Emploi : Trop mobile ? Expliquez !


Emploi : Expliquez votre mobilité

bougez autrementParmi les idées reçues des employeurs se trouve celle qui consiste à penser qu’un candidat ayant changé « trop » souvent d’entreprise est un collaborateur peu fiable et qui partirait après « peu » de temps.

Le « trop » et le « peu » sont subjectifs. Avant la crise de 2009, était considéré comme un « papillon », celui ou celle qui restaient moins de 5 à 7 ans dans son poste.

Depuis la crise, ce minimum est passé à 3 ans. Et pourtant !

La mobilité doit être expliquée

Lorsque l’on a galéré, trouvé de petits boulots, des missions en intérim ou des CDD, il devient difficile de convaincre un futur employeur de la fidélité à son poste. Il est rare que cette mobilité soit un choix.

Il convient donc de présenter les arguments pour valoriser la multiplication des emplois dès le CV et la Lettre de motivation pour faire tomber ce préjugé.

Dans le CV

Il convient de regrouper les différents postes et missions par domaine d’activité. Ainsi si le candidat a travaillé dans les Achats, au Service Qualité, puis dans la Communication, ou tout autre secteur, il peut découper la partie « Parcours professionnel » de son CV et créer un mini-CV par domaine.

Par ailleurs, une rubrique « Compétences » mettra en avant l’accumulation des savoirs acquis dans les postes précédents, au lieu de les disperser dans une longue liste d’entreprises et de postes.

De cette façon, le candidat pourra s’ouvrir plus de possibilité, selon les différents domaines ou/et secteurs où il a travaillé.

Dans la lettre de motivation et en entretien d’embauche

Selon l’entreprise à laquelle il s’adresse, le candidat va démontrer, d’abord dans sa lettre de candidature, ensuite durant l’entretien d’embauche, ses capacités à occuper le poste proposé, ou en candidature spontanée, en évoquant les actions et résultats issus de ses expériences passées, parmi la multiplicité de ses postes précédents. Son choix est plus large que pour ceux qui ont été moins mobiles.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Risques cardiovasculaires : les facteurs du risque


Les facteurs du risque cardiovasculaire

douleur infarctus du myocardeCet article a pour but d’attirer votre attention sur les facteurs de risques dans les maladies cardiovasculaires et en particulier l’infarctus du myocarde.
Si vous vous sentez concerné(e) alors seule une consultation chez un médecin vous donnera le diagnostic de votre état de santé.

Les facteurs historiques

Les facteurs de risque connus depuis longtemps sont :

  • Le tabagisme, car le tabac rétrécit le diamètre des artères
  • L’hypertension artérielle, car la pression abîme plus rapidement les parois internes des vaisseaux sanguins
  • L’hypercholestérolémie, car le cholestérol se dépose sur les parois internes des artères jusqu’à les boucher, ce qui provoque une attaque cardiaque, si le rétrécissement est proche du coeur ou une autre attaque dans d’autres régions du corps
  • Le diabète, car le sucre favorise aussi le rétrécissement des vaisseaux sanguins
  • L’hérédité, hélas ! Merci papa, merci maman !

Un facteur de risque « moderne »

La sédentarité, et plus généralement, le manque d’activité sportive, est un facteur aggravant. Les graisses ne sont plus brûlées par l’organisme qui les stocke où il peut, dans les muscles et donne ainsi l’obésité, et dans les vaisseaux sanguins.

Le corps se fatigue plus qu’avec une pratique modérée d’un sport, ne serait-ce qu’une demi-heure de marche active par jour (pas le piétinement dans les magasins).

La multiplication des facteurs

Le risque de développer une maladie cardiovasculaire lorsque l’on présente plusieurs facteurs de risques est la multiplication et non pas l’addition des risques.

Par exemple, une personne sédentaire, fumeuse et diabétique présente un

risque = sédentarité x tabagisme x diabète

et non pas sédentarité + tabagisme + diabète.

Donc plus, vous avez de facteurs de risque et plus la probabilité du développement d’une maladie cardiovasculaire est forte.

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Que faire ?

Si vous ne pouvez rien contre l’hérédité, il y a des moyens pour lutter contre les autres facteurs de risques.

La tabagisme : faut-il vraiment le dire ? Il semble que oui, donc : arrêter de fumer. De multiples techniques et produits peuvent vous aider à y parvenir, sous la seule réserve que vous le souhaitez vraiment, évidemment

L’hypertension : cool ou stressé(e), essayez de garder votre calme en toute circonstance, tenter d’éviter les situations stressantes. Bon, d’accord, le plus simple est d’en parler à son médecin et de se faire prescrire, si nécessaire, le médicament pour atteindre un niveau d’hypertension ne présentant plus de risque pour votre santé

L’hypercholestérolémie : manger moins gras, moins de gras d’origine animale. Changer d’habitudes alimentaires est souvent difficile, mais répétez-vous que les produits dont vous devez réduire fortement la consommation sont du poison pour votre organisme, cela peut vous faciliter les choses. Les pharmaciens, les médecins, les nutritionnistes ont des pages pleines de listes de produits à éviter. Le mode de cuisson aussi est important : vous pouvez consommer des pommes de terre à la vapeur sans soucis, mais pas les frites !!

Le diabète : de nouvelles habitudes alimentaires peuvent vous prémunir contre le diabète ou améliorer votre situation face à certaine forme de diabète. Rien que pour éviter de se piquer aussi souvent, cela vaut la peine de regarder à manger moins sucré, n’est-ce pas ?

La sédentarité : promener son chien, descendre et monter les escaliers sans prendre l’ascenseur, faire le tour de son pâté de maison et aller faire ses courses à pied, sont des moyens simples de joindre l’utile à l’agréable ou du moins l’utile à des mesures qui peuvent sauver votre vie.

Sinon ?

Quand une maladie cardiovasculaire se développe, elle prend des années ou elle frappe immédiatement. Les conséquence sont claires :

  • soit vous mourrez, et auquel cas, les problèmes sont pour vos proches qui vous ont perdu
  • soit vous vivez, tout le reste de votre vie avec des médicaments à prendre, des séquelles plus ou moins importantes sur votre santé avec un changement de vie, personnelle et professionnelle, important.

C’est tout simple ! A vous de choisir d’allonger, ou non, votre espérance de vie.

Bonne santé à tous, quand même !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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