Devise 097 : Assez n’est jamais suffisant


Devise 097 des Devises de l’Acquisition des Ferengi (Star Trek)

« Devise 097 : Assez… n’est jamais suffisant »

« Enough … is never enough »

source : Légende des Ferengi

Littéralementpas assez d'or

Assez… n’est jamais assez

Interprétation

Pour augmenter leurs revenus, les Ferengi respectent leur Devises de l’Acquisition, ensemble de règles qui leur permet à peu près tout ce que les autres refusent de respecter.

Pour les Ferengi, accumuler le plus de richesse possible est le but ultime.

Comme ils sont perpétuellement en compétition pour devenir le plus riche de tous, ils n’en ont jamais assez.
Ils leur en faut toujours plus.

Commentaires

Depuis le début de l’être pensant du genre homo, le besoin d’accumuler est l’un des plus vieux moteurs qui font avancer l’humanité.
D’abord, il y a les besoins vitaux, à commencer par la nourriture, première richesse.

L’abondance de nourriture attire les convoitises, les représentants du genre opposé, les flatteurs et profiteurs.

La guerre, la servitude, le pouvoir sont les enfants de l’avidité, du besoin d’en avoir toujours plus, de domination par le surplus.

Une fois, l’appétit de nourriture satisfait, l’être humain s’est tourné vers d’autres sources de richesses.

La pyramide de Maslow explique qu’une fois un besoin satisfait, le besoin évolue vers un niveau supérieur.

La richesse matérielle satisfaite, le summum est la réalisation de soi.

Une poignée de femmes et d’hommes au Monde possède autant de richesses que l’ensemble de tout le reste de l’Humanité.

L’égoïsme, transmis avec la richesse des parents aux enfants, les pousse à en vouloir toujours plus.
Certains pensent oeuvrer pour l’humanité, en créant des fonds destinés à être distribués aux plus pauvres ou à soutenir des projets de développements de ceux qui ont eu moins de chance.
Pour autant, rares, très rares sont ceux qui ont renoncé à leur fortune.

Cependant, au niveau individuel, avons-nous vraiment cesser d’avoir faim ?
Il suffit de regarder autour de soi pour se rendre compte que l’obésité est fortement présente dans nos pays « riches » pour en douter.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Star Trek et ses dérivés sont propriétés de Paramount Pictures (CBS)

Pour en savoir plus :


En complément :

Devise 095 : Grandir (expansion) ou mourir
Devise 098 : Chaque homme a son prix

30 minutes en entretien d’embauche : Suffisant ?
Choisir son métier en fonction de ses valeurs
Demandez à votre Némésis : La compétition motive

Comprendre le « bon » et le « mauvais » cholestérol
Les 20 pays les plus riches en 2014
Les seuls gens riches sont ceux

Autres Science-Fiction :

Récapitulatif 20 Science-Fiction

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Comprendre le « bon » et le « mauvais » cholestérol


Comment distinguer le « bon » du « méchant » cholestérol

hypercholestérolémieMême ceux qui savent qu’un excès de cholestérol est mauvais pour la santé, sont peu nombreux à savoir les distinguer.

Il existe 2 types de cholestérol :

  1. HDL, plus précisément HDL-C, est le « happy » cholestérol, le « bon« 
  2. LDL, plus précisément LDL-C, est le « laid » cholestérol, le « méchant« 

Notre corps fabrique 3/4 du cholestérol, le reste, 1/4 est apporté par l’alimentation.
Donc, même si vous faites un régime anticholestérolémique (bel exercice de diction !), il vous en restera dans le sang.

Comment ça marche ?

Le cholestérol est l’un des constituants de la membrane de chacune de nos cellules. C’est donc un élément vital de notre organisme.

Les acides biliaires, ceux fabriqués par la bile dans le foie, ainsi que les hormones sont fabriqués aussi avec du cholestérol.

Le « mauvais » cholestérol, le « laid », en excès, s’accumule sur les parois des vaisseaux sanguins, à tel point qu’il arrive que le passage du sang soit freiné, pire arrêté quand le vaisseau est bouché. C’est alors l’accident cardiaque.

Pour lutter contre le LDL, il y a le « bon » cholestérol, le « happy ». Le HDL parcoure aussi les vaisseaux sanguins.
En passant, il récupère le « mauvais » cholestérol, il racle les parois des vaisseaux sanguins et ramène le tout au foie. Le foie va l’absorber et l’éliminer.

Tout va bien, alors ?

Ben, non ! Pas en cas d’excès.

Qu’est-ce qui ne va pas ?

Deux causes principales, chacune a pour origine l’apport en cholestérol.

  1. La part du cholestérol produit naturellement par le corps représente parfois plus que les 3/4.
    Un facteur génétique peut faire dépasser le seuil.
    Rien à faire, sinon réduire la part qui est apportée par l’alimentation.
  2. La part apportée par l’alimentation dépasse souvent plus que le 1/4 qui complète la part produit par le corps.

Quand on cumule un facteur génétique avec une alimentation trop riche, notamment en graisse animale, on ajoute plus des 3/4 avec plus du 1/4, ça plus que 1.
C’est à partir de là que les ennuis commencent.

Quels ennuis ?

Le trop-plein de « mauvais » cholestérol et/ou le manque de « bon » cholestérol font partie des causes principales des risques cardiovasculaires, puisqu’ils sont dans le sang.

Vous risquez :

  • au niveau du coeur : Angine de poitrine ou infarctus du myocarde
  • au niveau des jambes : Pathologie artérielle
  • au niveau de la tête : Accident vasculaire cérébral, l’AVC

Solutions ?

  1. Adapter son régime alimentaire : manger moins gras, moins de viande rouge, de charcuterie, de fromage avec un taux de gras > 20%, plus de légumes, etc.
  2. Prendre les médicaments prescrits par votre médecin, car, lui seul, peut traiter votre cas particulier.

Source : AstraZeneca

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

Les 6 catégories de facteurs de risques psychosociaux
TMS troubles musculo squelettiques comment les éviter
Les 10 premières choses sur les 20 qui arrivent quand tu viens d’avoir un bébé

Activité physique adaptée à son état de santé
La rage : Les mesures en cas de contact avec un animal enragé
Décès à l’hôpital : 6 jours maxi

Autres Bien-être :

Récapitulatif 20 Bien-être

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Manque de repos : Causes, erreurs et risques


Manque de repos : Causes, erreurs et risques

ondes cérébrales pendant le sommeilLe mauvais sommeil et le manque de repos touche une personne sur trois en France.

Entre trop ou pas assez de sommeil, ou encore s’endormir à des moments inappropriés, les troubles du sommeil sont fréquents.

La concentration de la population dans les centres urbains favorise ces troubles, à cause des bruits ambiants notamment.

La sédentarité provoquée par le manque d’activités physiques et par l’hyper-connectivité, au téléphone et autres écrans, accentue les problèmes.

On s’endort avec une température de 37°C, tout ce qui réchauffe le corps, donc le cerveau, centre du sommeil, ralentit l’endormissement.

Les affections

  • Insomnie
  • Hypersomnie
  • Apnée du sommeil
  • Narcolepsie

Les causes

  • Stress
  • Suractivité professionnelle
  • Problèmes de transport
  • Connexion prolongée à Internet
  • Jeu sur écran
  • Sieste trop longue
  • Autres affections : Rhume, angine, etc.

Les erreurs

  • Prendre de la caféine après 17:00 : Café, coca
  • Faire du sport avant de se coucher
  • Prendre un bain chaud avant de se coucher
  • Dormir dans une pièce trop chaude
  • Manger gras ou épicé avant de dormir
  • Boire de l’alcool
  • Se laisser éclairer par la lumière bleue

Les risques

  • Obésité, prise de poids
  • Diabète
  • Infarctus
  • AVC, accident vasculaire cérébral
  • Hypertension
  • Dépression, sautes d’humeur
  • Défaillance de la mémoire, de l’attention

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Insomnie vs sommeil fractionné
Le sommeil fractionné
Risques cardiovasculaires : Les facteurs du risque

Apnée du sommeil : Masquez vos ronflements
Résolvez vos problèmes durant votre sommeil
4 heures de sommeil par jour

Autres Bien-être :

Récapitulatif 19 Bien-être

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

IMC Indice de masse corporelle : C’est quoi ?


IMC ou Indice de masse corporelle

tableau de l'IMCL’indice de masse corporelle est une notion qui revient de plus en plus souvent dans l’actualité, à l’heure de la mise en avant des risques sur la santé liés à l’obésité, la boulimie ou l’anorexie et la dictature des mannequins filiformes, beaucoup trop maigres.

Il se trouve que le poids est plus ou moins réparti sur le corps selon le sexe, la taille et le tour de taille.

L’indice de masse corporelle est différent aussi en fonction de certains moments de la vie, comme la grossesse et l’allaitement pour les femmes, ou pour les personnes dans le troisième âge, ou encore les athlètes ou personnes très musclées ou amputées.

L’OMS, Organisation Mondiale de la Santé a défini une règle d’interprétation de l’IMC :

IMC (kg.m-2) Interprétation
moins de 16,5 Dénutrition
16,5 à 18,5 Maigreur
18,5 à 25 Corpulence normale
25 à 30 Surpoids
30 à 35 Obésité modérée
35 à 40 Obésité sévère
plus de 40 Obésité morbide ou massive

L’IMC est un indicateur qui nécessite une interprétation personnalisée à chaque personne. C’est une échelle qui donne des tendances.

Il permet à chacun de savoir où il en est et de décider d’aller consulter un médecin ou/et un nutritionniste pour se faire aider à prendre ou à perdre du poids.

C’est, en effet, le poids est le facteur que l’on peut faire varier, en adaptant ses habitudes alimentaires, alors que la taille varie très peu, une fois la taille adulte atteinte. Quant à l’âge

Calcul de l’IMC

L’indice de masse corporelle est calculé en divisant le poids par la taille au carré.

Exemple : Pour un adulte de 90 kg pour 1,75 m ; l’Indice de Masse Corporelle est :

90 / (1,75 x 1,75) = 29,3, donc en surpoids et frise même l’obésité modérée, puisque, avec 2 kilos de plus seulement, l’IMC dépasse 30.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

Productivité : Fixez-vous des objectifs physiques
Indice de développement humain IDH
Développement durable : Les 17 objectifs de l’ONU

Monoxyde de carbone : quoi, où, les dangers
Vaccination : De l’origine à aujourd’hui
Crise cardiaque et seule (e) : 10 secondes pour survivre !

Autres Bien-être :

Récapitulatif 17 Bien-être

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Risques cardiovasculaires : les facteurs du risque


Les facteurs du risque cardiovasculaire

douleur infarctus du myocardeCet article a pour but d’attirer votre attention sur les facteurs de risques dans les maladies cardiovasculaires et en particulier l’infarctus du myocarde.
Si vous vous sentez concerné(e) alors seule une consultation chez un médecin vous donnera le diagnostic de votre état de santé.

Les facteurs historiques

Les facteurs de risque connus depuis longtemps sont :

  • Le tabagisme, car le tabac rétrécit le diamètre des artères
  • L’hypertension artérielle, car la pression abîme plus rapidement les parois internes des vaisseaux sanguins
  • L’hypercholestérolémie, car le cholestérol se dépose sur les parois internes des artères jusqu’à les boucher, ce qui provoque une attaque cardiaque, si le rétrécissement est proche du coeur ou une autre attaque dans d’autres régions du corps
  • Le diabète, car le sucre favorise aussi le rétrécissement des vaisseaux sanguins
  • L’hérédité, hélas ! Merci papa, merci maman !

Un facteur de risque « moderne »

La sédentarité, et plus généralement, le manque d’activité sportive, est un facteur aggravant. Les graisses ne sont plus brûlées par l’organisme qui les stocke où il peut, dans les muscles et donne ainsi l’obésité, et dans les vaisseaux sanguins.

Le corps se fatigue plus qu’avec une pratique modérée d’un sport, ne serait-ce qu’une demi-heure de marche active par jour (pas le piétinement dans les magasins).

La multiplication des facteurs

Le risque de développer une maladie cardiovasculaire lorsque l’on présente plusieurs facteurs de risques est la multiplication et non pas l’addition des risques.

Par exemple, une personne sédentaire, fumeuse et diabétique présente un

risque = sédentarité x tabagisme x diabète

et non pas sédentarité + tabagisme + diabète.

Donc plus, vous avez de facteurs de risque et plus la probabilité du développement d’une maladie cardiovasculaire est forte.

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Que faire ?

Si vous ne pouvez rien contre l’hérédité, il y a des moyens pour lutter contre les autres facteurs de risques.

La tabagisme : faut-il vraiment le dire ? Il semble que oui, donc : arrêter de fumer. De multiples techniques et produits peuvent vous aider à y parvenir, sous la seule réserve que vous le souhaitez vraiment, évidemment

L’hypertension : cool ou stressé(e), essayez de garder votre calme en toute circonstance, tenter d’éviter les situations stressantes. Bon, d’accord, le plus simple est d’en parler à son médecin et de se faire prescrire, si nécessaire, le médicament pour atteindre un niveau d’hypertension ne présentant plus de risque pour votre santé

L’hypercholestérolémie : manger moins gras, moins de gras d’origine animale. Changer d’habitudes alimentaires est souvent difficile, mais répétez-vous que les produits dont vous devez réduire fortement la consommation sont du poison pour votre organisme, cela peut vous faciliter les choses. Les pharmaciens, les médecins, les nutritionnistes ont des pages pleines de listes de produits à éviter. Le mode de cuisson aussi est important : vous pouvez consommer des pommes de terre à la vapeur sans soucis, mais pas les frites !!

Le diabète : de nouvelles habitudes alimentaires peuvent vous prémunir contre le diabète ou améliorer votre situation face à certaine forme de diabète. Rien que pour éviter de se piquer aussi souvent, cela vaut la peine de regarder à manger moins sucré, n’est-ce pas ?

La sédentarité : promener son chien, descendre et monter les escaliers sans prendre l’ascenseur, faire le tour de son pâté de maison et aller faire ses courses à pied, sont des moyens simples de joindre l’utile à l’agréable ou du moins l’utile à des mesures qui peuvent sauver votre vie.

Sinon ?

Quand une maladie cardiovasculaire se développe, elle prend des années ou elle frappe immédiatement. Les conséquence sont claires :

  • soit vous mourrez, et auquel cas, les problèmes sont pour vos proches qui vous ont perdu
  • soit vous vivez, tout le reste de votre vie avec des médicaments à prendre, des séquelles plus ou moins importantes sur votre santé avec un changement de vie, personnelle et professionnelle, important.

C’est tout simple ! A vous de choisir d’allonger, ou non, votre espérance de vie.

Bonne santé à tous, quand même !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

Don de moelle osseuse
TMS troubles musculo squelettiques comment les éviter
Les événements susceptibles de faire augmenter le stress durant une urgence

Stress technologique : comment le maîtriser
Décès : Démarches à effectuer
Devise 008 : Petits caractères entraînent grand risque

Autres Bien-être :

Récapitulatif 6 Bien-être

Tous les articles de cette catégorie sont listés dans la page Bien-être de la page Autres catégories

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter