Agression verbale 1/2 : CNV Communication non Violente


Application concrète de la Communication non violente

Le monde médical est souvent confronté à un refus de soin. Le patient peut, par exemple, refuser violemment une prise de sang par une stagiaire en l’insultant.

Le comportement face à l’agression, surtout verbale, est une question d’éducation et de formation.
Dans toutes relations entre deux personnes, il y a des mots et des faits, ainsi que des émotions.

peur de la prise de sangLa Communication Non Violente est un moyen de s’exprimer en évitant de critiquer et de blesser l’autre, notamment dans le cas d’une personne affaiblie. Cependant, elle a ses limites car le message doit parvenir correctement à son interlocuteur.

Il n’est pire sourd que celui qui ne veut point entendre

, proverbe français

La peur engendre la colère

Dans un cas de soin refusé, c’est bien souvent la peur qui est l’émotion la plus forte.
La peur nous fait agir de deux manières possibles : la fuite ou le combat.
Faute de pouvoir fuir, car blessé ou ayant besoin de soin, il reste le combat qui se manifeste alors sous la forme de coups ou d’agression verbale.

Le pourquoi de la peur est inconnu car nous voyons la colère et l’attaque avant de comprendre ce qui motive la personne à avoir un tel comportement.

quand la peur engendre la colère

la colère du docteur le transforme en un géant vert

La plupart du temps, la raison de la peur est irrationnelle. Dans l’esprit de cette personne, une stagiaire est une personne incapable d’assurer des soins et donc est susceptible de mettre sa vie en danger, d’où la peur, la colère et l’agression verbale.

Maintenant, une fois que cela est constaté et analysé, rapidement, il convient de regarder comment réagir.

Les émotions

Face à un refus de soin, en quelques secondes, les émotions se bousculent.

En premier, la surprise face à l’inattendue d’une réaction négative, qui, de plus, est verbalement une agression.

Les gestes et grimaces de l’autre peuvent aussi déclencher  peur d’une agression physique et, comme la peur est mauvaise conseillère, elle déclenche de la colère.

Vraisemblablement, la frustration de ne pouvoir soigner le patient était au rendez-vous

Les causes profondes

causes profondes les 5 pourquoi

Le principe de la recherche des causes profondes est de poser 5 fois la question « pourquoi ? ».
A un moment donné, la vraie raison va finir par sortir et il est alors possible de donner une réponse appropriée à son interlocuteur.

Néanmoins, dans le travail d’une infirmière, le temps est trop court pour analyser aussi profondément les motifs du refus violent de se laisser soigner.
Il est évident que la réponse verbale pose un problème, celui de la relation avec le patient.

Application de la CNV

Quand on applique les principes de la Communication non violente, la CNV, une réponse possible aurait pu être :

 » Je constate que vous refusez que je vous faire une prise de sang, ça me blesse car il s’agit d’un acte très banal que je maîtrise et j’ai autant droit au respect que tout le monde. J’aimerais que vous réfléchissiez et que vous m’autorisiez à vous approcher pour faire mon travail. »

ou

« De quoi avez-vous peur ? Je vous considère comme un patient qui a besoin de soin. L’infirmière en chef m’a confié la tâche de m’occuper de vous, c’est qu’elle sait que je peux le faire. J’ai confiance dans ma capacité à vous prélever du sang et dans le jugement de ma chef. ».

Rassurer

La première chose à faire est de garder son calme et de rassurer le patient, quel qu’il soit. Un comportement agressif suscite une réaction agressive.
C’est naturel, quand on est attaqué, on se défend.

rassurer ça va bien allerCependant, nous vivons dans une société et les comportements « sauvages » n’ont pas leur place. Par conséquent, ni geste violent ni parole agressive, en guise de réponse.

Rassurer le patient récalcitrant en lui faisant part

  • de son savoir-faire,
  • du jugement du responsable sur Les capacités à exécuter la tâche demandée,
  • de la volonté de le soigner,
  • de ne pas tenir compte de sa colère et de sa peur, tout en respectant sa volonté
  • d’avoir droit au respect en tant que personne autant qu’en tant que soignante.

Le premier pas est le sourire. La plupart des agressions sont évitées grâce au sourire, un sourire chaud, un sourire vrai. Pas un sourire crispé, artificiel.

Un autre pas est l’utilisation de l’humour. L’humour permet de neutraliser une agression verbale. Cela peut donner une réaction face à ce patient du genre : « ben dites donc, un grand monsieur comme vous a-t-il peur d’une prise de sang ? » sur un ton enjoué.

Lire la suite : Agression verbale 2/2 : Les Accords Toltèques

Philippe Garin, plus de 20 manager en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Les 4 registres de la Communication interpersonnelle
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Faire face à un contact agressif au téléphone

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Le syndrome de l’imposteur ou Suis-je à ma place


Ou « Ai-je le droit de postuler ? »

Le Tartuffe ou l'ImposteurLe syndrome de l’imposteur se manifeste dans le monde du travail.

C’est le même sentiment, fugace ou persistant, qui touche la personne qui est en poste, ou celle qui est en recherche d’emploi :
Celui de se sentir trop incompétent (e) pour travailler au poste qu’on occupe ou qu’on aimerait bien occuper.

Le syndrome de l’imposteur touche qui et quand ?

Ce sentiment touche tous les âges, tous les métiers, à tout moment dans sa carrière : du débutant au chevronné.

Cependant, il est plus fort dans les moments importants de changement :

  • Lorsque votre promotion est annoncée,
  • Suite à une critique ou à une série de critiques sur son travail,
  • Réflexion sur un éventuel départ de l’organisation pour laquelle on travaille,
  • Bilan sur sa carrière, ses compétences, ses expériences, ses capacités,
  • Au moment d’envoyer une candidature à un poste,
  • etc.

Certains passent leur carrière entière sans se poser une seule fois la question de savoir si, il ou elle, avait la légitimité d’occuper chacun de ses postes.

Celles et ceux, qui se sentent ou se sont sentis en décalage avec le poste, sont ainsi en fonction des traits de caractère suivants, détectés par des chercheurs de l’université de Gand en Belgique :

  1. Conscience professionnelle,
  2. Névrose,
  3. Amabilité,
  4. Franchise,
  5. Extraversion,
  6. Perfectionnisme,
  7. Satisfaction au travail,
  8. Engagement envers l’entreprise

Pourquoi ?

L’autocritique et le perfectionnisme sont les principales sources du syndrome de l’imposteur.

Ajoutez une bonne dose de manque de confiance en soi, et vous avez les ingrédients du doute sur ses capacités et sur le fait d’avoir ou de postuler au « bon » poste.

Dans une description de poste et au cours de l’entretien d’embauche avec le supérieur hiérarchique, il existe des différences ou des lacunes dans le profil du postulant ou du salarié par rapport au « candidat idéal », défini par l’employeur.

Ce sont ces points faibles, ces lacunes, ces manques qui donnent le sentiment inconfortable de prendre la place de quelqu’un de plus qualifié.

Ben alors ?

C’est se méprendre sur la démarche de recrutement.
Si vous êtes à ce poste, c’est que le recruteur a estimé que vous êtes capable, par vous-même ou par des formations internes ou par un coaching interne, de combler les compétences absentes ou lacunaires.

C’est ce qui vous donne une marge de progression.
C’est là qu’interviennent les fameuses Soft Skills ou compétences comportementales, celles qui vous permettent de vous perfectionner et donc de remplir vos missions au mieux pour vous et pour l’entreprise.

Se débrouiller tout (e) seul (e) ou demander de l’aide sont deux possibilités pour apprendre et mettre en œuvre ce qu’il faut pour répondre à la confiance de votre manager et de votre employeur.

Certaines tâches sont plus compliquées que d’autres.
Considérez-les comme des épreuves, des obstacles à franchir avec succès, grâce à votre esprit et à votre habilité à agir au mieux.

Dites-vous bien que si vous avez ce poste, c’est que vous le valez bien, même si, parfois, vous en doutez.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Devise 074 : Connaissance égale profit
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Conseils pour s’intégrer dans une nouvelle entreprise

Quitter son emploi ou rester : Telle est la question
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Récapitulatif 20 Emploi
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Prendre du recul : Une évolution positive


Prendre du recul : Une évolution positive

prendre du reculLa capacité à prendre du recul est une qualité personnelle ou compétence douce (soft skill).

Cela évite des réactions trop brusques et inadaptées à la situation.

Quand un événement arrive, il y a la réaction émotionnelle naturelle qui vient en premier.
Cette réaction est spontanée et est en fonction de son caractère et de son éducation.

Puis, en quelques fractions de seconde, la raison intervient pour nous dire si nous avons bien réagit ou l’inverse, ou nous retient pour nous empêcher de réagir d’une manière inappropriée.

Toujours quelques fractions de seconde plus tard, jusqu’à quelques secondes, notre raison nous fait trouver la « bonne » réaction.
Bonne ou mauvaise car la réaction est influencée par la compréhension de la situation.

Un exemple pour bien comprendre

Pour bien comprendre cela, il faut s’imaginer se trouver avec un enfant dans un magasin qui se met à faire un caprice.
La réaction émotionnelle va être de le faire taire, peut-être avec une tape ou un cri contre lui.

Puis, notre raison nous dit que frapper un enfant ou crier après un enfant est une mauvaise chose et nous décidons de laisser tomber cette réaction.

La réaction va être ensuite différente selon le moment :

  • Prendre l’enfant dans ses bras,
  • Céder à son caprice,
  • Lui expliquer qu’il est impossible de satisfaire à son caprice,
  • etc.

Peu importe, en tout cas le pire a été évité.

Suivre sa tête ou suivre son cœur ?

Le recul, c’est la possibilité de choisir entre différentes réactions que notre raison nous propose.

Pour la tête, c’est la logique et le raisonnement qui vont primer, c’est avoir un cerveau gauche.

Pour le cœur, c’est l’intuition et les sentiments qui vont décider, c’est avoir un cerveau droit.

Nous sommes tous un peu les deux, parfois plus analytique parfois plus sensible, avec toujours une préférence naturelle pour un côté ou l’autre.

Un bon manager prend du recul

Lorsque vous avez une équipe à encadrer, avant de pousser des cris en disant que le travail était mal fait, rassemblez les informations nécessaires avant de décider.

À un poste de responsabilité, vous devez impérativement réagir en toute connaissance de cause.

Prendre du recul évite de dire ou de faire des bêtises.

Pas trop de recul

Attention à réagir à temps.

Quand on prend trop de recul, on risque de laisser penser à l’autre que l’on est incapable de réagir correctement, c’est-à-dire de décider de la réaction à prendre.

Comme tout ce processus prend généralement moins d’une seconde, c’est l’expérience qui nous aide.

Au début de sa vie, professionnelle ou personnelle, le processus est un exercice qui demande la capacité à évaluer les différentes options, donc à envisager ces options.

Avec de l’expérience, on utilise inconsciemment le passé pour trouver une réaction la plus appropriée possible.

Par contre, le manque d’expérience nous propose qu’une seule option ou zéro.
Zéro signifie que l’on reste bloqué sans savoir comment réagir.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Das Kind – L’enfant
Cerveau droit ou cerveau gauche : Trouver vos points faibles et vos points forts
Management : A savoir pour manager la génération Y

Quand la critique devient harcèlement
Les 5 types de risques dans un projet pro ou perso
Prise de décision : L’heure du doute et de la remise en question

Autres bien-être :

Récapitulatif 19 Bien-être

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Le MBTI pour mieux se décrire en quelques mots


Un test pour décrire son mode de fonctionnement

C’est important pour son orientation professionnelle et sa carrière.

Lire l’article précédent pour comprendre pour c’est aussi important pour soi.

Par principe, vous serez plus heureux (se) et efficace si votre orientation, votre métier est en adéquation avec votre mode de fonctionnement.

Le MBTI, Myers Briggs Type Indicator, permet de se décrire en quatre mots, ou encore en quatre lettres.

Bien sûr, chacun de nous a un mode de fonctionnement qui est une combinaison de toutes les lettres, même si nos tendances naturelles sont représentées pas 4 d’entre elles, d’après ce test.

Il est rare que le sentiment soit absent d’une décision après l’avoir analyser, par exemple. Ou encore, de jeter tous ces catalogues de fournitures et de listes de prix, péniblement rassemblés, pour décider sur un coup de cœur.

Les mots-clé de la personnalité

Les huit préférences du MBTI sont issues des réponses aux questions aux grandes questions suivantes :

1. Par quoi êtes-vous le plus attiré ?

Extraversion (E) : par le monde extérieur

Introversion (I) : par le monde intérieur

2. À quoi vous attachez-vous pour recueillir de l’information ?

Sensation (S) : aux faits, au concret

Intuition (N) : aux nouvelles possibilités

3. Comment prenez-vous vos décisions ?

Pensée analytique (T, Think en anglais) : de façon logique et rationnelle

Sentiment (F, Feel en anglais) selon vos valeurs personnelles

4. Quel est votre mode de vie idéal ?

Jugement (J) : organisé, voire routinier

Perception (P) : souple, adaptable

Combinaisons

Avec toutes les combinaisons possibles votre profil s’adaptera facilement, ou non, aux études que vous allez poursuivre et au travail que vous allez exercer.

Alors , choisissez bien !

MBTI est une marque déposée de OPP

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :


En complément :

pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être ?
Offre d’emploi : Les exigences et les souhaits dans les annonces
Prise de décision : Comment est-elle prise ?

Qualités personnelles recherchées ou points forts pour un recrutement
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche
Réorientation, reconversion : Faites ce que vous aimez ?

Autres Bien-être et Communication :

Récapitulatif 19 Bien-être
Récapitulatif 19 Communication

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Devise 075 : Ta maison est là où est ton cœur, mais les étoiles sont faites en or


Devise 075 des Devises de l’Acquisition des Ferengi (Star Trek)

« Devise 075 : Ta maison est là où est ton cœur, mais les étoiles sont faites en latinum« 

« Home is where the heart is, but the stars are made of latinum »

source : Destruction imminente (Civil Defense) (DS9)

Littéralementmaison étoilesLa maison est là où le coeur se trouve, mais les étoiles sont faites de latinum

Interprétation

Le latinum est la matière qui sert de monnaie chez les Ferengi car elle ne peut être dupliquée.

Le coeur est le centre des émotions aussi dans leur culture. Son foyer est son refuge, le premier et le dernier lieu où l’on souhaite se rendre.

Cependant, c’est dans l’Espace, sur d’autres planètes que se trouve les mines de latinum et donc les sources de richesses les plus convoitées par les Ferengi et autres peuples de la Galaxie.

Commentaires

Le cocon familial est l’endroit où un enfant se sent « chez lui », entouré de l’amour de ses parents et de sa famille.
C’est l’endroit qui constitue son environnement le plus familier, celui que l’on connaît le mieux, même malheureux.

Plus tard, c’est aussi le lieu et l’environnement qui permet de se ressourcer, de retrouver certaines sensations, et de se rappeler que l’on s’y sent bien ou/et que l’on connaît le mieux.

Seulement, l’être humain est ainsi fait qu’il est attiré par l’inconnu. Depuis nos ancêtres nomades préhistoriques, nous cherchons à améliorer notre cadre de vie.

Nous voulons plus que ce que nous avons.
Nous voulons progresser, voir du monde, nous confronter à l’inconnu et réussir à faire carrière, à créer notre propre famille.

Intellectuellement ou matériellement, nous nous enrichissons des rencontres avec les autres, des lieux que nous visitons, des actions que nous menons.

Philippe Garin

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Star Trek et ses dérivés sont propriétés de Paramount Pictures (CBS)

Pour en savoir plus :

En complément :

Devise 074 : Connaissance étale profit
Devise 076 : De temps en temps, propose la paix, tes ennemis en seront perturbés

Au bord de la folie
Se faire ouvrir des portes dans la vie
Formations continues pour donner un second souffle à votre carrière

Don d’organes : Lesquels ?
Insomnies : Quoi faire ?
Tenir la maison à deux

Autres Science-Fiction :

Récapitulatif 18 Science-Fiction

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Entretien d’embauche : Jamais les mêmes questions. Zut alors !


Préparer des réponses pour rien ?

préparer des réponses aux questions en entretien d'embaucheRien de plus frustrant que de préparer des réponses aux questions les plus courantes des recruteurs et d’avoir toujours des questions en entretien d’embauche pour lesquelles on n’a pas préparé de réponses.

Facile à comprendre !

Le sentiment d’avoir « fait des efforts » pour rien est encore plus fort quand le résultat attendu est négatif.

Et pourtant, même après des centaines d’entretiens d’embauche, vous aurez toujours des questions nouvelles.

Les recruteurs ont deux types de questions : les questions classiques, y compris les questions soi-disant inattendues, car elles le sont pour le candidat, mais pas pour eux,

Les questions classiques ou soi-disant inattendues

Ce sont ces questions qui demandent de la réflexion, donc une recherche de réponse.
De préférence, vos réponses seront aussi classiques, agrémentées toutefois d’exemples qui vous sont propres, qui viennent de votre expérience ou/et des connaissances acquises durant une formation.

Les questions soi-disant inattendues et qui sont, en fait, des questions classiques dans le sens où elles sont là pour vous faire réagir, vous choquer, vous provoquer ou vous obliger à passer du coq à l’âne. En un mot, le recruteur cherche à analyser votre réaction de surprise. Le sens de la question importe peu.

Pour ce type de questions, il est possible de se préparer car il s’agit de définir, à l’avance, quel sentiment vous allez laisser paraître.
Répondrez-vous avec humour, avec un simple sourire, un air ahuri, avec colère ou énervement. Vous avez le choix.

Vous pouvez même pousser un soupir de soulagement si une telle question arrive car il est rare d’en avoir plusieurs dans la même entrevue de recrutement.

Et les questions qui leur viennent à l’esprit en vous écoutant

Le recruteur, employeur ou professionnel du recrutement, réagissent aussi aux réponses des candidats.

Ces questions-là sont liées directement à ce que vous dites durant l’entretien ou au contenu de votre CV ou de votre lettre de motivation.
C’est ce qu’on appelle un dialogue.

La préparation consiste simplement à bien se connaître.

Apportez et ayez votre CV sous les yeux pendant l’entretien, ainsi que votre lettre de candidature, que vous aurez relue juste avant le rendez-vous pour vous en rappeler les principales phrases sur lesquelles vous risquez d’être interrogé (e).

A de telles questions, toutes les réponses sont bonnes puisqu’elles sont en rapport direct avec ce que vous venez de dire.
Ce sont généralement des questions pour vous inciter à détailler vos propos.

Pas de piège. Seulement la volonté du recruteur de mieux vous connaître et savoir comment vous « fonctionner », découvrir votre mode de pensée dominant ainsi que votre aisance dans la communication.

Cela lui sert aussi à deviner vos points forts et vos points faibles, même s’il vous a posé cette question classique à un autre moment de l’entretien.

Un entrainement sans s’en rendre compte

Dites-vous toujours que si vous êtes en entretien d’embauche, c’est que vous avez attiré l’attention du recruteur et que vous avez toutes vos chances, au départ.

Vous avez tout à gagner, y compris du temps, car si un entretien se termine par une réponse négative, vous vous serez entraîné pour le prochain entretien.
En analysant ce qui a provoqué le refus, vous serez mieux armé (e) pour mieux communiquer lors des futurs entretiens.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

CNV Communication non violante : Les 4 étapes de l’OSBD
Quand répondre à une question provoque des regrets
Réussir son premier recrutement

Intégration en entreprise : Plus ou moins formalisée
Le Pourquoi de certaines questions en entretien d’embauche
Recherche d’emploi : Atout et qualité

Autres Emploi :

Récapitulatif 17 Emploi

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Productivité : le coeur et l’esprit en harmonie


Agissez lorsque votre esprit et votre cœur sont en harmonie

Y'a qu'à s'y mettre, faut que je plongeTout au long de sa carrière, nous sommes amenés à entreprendre de nouvelles actions, de nouveaux projets.

Salarié ou patron, nos actions sont dépendantes de notre environnement. Même les plus répétitives des actions sont entrecoupées de nouvelles actions.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Tout nouveau projet contient des opérations, des enchaînements, des démarches, du travail.

Grand projet sur plusieurs mois ou années ou tout petit projet de quelques heures ou jours, lorsque la volonté et l’envie se contredisent alors existe le risque que le projet ou l’action s’éternise et échoue.

Quand l’esprit dit « il le faut » et que le cœur répond « pas envie », alors le travail est fait avec réticence, dont avec un manque d’efficacité. La productivité est alors plus faible que lorsque le mental, les sentiments et le corps fonctionnent tous dans le même sens, à savoir la réussite du projet.

Effectuer un travail en reculant a pour conséquence une perte de productivité.

La fatigue intellectuelle, le manque de volonté peut aller jusqu’à la procrastination ou le burn-out, à moins que ce soit l’inverse avec le bore-out et un ennui profond.

Il y a dysfonctionnement, dès que la volonté et l’envie se contredisent. le « Y’a qu’à – faut qu’on » se heurte à la mise en oeuvre d’un projet ou même d’une action unique. L’énervement prend le pas sur la raison.

De plus, lorsque la volonté est celle d’un (e) autre, un (e) chef, par exemple, et que l’action est confiée à un (e) collaborateur (trice), qui n’en a pas envie, alors les frictions entre les personnes induisent une perte de productivité.

L’inverse est vrai quand un (e) collaborateur (trice) soumet des idées d’actions à sa hiérarchie et qu’il (elle) se heurte à une inertie de celle-ci.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour plus de conseils :

En complément :

Les 4 facteurs influençant les comportements
Vos envies – ce que vous aimez ou pas
Vos priorités dans la vie

Se reconvertir ? Pourquoi ? Analyse de vos motivations
Prise de décision : D’où vient votre mal-être, votre malaise
Je peux le faire ! ou motivation personnelle en 8 étapes

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

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CNV Communication non Violente : les 4 étapes de l’OSBD


La Communication non violente

La Communication non violente ou CNV est un processus de communication qui passe par une prise de conscience de ses sentiments avant la communication.
La CNV fait appel à l’empathie et au refus de juger l’autre en faisant appel à l’observation la plus objective possible, en parlant de ce que l’on ressent, durant la communication, à la place d’un jugement.

Le bonhomme OSBD

La CNV permet de favoriser le dialogue entre deux interlocuteurs, par une écoute volontaire du message reçu quelle que soit sa manière de s’exprimer et celle de son interlocuteur.

OSBD, les 4 étapes de la CNV

  1. Observation :
    pour décrire la situation d’une manière la plus objective possible, avec des mots neutres, pour un partage de l’information sans ambiguïté ni jugement

    « Quand tu fais [ça] …

  2. Sentiments et attitudes :
    pour exprimer les sentiments et attitudes suscités dans cette situation

    … je me sens [de cette manière] …

  3. Besoin :
    pour expliciter ses besoins qui conduisent aux sentiments et attitudes exprimés

    … car j’ai besoin de [x] …

  4. Demande :
    pour émettre une demande à son interlocuteur, claire et formulée positivement

    … j’aimerais que tu fasses [telle action].»

Par exemple :
Ne dites pas : « Tu te laisses aller », qui exprime un jugement.
Dites :
« Depuis plusieurs jours, tu ne sors plus », qui montre un fait observable

Évitez les mots « tu », « vous », « les autres », car il s’agit alors souvent d’un jugement plus que l’expression d’un sentiment

Retour positif

La communication reste non violente tant que le retour négatif à message émis par son interlocuteur laisse le demandeur ouvert à la communication.
Si, au contraire, il perçoit le refus à sa demande avec un sentiment négatif alors la communication se ferme.

Il y a un cercle vertueux à la Communication Non Violente, car l’attitude sereine d’un interlocuteur va engendrer une attitude plus bienveillante de l’autre, par imitation inconsciente, même après avoir exprimé des sentiments négatifs.

Amusez-vous bien !

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Schéma de la déperdition de l’information
Déperdition de l’information : Pourquoi
Entendre n’est pas comprendre

Critiqué (e) en public : Comment réagir
Une information précise est proche de l’expérience sensorielle
Définition des critères d’exigence dans le domaine des Relations entre les personnes.

Autres Communication et Humour :

Récapitulatif 12 Communication
Récapitulatif 11 Humour

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Confiance en soi : Un indicateur pour la mesurer


Définition de la confiance en soi

Le Petit Larousse nous donne la définition suivante :

Sentiment, conscience que l’on a de sa propre valeur et dans lesquels on puise une certaine assurance.

Ah! L’assurance !

C’est une affirmation, une promesse formelle que quelque chose est vrai, certain, sûr

Oui, mais que ce passe-t-il quand un évènement déclenche un doute, contredit ses certitudes, met en cause sa situation, son avenir, son assurance ?

Par exemple : la perte de son emploi, une séparation amoureuse, un décès

Les symptômes

Des signes existent et nous alertent :

  • Vous vous rongez les ongles
  • Vous dormez mal
  • Vous manquez de concentration dans ce que vous faites
  • Vous perdez l’appétit
  • Vous perdez du poids ou vous prenez du poids, rapidement
  • etc.

Tous ces symptômes ne sont pas toujours simultanés. Les causes de l’apparition de ces signes sont diverses. Il est difficile de les imputer uniquement à la perte de confiance en soi.

Proposition d’un indicateur pour mesurer la confiance en soi

Laissons aux spécialistes, psy et autres, décortiquer et expliquer la confiance en soi.

Voici une proposition pour mesurer la confiance en soi : le papier toilette

Plus vous avez confiance en vous et
moins vous utilisez de feuilles de papier toilette.

unité de mesure de confiance en soi

Allez, avouez, à chaque prise de papier toilette, vous prenez combien de feuilles ?

  • Une, deux : Quelle confiance ?
  • Trois, quatre : Déjà moins sûr de vous ?
  • Cinq, six, sept, plus : Oh la la !

Chéri (e), il nous reste combien de « confiance en soi » en stock ?

Besoin de regagner confiance en vous ?

Que vous craigniez de perdre votre emploi, que vous venez de le perdre, ou que vous êtes au chômage depuis longtemps, si vous avez besoin de reprendre confiance en vos capacités, si vous voulez avancer et garder espoir, ou… si vous voulez prolonger la vie de votre rouleau de papier toilette,

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour un accompagnement personnalisé, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Comment donner confiance à son interlocuteur
Entretien d’embauche : 4 conseils pour inspirer confiance aux recruteurs
Le chômage au sens du Bureau International du Travail : Définition

Chômage et handicap : L’ADAPT
Chômage : Sortez de votre indécision
Winston Churchill : Un pessimiste et un optimiste
Anciennes unités de mesure en France

Menu à préparer chaque matin pour un bonjour
Moi, stressé (stressée) ?
Leçon de marketing

Autre Bien-être, Humour, Emploi :

Récapitulatif 10 Bien-être
Récapitulatif 10 Emploi
Récapitulatif 10 Humour

Tous les articles de ces catégories sont listés dans la page Emploi et dans les pages Bien-être et Humour de ce blog

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Loi de Fraisse (Paul) : La perception du temps est subjective


La notion du temps est une notion purement subjective.

  • « Ben ! Tu en as mis du temps ! »
  • « Oh ! Dis donc ! J’ai pas vu le temps passé »

Paul Fraisse psychologue françaisNotre corps est capable d’entendre, de voir, de reconnaître de nombreuses odeurs, de ressentir le chaud et le froid, mais nous n’avons aucun sens pour percevoir le passage du temps.

L’enthousiasme ou l’ennui sont deux facteurs qui influencent sur notre perception du temps.

L’envie, la colère, la gourmandise, la sexualité, et une longue liste de sentiments sont autant de points de référence qui nous donnent l’impression que le temps va vite ou s’écoule lentement.

Le même temps pour tous

La clepsydre, le sablier, l’horloge, la montre sont des moyens que nos ancêtres ont inventés pour tenter de percevoir le temps et de partager cette perception de façon à ce que les autres aient aussi la même perception.

Et pourtant, même en effectuant la même tâche, l’un va se demander quand, enfin, cette tâche sera terminée, alors qu’un autre verra la fin de cette tâche est terminée tellement vite.

Dans le management, dans l’efficacité au travail, et aussi dans sa recherche d’emploi et même dans ses loisirs,

  • le temps passe plus vite quand on a du plaisir,
  • le temps passe plus lentement quand on éprouve du déplaisir

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :


En complément :

Insomnie vs sommeil fractionné
Lâcher-prise vs relaxation
Loi de Parkinson

Le bûcheron qui n’a pas le temps
Découpage du temps de travail
L’empathie, c’est…

Autres Bien-être et Organisation:

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Récapitulatif 2 Organisation
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Prise de décision : D’où vient votre mal-être, votre malaise


Vous avez un doute sur une décision que vous avez déjà prise

vous doutez de votre choixAvant de décider de poursuivre le choix pris ou de laisser tomber et de changer de vie, d’orientation, d’employeur, il convient de chercher les causes de son mal-être.

Vous reconnaissez-vous dans l’une ou l’autre de ces affirmations :

  • Vous avez décidé sans avoir suffisamment réfléchi
  • Vous avez décidé à la dernière minute, en vitesse
  • Vous avez décidé plus selon vos sentiments que selon vos capacités
  • Votre choix a produit un résultat insuffisant ou décalé par rapport au résultat attendu initialement
     
  • Votre objectif est toujours aussi lointain
  • Vous avez le sentiment que les perspectives demeurent trop vagues et incertaines
  • Les inconvénients réels sont plus importants ou plus nombreux de ceux imaginés, lors de votre prise de décision
     
  • Vos critères de choix étaient trop élevés, comparés à la réalité du terrain
  • Vous pensez avoir fait trop de compromis avec vos valeurs, vos envies, votre vision
  • Vous avez l’impression que le choix précédent vous a été imposé ou que vous avez été trop influencé (e)
     
  • Vous avez le sentiment de ne pas avoir été suffisamment libre de votre choix
  • Vous vous sentez décalé (e) dans votre nouvel environnement issu de votre décision précédente
  • Vous êtes en conflit avec les autres, famille, amis, collègues

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Analyse préalable de l’activité de décision
Deuxième des trois étapes de la Méthode d’Analyse de décision : L’impact des inconvénients
Choix de projets Méthode de la rentabilité

Se reconvertir ou changer d’employeur ?
Les causes des dysfonctionnements
Méthode SCORE ou Chercher les causes profondes

Autres Emploi, Organisation :

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Récapitulatif 8 Organisation

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Entretien de recrutement : Gardez votre calme !


Surtout gardez votre calme en entrevue d’embauche !

Quand un recruteur a un doute sur la sincérité du candidat ou de la candidate, il va jouer sur ses sentiments, lui poser une question difficile, déstabilisante, qui va provoquer une réaction émotionnelle, souvent vive : peur, agression verbale, reproche, commentaire acerbe.

Pourquoi sourireLa « bonne » réponse à donner est de deux ordres :

  • Verbale : « pourquoi ? »
  • Gestuelle : sourire

Cela va vous laissez le temps de reprendre contenance et de réfléchir à une meilleure réponse à donner.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Votre corps parle
Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise
Panique à bord !?

Pourquoi cacher les trous de son parcours professionnel ?
Soyez vous-même
Pourquoi les propositions, recommandations, nouvelles idées sont-elles souvent refusées?

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L’empathie, c’est…


L’empathie

Voici le texte d’une vidéo, accessible ici sur Youtube

– Je vous mets en garde contre quelques images éprouvantes –

Philippe Garin

empathie : ressentir avec

C’est une notion désignant le mécanisme par lequel un individu peut comprendre les sentiments et les émotions d’un autre individu

La faculté de s’identifier à quelqu’un et de ressentir ce qu’il ressent, des ressentis de l’autre et en particulier sa souffrance et de sa détresse

Sentiment bien plus fort que les croyances et les différences

Cela permet d’entrer dans les perceptions de l’autre, de sentir sa peur, sa colère, sa tendresse, de vivre temporairement sa vie et de s’y mouvoir avec délicatesse sans émettre de jugement

Chercher les points communs avant les différences et il y a toujours plus de points communs que de différences, la sève, le coeur et l’âme

La chaleur humaine, c’est quand on offre de soi sans rien attendre de l’autre, simplement partager pour ne pas gâche une vie et venir en aide, à ceux qui n’ont pas cette faculté, et malgré toutes les difficultés garder cette force, cette volonté, donner un coup de coeur à ceux qui ne l’ont pas volé, juste un peu d’attention et donner le droit à chacun d’exister, sentiment supérieur à l’instinct et à la chaîne alimentaire

Sentiment qui nous permet de prendre soin de l’autre et à partager le peut que l’on possède et s’aider à se tenir chaud ou à se protéger

Savoir partager, le bonheur, la tendresse, la protection et la complicité

On a tous besoin de chaleur humaine, on a tous besoin d’affection et se reconnaître parmi des semblables malgré les apparences, sans jamais se fier à l’habit, sans jamais se soucier du langage, puisque c’est quelque chose qui est invisible  l’œil nu, mais qui n’est pas inodore

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Fête des mères : Poème de L.R. Brice
Les seuls gens riches sont ceux
C’était le bon temps, celui où l’on vivait selon le calendrier

Les 6 erreurs humaines d’après Cicéron
Règles pour être un humain
Das Kind – L’enfant

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Devise 018 Un Ferengi qui ne fait pas de profit ne mérite pas le nom de Ferengi


Devise 018 des Devises de l’Acquisition des Ferengi (Star Trek)

« Un Ferengi qui ne fait pas de profit ne mérite pas le nom de Ferengi »

« A Ferengi without profit is no Ferengi at all »

source : Episode « Coeur de pierre » (Heart of Stone) (DS9)mérite Ferengi

Littéralement

Un Ferengi sans profit n’est pas un Ferengi du tout

Interprétation

Comme les Ferengi ont pour seul objectif le profit, lorsqu’un Ferengi est pauvre, qu’il n’a fait aucun profil alors il ne mérite même pas de porter le nom de Ferengi

Commentaires

La honte est la caractéristique principale de cette devise. Comment s’imaginer que l’on a affaire avec un Ferengi, si celui-ci ne fait aucun profit.

Un Ferengi généreux ou altruiste, cela n’existe pas. C’est antinomique.

Si le Ferengi est pauvre, c’est qu’il est mauvais puisqu’il ne parvient pas à traiter d’affaires qui lui rapporte ne serait-ce qu’un profit symbolique.

L’exclusion des personnes sur des critères arbitraires est au coeur de cette devise.
Dès qu’une personne est différente, qu’elle ne parvient pas à faire aussi bien que les autres dans un domaine ou un autre, alors aucun salut pour elle, elle doit partir, s’exiler, se cacher.

Cette règle a-t-elle un sens dans notre monde ?

Force est de constater que l’exclusion et la honte sont deux caractéristiques immuables et universelles.

Que ce soit dans la vie privée ou dans le monde du travail, dès qu’une différence est visible, âge, sexe, handicap, etc., alors la difficulté de trouver un emploi est accrue d’une manière exponentielle, même si, officiellement, ces critères ne sont jamais les raisons évoquées pour refuser un candidat.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Star Trek et ses dérivés sont propriétés de Paramount Pictures (CBS)

Pour en savoir plus :


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Devise 019 : Satisfaction n’est pas garantie

Entretien de seconde partie de carrière : Senior à partir de 45 ans ?
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Comment minimiser un point faible ou Liste 3 des points forts et points faibles en entretien d’embauche
Demandez à votre Némésis : La compétition motive

Autres Science-Fiction, Emploi :

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Récapitulatif 7 Emploi

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Urgences Réactions courantes au stress en situation d’urgence


Réactions courantes au stress en situation d’urgence

séisme Sumatra techtoniqueLes réactions courantes au stress durant une situation d’urgence ou d’une catastrophe ou immédiatement après sont généralement mineures ou temporaires chez les spécialistes des interventions d’urgence.

Les réactions au stress deviennent problématiques lorsque les symptômes perdurent ou perturbent la vie quotidienne.

Réactions physiques (votre corps)

  • Fatigue
  • Maux de tête, d’estomac, étourdissements
  • Mal de dos, douleurs musculaires
  • Raideur dans le cou, les épaules
  • Manque d’énergie ou fatigue généralisée
  • Augmentation/réduction de l’appétit
  • Insomnie
  • Augmentation de la pression sanguine, du rythme cardiaque, de la respiration

Réactions intellectuelles (votre pensée)

  • Difficulté à résoudre les problèmes
  • Réduction de la durée d’attention
  • Réflexion et compréhension ralenties
  • Difficultés à se concentrer
  • Indécision
  • Inquiétude
  • Autocritique
  • Refus de la réalité

Réactions émotives (vos sentiments)

  • Anxiété
  • Peur
  • Irritation / attitude de confrontation
  • Colère
  • Culpabilité
  • Tristesse
  • Stupeur

Réactions comportementales (vos actes)

  • Agitation
  • Baisse d’efficacité
  • Difficultés à communiquer
  • Incapacité de se détendre
  • Consommation accrue d’alcool, de tabac ou de drogues ou médicaments
  • Sur-contrôle
  • Baisse de l’estime de soi
  • Isolement

Source : Gouvernement du Canada

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


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