Citez-moi 3 points forts et 3 points faibles


Citez-moi 3 forces et 3 faiblesses ou axes d’amélioration

L’entretien d’embauche est toujours stressant. Vous vous sentez comme devant un officier de police ou devant le proviseur de votre lycée, comme un élève ou un citoyen pris en faute.

En fait, votre faute est d’être au chômage ou d’avoir envie de quitter votre poste actuel.

En cette période difficile où les employeurs ont le choix parmi de trop nombreux demandeurs d’emploi, faire la différence et être choisi (e) s’avère compliqué.

demandeur d'emploi épinay-sur-seineC’est toujours plus facile, quand on sait, que lorsqu’on doit deviner ce qui l’autre attend comme réponse.

Parmi les nombreuses questions des recruteurs, il y a celle des 3 forces et des 3 faiblesses.

Pourquoi le recruteur pose la question ?

Pour le poste à pourvoir, il faut des compétences, du savoir-faire, de la pratique. Il faut aussi avoir certaines qualités et comportements pour agir et réagir dans le sens de l’entreprise.

Le futur employeur a donc besoin de savoir si ce que vous avez écrit dans votre CV et dans votre lettre de motivation correspond à la réalité.

les 16 compétences indispensables source le figaroIl y a bien la période d’essai pour faire ses preuves. Seulement avant d’arriver à ce stade, vous devez convaincre que vous êtes le (la) mieux placé (e) pour réussir.
Une erreur de casting lui coûterait trop cher.

Vos points forts

Atouts ou simples points forts, vous en avez beaucoup.

Pour avoir exercé ce métier auparavant ou suivi une formation dans le domaine, vous savez qu’elles sont les tâches qui vous attendent.

Or, pour exécuter ces tâches, vous mettez en œuvre vos savoir-faire.
En choisir 3 parmi toutes vos qualités et vos savoirs, vous avez l’embarras du choix.

Rappelez-vous de l’offre d’emploi !

nous_recrutonsLa description du poste figurant dans l’annonce vous donne toutes indications nécessaires pour définir parmi vos savoir-faire, les trois à annoncer, en lien direct avec le poste.

Vous pouvez aussi donner un mixte de vos qualités personnelles en plus des compétences. C’est le mélange des deux qui donnera une meilleure idée de ce que vous êtes et vous permettra de vous distinguer.

Évitez les évidences.
Si vous postulez pour être comptable, il est évident que tous les candidats sont des comptables et connaissent la comptabilité.
Ce savoir-faire est donc à exclure de votre liste.

Par contre, si vous avez une spécialité ou des connaissances dans ce domaine ou un domaine annexe alors c’est intéressant pour l’employeur.

Par exemple, comptabilité, trésorerie, finance et RH.
Ce genre de poste à multiples facettes est très recherché dans de petites structures.

Vos points faibles

Là, le risque de passer à côté est grand.

Évitez de sortir, là aussi, des banalités, du genre « je suis perfectionniste ».
Même si le recruteur est un patron qui embauche très peu, il n’a que faire de cette information. Les autres l’ont trop entendue.

citation chef avisé force faiblesse sophocleComme vous vous connaissez, vous avez tendance à mettre l’accent sur des faiblesses parmi vos traits de caractère.
Vous pensez que évoquer des manques dans vos savoir-faire vous pénaliserait.

Hum ! Si vous connaissez les bases de votre métier, vous savez où sont vos lacunes.
Faut-il en nommer trois ? Pas sûr

Ce qui est important dans le choix des points faibles, c’est choisir ceux qui vous pénaliseraient le moins dans votre nouveau job.

Une connaissance absente ou lacunaire s’acquiert, par une formation ou/et le soutien des collègues. Un plan de formation peut être mis en place pour combler vos lacunes, si tant est que vos points forts vous ont rendus plus attrayant (e) que les autres candidats.

Une qualité qui manque est moins gênante si elle est sans rapport avec le poste. Exemple : la gourmandise. Défaut peu utilisé, sauf avec le sourire, juste ce qu’il faut pour montrer que vous savez détourner la question.

Dans tous les cas, quand vous annoncez une faiblesse, ajoutez toujours une force ou un moyen de compenser cette faiblesse.

En annonçant que vous êtes sujet à la dépression, vous vous pénalisez.
En annonçant que vous êtes sensible, vous vous valorisez.
En effet, la sensibilité est bon pour les relations avec les autres, car elle implique le respect, l’écoute, et aussi renforce votre capacité à dire « non » ou à faire comprendre que vous existez en tant qu’être humain.

force ou faiblesseVous hésitez encore ?

Je vous propose, dans ce blog, plusieurs listes de points qui sont forts ou faibles selon ce que vous en ferez.

Consultez-les et faire votre choix.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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En complément :

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Pourquoi ces 5 qualités incontournables sont à mettre dans vos points forts


Pourquoi ces 5 qualités incontournables sont à mettre dans vos points forts

Anticiper les réponses aux questions du recruteur fait partie du processus de recherche d’emploi.

Comme la question des points forts est toujours évoquée en entretien d’embauche, il est intéressant de citer des qualités parmi celles qui font de vous un futur collaborateur précieux et incontournable.

incontournable pont des soupirsDe plus en plus, l’anticipation à cette question se traduit par une liste de softs skills et de savoir-être dans une rubrique à part sur le CV. Les mots sont variables, les idées demeurent.

Chacune de ses 5 qualités principales en amènent d’autres. Le choix des mots est donc plus étendu et de loin. Voici de quoi les comprendre.

1. L’adaptation

L’adaptation est une qualité qui vous permet de vous intégrer rapidement à l’équipe en place.

adaptation incontournableElle implique l’usage d’autres qualités :

L’écoute, qui est la capacité de laisser l’autre parler

L’attention ou la concentration, pour fixer son esprit sur ce que vous faites, dites, écouter

La mémorisation, qui permet de retenir les nouvelles notions, les noms, les méthodes, les outils, etc.

La capacité à faire face à l’imprévu et proposer des solutions

L’apprentissage, la remise en question d’anciens savoirs au profit de nouveaux acquis par des nouvelles formations ou autoformations

2 La fidélité

La fidélité est une forme de confiance mutuelle entre le (la) salarié (e) et le chef d’entreprise.

La durée d’occupation d’un poste est indépendante de la fidélité dans la mesure où l’on peut rester pour d’autres raisons. Cependant, c’est un signe de stabilité, toujours recherchée par les responsables.

fidélité à son entrepriseC’est l’intégrité, l’honnêteté et la fiabilité du collaborateur qui amènent le chef à faire confiance. Réciproquement, le (la) salarié (e) sera d’autant plus fidèle que les marques d’appréciation positives et de confiance lui sont données par ses chefs.

La parole et les actes des uns et des autres rendent la collaboration fructueuse pour chacun.

Une recommandation positive de son ancien employeur lors d’une séparation sera toujours d’un bon effet auprès du futur employeur.

3. L’esprit d’équipe

Bien que souvent évoquer sur un CV ou dans un entretien d’embauche, l’esprit d’équipe est une qualité qui se démontre par les actes.

Sur un CV, l’esprit d’équipe se traduit dans les réalisations et dans les centres d’intérêt.

esprit d'équipeLe succès obtenu à plusieurs permet de valoriser sa participation au groupe. Un faux-pas d’un membre de l’équipe est rattrapé par les autres. L’efficacité et la qualité au travail s’en trouve renforcées et le collaborateur corrige ses faiblesses.

De même, faire partie d’un groupe sportif ou musical ou avoir un engagement de bénévole dans une association sont des marques de l’esprit d’équipe.

La bonne ambiance au sein d’une équipe, l’harmonie et le respect mutuel sont des facteurs favorables aux yeux dans une candidature

4. Le dépassement

Quand l’employeur définit les savoir-faire qu’il attend de son (sa) futur (e) collaborateur (trice), il cherche aussi quelqu’un qui puisse compléter une équipe et pallier à ses propres lacunes.

C’est pourquoi, s’il reste le décideur, il attend des propositions d’améliorations ou de développement de la part de ses collaborateurs.

dépassement de soiAvoir le sens de l’initiative et la confiance en un responsable à l’écoute des propositions entraîne une plus grande autonomie du collaborateur. Cette autonomie lui permet de gagner en influence au sein de son équipe.

La réactivité et l’anticipation sont deux qualités bien appréciées.

La curiosité et la recherche de progression personnelles du futur salarié sont aussi des atouts pour l’employeur, le prochain autant que l’actuel.

Le dépassement du cadre strict de la description de poste par les réalisations bien décrites dans un CV et bien expliquées sur sa lettre de motivation et dans le discours en entretien d’embauche va fortement et positivement impressionné le recruteur.

5. L’implication

L’implication du salarié pour son entreprise va au-delà de la motivation attendue par le futur employeur.

Montrer par ses actes, son sourire, son discours positif rend le collaborateur plus sympathique.

implication motivéeS’impliquer, c’est s’engager avec enthousiasme. La passion pour un projet amène le collaborateur à vouloir la réussite de ce qu’il entreprend au sein de l’organisation.

L’implication pour son entreprise amène à améliorer les conditions de travail, l’efficacité des autres collaborateurs, la reconnaissance du travail effectué, l’amélioration des pratiques au sein de l’organisation.

Un salarié impliqué dans le succès de son entreprise sera précieux pour son futur patron.

Conclusion

Dans une recherche d’emploi, il est important de démontrer au futur employeur les avantages et les bénéfices qu’il peut tirer d’une collaboration avec son (sa) futur (e) salarié (e)

Le savoir-faire et le savoir sont indispensables lors d’un recrutement.

Les qualités personnelles et comportementales peuvent pallier à certains manques du (de la) candidat (e). Les 5 qualités décrites ici sont bien des incontournables à prouver pour se distinguer des autres candidats et être retenu par le recruteur.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Exemples de points faibles présentés comme des points forts
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Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche

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Pourquoi les recruteurs intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être

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Bien préparer une réunion de travail


Réunion de travail : Une bonne préparation

bien préparer une réunion de travailSommaire :

À quoi sert une réunion de travail

Bien préparer une réunion de travail

Réussir l’animation d’une réunion de travail

Le rapport ou compte-rendu de réunion

La préparation des participants

Lorsque l’on est invité ou convoqué à une réunion, surtout une réunion de travail, il est préférable d’être prêt afin de rester concentré sur son sujet, sans se disperser en évoquant d’autres sujets que ceux de l’ordre du jour. Ceux-ci feront l’objet d’une ou d’autres réunions.

Si le participant a reçu un document de l’organisateur, il en prendra connaissance avant la réunion.

S’il doit, lui, produire un ou des documents, il le préparera, également avant la réunion. Idem pour des réponses à un questionnaire reçu.

Si, au contraire, la réunion de travail doit être une réunion de créativité commune, alors ce sont les interactions entre les idées émises des uns et des autres au cours de la réunion qui donneront un résultat, impossible à prévoir à l’avance.

Le lieu et le moment

Avant de choisir le lieu et de planifier la réunion, l’animateur choisira la langue de travail durant la réunion, dans le cas où les participants pratiqueraient des langues différents, par exemple à l’international ou en Suisse.

Le lieu sera choisi en fonction :

  • du nombre des participants,
  • des moyens techniques de communication, tels que projecteur, écran, caméra, vitesse de la connexion Internet, tableau blanc, etc.
  • de l’accessibilité : proximité de la salle de réunion, parking, etc.
  • de la durée de la réunion : debout pour une réunion de quelques minutes ou fauteuils confortables pour une réunion de plus d’une heure

Le moment sera choisi :

  • en fonction des disponibilités des participants, dans la mesure où la présence de chacun est impérative,
  • en évitant les périodes de moindre attention, entre 14:00 et 16:00
  • en évitant les moments difficiles dans les déplacements lorsque la réunion a lieu à l’extérieur
  • suffisamment à l’avance pour permettre aux participants de se préparer, surtout s’il leur ait demandé de produire un document

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


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Efficacité : N’allez pas à des réunions, si vous pouvez l’éviter
Messagerie professionnelle : 20 conseils pour un meilleur usage
Pour bien parler : Respirez correctement

La première mission du dirigeant : Planifier
9 conseil pour atteindre et tenir ses objectifs
Surmenage au travail, comment s’organiser pour déléguer

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À quoi sert une réunion de travail


Réunion de travail : Définition et objectif

Sommaire :

À quoi sert une réunion de travail

Bien préparer une réunion de travail

Réussir l’animation d’une réunion de travail

Le rapport ou compte-rendu de réunion

Dans toute organisation, les réunions sont un pilier du bon fonctionnement, en plus d’être inévitable.

à quoi sert une réunion de travail

Il y a les réunions obligatoires, individuelles ou collectives, définies par la loi, telles que la réunion de seconde partie de carrière ou les négociations entre les représentants du patronat et représentants des salariés.

Les échanges d’informations peuvent prendre différentes formes et passer par différents canaux.
Cependant, la réunion à plusieurs permet, de raccourcir les échanges par un contact direct entre les participants.

Le déroulement d’une réunion dépend beaucoup de la culture d’entreprise et de la culture du pays.

C’est ainsi que le mode de fonctionnement « à la française » est incompréhensible pour un anglo-saxon, sans, pour autant, que la productivité en soit diminué, bien que :

Les participants se coupent la parole ou la prennent sans prévenir,

  • Les heures prévues de début, avec un quart d’heure de retard minimum, et de fin, qui s’éternise,
  • Des discussions sans aucune décision n’aient été prises,
  • Certains s’endorment ou presque pendant que d’autres parlent,
  • Etc.

À quoi sert une réunion ?

La réunionite !

La fameuse réunionite est une réunion régulière, fixée à l’avance, sans objectif particulier et qui donne l’impression aux participants de perdre leur temps.

C’est pourquoi, pour être efficace, une réunion de travail doit répondre aux questions suivantes :

  • Cette forme d’échanges d’informations est-elle utile ?
  • Quel est l’objectif ou quels sont les résultats attendus à l’issue de la réunion ?
  • Qui doit y assister et pourquoi ?

Un réunion qui consiste à recueillir les compte-rendus de ses collaborateurs n’est pas une réunion de travail.
C’est une réunion d’informations où le responsable souhaite que chaque participant sache où en sont rendus les autres dans leur travail.

Si ces informations sont utiles d’être partagées à plusieurs, alors une réunion est organisée, sinon il s’agit d’un échange entre le responsable et chacune des autres personnes qui lui fait un rapport sur son activité.

D’autres canaux d’échanges peuvent être utilisés en dehors d’une réunion de travail, par exemple le téléphone ou la messagerie interne

L’objectif d’une réunion

Sans objectif, une réunion est inutile. Elle s’apparente alors un moment de pause où les participants s’échangent des informations pour rien.

Une réunion sert pour :

  • Transmettre un message, sans débat, par exemple pour informer le personnel d’une décision de la Direction
  • Faire le point sur un projet en cours
  • Chercher et trouver une solution à un problème, un conflit, un dysfonctionnement, etc.
  • Créer de nouveaux services ou produits
  • Prendre une décision en demandant l’avis de tous les participants
  • Former les participants

C’est à l’organisateur de la réunion d’indiquer le but de la réunion et le résultat attendu.

Il indiquera aussi quels seront les participants, et fixera le moment et la durée de la réunion, ainsi que les moyens matériels utiles pour son bon déroulement.

Lorsque c’est nécessaire, il fournira aux participants des indications sur le rôle de chaque participant ainsi que l’ordre des interventions.

Ainsi avertis, les participants pourront préparer leurs interventions.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Trouver ses qualités personnelles : La méthode du jeu du bac


Le jeu du bac pour sa recherche d’emploi

Le jeu du bac, un des très anciens jeux des cours d’école est une bonne méthode pour trouver ses traits de caractères, ceux qui forment sa personnalité et qui, accessoirement, peuvent servir dans sa recherche d’emploi.

Les soft skills ou compétences douces, sont majoritairement des qualités personnelles, propres à chacun, et qui ont un intérêt certain pour un employeur.

C’est la réussite de l’intégration d’un nouveau salarié dans son équipe qui est en jeu.
Quand les caractères sont compatibles entre eux, il est plus facile de fidéliser son salarié.

Il faut bien sûr que le salarié, avant tout, ait les compétences, le savoir-faire nécessité par le poste.

jeu du bac

La méthode

Dans le jeu du bac, plusieurs colonnes sont définies à l’avance et chacune d’elles est une catégorie. Par exemple : Pays, Ville, Prénom, Métier, Légumes, Célébrités, Animal, etc.
Une lettre est tirée, au hasard. Les concurrents doivent trouver un mot commençant par la lettre pour chacune des catégories prédéfinies.
Le reste des règles a moins d’importance pour notre propos.

Appliqué pour trouver ses qualités personnelles, la méthode du jeu du bac consiste à utiliser une seule colonne appelée « Personnalité » ou deux colonnes « Qualité » et « Défaut ».

Les lettres peuvent être tirées au hasard. Cependant, la meilleure utilisation est de choisir les lettres de son prénom et de son nom. Ainsi, si vous disposez de plusieurs fois la même lettre, vous trouverez des mots différents commençants par la même lettre.

Exemple sur une seule colonne :
P => Pédagogue
H => Humble
I => Infatigable
L => Loyal
I => Intelligent
P => Paternaliste
P => Présent
E => Élégant

G => Gentil
A => Agaçant
R => Résolu
I => Indifférent
N => Nuancé

Variante 1

Une première variante consiste à autoriser des phrases à la place de mots uniques.

Par exemple : E => Être proche des besoins du client

Variante 2

Quand l’inspiration vous manque, vous pouvez décaler la lettre : Au lieu de la considérer comme la première du mot à trouver, vous allez la choisir comme seconde ou troisième lettre, ou plus.

Par exemple : E => sEvère

Bien sûr, une combinaison de toutes les variantes est possible !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

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Le brainstorming ou remue méninges, une méthode pour trouver des idées en groupe
Le MBTI pour mieux se décrire en quelques mots
Des mots pour se définir

Recrutement : La richesse de la personnalité
Pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être ?
Liste d’exemples de points forts et de points faibles

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Récapitulatif 19 Emploi
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20 atouts à mettre en avant dans une candidature ou liste 8 de points forts


Vos compétences comportementales et vos savoir-être sont vos atouts

Une analyse des offres par Pôle emploi montre un besoin de compétences différentes des compétences techniques :
Il s’agit du comportement au sein de l’entreprise.

Il est inutile d’avoir un super-technicien ou une super-ingénieure s’ils sont incapables de s’intégrer à l’équipe dans laquelle ils vont évoluer.

faire du sport est bon pour la santé

Le comportement des salariés est, au moins, aussi important que leurs connaissances techniques.

Ce comportement évolue au cours du temps, selon l’âge et l’expérience des salariés.
L’objectif de responsable est de faire en sorte que tout le monde travaille en bonne harmonie et que les salariés sont satisfaits de travailler ensemble.

Dans le cadre d’un recrutement, le chef d’entreprise attend les 20 qualités personnelles et capacités individuelles suivantes :

Les qualités recherchées

  1. Capacité d’adaptation
  2. Rigueur
  3. Persévérance
  4. Gestion du stress
     
  5. Réactivité
  6. Force de proposition
  7. Autonomie
  8. Sens de l’organisation
     
  9. Capacité à actualiser ses connaissances
  10. Créativité
  11. Capacité d’initiative
  12. Curiosité
     
  13. Prise de recul
  14. Connaissance et respect des règles
  15. Capacité de décision
  16. Capacité à fédérer
     
  17. Travail en équipe
  18. Sens de la communication
  19. Sens de la relation client
  20. Soucis de qualité

Source : Pôle emploi

Vos atouts

Vos atouts se trouvent dans cette liste.

Trouvez-les !

Après avoir extrait de cette liste les qualités qui sont vos atouts, mettez-les par ordre de préférence.

Trouvez des illustrations de moments où vos atouts vous ont servi dans votre vie précédente, professionnelle plus que personnelle.

Vous aurez ainsi de quoi mettre sur votre CV et dans votre Lettre de motivation, ce qu’attendent les recruteurs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Points faibles entretien d’embauche ou Liste 1 des points forts et points faibles
Définition Points faibles Points forts
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche

Points faibles à citer 2/6 : Les échecs professionnels
Bilan de compétences : 6 raisons pour en établir un
Cerveau droit ou cerveau gauche : Trouver vos points faibles et vos points forts

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Employabilité : Les 8 compétences que les entreprises attendent d’un cadre


Que doit être capable de faire un cadre pour progresser

perle rareLes entreprises de tailles diverses ont les mêmes difficultés de recrutement : trouver le mouton à cinq pattes, le cadre idéal; la perle rare.

La caricature dit que ce cadre idéal est moins de 30 ans avec 10 ans d’expérience, accepte n’importe quelle tâche pour un salaire minimum.
Enfin ! C’est une caricature…, n’est-ce pas ?

Trêve de plaisanterie.

Qu’est qu’une entreprise attend d’un cadre ?

TPE, PME, ou grande entreprise, les besoins de compétences sont identiques.

01. Grande polyvalence

Être capable de tout faire, ou presque, et de le faire bien

02. Maîtrise des outils digitaux

Internet ou autres logiciels, la maîtrise des outils numériques est indispensable

03. Compétences technico-règlementaires

C’est la base : connaître son métier, à la fois techniquement et en connaître les règles et les limites règlementaires

04. Management des équipes

Également une compétence de base pour un cadre, l’encadrement de son équipe de collaborateurs

05. Gestion de projet

Mener des projets, en maîtrisant les ressources financières, humaines et matérielles, dans un délai et un budget donnés, pour répondre à un besoin précis, est une compétence attendue de tous les cadres

06. Stratégie globale de l’entreprise

Plus le cadre a un poste élevé dans la hiérarchie et plus il doit avoir une vision globale de l’entreprise et être capable de définir et/ou d’apprécier la stratégie de son positionnement et de son développement

07. Approche systémique du marché

Être capable d’appréhender les tenants et aboutissants du marché par une analyse des interactions entre les différents systèmes internes et externes à l’entreprise, est aussi une compétence demandée

08. Soft Skills ou savoir-être

Les qualités personnelles prennent de plus en plus le pas sur les critères purement de connaissances et d’expériences en matière de recrutement

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Points forts, points faibles : les connaître, pourquoi ?
Manager une équipe, c’est en être le coordinateur
Stratégies à l’usage d’un dirigeant d’entreprise

Organisation de la Gestion de Projet
Approche d’un schéma directeur
Recrutement : La richesse de la personnalité

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Entreprise : Pourquoi les structures transversales remplacent les structures verticales ?


Pourquoi les entreprises substituent-elles des structures transversales aux anciennes structures verticales ?

La structure verticale

Le principe de la structure verticale est que le « sachant » est le supérieur hiérarchique.
D’ailleurs, rien que le terme « supérieur » indique une notion de supériorité intellectuelle en plus de l’autorité qui va avec le poste.

Les subordonnés sont considérés comme des outils.
On parle pour les postes hiérarchiques intermédiaires de « courroie de transmission » car ils sont là pour transmettre les ordres du haut vers le bas.

structure verticale d'une entreprise classique

Inversement, quand un subordonné émet une idée, il l’a transmet à son supérieur direct, qui décide de la faire remonter à son propre supérieur hiérarchique ou de l’abandonner.
Ce phénomène conduit à une étroitesse et à la déperdition d’informations ou/et d’idées, notamment d’amélioration.

Il conduit aussi à l’isolement d’un niveau de la hiérarchie entre son niveau juste au-dessus et son niveau juste en dessous.
Aucune passerelle pour aller au-delà. Chacun a sa place.

L’ambition personnelle est de « grimper » dans la hiérarchie pour avoir « plus de monde » donc « plus de pouvoir » « sous » soi.

Dans une structure verticale, les sentiments sont laissés de côté, chacun les garde pour soi.

Plus on reste dans l’entreprise et plus on a de chance de monter en grade.
On se méfie de ceux « d’en-dessous » qui peuvent/veulent prendre votre place et on cherche à prendre la place de son supérieur.

Les relations humaines sont pleines de sous-entendus, de coups bas à la moindre faute de son supérieur ou de soi-même.

Quant à ceux qui sont bien dans leur poste, la routine s’installe.

Le moteur est une relation de pouvoir. Les rouages sont bien huilés, chacun sait ce qu’il a à faire et généralement il le fait bien.

La structure transversale

Dans une structure transversale, le principe est que chacun collabore avec les autres pour « libérer » le potentiel des collaborateurs.

Le responsable hiérarchique permet à chacun de montrer et de démontrer son savoir et son savoir-faire, pour que l’entreprise profite au maximum des efforts de tous.

La récompense est indépendante de la hiérarchie, elle est différente d’une progression hiérarchique et est plus dans l’accomplissement personnel du collaborateur et la satisfaction de son responsable d’avoir choisi un collaborateur efficace.

Les énergies et les potentiels sont libérés, les gens s’expriment plus librement.
Plus le collaborateur est content dans son travail et plus il travaille.

Dans une structure transversale, les sentiments s’expriment, la créativité se déclenche, le partage d’idées conduit à une collaboration étroite entre des personnes sur des objectifs communs, même s’ils sont dans des hiérarchies ou dans des niveaux de hiérarchie différents.

La méfiance vient plus de la maîtrise du savoir et de la gestion des relations humaines.

Le respect n’est plus en fonction de sa position hiérarchique mais en fonction de ses capacités personnelles et des actions au sein d’un projet ou pour un objectif commun.

La routine s’installe dans le dynamisme de l’équipe. La moindre défaillance ou fatigue se fait immédiatement remarquée.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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La structure des potentialités d’une entreprise
La gestion stratégique du management

Les 3 types de management
Les trois temps d’une structuration interne
Déléguer ET contrôler, sinon gare aux conséquences !

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Productivité : Utilisez du papier quand l’ordinateur n’est pas nécessaire


Le mythe du zéro papier

le mythe du zero papierÀ l’arrivée des ordinateurs, certains ont poussé un cri de joie : fini les piles de papier qui encombraient le bureau.
Tout cela disparaîtrait car enregistré dans un petit volume, celui de l’ordinateur.

D’autres ont crié de désespoir : ce serait toute l’industrie du bois et du papier qui serait mise à mal par une diminution effroyable de l’utilisation du papier.

Force est de constater que les industries du papier se portent bien, sinon mieux qu’à cette époque et que nos bureaux sont toujours encombrés de papier… en plus de l’ordinateur.

Réfléchir avec du papier

Mettre ses idées sur papier, dessiner sur papier, écrire ou mettre des notes de musique sur du papier.

Le papier existe depuis des siècles. Il est le support, par excellence de tout support visuel, durable, universel du savoir et de l’information.

Aucune limite. Si la feuille est trop petite, on lui en accole une autre et on poursuit sa réflexion.

Une erreur dans une formule, un dessin, une faute dans un mot : une gomme ou une rature et la réflexion se poursuit.

On peut revenir sur ce qui a été écrit plus tôt, prendre des notes, faire des phrases ou utiliser les mots-clés. Le papier stimule la réflexion car à part un crayon, les techniques à connaître sont des plus simples : savoir lire et écrire, compter, dessiner.

Encore mieux, il est possible de se tromper dans le graphisme ou les graphèmes, sans conséquence fâcheuse car la réflexion se poursuit.

Écrire une idée sur un post-it puis le coller au mur au milieu d’autres idées dans un exercice de créativité

Et l’ordinateur alors ?

L’écran, le clavier et la souris, sont des outils qu’il faut d’abord maîtriser avant de les utiliser pour réfléchir.

L’esprit est en partie occupé à cette maîtrise au détriment de la réflexion proprement dite.

L’écran est toujours trop petit. Il faut utiliser la souris ou le clavier pour retrouver ses idées qui n’apparaissent plus à l’écran.

Bien sûr, l’ordinateur permet de conserver les informations, d’en trouver pour alimenter la réflexion. Cependant, le mécanisme de la réflexion reste dans le cerveau.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


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Les bases de la productivité 3/4 : L’hygiène de vie

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La Communication externe : Moyens et Diffusion
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Décès : Les formalités bancaires
Lettre de Georges Sand à Alfred de Musset
Méthode de rédaction de la documentation utilisateur

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Productivité : Paresseux et productif


Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile

je suis trop paresseux pour te quitter

La nécessité et l’envie

La nécessité et l’envie, sont deux moteurs importants de la créativité. Les paresseux (envie) et les handicapés (nécessité) sont des personnes suffisamment ingénieuses et créatives pour inventer des méthodes et des moyens qui leur facilite la vie.

Sommaire :

  1. Principe de Pareto ou principe des 80-20
  2. Si être productif signifie être égoïste, alors soyez égoïste
  3. Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie
  4. Démarrez seulement lorsque vous êtes vraiment prêt
  5. Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile
  6. Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement
  7. Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire
  8. Finissez rapidement, souvent, sans rechercher la perfection

Le puits, l’irrigation, le tout-à-l’égout, sont autant d’inventions créées pour se faciliter la vie que pour des raisons de théories.

À chaque fois, qu’un problème apparaît, quelqu’un trouve une solution. Et lorsque plusieurs solutions sont envisagées, celle qui est retenu est celle qui demande le moins d’effort.

Les aliments prédécoupés, prédécoupés et précuits ont pris le pas sur la préparation interminable des repas de nos ancêtres.

Alors attendre ?

Attendre sans rien faire peut paraître un moment comme la solution la plus facile, seulement cela ne produit aucun résultat. L’agriculture a été inventée car la chasse et la cueillette donnaient des résultats insuffisants. Le chemin le plus facile a été de se sédentariser et de cultiver plutôt que de dépendre uniquement de la nature.

La productivité en entreprise suit cet état d’esprit préhistorique. Les entreprises innovantes vont créer des produits et des services qui faciliteront la vie des individus et des autres sociétés.

Certes, ce qui facilite la vie de certains peut s’avérer une contrainte pour d’autres. Si les ordinateurs servent à tout le monde, ils facilitent le travail des inspecteurs des impôts tout autant que les employés de la sécurité sociale ou des allocations familiales pour le meilleur service à ses employés et aux personnes qui bénéficient de leurs services.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

9 conseils pour atteindre et tenir ses objectifs
Management : À savoir pour manager la génération Y
Incompétence ou 10 conseils pour faire face aux critiques

Créativité : Le pouvoir du « Ou bien »
Quand phonèmes et graphèmes rendent la langue française difficile
Logo : 12 caractéristiques d’efficacité

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Le CQFD du Brainstorming


Le brainstorming ou remue-méninge est une technique de créativité

Remuer ses méninges

Remuer ses méninges

Elle met en oeuvre un processus de création d’idées en groupe.

Les règles sont simples à comprendre. Le temps est limité.

Les idées doivent s’exprimer sans critique, ni de la part des autres, ni de soi-même. La première partie du brainstorming doit être libre de tout frein et de toute contrainte. Vive la liberté d’expression et à bas la Censure.

Ce qui compte, c’est d’obtenir un maximum d’idées, en un temps court. Plus il y a d’idées exprimées et plus il y a de possibilités que les idées puissent se transformer en projets réalistes. La Quantité prime sur la qualité.

Avoir des idées, c’est trouver quelque chose qui soit nouveau. Même les idées les plus farfelues, exprimées dans la première partir du remue-méninge, peuvent se transformer en idées intéressantes, lors de l’analyse des idées dans la deuxième partie de la séance. Plus l’idée est originale, plus il y a de Fantaisie et plus l’idée plaira, ou sera, au moins, nouvelle.

Une idée en appelle une autre. Dès qu’un participant exprime sa créativité, les autres enchaînent, renchérissent et développent de nouvelles idées à partir de la première. C’est un effet boule de neige, un foisonnement d’idées, une Démultiplication des idées.

Quand vous avez compris tout cela, vous connaissez alors les 4 règles ou CQFD du brainstorming :

  1. Censure oubliée
  2. Quantité
  3. Fantaisie
  4. Démultiplication

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

La Méthode 635
Les quatre règles du brainstorming ou remue méninges
Créativité : Le pouvoir du « Ou bien »

Chronitron : une idée saugrenue pour son organisation personnelle ?
Le brainstorming ou remue méninges, une méthode pour trouver des idées en groupe
PEPITE et statut d’étudiant entrepreneur

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Amélioration : 10 principes pour être efficace en entreprise et ailleurs


Amélioration : 10 principes pour être efficace en entreprise et ailleurs

AméliorationVous manquez d’efficacité pour améliorer votre situation, professionnelle ou personnelle, dans votre entreprise ou ailleurs ?

Vous vous demandez pourquoi et comment ?

Voici quelques principes pour augmenter l’efficacité de votre processus d’amélioration :

1. Abandonner les idées fixes

Tant que vous vous agrippez à la corde qui vous serre le cou, vous survivrez…
…Sans résoudre votre problème.

2. Au lieu d’expliquer ce qui est impossible à faire, réfléchissez à comment le faire

Vous trouverez toujours une « bonne » raison pour ne pas mettre en oeuvre une solution qui permette d’avancer.

3. Refuser l’état actuel des choses

Si vous ne voulez pas voir l’éclat du problème, vous ne pourrez pas voir d’ombre d’une solution.

4. Réaliser immédiatement les bonnes propositions d’amélioration

Si vous ne démarrez pas le processus par une première action, vous risquez de vous voir prolonger votre problème.

A attendre le bateau de secours sans prendre place dans le canot de sauvetage, le tsunami de vos problème risque de vous submerger.

5. Ne pas chercher la perfection

La perfection n’existe pas. Les solutions miracles non plus.

A chercher LA perfection, vous risquez de passer à côté de solutions qui vous permettraient de franchir les étapes vers la résolution de votre problème, pas à pas.

6. Corriger l’erreur immédiatement sur le terrain

La mise en oeuvre d’une solution se fait sur le terrain.

Elle permet d’avancer vers l’amélioration ET de détecter d’éventuels dysfonctionnements ou problèmes cachés jusque là par le problème désormais résolu.

7. Trouver des idées novatrices

Le Monde bouge en permanence.
Ce qui était valable hier, peut être devenu obsolète aujourd’hui.

Les vieilles idées ne marchent pas toujours.
De nouvelles idées résoudront les nouveaux problèmes.

8. Identifier en premier lieu la cause réelle afin de chercher ensuite la solution

Mieux vaut savoir où se trouve l’incendie avant d’appeler les pompiers.
Une cause apparente peut cacher un problème plus important.

L’amélioration de la situation passe par la source réelle des problèmes.
N’endiguez pas une rivière en aval, si elle peut changer son cours en amont.

9. Enregistrer les idées de 10 personnes au lieu d’attendre l’idée géniale d’une seule

Une idée en amène une autre. Chacun apporte sa pierre à l’édifice de la réflexion.
L’union fait la force tant dans la recherche des causes que dans celle des solutions et encore plus dans leurs mises en oeuvre.

10. Rendre l’amélioration permanente

En permanence, des évènements, intérieurs ou extérieurs, influencent sur une situation, même les plus optimisées.
C’est pourquoi, l’amélioration est un processus qualité, lui aussi, permanent.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Méthode SCORE ou Chercher les causes profondes
Carences dans une organisation décelées par son informatisation
Les causes des dysfonctionnements

Actions d’amélioration au sein d’une entreprise
Les 10 clés du changement
Les 6 défis de la modernité

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Récapitulatif 6 Management
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Crise : Quelques conseils pour une entreprise


Quelques conseils pour une entreprise en temps de crise

Se remettre en cause

poches vides en temps de crise

  • Être inventif et imaginatif
  • Être acteur plutôt que spectateur
  • Faire plutôt que Bientôt faire ou Faire faire

Retrouver le plaisir de travailler

  • Revenir à des valeurs et des relations humaines partagées
  • Rassurer ses collaborateurs
  • Conserver un esprit de famille
  • Montrer l’exemple

Trouver des méthodes d’organisation pour gagner du temps

  • Sélectionner et trier les informations pour prendre des décisions
  • Améliorer la fluidité et le partage des informations

Développer ses ventes

  • Étonner et séduire le consommateur
  • Utiliser ses relations commerciales
  • Développer ses ventes en ligne

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Les différentes Méthodes d’innovation
Indicateurs d’efficacité
Comment retenir et valoriser ses propres idées

10 domaines d’analyse et d’activités stratégiques internes dans une entreprise
Stratégies à l’usage d’un dirigeant d’entreprise
Je confie les tâches à bon escient

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Créativité : Le pouvoir du « Ou bien »


Le pouvoir du « Ou bien »

hélicoptère par de VinciQuand vous vous trouvez devant un choix à faire, une décision à prendre, vous pouvez

  • établir une liste d’avantages et d’inconvénients,
  • déterminer des conséquences positives et négatives,
  • etc.

A partir de là, différentes méthodes existent pour

  • la résolution de problèmes ou
  • la recherche de solutions ou d’idées.

Vous en trouverez un échantillon dans ce blog.

La méthode, que j’appelle le « Ou bien » est une des plus simples et une des plus faciles à mettre en œuvre.

Pour obtenir un résultat,

il faut faire, ou ne pas faire, telle(s) ou telle(s) action(s).

Si vous vous arrêtez là, vous vous limitez à ce que vous avez imaginé jusque là, au raisonnement tenu jusqu’à ce moment-là.

Par contre, ajoutez le « ou bien » en fin de phrase et vous poussez alors votre raisonnement pour découvrir d’autres possibilités. Cela donne :

Pour obtenir un résultat,

il faut faire, ou ne pas faire, telle(s) ou telle(s) action(s), ou bien

Qu’en pensez-vous ?

Notez que le « ou bien » peut aussi s’appeler le « ou alors »  😉

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Analyse préalable de l’activité de décision
Les bonnes questions pour se fixer ses priorités
Le brainstorming ou remue méninges, une méthode pour trouver des idées en groupe

La Méthode 635
Les étapes et les principes de la Méthode d’Analyse de problème
Les différentes Méthodes d’innovation

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Résumé 4-1 Informatique au 28 juin 2009


Récapitulatif 4-1 Informatique

Position des doigts sur un clavier

La création d’un lexique de mots, d’acronymes et d’expressions dans le domaine de l’informatique et associé a été un événement.

Même s’il est peu visité et m’a pris beaucoup de temps.

https://sites.google.com/site/phgarinlexiqueinformatique/

C’est pourquoi, après avoir rédigé certains billets que j’ai repris sur ce site, la plupart des autres billets sont en liens directs avec ce site que je vous invite à visiter.

Si vous souhaitez me faire part de sujets à traiter, que vous désirez voir développer, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Tous les liens sont regroupés dans la page : Informatique

Les articles :

3D Secure
Analogique
ASCII
Baud

Bit et Octet
Boulier
CNIL
Compilateur

Données
e-mail ou Courriel
Génie informatique
Incrément

Infographie
Information
Informatique
Instruction – Statement

Internet
ITU et CCITT
Langage
Logiciel

MIPS
Modem
Numérique
Ordinateur

PDA ou Personal Digital Assistant
Pixel
Programmation
Prolog

Sémantique
SMTP
Spécification
Structure

Syntaxe
Système
Système binaire
Système d’exploitation
Zuse, Konrad

En complément :

Suffixes AA – BR des noms de domaine ISO 3166
Suffixes BS – EC des noms de domaine ISO 3166
Suffixes EE – GW des noms de domaine ISO 3166

Suffixes GY – KY des noms de domaine ISO 3166
Suffixes KZ – MV des noms de domaine ISO 3166
Suffixes MW – PY des noms de domaine ISO 3166

Suffixes QA – TJ des noms de domaine ISO 3166
Suffixes TK – ZW des noms de domaine ISO 3166

Les billets concernant la construction progressive de mon lexique informatique sont les suivants :

Accès par thèmes à mon lexique informatique
Analyse thème ajouté dans mon site
Applications point d’entrée sur https://sites.google.com/site/phgarinlexiqueinformatique

Créativité dans l’informatique
Informations Fichiers Données
Internet thème d’accès aux définitions

Lexique informatique https://sites.google.com/site/phlexiqueinformatique
Logiciel tout ce qui tourne autour
Management et Informatique ont un lexique commun
Matériels sur https://sites.google.com/site/phgarinlexiqueinformatique

Pour en savoir plus :


Autres Informatique :

Récapitulatif 4-2 Informatique
Récapitulatif 1 Informatique
Récapitulatif 2 Informatique

Récapitulatif 3 Informatique
Récapitulatif 5 Informatique
Récapitulatif 6 informatique

Récapitulatif 7 Informatique
Récapitulatif 8 Informatique

Tous les billets de cette catégorie sont listés dans la page Informatique

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