Pourquoi mettre à jour son serveur informatique


Serveur informatique : Pourquoi la mise à jour

C’est quoi un serveur ?

serveur informatiqueLe serveur dans une organisation est l’ordinateur principal dans lequel on trouve généralement les programmes et les données de l’organisation.

Ces contenus sont mis à la disposition du personnel de l’organisation.
Quelquefois, les données sont accessibles par Internet à des personnes extérieures, comme des particuliers ou d’autres entreprises ou administrations.
On parle alors de serveur internet.

Dès que l’organisation grandit, les infrastructures informatiques évoluent avec la présence de plusieurs serveurs.
Par exemple, un serveur d’impression, un firewall, un serveur de messagerie, un serveur de stockage des informations.

C’est quoi une mise à jour ?

Quand on parle de mise à jour, il s’agit essentiellement de l’installation de la dernière version ou du dernier correctif, appelé aussi patch,  du système d’exploitation, ou des programmes, comme le navigateur ou le site Internet, ou encore d’un des progiciels sous licence ou non.

Pour tout ce qui est logiciels et système d’exploitation, le service informatique signe un contrat de maintenance logicielle, comme il le fait, par ailleurs, pour la maintenance du matériel.

Pourquoi une mise à jour ?

En effet, système, logiciels ou matériels, ont besoin d’évoluer pour les raisons suivantes :

  1. Plus on s’en sert, moins c’est rapide
  2. Plus on s’en sert, plus il y a de pannes ou des arrêts imprévus
  3. Plus le temps passe, plus les logiciels réclament de la puissance et de la performance
  4. Plus on en fait, plus on en veut
  5. Plus on attend, moins c’est fiable, par des fonctions supplémentaires techniques
  6. Plus récente est le système d’information, plus il est sécurisé

Un contrat de maintenance est différent d’une assurance.

On espère d’avoir jamais besoin de faire intervenir l’assurance, alors que l’on veut des interventions de maintenance pour être toujours à jour, pour avoir un système d’informations performant, fiable et sécurisé.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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L’électricité dans la salle informatique


Salle informatique : Au courant

Lumière !

La lumière de la salle informatique est produite uniquement par des tubes au néon ou autres lampes à gaz inertes pour éviter tout risque d’accident.

Prévoir aussi un éclairage de secours en cas de panne de l’éclairage ordinaire.

Sommaire :

Les mesures de protection de la salle informatique

  1. Porte spéciale
  2. Dispositif anti-incendie
  3. Climatisation
  4. Électricité
  5. Armoires, câblage, serveurs
  6. Divers autres équipements

électricité dans la salle informatique

Armoires et prises

C’est dans la salle informatique que doit se trouver la ou les armoires électriques avec les fusibles.

Systématiquement, tous les équipements présents dans la salle informatique, y compris les prises électriques, doivent être branchés à la terre. Chaque prise doit avoir son fusible.

Le nombre de prises électriques doit être suffisamment important pour pouvoir installer tous les équipements électriques à installer dans la salle informatique au présent et au futur, de telle façon que chaque câble d’alimentation électrique ait sa propre prise sans avoir besoin d’installer de multiprises.

Les prises électriques doivent être réparties géographiquement dans la salle informatique. En cas de risque d’inondation fort, à une certaine hauteur. Dans le cas très majoritaire, au sol, dans le faux-plancher. De préférence les prises sont à proximité des armoires informatiques, tout en prévoyant d’en avoir un peu partout, puisque l’emplacement des armoires informatiques peut changer avec le temps et les besoins de l’organisation.

Coupure d’électricité : Aïe ?

Une coupure générale de l’électricité dans le bâtiment doit laisser intact l’alimentation électrique de la salle informatique. C’est pourquoi, l’autonomie de l’installation électrique doit être garantie.

Les personnes, habilitées à pénétrer dans la salle informatique, d’y pénétrer, grâce à leurs cartes ou badges magnétiques, ce qui suppose que le lecteur de carte soit alimenté par l’électricité de la salle informatique, doivent pouvoir déconnecter et arrêter tous les équipements contenus dans la salle, sans perte de fonctionnalités ni de données.

Onduleur

Le courant dit « soutenu » est signalé par une couleur rouge du fond des prises électriques. Il s’agit de prise dont l’alimentation passe par un onduleur. L’onduleur est un appareil qui reçoit en entrée l’électricité du secteur, comme tout autre appareil électrique, bien que souvent il s’agisse de courant triphasé. En sortie, l’onduleur produit un courant « propre », c’est-à-dire sans fluctuation et permanent.

En cas de rupture de l’alimentation générale, les batteries de l’onduleur, génératrices d’électricité, prennent automatiquement le relais. La durée de vie des batteries et donc leur nombre et la taille de l’onduleur dépend de la quantité d’appareils électriques présents dans la salle informatique.

La durée doit être suffisante pour que les personnes habilitées accèdent à la salle informatique pour arrêter tranquillement tous les équipements.

L’onduleur doit faire l’objet d’une maintenance annuelle et les batteries doivent être vérifiées et changées régulièrement.

L’onduleur assure une continuité de la fourniture d’électricité limitée dans le temps, c’est pourquoi, un autre dispositif s’ajoute pour une protection de longue durée, à savoir un générateur ou groupe électrogène.

Groupe électrogène

Le générateur est installé à l’extérieur du bâtiment où se trouve la salle informatique. Il est connecté à la salle en amont de l’onduleur de façon à ce qu’il se déclenche automatiquement lorsque les batteries de l’onduleur se sont vidées.

Le groupe électrogène a sa propre réserve de carburant, elle-même protégée des intrus et de toute action néfaste. Cette réserve doit permettre d’assurer une alimentation sur plusieurs jours voire plusieurs semaines.

La durée d’une utilisation continue du groupe électrogène dépend de la durée d’approvisionnement en carburant de ses réserves. En théorie, dans un environnement où l’approvisionnement est facile et régulier, le groupe électrogène pourrait fonctionner des années durant.

Comme tous les dispositifs de sécurité, le groupe électrogène doit faire l’objet de maintenance régulière et de test de bon fonctionnement.

Philippe Garin, plus de 20 ans manager en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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La climatisation de la salle informatique


La climatisation de la salle informatique

Partant du principe que la salle informatique est fermée en quasi permanence, et qu’elle est hermétique, coupée de l’extérieur quand elle est fermée, un système de climatisation s’avère donc impératif et indispensable pour :

  • Respirer, tout simplement, lorsqu’on est dans la salle informatique
  • Maintenir la température et le degré d’hygrométrie constants.

Sommaire :

Les mesures de protection de la salle informatique

  1. Porte spéciale
  2. Dispositif anti-incendie
  3. Climatisation
  4. Électricité
  5. Armoires, câblage, serveurs
  6. Divers autres équipements

climatisation salle informatique

Chaque ouverture et fermeture de la porte introduit un changement de température. Il est généralement négligeable et les équipements présents dans la salle informatique supportent ce petit écart.

Chaque nouvel appareil ajouté dans la salle informatique et qui consomme de l’énergie, en diffuse également. Le système de climatisation doit être conçu de façon à absorber tout ajout et écart énergétique.

Installation

Pour la protection de la salle informatique, il est préférable d’installer la partie extérieure de la climatisation sur le toit, plutôt que sur la cour, de l’autre côté du mur de la salle informatique.

En tout état de cause, quel que soit l’emplacement choisi pour la partie extérieure de la climatisation, il doit être protégé par un grillage suffisamment solide pour résister à une tentative de pénétration et de sabotage.

À l’intérieur de la salle informatique, il faut prévoir plusieurs climatiseurs, de telle façon que si l’un d’eux venait à s’arrêter, pour cause de panne ou de maintenance, alors les autres climatiseurs assurent la même température à l’intérieur de la salle.

Là encore, une alarme doit être déclenchée automatiquement en cas d’interruption involontaire de la climatisation, c’est-à-dire en cas d’un écart de température trop important pour le bon fonctionnement des équipements.

Humidité de l’air

Le degré d’hygrométrie fait partie du dispositif de climatisation. Cela suppose que celle-ci ait l’accès à un point d’eau. L’eau doit se trouver à l’extérieur de la salle informatique.

L’assèchement automatique par la climatisation rend la présence de condensation impossible dans un fonctionnement correct. Cependant, un défaut de fonctionnement peut introduire de l’eau dans la salle informatique. C’est pourquoi des détecteurs d’eau doivent s’ajouter aux détecteurs anti-incendie au sol. Un début d’inondation non détecté causerait des dégâts à l’alimentation électrique, au minimum.

La puissance des dispositifs de climatisation doit tenir compte du climat où se trouve le bâtiment. Écarts hiver – été.

Philippe Garin, plus de 20 ans manager en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Anti-incendie de la salle informatique


Le dispositif anti-incendie dans la salle informatique

Détecteurs et alarmes

Des normes bien précises obligent la mise en place d’un système anti-incendie, basé sur des détecteurs et sur l’utilisation d’un gaz pour éteindre tout début de feu.

Sommaire :

Les mesures de protection de la salle informatique

  1. Porte spéciale
  2. Dispositif anti-incendie
  3. Climatisation
  4. Électricité
  5. Armoires, câblage, serveurs
  6. Divers autres équipements

La salle informatique est hermétique et la ou les bouteilles de gaz se trouvent à l’intérieur de la salle.

gaz anti-incendie

Des détecteurs de fumée, de flamme, de chaleur, sont disposés au plafond et au sol, dans le faux-plancher technique. Ces détecteurs sont reliés au système d’alarme.

Lorsque l’un des détecteurs est activé, il déclenche :

  • Une alarme sonore qui avertit les personnes présentes éventuellement dans la salle informatique qu’il leur faut sortir d’urgence
  • Une alarme visuelle, placée au-dessus de la porte de la salle informatique, pour signifier une évacuation immédiate, ainsi qu’une autre au-dessus de la porte, dans le couloir pour interdire l’entrée de la salle informatique
  • Une diffusion automatique du gaz anti-incendie dans la salle.

Protéger les personnes

Pour les grandes salles informatiques, il est préférable de prévoir des masques avec des cartouches d’oxygène, à l’intérieur et à l’extérieur de la salle informatique. Une maintenance régulière du bon fonctionnement est indispensable, bien que ce soit un dispositif annexe peu fréquent.

  • À l’intérieur dans l’éventualité où les occupants n’auraient pas suffisamment de temps pour sortir.
  • À l’extérieur de la salle pour permettre à des sauveteurs de pénétrer dans la salle informatique pour secourir d’éventuels occupants pris au piège.

Respirer

Le système anti-incendie contient également les circuits d’évacuation du gaz. Ce gaz a pour propriété d’absorber l’oxygène de l’air, il faut donc l’évacuer avant de pouvoir pénétrer à nouveau dans la salle. Ce dispositif doit être automatique et minuté. Il consiste essentiellement à des valves d’évacuation construites en même temps que la salle, de préférence à une installation après coup.

Maintenance et tests

La quantité et la durée de diffusion du gaz sont en rapport direct avec le volume de la salle informatique. Il en est de même pour le nombre de détecteurs.

Une à deux fois par an, tout le dispositif anti-incendie doit faire l’objet de tests de bon fonctionnement et d’étanchéité de la salle informatique. À laisser à des spécialistes.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Le Cloud computing : un nouveau business modèle pour réduire le TCO informatique


Le Cloud computing : un nouveau business modèle pour réduire le TCO informatique

Parce qu’aujourd’hui maîtriser ses dépenses est devenu pour les entreprises un leitmotiv implacable, les DSI se doivent de satisfaire les objectifs de leurs dirigeants en proposant des stratégies et des méthodes pour réduire les coûts, tout en améliorant le fonctionnement de l’entreprise. Afin d’obtenir un bon équilibre entre coûts et performances, les entreprises utilisent donc des méthodes telle que le Total Cost of Ownership (TCO Coût Total de Propriété) qui permet de déterminer les coûts directs et indirects d’un produit ou d’un système

Voyons ensemble ce que recouvre cette notion, et dans quelles mesures il est aujourd’hui possible d’envisager une réduction de ce TCO en utilisant les dernières technologies sur le marché.

Qu’est-ce que le TCO informatique ?

Le Cloud Computing pour réduire le TCO informatiqueLe concept du TCO a été utilisé dans une multitude de domaines, notamment pour les systèmes d’information et les systèmes informatiques depuis la fin des années quatre-vingt. De nombreuses méthodologies et outils informatiques ont ainsi été développés afin de quantifier l’impact financier du déploiement d’un produit tout au long de son cycle de vie : achat, installation, maintenance et évolutions.

Le TCO informatique comprendra donc les coûts tels que les coûts des logiciels et matériels informatiques, nécessaires au déploiement et à l’utilisation d’une application (réseau, serveurs, stations de travail, installation et intégration des outils, frais de licences et de garanties, migration ou risques), les dépenses opérationnelles y afférant (surfaces pour les infrastructures, énergie électrique, tests, indisponibilités ou dégradations des performances, sécurité et moyens de sauvegardes, formation, audit, assurance, temps de gestion des services dédiés), et les dépenses à long terme (remplacement, dépenses pour mises à jour (upgrades) ou changements d’échelle).

Il comprendra également tout ce qui concerne les coûts de formation et de support utilisateur, les coûts liés à une mauvaise utilisation des outils ou encore, les coûts liés aux indisponibilités du service.

Comment réduire le TCO ?

Parmi les technologies les plus attendues par les DSI, il en est une qui se prête particulièrement à la réduction du TCO, le Cloud Computing. En effet, le Cloud Computing permet de ne plus avoir à assumer la propriété d’une partie, plus ou moins importante, de l’infrastructure et de sa maintenance.

On distingue actuellement trois types de services de Cloud : L’Infrastructure en tant que Service (IaaS – Infrastructure as a Service), les Plateformes comme Service (PaaS – Platform as a Service) et les Applications en tant que Service (SaaS – Software as a Service)

Quelles réductions du TCO informatique peut-on espérer avec le Cloud ?

Dans le cas d’un service de type IaaS, le fournisseur de service Cloud prend à sa charge la virtualisation, les matériels serveurs, le matériel de stockage et de préservation des données et l’ensemble de l’infrastructure réseau. Autant de postes sur lesquels le client pourra réaliser de sérieuses économies (surfaces, maintenance, etc.).

Dans le cas d’un service PaaS, le fournisseur « Cloud » prendra, en sus, à sa charge, les logiciels serveurs, le gestionnaire de bases de données, l’intégration de l’architecture orientée services (SOA) et les runtimes (logiciel de lancement, en français).

Enfin, pour un service de type SaaS, le fournisseur se chargera aussi des applications, qui tourneront à distance pour le client et dont les mises à jour et tests seront réalisés par le fournisseur du service lui-même.

Dans le cas du déploiement d’une application en tant que service, les facteurs de diminution du TCO atteignent jusqu’à 40%, selon l’institut de recherche IDC (International Data Corporation). Et, lorsque le client tient à conserver la maîtrise de ses applications et souhaite alléger sa facture sur la seule infrastructure, le facteur de diminution peut aller jusqu’à 44%. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par la ville de Bergheim, en Allemagne, qui a analysé les coûts annuels engendrés par les postes de travail, sur une durée de sept ans. Il en a été ainsi conclu que les coûts annuels pour un poste de travail de type client léger (=sans disque dur local) s’élèvent à 44% de moins que pour un poste de travail PC décentralisé.

Avec un marché qui devrait atteindre 1 milliard de dollars en 2014, le Cloud est en phase d’adoption par les entreprises. S’agit-il d’un effet de mode, où les bénéfices sont-ils bien réels ? En attendant la confirmation de cette tendance, il faut savoir que les grandes institutions cautionnent déjà le Cloud. C’est, par exemple, le cas de la Commission Européenne, qui a réalisé une étude sur le sujet en 2011, et qui voit dans le Cloud le moyen de rendre les PME européennes plus compétitives et de faire baisser la facture énergétique. Il semblerait donc que le Cloud soit un nouvel eldorado capable de faire réaliser aux entreprises de réelles économies !

Auteurs : Nathalie Gonzalves et Jérôme Chapeau, Ivision

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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TCO : Les coûts de logiciels dans le Coût total de possession


Les coûts des logiciels sont intégrés dans le calcul du TCO ou Coût total de possession

coût total de possession ou TCOGénéralement, on ne dispose que de l’usage des logiciels. On parle d’acheter un logiciel, alors qu’en fait on n’en dispose pas les droits, sinon tout le monde pourrait modifier le logiciel et le revendre, ce qui n’est le cas que pour des développements spécifiques internes.

Il y a donc un coût initial et un coût d’évolution et de maintenance. Là encore, ces coûts pour la bureautique se limitent généralement aux coûts de la formation du personnel à l’utilisation de tels logiciels.

Les fournisseurs de logiciels, ERP et logiciels métiers, mettent à disposition du personnel de hotline, rémunérés par des contrats de maintenance des clients, et du personnel de développement des nouvelles versions, soit au travers de contrats séparés ou inclus dans les contrats de maintenance.

En tout état de cause, il s’agit de coûts récurrents connus dès le départ et donc à prendre en compte dans le calcul du TCO.
Les coûts de maintenance à la panne et les coûts de consommables sont variables.

Cependant, si le parc est important, les coûts mensuels sont à peu prêt les mêmes, c’est une loi de statistique.
Si le parc est faible, il peut y avoir des variations d’un mois sur l’autre.

Comme le TCO est calculé avec une échelle minimale au mois, il faut alors regrouper les coûts pour un parc restreint au trimestre ou à l’année, mais on perd de la finesse de calcul.

Ceci explique aussi pourquoi le TCO est l’apanage des entreprises avec un parc important.
Important est un mot sans indication du nombre, car c’est l’activité de l’entreprise qui permet de chiffrer le parc.

S’il s’agit d’une entreprise technologique, on peut comprendre qu’elle va utiliser un parc informatique important.
Il est en de même s’il s’agit d’une entreprise qui imprime beaucoup (catalogue, listes de prix, etc.).

A l’inverse, lorsque l’informatique est rare ou de constitue pas l’activité principale, par exemple un commerce alors le parc est faible et le TCO n’a aucun besoin d’être calculé puisqu’il n’est alors pas un critère significatif du renouvellement.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Les étapes pour acheter votre informatique


Les étapes pour acheter votre informatique

signature contratAcheter son informatique est une décision importante, surtout pour les TPE et PME/PMI de taille réduite, qui ne peuvent se permettent de disposer d’un service informatique interne.

C’est aussi une décision importante pour les entreprises plus importantes, qui dispose du personnel qualifié.

12 étapes pour bien acheter

1. Le cahier des charges

Bien définir ce que l’on veut, ce dont on a besoin

2. La négociation

Prix selon le volume, l’ajout de services

3. Le financement

Cash, crédit, location

4. L’amortissement

Immobilisation de trois à cinq ans

5. La formation

Bien planifier les stages

6. L’installation

Mise en route, reprise des données

7. Le développement

Adaptation, make or buy, gestion de projet

8. L’assistance

Consultant, conseils, paramétrage

9. Le renouvellement

Trois fois plus souvent le matériel que le logiciel

10. La maintenance

Extension de garantie, correction de bogues, prochaine version

11. L’assurance

Multirisques environnement, indemnisation, franchise

12. La sécurité

Détérioration, perte ou vol de matériels, de données, dénis de service

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