Du Job alimentaire au job idéal
Le début de carrière est un moment délicat où l’on commence souvent par prendre le premier poste que l’on trouve.
Quand on a un diplôme ou une qualification professionnelle, il s’agit généralement d’un emploi en lien avec son savoir, ou, pas du tout. Durant sa formation, nombreux sont ceux qui travaillent pendant l’été ou toute la durée des études, pour gagner suffisamment d’argent pour subvenir à ses besoins.
Le job alimentaire
Le job d’été est un job alimentaire. Il en est de même pour les « petits boulots ».
job alimentaire : coursier
Puis, vient le « vrai » premier poste. Ou pas. Les contingences matérielles, comme le logement, la nourriture et l’habillement, les moyens de transport, etc. vous rattrapent.
Plus tard, durant votre carrière, au cours d’une période de chômage, d’autres contraintes vous titillent comme sa descendance qui réclame protection et soins.
Pour ceux qui ont le droit à une allocation chômage, c’est la course à l’emploi. Plus vous restez sans travailler, plus le montant de votre allocation va diminuer.
Quant au montant de remplacement, une fois vos droits épuisés, comme le RSA ou l’ASS, il est tellement faible qu’il suffit à peine pour vous nourrir ou payer une partir du loyer.
Toutes ces contraintes peuvent vous obliger à prendre un travail alimentaire, c’est-à-dire dont la seule motivation est l’argent. Loin de votre job idéal.
Le chemin vers le job idéal
Certains se sentent coincés dans l’engrenage des jobs alimentaires. Frustrés de manquer la place qu’ils pensent avoir à portée de main sans pouvoir y toucher.
D’autres se mettent à découvrir un intérêt dans leur job alimentaire. Une fois les besoins primaires assouvis, les rencontres avec les autres, collègues, public, partenaires, peuvent apporter suffisamment de satisfaction pour y prendre du plaisir, ou pour accepter de conserver la situation telle quelle.
Coincé ou satisfait, il existe de nombreuses possibilités de faire évoluer sa situation professionnelle. Acquérir des compétences par le travail ou par la formation continue, ou encore au contact de professionnels via les réseaux sociaux ou bien des formations en ligne.
Utilisant les possibilités de financement propre, employeur actuel ou Pôle emploi, le temps de vacances d’emploi pour les chômeurs ou le temps libre après son job alimentaire, est à votre disposition pour peu que vous ayez l’envie d’améliorer votre situation.
job idéal du facteur cheval : son palais
Le job idéal
Petit à petit, vous apprenez à connaître les techniques de recherche d’emploi, et à fréquenter d’autres personnes qui sont autant de sources d’inspiration et/ou d’information pour envoyer votre candidature.
A force de volonté, d’apprentissage et aussi au hasard des rencontres, vous parvenez à décrocher un emploi qui se rapproche le plus possible de votre job idéal, voire qui est votre travail idéal.
Chacun a ses propres critères pour décider de quoi est composé le job idéal.
Le revenu, l’adéquation entre ses valeurs et celles de l’entreprise, les relations humaines, les possibilités d’évolution, de perfectionnement, ou encore la zone géographique, la distance des trajets, les conditions de travail ou les avantages sociaux au travail sont quelques exemples de critères dont certains sont plus importants pour vous que les autres.
Pensez aussi que vous pouvez parvenir à votre travail idéal, à tout moment.
Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise
Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com
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Blog de Philippe Garin 
Je trouve cet article très pertinent.
Il reflète parfaitement les défis que beaucoup d’entre nous rencontrent dans le monde professionnel, en passant du job alimentaire aux aspirations d’un travail idéal. Les conseils sur l’acquisition de compétences, l’exploration des opportunités et la persévérance sont des messages inspirants pour tous les lecteurs en quête d’épanouissement professionnel. Cet article me rappelle qu’avec détermination et effort, atteindre son travail idéal est une possibilité concrète à tout moment de la vie.
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