoins et de la culture d’entreprise.

Pour un recruteur externe qui découvre l’entreprise, cette connaissance doit lui être fournie par son client. Il doit adapter le besoin exprimé en ses propres termes du jargon RH, à ses méthodes de recrutement et à ses outils d’évaluation des candidats.

La correspondance des critères

C’est ainsi que l’on rapproche :

  • La performance avec les aptitudes
  • La satisfaction avec la personnalité
  • L’engagement avec les motivations

Et après ?

Après avoir établi, d’un commun accord, les critères de sélection, le recruteur démarre sa mission et recherche des candidats.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Faute du recruteur : 2. Élargir le champ des possibilités
Avoir la certitude que 5 ou 6 « OK » = « extra ordinaire »
Suivre scrupuleusement un script pré défini

Définition Points faibles Points forts
Quels Points faibles mettre dans une lettre de motivation ?
Comment rater son entretien d’embauche

Autres Emploi :

Récapitulatif 12 Emploi

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Expérimenté(e) : Dire ce qu’il faut


Dites la vérité, juste la vérité !

Inutile d’en rajouter pour se faire valoir ou … pour faire peur au chargé (e) du recrutement.Silence !

Sommaire :

50 ans et toujours dans la course : 10 astuces pour booster votre recherche d’emploi
Senior: Être présent(e)
Quinqua : Forcer le respect

Baby boomer : Afficher sa force tranquille
50 ans et plus : Rester en forme
Tempes grises : Soigner son apparence

Seniors : Exprimez-vous correctement !
50 ans et plus : Agir pour avancer

Pas de mensonge ! Préférez le silence au déguisement de la vérité.

  • Déviez la conversation vers des sujets dans lesquels vous êtes plus à l’aise.
     
  • Ne dites jamais du mal, ni critiquez vos anciens employeurs.
    Dites franchement que vous ne souhaitez pas parler d’un sujet qui fâche, avec La bonne raison qui convient.
     
  • Parlez de vos atouts, de vos points forts, de vos capacités et expériences en adéquation avec les actions que l’on vous demande pour le nouveau poste.
     
  • Donnez des chiffres qui vous favorisent.
     
  • Montrez que vous êtes à même de tenir le job à la plus grande satisfaction de l’employeur futur.
     
  • Répondez aux questions. N’en rajoutez pas.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Choix de carrière : Suivre sa passion
Plus de 50 ans : Comment souhaitez-vous être appelé ?
Schéma de la déperdition de l’information

Senior, Trop vieux, trop cher : Luttez contre les préjugés
Soyez positif – Ne dites pas, dites
Entretien de recrutement : Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise

Autres Emploi :

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Quinqua : Forcer le respect


Les quinquagénaires ont une carrière qui force le respect

respectDes diplômes, des éloges, des prix pour le travail que vous avez rendu.

Tous ces éléments sont à mettre en avant dans votre CV, dans votre communication pour convaincre que vous valez plus que votre âge.

Demandez des recommandations, par courrier ou par courriel (email), à tous vos contacts directs, votre réseau, vos anciens collègues, chefs.

Sommaire :

50 ans et toujours dans la course : 10 astuces pour booster votre recherche d’emploi
Senior : Être présent(e)
Baby boomer : Afficher sa force tranquille

50 ans et plus : Rester en forme
Tempes grises : Soigner son apparence
Seniors : Exprimez-vous correctement

Expérimenté(e) : Dire ce qu’il faut
50 ans et plus : Agir pour avancer
Choix de carrière : Suivre sa passion

Plus de 50 ans : Comment souhaitez-vous être appelé ?

Plus vous accumulerez les preuves de satisfaction de votre travail, mieux vous aurez de chance d’en retrouver.

Si vous faites partie de la majorité, qui a fait sa carrière, sans panache ni éclat, alors ce sont votre sérieux, votre conscience du travail bien fait.

Vos chefs ont compté sur vous pour effectuer un travail digne d’éloges, même s’ils ne l’ont pas exprimés vraiment

Utilisez la copie du compte-rendu de vos entretiens annuels individuels et autres listes de tâches effectuées avec satisfaction pour vos chefs

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour investir dans un accompagnement personnalisé, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Senior Arguments contre le « Pas assez diplômé »
Critiqué(e) en public : Comment réagir
Entretien de seconde partie de carrière : Senior à partir de 45 ans ?

Manager une équipe : L’équipe est composée de…
Un trou dans le CV fait-il disparaître les compétences ?
Chômage : Les idées reçues ont la vie dure – Sondage

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