Comment retrouver son estime de soi après la perte de son emploi


Estime de soi professionnelle : Comment la retrouver après la perte de son emploi

Quand vous êtes en emploi, vous êtes confronté aux regards de vos collègues, de vos chefs ou de vos subordonnés. Vous connaissez vos compétences. On vous respecte pour votre poste et vos responsabilités. Vous êtes conscient de votre valeur et de vos compétences.

Quand vous perdez votre emploi, vous perdez beaucoup de votre superbe. Aux yeux de vos anciens collègues, vous avez « perdu » et pas seulement votre emploi, votre estime de soi aussi.

le regard des autres travailleurs sur le chômeur

Plus longtemps vous restez dans cette période de recherche d’emploi, et plus vous vous posez des questions sur votre valeur, la perte de vos savoir-faire, votre facteur « chance ». Vous êtes « chômeur » et le regard des autres sur vous est négatif vis-à-vis de votre situation. Bref ! Vous avez perdu en estime de soi.

Faites le point sur vous

Qui êtes-vous vraiment ? Quels sont vos points forts et vos faiblesses ? Qu’est-ce qui vous donne envie de vous levez le matin pour aller travailler et, au contraire, vous fait reculer le plus possible avant de vous lancer dans l’action.

Au lieu de vous lancer, tête baissée, dans la recherche d’un emploi en décalage avec ce que vous êtes, faites un bilan en listant vos actions passées, les compétences que vous avez utilisées pour les mener et celles que vous avez acquises par l’action.

Tout ce qui peut vous paraître évident est souvent les actions de routine que vous faites sans vous en apercevoir. Ce sont ces savoirs et savoir-faire que vous devez écrire.

Vos comportements au travail reflètent votre personnalité. Listez aussi vos qualités professionnelles ainsi que vos traits de caractère.

Vous vous rendrez assez vite que vous avez plus de compétences et de soft skills que vous ne le pensiez au départ. Votre estime en vous va ainsi revenir, en prenant conscience de vos capacités.

les méridiens de l’acuponcture à connaître pour plus d'efficacité ?
les méridiens de l’acuponcture à connaître pour plus d’efficacité ?

Visez l’efficacité

Difficile d’être toujours à 100% de son efficacité. Et alors ? C’est vous qui vous fixez vos limites.

Mieux vaut avancer pas à pas, en se fixant des objectifs faciles à atteindre, en un temps raisonnables pour obtenir des succès répétés. Grimpez une échelle barreau par barreau permet d’arriver au sommet, plus facilement que de tenter de sauter du sol directement au sommet de l’échelle.

Faites le points des actions que vous menez dans votre recherche d’emploi. Listez celles qui vous ont apporté des désillusions. Que vous faut-il changer pour être plus efficace ?

Optimisez la gestion de votre temps. Fixez-vous des priorités et tenez-vous-y. En restant ferme dans l’action, avec votre objectif immédiat en ligne de mire, votre estime en vous augmentera inexorablement. Ce sera encore plus vrai à chaque victoire, aussi minime soit-elle.

Communiquez, partagez

Faites savoir que vous avez du potentiel qui demande à s’exprimer dans un nouveau projet professionnel. Dites et écrivez ce que vous proposez à un futur employeur.

faire savoir que l'on rechercher
communiquer, réseauter, échanger

Utilisez tous les canaux de communications à votre disposition. Ils sont nombreux à notre époque de média tous azimuts : blogs, forums, échanges sur les réseaux sociaux, salons, téléphone, mails. A l’oral autant qu’à l’écrit, récitez votre pitch.

Avancez les arguments qui donneront envie à des recruteurs de faire appel à vous. Mettez vos points forts en avant et laissez vos points faibles de côté.

Réseautez, posez des questions et donnez un retour, un feedback, sur les informations que vous recevez.

Transmettez vos prises de position, vos façons de travailler. Partagez vos valeurs, vos motivations, vos convictions, tout en écoutant vraiment les opinions des autres. Gardez l’esprit ouvert, vous pouvez apprendre.

Soyez positif et bienveillant. Votre estime de vous-même vous remerciera.

Et gardez toutes ces bonnes pratiques au travail, en créant des relations positives avec vos nouveaux collègues.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Retrouver un emploi après 50 ans : Suivez la méthode


Retrouver un emploi après 50 ans

Du jour au lendemain, vous avez franchi la ligne du changement de décennie.
Désormais, vous dépassez cinquante ans. Et alors ?

Alors, rien de spécial si vous êtes en poste, à part prendre garde aux jeunes loups qui veulent votre place, surtout si elle est hiérarchiquement plus élevée.

Par contre, débuter une recherche d’emploi après s’être fait débarquer ou de votre propre volonté, est plus compliqué, en raison de la raréfaction des offres proposées aux plus de 50 ans.

50 ans... et alors

50 ans… et alors ?

Bien sûr, il est interdit de discriminer un (e) candidat (e) en raison de son âge. Dans la réalité, les clichés, tout aussi faux les uns que les autres, font de vous une personne qui coûte trop chère, qui est dépassée par les technologies nouvelles, etc.

Départ volontaire

Quand c’est vous qui prenez la décision de partir, elle est généralement bien réfléchie. Majoritairement, c’est pour créer une activité, se mettre à son compte ou racheter une entreprise.

Votre projet professionnel est bien dans votre tête, voire même sur le papier.

Selon le mûrissement de votre projet, vous savez où vous mettez les pieds. Étude de marché, financement, calculs, choix de l’emplacement, tout est clair et vous vous lancez.

Départ involontaire

Il arrive aussi que vous avez été poussé à partir, bon gré mal gré.
Vous vous retrouvez seul(e), plein(e) de questions et vous pensiez que Pôle emploi allait vous trouver un poste.

Déception, proposer un emploi n’a jamais fait partie des missions de Pôle emploi, dont la mission est de compter les personnes en perte d’emploi, en retour d’emploi ou ceux qui alternent l’un et l’autre.

Certes, Pôle emploi propose des offres d’emploi, qui, en fait, sont proposées par les entreprises. Pôle emploi s’appuie sur des partenaires pour des formations sur les techniques de recherche d’emploi, finance d’autres formations et alloue une allocation chômage. C’est bien.

accompagnement intensif des seniorsPar conséquent, il faut se lancer, seul(e) ou avec l’aide d’une association de soutien aux chercheurs d’emploi. Internet vous permet de vous fournir des informations, via conseils divers et/ou réseaux sociaux, sous réserve de savoir ce que vous cherchez.

Faites le point sur vous

Se lancer, tête baissée, dans une recherche d’emploi, c’est se priver de réflexion sur là où vous en êtes.

Un bilan de compétences vous permet de savoir sur quelles compétences vous pouvez compter et que vous pouvez proposer à un futur employeur.

Émotionnellement, faites le deuil de votre ancienne carrière et relevez la tête. Vous le valez bien.

Votre projet professionnel

Votre expérience est un atout. Vous pouvez soit la valoriser immédiatement telle quelle, soit vous avez besoin de la compléter par une formation.

Une formation continue pour s’adapter au marché du travail ou une formation lourde pour une reconversion complète.

Définir son projet pro

Définir son projet professionnel

Dans les deux cas, réfléchissez sur ce que vous voulez éviter de retrouver et, surtout, ce que vous voulez trouver.
Environnement, management, conditions de travail, lieu et déplacement, rémunération, intérêt des responsabilités et périmètre d’actions. Tout entre en ligne de compte dans la définition de votre projet professionnel.

Préparez vos outils

Une fois que vous avez repris confiance en vous et défini votre projet alors vous pouvez commencer à rechercher.

Techniques de recherche d’emploi, rédaction de votre CV, entraînement à vous présenter par un pitch de 3 minutes, simulation d’entretien d’embauche. La panoplie est à la fois classique et moderne, à la fois.

job en ligne

job en ligne

Réseautage, présence sur les réseaux sociaux, participation à des forums, utilisation de logiciels de visio, de vidéo de votre CV et lettre de motivation, création d’alerte dans les sites d ‘emploi, cabinets ou/et job boards.

Plus vous multipliez les contacts, plus vous serez visible et que l’on saura que vous avez des compétences à disposition, plus vous aurez de chance de trouver le poste que vous cherchez.

Les bons arguments

Si la majorité de ces conseils sont valables aussi pour les moins de 50 ans, pensez que vous avez de bons arguments basés sur votre capacité à comprendre rapidement la situation de votre employeur, ses besoins et ce que vous pouvez lui apporter. Dites le lui !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Pôle emploi : Les services pour les plus de 50 ans
Emploi ou Business : 10 Conseils pour sa veille concurrentielle ou pour sa recherche d’emploi
Emploi : Votre pitch de présentation

Le POUVOIR en entreprise : oui, mais lequel
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Recruteur : 5 questions indispensables à poser aux candidats


5 questions indispensables pour réussir son recrutement

Que ce soit votre métier ou que vous participez occasionnellement à un processus de recrutement, vous faites partie des recruteurs.

Le risque le plus important que vous devez assumer, c’est de vous tromper et de choisir un candidat qui va vous décevoir.

se tromper

se tromper de candidat ?

En entretien d’embauche, un des moyens de mieux connaître les candidats est de leur poser des questions et de jauger leurs réponses, tant orales que non verbales.

1. Pourquoi êtes-vous ici ?

Une question directe amène une réponse directe.

La réaction du candidat va être à la hauteur de sa motivation et de sa préparation à l’entretien.

Elle sera centrée sur lui-même ou orientée vers le poste et l’entreprise.
Elle vous permettra de voir si le candidat s’est intéressé à son éventuel futur environnement de travail.

2. Pourquoi pensez-vous être compétent (e) pour ce poste ?

La réponse vous permettra de savoir si le candidat se connaît bien, s’il connaît ses points forts et ses axes d’amélioration.

compareDe même, vous déterminez le degré d’adéquation entre les besoins de l’entreprise et le profil du candidat.

3. Comment vous voyez-vous ce poste ?

Cette question est déterminante pour esquisser les éventuelles difficultés ou la facilité d’intégration du candidat à l’équipe en place.

La réponse portera sur ses traits de caractère, ses compétences comportementales, ou sur ses savoir-faire, ou encore sur son plan de carrière, ses motivations.

C’est aussi une question pour estimer la durée de présence dans l’organisation. Un candidat bien intégré aura moins envie de repartir rapidement et sera plus productif.

4. Pourquoi voulez-vous quitter/avez-vous quitté votre emploi ?

La réponse sera différente si le candidat est encore en poste ou s’il est en repositionnement professionnel.

au revoir les collègues

au revoir les « ex-« collègues

Néanmoins, le ton qu’il emploiera montrera le contrôle de ses émotions, ainsi que la façon positive ou négative de s’exprimer indiqueront sa façon de décrire sa situation, de l’analyser.

Vous déterminez ainsi s’il est « prêt » à rejoindre la structure ou s’il a encore besoin de faire son deuil de son ancien emploi.

5. Décrivez-nous une situation difficile que vous avez maîtrisée

C’est la même question que « parlez-moi de vos échecs » ou « comment gérez-vous votre stress ? ».

La capacité de réaction, l’inventivité, la communication, employées par le candidat ainsi que le choix de la situation sont autant d’indications qui permettent de déterminer si le candidat a su tirer des enseignements de la situation maîtrisée.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Recruteur : Que faire après la publication d’une offre d’emploi
Entretien d’embauche : Les nouvelles questions pièges liées à la pandémie
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6 méthodes pour répondre à la question : Je suis capable de quoi ?


Je voudrais savoir de quoi je suis capable

Jeune et inexpérimenté (e), ou moins jeune et plus expérimenté (e), ou encore handicapé (e) vous vous posez des questions sur vos capacités et votre avenir.

Devant votre page blanche, commencez par la partager en deux colonnes, la première va contenir des mots-clés représentants un thème et la partie droite sera tout ce qui vous viendra à l’esprit.

Voyons 6 méthodes pour vous guider.

1. Méthode des envies

Le premier point est de partir de ce que vous aimez faire, de vos envies.

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Comme thème, je vous suggère de faire appel à votre imagination.
Mettez tout ce qui vous passe par la tête, notamment ce qui vous fait plaisir, vos envies, vos passions.

En face, mettez ce dont vous êtes capable, tant en savoir-faire qu’en qualités, pour chaque envie.

2. Méthode des actions passées ou bilan de compétences

Dans votre vie, vous avez effectué un certain nombre d’actions, à la maison, à l’école, dans vos loisirs, pendant les vacances, etc.

Listez-les. Les premières qui vous viendront à l’esprit seront facile à trouver, puis petit à petit creusez-vous la tête pour noter les faits marquants, parfois simples de votre passé, personnels ou qui se sont passés autour de vous.

Écrivez alors, dans la colonne de droite, les savoir-faire, savoir ou traits de caractères, ce que vous avez appris, retenu, ce qui va permettre de vous connaître mieux.

3. Méthode des secteurs d’activités

Recherchez sur internet la liste des conventions collectives ou encore les secteurs d’activité officiels donnés par le code NAF. Il y en plus de 700 regroupés en grande catégories que vous trouverez dans mon article Les secteurs professionnels officiels : code NAF

Projet de loi sur les conventions collectives de travail et les commissions paritaires, le 7 février 1968

Projet de loi sur les conventions collectives de travail et les commissions paritaires, le 7 février 1968

Vous choisissez celles qui vous inspirent le plus pour noter dans la colonne de gauche, celles qui vous interpellent le plus, celles avec lesquelles vous sentez une affinité.

Sur la droite, listez les métiers que vous connaissez dans le secteur d’activité.

Retour sur internet, allez sur le site de Pôle emploi et accéder à la page des fiches métiers.
Saisissez, un par un, les métiers que vous avez notés.

Vous trouverez alors plusieurs éléments très intéressants :

  • D’autres titres utilisés pour le même métier
  • Une liste de métiers approchant
  • et surtout une liste de compétences

Écrivez toutes les compétences indiquées et que vous pensez avoir.

En recommençant cet exercice plusieurs fois, vous obtiendrez une très longue liste de ce que vous êtes capable de faire !

Dans les fiches métiers, vous trouverez aussi les formations à suivre pour exercer ces différents métiers.

4. Méthode : les fiches du Centre d’Informations et d’Orientation

Il y a un CIO dans chaque département, parfois plusieurs dans les grandes villes.

cio centre d'information et d'orientationLà, vous pourrez consulter toutes les fiches métiers et rencontrer un conseiller ou une conseillère qui vous guidera.

5. Méthode des tests.

Internet contient d’énormes quantités de tests divers et variés, notamment des tests de compétences, des tests cognitifs, d’intelligence, de logique, de connaissances, etc.

Ces derniers vous permettent de connaître votre niveau dans telle ou telle matière, scolaires ou professionnels, ou encore divers comme pour apprendre le code de la route.

6. Méthode des comparaisons.

Dans la colonne de gauche, vous écrivez le nom de personnes que vous connaissez, de votre entourage ou le nom de personnes qui représentent un intérêt pour vous, mortes ou vivantes.

idole des jeunes

de quoi était-il capable ?

Notez alors en face, ce que ces personnes savent faire, puis choisissez parmi les savoir-faire ou qualités personnelles, celles que vous pensez posséder.

Conclusion

Toutes ces méthodes peuvent être utilisées à la fois, ce qui vous permet de varier votre recherche sur vous-même.

Quand on se connaît, qu’on sait de quoi on est capable, et quand on sait ce qui nous manque, on peut déterminer des objectifs, des objectifs intermédiaires plus faciles à atteindre.

Vous pourrez même déterminer un plan d’actions, c’est-à-dire une liste d’actions à mener, par exemple des formations, ou une participation à des clubs ou associations, ce qui, en rencontrant d’autres personnes, vous permettront d’acquérir de nouvelles compétences et d’enrichir votre personnalité.

C’est l’ensemble de tous ces éléments qui vous permettent de reprendre confiance en vous.

Bon courage !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Orientation professionnelle : Les classements de métiers
Les 5 plus puissantes motivations au Monde
Les niveaux de qualification et de diplômes

Les tests de recrutement : Lesquels ?
Qu’est-ce qu’un objectif concret, smart ?
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Le manque de confiance en soi se voit en entretien d’embauche 2/2


Afficher son manque de confiance en soi pendant l’entretien d’embauche

Lire l’article précédent : La confiance en soi se voit en entretien d’embauche

Les signes du manque de confiance en soi sont plus évident à découvrir, lors d’un entretien d’embauche, que la confiance en soi.

Communication non verbale

Malgré une bonne préparation, il existe toujours des impondérables, notamment dans la façon dont vous communiquez avec le recruteur

La communication non verbale

Les gestes et la voix sont des signes de la confiance en soi ou de son absence.

Abandonnez la posture de perdant :

  • Tremblements
  • Transpiration
  • Regard fuyant
  • Rougissement
  • Hésitations
  • Bégaiement, balbutiement
  • Sourire crispé ou mâchoires serrées
  • Dos vouté
  • Épaules en avant
  • Bras croisés
  • Mains fébriles ou cachées
  • Ongles rongés
  • Gestes compulsifs comme jouer avec son stylo ou avec ses cheveux
  • Se mordiller les lèvres
  • Voix faible ou atonale

Cette liste est loin d’être exhaustive.
De plus, il est difficile de s’exprimer tout en contrôlant sa communication non verbale.

manque de confiance en soi

S’exercer, de préférence avec un proche ou un coach, peut vous aider à diminuer le nombre de gestes qui montrent votre manque de confiance en vous.

La communication verbale

Les gestes parasites, ci-dessus, sont plus facile à contrôler dès que vous en prenez conscience.
Cependant, la démonstration de votre confiance en vous passe par le discours et votre capacité à trouver les mots qui conviennent.

C’est là que votre style de communication joue son rôle :

  • Valorisez vos expériences passées pour montrer ce que vous en avez tiré comme enseignement, surtout dans les échecs ou difficultés.
  • Évitez de prendre trop de temps ou pas assez pour parler. Trop de temps donne une impression que vous hésitez, pas assez que vous récitez un discours ou une réponse.
  • Donnez suffisamment de détails pour montrer que vous savez passer un message tout en évitant de vous justifier ou de donner des détails trop nombreux ou inappropriés qui montreraient ainsi que vous êtes mal à l’aise.
  • Vous connaissez votre valeur sur le marché de l’emploi, gardez votre fourchette de prétentions salariales en tête pour la ressortir sans vous dévaloriser ni vous surestimer.
  • Laissez l’autre parler sans l’interrompre. Sachez l’écouter.
  • Montrez votre confiance en vous en vous projetant dans le poste, annoncez ce que vous avez retenu des enjeux et des difficultés, vers la fin de l’entretien.

être soi même en confiance

Restez vous-même pour vous montrer sous votre meilleur jour : confiant (e) sans excès.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

La PNL ou Programmation Neuro-linguistique
Les signes encourageants dans un entretien d’embauche
Communication : La notion de filtre dans la déperdition d’information

Attitude en entretien d’embauche : l’effet miroir
Le timbre de la voix
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La confiance en soi se voit en entretien d’embauche 1/2


Afficher sa confiance en soi pendant l’entretien d’embauche

Se trouver devant le recruteur, cette personne qui va décider de votre avenir professionnel durant les quelques dizaines de minutes que va durer l’entretien d’embauche, est générateur de stress, ou, au minimum d’un inconfort.

Nonobstant ce désagrément, vous vous posez aussi la question de savoir si vos compétences et votre savoir-être sont à la hauteur de l’enjeu du poste pour lequel vous postulez.

confiance en soiVous devez donc convaincre le (la) chargé (e) du recrutement que vous êtes prêt (e) à assumer les responsabilités liées au poste et à exécuter les tâches demandées.

Pour cela, vous devez être vous-même convaincu (e) et montrer votre confiance en soi.

Une bonne préparation

Il est évident que vous allez arriver en entretien après vous êtes préparé (e).
Vous avez une tenue correcte, êtes arrivé suffisamment tôt pour éviter d’être en nage, ou, pour un entretien vidéo, vous avez vérifié que votre matériel fonctionne parfaitement.

Vous avez votre CV sur papier, ainsi que votre lettre de motivation, ainsi que de quoi prendre des notes. De toute façon, vous connaissez les dates par coeur, ainsi que vos réalisations, vos points forts et vos faiblesses.

Vous avez écrit votre pitch de présentation en deux ou trois minutes. Vous l’avez appris et vous savez le réciter avec aisance.

Vous vous êtes renseigné (e) sur l’entreprise, sur ses valeurs, son style de management.
Vous connaissez ses principales activités, ses produits et services, son organisation interne, ou, vous connaissez les questions à poser pour obtenir les réponses à ces questions.

Vous respirez un bon coup avant d’entrer et avez les réponses aux questions les plus courantes des recruteurs dans la tête.

dossier de candidature

Tout va bien.

Votre préparation est incomplète ?

Gardez la tête froide !
Faites-vous confiance pour improviser et pour faire revenir à la surface de votre mémoire ce dont vous avez besoin, en fonction de l’attitude du recruteur et des questions vraiment posées.

Dites-vous que si vous êtes arrivé (e) jusqu’à cette étape du processus de recrutement, c’est que le chargé de recrutement s’intéresse à vous et cherche à déterminer si vous vous intégrerez dans la structure en pleine capacité d’action.

Lire la suite : Le manque de confiance en soi se voit en entretien d’embauche

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Comment reprendre confiance malgré les phrases négatives de notre enfance
Un exercice pour vous relaxer et diminuer vos tensions
Entretien d’embauche : Les nouvelles questions pièges liées à la pandémie

Canevas pour votre présentation en deux minutes
Faire une bonne impression en entretien d’embauche : Mode d’emploi
Peur de ne pas réussir : Comment réagir

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Citez-moi 3 points forts et 3 points faibles


Citez-moi 3 forces et 3 faiblesses ou axes d’amélioration

L’entretien d’embauche est toujours stressant. Vous vous sentez comme devant un officier de police ou devant le proviseur de votre lycée, comme un élève ou un citoyen pris en faute.

En fait, votre faute est d’être au chômage ou d’avoir envie de quitter votre poste actuel.

En cette période difficile où les employeurs ont le choix parmi de trop nombreux demandeurs d’emploi, faire la différence et être choisi (e) s’avère compliqué.

demandeur d'emploi épinay-sur-seineC’est toujours plus facile, quand on sait, que lorsqu’on doit deviner ce qui l’autre attend comme réponse.

Parmi les nombreuses questions des recruteurs, il y a celle des 3 forces et des 3 faiblesses.

Pourquoi le recruteur pose la question ?

Pour le poste à pourvoir, il faut des compétences, du savoir-faire, de la pratique. Il faut aussi avoir certaines qualités et comportements pour agir et réagir dans le sens de l’entreprise.

Le futur employeur a donc besoin de savoir si ce que vous avez écrit dans votre CV et dans votre lettre de motivation correspond à la réalité.

les 16 compétences indispensables source le figaroIl y a bien la période d’essai pour faire ses preuves. Seulement avant d’arriver à ce stade, vous devez convaincre que vous êtes le (la) mieux placé (e) pour réussir.
Une erreur de casting lui coûterait trop cher.

Vos points forts

Atouts ou simples points forts, vous en avez beaucoup.

Pour avoir exercé ce métier auparavant ou suivi une formation dans le domaine, vous savez qu’elles sont les tâches qui vous attendent.

Or, pour exécuter ces tâches, vous mettez en œuvre vos savoir-faire.
En choisir 3 parmi toutes vos qualités et vos savoirs, vous avez l’embarras du choix.

Rappelez-vous de l’offre d’emploi !

nous_recrutonsLa description du poste figurant dans l’annonce vous donne toutes indications nécessaires pour définir parmi vos savoir-faire, les trois à annoncer, en lien direct avec le poste.

Vous pouvez aussi donner un mixte de vos qualités personnelles en plus des compétences. C’est le mélange des deux qui donnera une meilleure idée de ce que vous êtes et vous permettra de vous distinguer.

Évitez les évidences.
Si vous postulez pour être comptable, il est évident que tous les candidats sont des comptables et connaissent la comptabilité.
Ce savoir-faire est donc à exclure de votre liste.

Par contre, si vous avez une spécialité ou des connaissances dans ce domaine ou un domaine annexe alors c’est intéressant pour l’employeur.

Par exemple, comptabilité, trésorerie, finance et RH.
Ce genre de poste à multiples facettes est très recherché dans de petites structures.

Vos points faibles

Là, le risque de passer à côté est grand.

Évitez de sortir, là aussi, des banalités, du genre « je suis perfectionniste ».
Même si le recruteur est un patron qui embauche très peu, il n’a que faire de cette information. Les autres l’ont trop entendue.

citation chef avisé force faiblesse sophocleComme vous vous connaissez, vous avez tendance à mettre l’accent sur des faiblesses parmi vos traits de caractère.
Vous pensez que évoquer des manques dans vos savoir-faire vous pénaliserait.

Hum ! Si vous connaissez les bases de votre métier, vous savez où sont vos lacunes.
Faut-il en nommer trois ? Pas sûr

Ce qui est important dans le choix des points faibles, c’est choisir ceux qui vous pénaliseraient le moins dans votre nouveau job.

Une connaissance absente ou lacunaire s’acquiert, par une formation ou/et le soutien des collègues. Un plan de formation peut être mis en place pour combler vos lacunes, si tant est que vos points forts vous ont rendus plus attrayant (e) que les autres candidats.

Une qualité qui manque est moins gênante si elle est sans rapport avec le poste. Exemple : la gourmandise. Défaut peu utilisé, sauf avec le sourire, juste ce qu’il faut pour montrer que vous savez détourner la question.

Dans tous les cas, quand vous annoncez une faiblesse, ajoutez toujours une force ou un moyen de compenser cette faiblesse.

En annonçant que vous êtes sujet à la dépression, vous vous pénalisez.
En annonçant que vous êtes sensible, vous vous valorisez.
En effet, la sensibilité est bon pour les relations avec les autres, car elle implique le respect, l’écoute, et aussi renforce votre capacité à dire « non » ou à faire comprendre que vous existez en tant qu’être humain.

force ou faiblesseVous hésitez encore ?

Je vous propose, dans ce blog, plusieurs listes de points qui sont forts ou faibles selon ce que vous en ferez.

Consultez-les et faire votre choix.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Exemples de points faibles présentés comme des points forts
6 comportements des personnes mentalement fortes
Convaincre après une reconversion

Comment reprendre confiance malgré les phrases négatives de notre enfance
Points faibles à citer en entretien 3/6 : Un défaut, et alors ?
Les tests de recrutement : Lesquels ?

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Pourquoi ces 5 qualités incontournables sont à mettre dans vos points forts


Pourquoi ces 5 qualités incontournables sont à mettre dans vos points forts

Anticiper les réponses aux questions du recruteur fait partie du processus de recherche d’emploi.

Comme la question des points forts est toujours évoquée en entretien d’embauche, il est intéressant de citer des qualités parmi celles qui font de vous un futur collaborateur précieux et incontournable.

incontournable pont des soupirsDe plus en plus, l’anticipation à cette question se traduit par une liste de softs skills et de savoir-être dans une rubrique à part sur le CV. Les mots sont variables, les idées demeurent.

Chacune de ses 5 qualités principales en amènent d’autres. Le choix des mots est donc plus étendu et de loin. Voici de quoi les comprendre.

1. L’adaptation

L’adaptation est une qualité qui vous permet de vous intégrer rapidement à l’équipe en place.

adaptation incontournableElle implique l’usage d’autres qualités :

L’écoute, qui est la capacité de laisser l’autre parler

L’attention ou la concentration, pour fixer son esprit sur ce que vous faites, dites, écouter

La mémorisation, qui permet de retenir les nouvelles notions, les noms, les méthodes, les outils, etc.

La capacité à faire face à l’imprévu et proposer des solutions

L’apprentissage, la remise en question d’anciens savoirs au profit de nouveaux acquis par des nouvelles formations ou autoformations

2 La fidélité

La fidélité est une forme de confiance mutuelle entre le (la) salarié (e) et le chef d’entreprise.

La durée d’occupation d’un poste est indépendante de la fidélité dans la mesure où l’on peut rester pour d’autres raisons. Cependant, c’est un signe de stabilité, toujours recherchée par les responsables.

fidélité à son entrepriseC’est l’intégrité, l’honnêteté et la fiabilité du collaborateur qui amènent le chef à faire confiance. Réciproquement, le (la) salarié (e) sera d’autant plus fidèle que les marques d’appréciation positives et de confiance lui sont données par ses chefs.

La parole et les actes des uns et des autres rendent la collaboration fructueuse pour chacun.

Une recommandation positive de son ancien employeur lors d’une séparation sera toujours d’un bon effet auprès du futur employeur.

3. L’esprit d’équipe

Bien que souvent évoquer sur un CV ou dans un entretien d’embauche, l’esprit d’équipe est une qualité qui se démontre par les actes.

Sur un CV, l’esprit d’équipe se traduit dans les réalisations et dans les centres d’intérêt.

esprit d'équipeLe succès obtenu à plusieurs permet de valoriser sa participation au groupe. Un faux-pas d’un membre de l’équipe est rattrapé par les autres. L’efficacité et la qualité au travail s’en trouve renforcées et le collaborateur corrige ses faiblesses.

De même, faire partie d’un groupe sportif ou musical ou avoir un engagement de bénévole dans une association sont des marques de l’esprit d’équipe.

La bonne ambiance au sein d’une équipe, l’harmonie et le respect mutuel sont des facteurs favorables aux yeux dans une candidature

4. Le dépassement

Quand l’employeur définit les savoir-faire qu’il attend de son (sa) futur (e) collaborateur (trice), il cherche aussi quelqu’un qui puisse compléter une équipe et pallier à ses propres lacunes.

C’est pourquoi, s’il reste le décideur, il attend des propositions d’améliorations ou de développement de la part de ses collaborateurs.

dépassement de soiAvoir le sens de l’initiative et la confiance en un responsable à l’écoute des propositions entraîne une plus grande autonomie du collaborateur. Cette autonomie lui permet de gagner en influence au sein de son équipe.

La réactivité et l’anticipation sont deux qualités bien appréciées.

La curiosité et la recherche de progression personnelles du futur salarié sont aussi des atouts pour l’employeur, le prochain autant que l’actuel.

Le dépassement du cadre strict de la description de poste par les réalisations bien décrites dans un CV et bien expliquées sur sa lettre de motivation et dans le discours en entretien d’embauche va fortement et positivement impressionné le recruteur.

5. L’implication

L’implication du salarié pour son entreprise va au-delà de la motivation attendue par le futur employeur.

Montrer par ses actes, son sourire, son discours positif rend le collaborateur plus sympathique.

implication motivéeS’impliquer, c’est s’engager avec enthousiasme. La passion pour un projet amène le collaborateur à vouloir la réussite de ce qu’il entreprend au sein de l’organisation.

L’implication pour son entreprise amène à améliorer les conditions de travail, l’efficacité des autres collaborateurs, la reconnaissance du travail effectué, l’amélioration des pratiques au sein de l’organisation.

Un salarié impliqué dans le succès de son entreprise sera précieux pour son futur patron.

Conclusion

Dans une recherche d’emploi, il est important de démontrer au futur employeur les avantages et les bénéfices qu’il peut tirer d’une collaboration avec son (sa) futur (e) salarié (e)

Le savoir-faire et le savoir sont indispensables lors d’un recrutement.

Les qualités personnelles et comportementales peuvent pallier à certains manques du (de la) candidat (e). Les 5 qualités décrites ici sont bien des incontournables à prouver pour se distinguer des autres candidats et être retenu par le recruteur.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Exemples de points faibles présentés comme des points forts
Quels Points faibles mettre dans une lettre de motivation ?
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche

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Pourquoi les recruteurs intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être

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Choisir son métier en fonction de ses valeurs


Orientation ou poste : Quel impact de ses valeurs dans son choix ?

La question du lien entre un système de valeurs et l’orientation professionnelle, et même la prise d’un poste, est très importante, voir primordiale.

il y a suffisamment de listes de valeurs sur Internet pour trouver l’inspiration, quand on manque d’imagination.

Trouver ou choisir son orientation ou son futur emploi est, avant tout, composer avec ses valeurs.

les 7 valeurs selon Schwartz

les 7 valeurs selon Schwartz

L’important est de désigner les valeurs qui sont incontournables pour vous, et celles avec lesquelles vous êtes prêt à composer, notamment si l’entreprise a des valeurs différentes, voire opposées avec vos valeurs.

C’est beaucoup une question de circonstances, autant que de permanence de l’attachement à vos valeurs.

Exemple : à un mois de la fin de droits au chômage, j’ai accepté un poste,

  1. Loin de chez moi, à près de 500 km
    => j’ai composé avec la zone géographique
  2. Dans un petit village en pleine campagne / montagne, alors que j’ai trouvé un logement dans la ville la plus proche, mais à une heure de là
    => j’ai composé avec les dépenses d’essence et le temps de trajet qui m’a contraint à supprimer certains loisirs de début de soirée
  3. Dans une entreprise qui fonctionne uniquement par le bâton alors que je fonctionne grâce à la bienveillance
    => j’ai composé car j’avais besoin d’argent pour faire vivre ma famille avec trois enfants.Je suis arrivé le premier jour à 09:00. Et à 09:30, j’avais envie de quitter la boîte.
    Je ne m’y suis jamais senti bien et j’ai continué ma recherche d’emploi alors que j’avais un salaire le plus élevé de ma toute ma carrière.
    J’ai été licencié par raison d’incompatibilité de mode de management et parce que j’avais froissé ma chef.
    Ce qui m’a dérangé a été de ne pas avoir choisi le moment de mon départ.
    C’est arrivé avant que je trouve autre chose, sinon j’aurais démissionné sans aucun regret.

Autre exemple : J’ai été amené à recruter pour mon service, dans une entreprise dont l’activité est liée au vin.
Un de mes collaborateurs m’a indiqué connaître une femme qui avait la capacité de prendre le poste.
Lorsque je l’ai contactée, elle m’a répondu qu’étant musulmane, il était contre ses valeurs de travailler dans une entreprise qui favorise la consommation d’alcool.

Parmi tes valeurs, on retrouve aussi tout ce qui est du ressort de la vie privée, par exemple : famille, ami, loisirs, etc.

Les valeurs sont une partie des critères de sélection pour une orientation vers un métier ou un poste.
Il y a aussi l’affinité et les connaissances / compétences, l’envie.

Choisir correctement pour se sentir bien

En fonction de ce que vous êtes prêt à composer ou non, vous choisirez orientation, entreprise et poste.

Attention, dans la liste de critères de sélection à une formation ou un poste, vous pouvez aussi retrouver une partie de tous les éléments personnels.
Par exemple, selon que vous êtes introverti ou extraverti, l’orientation sera différente parce que l’intérêt sera présent ou absent.

Autres critères plus « techniques » que des valeurs, les conditions de travail, par exemple :

  • distance et trajet domicile – travail
  • locataire ou propriétaire
  • rémunération
  • ambiance au travail
  • etc.

C’est pourquoi, ils sont à part et pourtant utile pour un choix d’orientation.

Le plus important est de choisir ce qui est en phase avec sa personnalité, ses inspirations et valeurs de façon à être « droit dans ses bottes » durant toute sa vie professionnelle et personnelle.

Chacun doit partir de sa propre liste de critères de sélection pour savoir le degré d’intérêt et d’adéquation avec le métier.

Au début de ma carrière, je prenais en compte seulement trois catégories de critères :

  1. le revenu,
  2. l’intérêt du travail,
  3. l’environnement familial.

Par la suite, et beaucoup, plus tard, j’ai établi une liste plus complète, notamment avec les conditions de travail et les valeurs.
Je me suis senti nettement mieux au travail.

« On navigue mieux à voiles
quand le courant et le vent
vont dans le même sens. »

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Comportements liés à votre personnalité à éviter en entretien d’embauche


Comportements liés à votre personnalité à éviter

Sommaire :

  1. Comportements à éviter, les deux premiers
  2. Comportements à éviter en cas de stress
  3. Comportements liés à votre personnalité à éviter

Autonomie ou indépendance

La question reste dans le monde du travail et on oublie la politique.

Toute organisation a besoin de communication entre ses membres. Il est impossible de travailler les uns sans les autres.

arrogance : Louis XIV de France

Le Roi Soleil

Si vous êtes un (e) candidat (e) qui refuse un superviseur, un contrôle de sa hiérarchie ou qui décide seul (e) dans son coin, alors le recruteur cessera rapidement d’analyser votre candidature.

Par contre, si vous savez prendre des initiatives et en assumer la responsabilité, au sein d’une équipe ou avec une équipe, en lien avec les objectifs fixés par votre direction alors vous augmentez vos chances auprès du recruteur.

Arrogance et prétention

Il est plus facile à un athlète de prouver qu’il saute plus haut, plus long ou qu’il soulève des poids que d’autres sont incapables de soulever, que de démontrer son intelligence ou ses qualités.

Nous sommes habitués à être modeste ou à montrer de la modestie. C’est bien en famille ou avec des amis.

Dans le monde du travail, il faut montrer son savoir-faire pour progresser ou pour garder son poste.

L’arrogance ou la prétention sont des défauts qui apparaissent rapidement dans un entretien d’embauche.

Prétendre être le (la) meilleur (e) pour le poste, annoncer des potentialités sans démontrer comment vous les avez acquises, affirmer sans preuve, sont autant d’attitudes qui mettent à mal la bienveillance du recruteur.

Montrez plutôt que vous êtes quelqu’un d’agréable à fréquenter et cela suffira.
Votre ambition doit être à la hauteur de vos capacités, ni en-dessous, ni au-dessus.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Recrutement : La richesse de la personnalité
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Mauvaise réputation sur Internet : C’est gênant quand on cherche un emploi

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Devise 047 : ne fais jamais confiance à un homme qui porte un meilleur costume que toi
La Grille AGGIR pour mesurer la perte d’autonomie

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Comportements à éviter en cas de stress dans un entretien d’embauche


Comportements à éviter en cas de stress

Sommaire :

  1. Comportements à éviter, les deux premiers
  2. Comportements à éviter en cas de stress
  3. Comportements liés à votre personnalité à éviter

Déception et agressivité

En entrevue de recrutement, vous pouvez être très stressé (e), à tel point que vous perdez le contrôle pour peu de chose.

comportement en cas de stress

Ce peut être une question qui vous dérange, une grimace ou une mimique de votre interlocuteur, un dérangement, une mauvaise lumière.

La moindre contrariété vous plonge dans une sorte de dépression où vous pensez avoir perdu toute chance de poursuivre le processus.
C’est alors que vous devenez agressif (ve).

Remettez-vous dans une attitude positive.
Faites la part de votre interprétation et de l’intention du recruteur.

Il y a peu de chance qu’il vous ait volontairement provoqué (e), à moins que ce soit pour étudier votre réponse et votre attitude en situation de stress, telles que vous pourriez en rencontrer dans le poste proposé.

Étourderie ou confusion

Le recruteur a l’expérience nécessaire pour séparer une attitude générée par un fort stress, par exemple le bafouillement, d’une attitude plus ancrée en vous comme l’étourderie ou la confusion.

Si vous avez la mémoire courte, si vous mélangez des dates, des noms, des actions, des résultats, vous risquez de montrer des faiblesses incompatibles avec le poste.

Au mieux, vous indisposerez votre interlocuteur en lui laissant une impression négative, très difficile à renverser.

Demandez un court moment pour vous reprendre et pour parler avec calme et une bonne diction si vous commencez à perdre les pédales.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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12 signes qui agacent le recruteur en entretien d’embauche
Période d’essai : quand le nouveau collaborateur est déçu
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Déstresser autrement
Retenir, classer dans sa mémoire pour mieux restituer quand vous prenez la parole
Recrutement : Les sources de stress du recruteur

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6 Comportements à éviter en entretien d’embauche


6 Comportements à éviter en entretien d’embauche

Sommaire :

  1. Comportements à éviter, les deux premiers
  2. Comportements à éviter en cas de stress
  3. Comportements liés à votre personnalité à éviter

Si vous pouvez rencontrer tous les types d’attitude de la part des recruteurs, employeurs ou chargés de recrutement interne ou externe, ceux-ci rencontrent aussi tous les types d’attitude de la part des candidats.

comportements à éviter

Certaines attitudes sont vraiment pénalisantes et à utiliser uniquement si vous souhaitez être éliminé (e) de la course au poste.

Voyons ici les 2 premiers comportements à éviter

1. Points forts et points faibles

Les points forts, c’est ceux qui font de vous quelqu’un d’attractif.
Ce sont, en premier, vos savoir-faire, puis vos valeurs, vos savoir-être et vos comportements, dans un ordre qui dépend du recruteur.

Les points faibles sont les axes d’amélioration, c’est-à-dire vos lacunes, dans les savoirs et les savoir-faire, et aussi certains défauts de votre caractère personnel ou/et de vos comportements.

Si vous évoquez des points forts qui n’en sont pas par rapport au poste à pourvoir ou des points faibles pénalisants pour assumer les responsabilités ou les tâches du poste, en harmonie avec le reste de l’équipe et de votre hiérarchie, vous êtes bon pour aller voir ailleurs.

Privilégiez les adéquations entre les besoins du poste et vos capacités.

Minimisez vos points faibles. Évitez de parler de perfectionnisme, car les recruteurs entendent systématiquement ce faux axe d’amélioration à chaque entretien.
Ils s’en lassent.

2. Trop d’enthousiasme ou passivité

Aux deux extrêmes des réactions en face du recruteur, on trouve les comportements excessifs que sont un enthousiasme débordants et l’absence de réaction.

Le job idéal est aussi rare que le candidat idéal. Faire des commentaires, pleins de fougue, des gestes ou des cris de joie à l’idée de travailler dans le nouvel emploi, provoquent un recul physique et mental du recruteur face à un tel débordement.

Restez dans les limites du raisonnable. Un grand sourire, de vraie joie,  suffit.

À l’inverse, le trac qui paralyse, ou votre volonté de garder le contrôle de vos émotions peut vous empêcher de montrer que le poste et l’entreprise vous intéressent.

Face à une telle attitude « face de poker », sans réaction, il est impossible au recruteur de savoir ce que vous pensez, donc entre quelqu’un qui hoche la tête positivement, qui montre son intérêt, qui est à l’écoute et qui pose des questions pertinentes, le choix sera vite fait. Passez votre chemin.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Embauche : Le diplôme, Un critère de sélection parmi d’autres


Le diplôme a perdu sa place de critère le plus important

étude Pôle emploi Mars 2018La première partie de cette série de 2 articles décrit l’importance que revêt le niveau de diplôme dans l’inconscient collectif des Français.

Ils se jaugent les uns les autres selon le « Bac+combien » qui est un critère de sélection des candidats dans un recrutement.

Le diplôme perd de son importance

Selon une étude de Pôle emploi de mars 2018, Le critère « diplôme » perd de son importance au profit d’autres critères :

  1. L’expérience professionnelle dans un poste similaire
  2. Les compétences comportementales (ou soft skills)
  3. La capacité d’adaptation
  4. L’adhésion aux valeurs de l’entreprise
  5. L’adhésion au contenu du travail
  6. La variété des expériences professionnelles

Seuls 40% des employeurs considèrent le diplôme comme critère de sélection prioritaire, alors que 74% mettent l’expérience professionnelle en premier.

L’importance du diplôme dépend :

  1. Du secteur d’activité de l’employeur, plus important dans les services que dans le bâtiment
  2. De la taille de l’entreprise, plus important dans les grandes entreprises que dans les petites
  3. De l’ancienneté, plus important pour les jeunes diplômés que pour les seniors

Source : Pôle emploi

Impact dans les candidatures

Ce changement, pragmatique, qui consiste à privilégier le savoir-faire et les compétences comportementales, a un impact direct sur la présentation du CV, le contenu de la lettre de motivation et l’entretien d’embauche.

La rubrique « Compétences » est mise en avant dans le CV, pour que le recruteur voit d’abord ce dont le (la) candidat (e) est capable, sa place est avant la rubrique « Parcours professionnel ».

La lettre de candidature sert à décrire les circonstances qui ont conduit à acquérir les compétences.

Les propos du candidat en entrevue serviront à expliquer le comportent au travail, son adaptabilité à faire face aux évènements professionnels et aux relations avec les autres, collègues, clients, etc.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

VAE : Le processus de la Validation des Acquis de l’Expérience
Le CV d’un jeune diplômé : Que doit-il contenir ?
De l’importance des Centres d’intérêt dans un CV

Les secteurs professionnels officiels : code NAF
Les étiquettes professionnelles ou « t’es pas fait pour ça »
Seniors : Vos points forts auprès des recruteurs

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Le niveau de diplôme de moins en moins important dans les recrutements


Bac + combien ?

diplôme du baccalauréat françaisEn France, l’un des critères de sélection des candidats est le niveau de diplôme : le fameux « Bac+combien ».

Bac est l’abréviation de Baccalauréat.
C’est le diplôme de fin d’année de la scolarité, celui sans lequel les études supérieures sont impossibles.

Avec le temps et quelques réformes, ce sont désormais plus de 80% des élèves qui parviennent à obtenir la Bac.

Le « combien » qui suit l’expression « Bac+ » est le nombre d’années d’étude nécessaire pour obtenir un diplôme.
Par exemple, un ingénieur a un diplôme « Bac+5 ».

Plus le chiffre est élevé et plus le (la) candidat (e) fait partie de l’élite intellectuelle.

Censé être une élite, les détenteurs d’un diplôme de niveau élevé devraient, plus facilement que les autres, trouver un emploi.
À l’inverse, les niveaux de diplômes inférieurs, pire les sans-diplômes, ont plus de difficultés à trouver un emploi.
La réalité est différente.

Son importance dans le recrutement

Cette caricature est de moins en moins vraie, même si le jugement des capacités d’une personne par son niveau de diplôme est bien ancré en France.

Certaines entreprises recrutent uniquement à partir de Bac+5, même si le diplôme est sans aucun rapport avec le métier.
Par exemple : un ingénieur agronome dans une société de services numériques.

Dans la majorité des autres pays, l’entreprise s’intéresse, avant tout, à la capacité du (de la) candidat (e) à assumer les responsabilités et les tâches liées au poste à pourvoir.

Dans beaucoup de conventions collectives, le niveau de diplôme influe sur le statut du salarié : Cadre ou non-cadre, qui confère des avantages, financiers notamment.

Certes, certains métiers imposent de disposer d’un diplôme.
Par exemple, médecin, notaire ou boulanger.
C’est une garantie de qualité et de connaissances.

Pour les autres, on peut se poser la question de l’intérêt du niveau de diplôme comme critère de sélection des candidats, deuxième volet de cette série de 2 articles.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Recrutement : La richesse de la personnalité
Faut-il avoir peur des tests de personnalité informatisés ?
Pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être ?

CV : Les 3 mensonges sur les diplômes
Les niveaux de qualification et de diplômes
Chômage des jeunes : Qui sont les NEET ?

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De l’importance des centres d’intérêt sur un CV


Les centres d’intérêt sur un CV 1/2

Interdit sur le CVVoir la suite dans cet article.

S’il y a bien une rubrique du CV qui mérite de s’y arrêter, c’est bien celle des Centres d’intérêt, appelée aussi Loisirs ou Activités extra-professionnelles.

Elle est devenue l’une des plus regardées, au même titre que les compétences, qui sont, désormais, regroupées dans une rubrique à part.

Quels centres d’intérêt ?

Dans le cadre professionnel, vous agissez pour l’organisation qui vous embauche.

Dans le cadre de la vie privée, ce que vous faites de votre temps, est du ressort de votre propre désir, de vos habitudes de vie, de vos convictions.

Votre personnalité ressort de vos activités extra-professionnelles.

Si vous êtes sportif ou, simplement si vous entretenez votre corps, vous montrez que vous prenez soin de vous, pour être en forme.

Un salarié en forme est un salarié plus productif qu’un autre, avachi ou qui baille à longueur de temps, ou encore qui est incapable de suivre le rythme imposé par son travail.

Une activité artistique, danse, musique, dessin, théâtre, etc., montre un esprit créatif, de l’imagination, de la dextérité ou/et de l’éloquence.

Avoir une vie sociale, dans un club ou une association, montre que vous vous intéressez aux autres et que vous y prenez du plaisir par le partage et/ou l’entraide.

Toutes ces centres d’intérêt vous permet de montrer votre appétence pour autre chose que regarder la télévision, lire des livres, jouer à des jeux en ligne.

Pourquoi cet intérêt pour vos loisirs ?

Donner des Centres d’intérêt sur son CV permet :

  1. De montrer la cohérence entre ses loisirs et sa personnalité.
    Les traits de caractère ou soft skills se retrouvent dans ses passe-temps, ses hobbies.

  2. De se démarquer des autres candidats.
    Vos activités extra-professionnelles sont les vôtres. C’est leur combinaison qui vous rend unique.

  3. De trouver un point commun avec le recruteur.
    Un loisir partagé avec le recruteur et celui-ci sera dans de meilleures conditions pour votre candidature.

  4. De (dé)montrer certaines compétences.
    Toutes les compétences perdues au cours de sa carrière ou gagnée grâce aux activités extra-professionnelles sont autant d’atouts pour votre candidature.
    Vous le démontrer par vos centres d’intérêt.

  5. De « vous décoincer », vous sentir plus à l’aise en entrevue d’embauche,
    puisque vous vous exprimez sur ce qui vous intéresse. Encore faut-il avoir indiqué des centres d’intérêt qui en sont vraiment.

Voir la suite dans cet article.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

5 conseils efficaces pour montrer sa motivation en entretien d’embauche
Candidat : Comment réussir un entretien d’embauche
Pourquoi avoir son CV sur un jobboard ou site d’emploi

Les changements pour les chômeurs au 1er novembre 2019
Postuler avec une candidature spontanée
CV : Les 3 mensonges sur les diplômes

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