Entretien d’embauche : Les nouvelles questions pièges liées à la pandémie


Quand la pandémie provoque de nouvelles questions pièges en entretien d’embauche

2019 L’apparition du corona-virus, appelé COVID-19 s’est répandu dans une pandémie mondiale qui a touché tous les pays et toutes les populations.

L’activité économique a été stoppée ou freinée selon les périodes de l’année depuis 2020.
L’impact sur le travail et la recherche d’emploi a modifié les règles : Déplacements en baisse et télétravail en hausse, entre autres.

Comment bien porter un masqueDe nouvelles questions sont posées durant les entretiens d’embauche. A prendre avec précaution pour répondre correctement.

Comment allez-vous ?

Là où il y avait une banale formule de bienvenue se trouve maintenant une première question piège.

La question de la santé est réservée à la médecine du travail. Cependant, les conséquences sur votre état psychique est le sujet de cette question.

rue déserte pendant le confinementLe recruteur souhaite savoir si vous avez surmonté l’alternance de peur et d’espoir, de confinement et de couvre-feu.

Votre réponse doit montrer que tout va bien, que vous êtes prêt (e) à retourner à l’emploi, tourné (e) vers l’avenir et les nouvelles tâches qui vous attendent.

Pour quelle(s) raison(s) cherchez-vous un emploi ?

Vous pouvez avoir été en recherche d’emploi avant le début de la pandémie.
Dans ce cas, la baisse des recrutements vous a compliqué la recherche. Il est facile d’expliquer pourquoi nous êtes toujours en recherche.

Si vous avez perdu votre emploi durant la crise, parce que votre entreprise a dû se résoudre à vous licencier, alors il est facile de comprendre que vous ayez démarré une nouvelle recherche d’emploi.

perte d'emploi restaurationPlus difficile à motiver est votre départ ou envie de quitter votre employeur actuel.

Est-ce par crainte et anticipation de la perte de votre emploi ou un besoin de changer de mode de management ou d’activité, ou encore de progresser et de développer responsabilités et compétences ?

Dans ce dernier cas, le recruteur cherchera à savoir si votre candidature est liée à la crise sanitaire ou a pour motivation une de celles qui existaient déjà avant la pandémie.

Qu’avez-vous fait durant les confinements ?

En dehors de la première et de la deuxième ligne de front face à la pandémie, nous sommes tous resté chez nous durant les confinements.
Par contre, nos occupations durant ces périodes sont propres à chacun de nous.

Entre un farniente imposé devant la télé ou les jeux de société en famille, le bricolage et le rangement de son logis, ou encore des heures passées à se former en ligne, ou même le sport dans sa chambre ou son salon, le choix des occupations est très large.

rameur chez soi ou dehorsD’autres se sont occupés de l’éducation des enfants alors que certains se sont enfermés pour éviter pleurs et cris en plus de la promiscuité durable.

Le nombre de divorces a augmenté, ainsi que les dépressions et autres symptômes de mal-être.

Votre résistance au stress a été mise à rude épreuve. Votre sens de l’organisation et du dialogue ont fait toute la différence.

Ce sont vos capacités et vos ressources que veut découvrir le recruteur, à l’épreuve du feu.

Qu’avez-vous appris de cette crise sanitaire et économique ?

Vos habitudes de travail ont-elles changées durablement ? Lesquelles ?

Vous avez gardé le moral et passé la période de restrictions sanitaires sans trop vous poser de questions.

A moins que vous avez énormément réfléchi à la suite de votre carrière, avec un déménagement à la clé et un changement d’orientation.

se laver les mainsPeut-être même vous êtes-vous engagé à soutenir les soignants ou vos voisins et développé des actions pour lutter contre la crise.

Quelle que soit votre réflexion sur votre future carrière, il s’agit, pour le recruteur, de déterminer votre degré de réactivité et de résilience face à cette période difficile de pandémie.

Qu’est-ce qui vous a le plus manqué ?

De l’absence de relations avec les autres au manque de papier toilette dans les rayons, le panel de réponse à cette question est immense.

Votre première réponse va déterminer l’impression que vous donnerez au recruteur.

restaurant ToursElle portera sur la vie privée ou sur la vie professionnelle. Elle sera le révélateur de la place de l’une et de l’autre dans votre vie. Trop de l’une ou trop de l’autre et votre vie est déséquilibrée.

Il s’agit d’un état des lieux de vos valeurs prioritaires qui sont rendu plus facile à analyser par le recruteur que pendant la période qui a précédé la pandémie.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Combien de temps pour faire une première impression ?
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Recrutement : « Parlez-moi de vous »

5 conseils efficaces pour montrer sa motivation en entretien d’embauche
Entretien d’embauche : « Pourquoi êtes-vous là ? »
Entretien d’embauche : Jamais les mêmes questions. Zut alors !

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Comprendre le « bon » et le « mauvais » cholestérol


Comment distinguer le « bon » du « méchant » cholestérol

hypercholestérolémieMême ceux qui savent qu’un excès de cholestérol est mauvais pour la santé, sont peu nombreux à savoir les distinguer.

Il existe 2 types de cholestérol :

  1. HDL, plus précisément HDL-C, est le « happy » cholestérol, le « bon« 
  2. LDL, plus précisément LDL-C, est le « laid » cholestérol, le « méchant« 

Notre corps fabrique 3/4 du cholestérol, le reste, 1/4 est apporté par l’alimentation.
Donc, même si vous faites un régime anticholestérolémique (bel exercice de diction !), il vous en restera dans le sang.

Comment ça marche ?

Le cholestérol est l’un des constituants de la membrane de chacune de nos cellules. C’est donc un élément vital de notre organisme.

Les acides biliaires, ceux fabriqués par la bile dans le foie, ainsi que les hormones sont fabriqués aussi avec du cholestérol.

Le « mauvais » cholestérol, le « laid », en excès, s’accumule sur les parois des vaisseaux sanguins, à tel point qu’il arrive que le passage du sang soit freiné, pire arrêté quand le vaisseau est bouché. C’est alors l’accident cardiaque.

Pour lutter contre le LDL, il y a le « bon » cholestérol, le « happy ». Le HDL parcoure aussi les vaisseaux sanguins.
En passant, il récupère le « mauvais » cholestérol, il racle les parois des vaisseaux sanguins et ramène le tout au foie. Le foie va l’absorber et l’éliminer.

Tout va bien, alors ?

Ben, non ! Pas en cas d’excès.

Qu’est-ce qui ne va pas ?

Deux causes principales, chacune a pour origine l’apport en cholestérol.

  1. La part du cholestérol produit naturellement par le corps représente parfois plus que les 3/4.
    Un facteur génétique peut faire dépasser le seuil.
    Rien à faire, sinon réduire la part qui est apportée par l’alimentation.
  2. La part apportée par l’alimentation dépasse souvent plus que le 1/4 qui complète la part produit par le corps.

Quand on cumule un facteur génétique avec une alimentation trop riche, notamment en graisse animale, on ajoute plus des 3/4 avec plus du 1/4, ça plus que 1.
C’est à partir de là que les ennuis commencent.

Quels ennuis ?

Le trop-plein de « mauvais » cholestérol et/ou le manque de « bon » cholestérol font partie des causes principales des risques cardiovasculaires, puisqu’ils sont dans le sang.

Vous risquez :

  • au niveau du coeur : Angine de poitrine ou infarctus du myocarde
  • au niveau des jambes : Pathologie artérielle
  • au niveau de la tête : Accident vasculaire cérébral, l’AVC

Solutions ?

  1. Adapter son régime alimentaire : manger moins gras, moins de viande rouge, de charcuterie, de fromage avec un taux de gras > 20%, plus de légumes, etc.
  2. Prendre les médicaments prescrits par votre médecin, car, lui seul, peut traiter votre cas particulier.

Source : AstraZeneca

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


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Les 6 catégories de facteurs de risques psychosociaux
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Les 10 premières choses sur les 20 qui arrivent quand tu viens d’avoir un bébé

Activité physique adaptée à son état de santé
La rage : Les mesures en cas de contact avec un animal enragé
Décès à l’hôpital : 6 jours maxi

Autres Bien-être :

Récapitulatif 20 Bien-être

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Faire des économies chez soi : Facile !


Ces petits gestes qui génèrent des économies

énergie solaireL’énergie coûte de plus en plus chère. Il suffit de regarder ses factures d’eau, de gaz ou d’électricité pour s’en rendre compte.

C’est un enjeu sociétal important. En plus de la question des sources d’énergie, fossiles ou durables, nos modes de vie ont une influence certaine sur la consommation et sur ses factures.

Voici quelques nouvelles habitudes à prendre

Économies d’eau, jusqu’à

50% en coupant l’eau pendant qu’on se lave les dents ou qu’on se rase

25% en lavant son linge à basse température

10% en installant un réducteur de débit sur les robinets des éviers et lavabos

Économies d’électricité, jusqu’à

75% en utilisant des ampoules basse consommation

66% en débranchant les appareils en veille, dans la journée et dans la nuit

20% en utilisant la touche demi-charge du lave-vaisselle

15% en dégivrant le réfrigérateur et le congélateur

09% en mettant un couvercle sur les casseroles et poêles durant la cuisson

Économies sur le chauffage et la lumière, jusqu’à

40% de lumière en plus en dépoussiérant les luminaires

07% en baissant le thermostat de 1°C sur l’ensemble du logement

02% en fermant les volets durant la nuit

Source : Engie

Philippe Garin
Pas d’économie pour des conseils éclairés, contactez-moi : phgarin@gmail.com

En complément :

Productivité : Une question de temps ou d’énergie ?
Anti-incendie de la salle informatique
Comment éviter les intoxications au monoxyde de carbone

RTE : arnaque au branchement électrique ?
Développement durable : Les 17 objectifs de l’ONU
Tableau périodique des éléments chimiques : Phrases mnémotechniques pour se souvenir

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Récapitulatif 16 Bien-être

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10 conseils pour gérer les premiers jours de manager 1/2


Chef pour la première fois

Auguste premier empereur romainTout d’abord, félicitations pour votre nouveau poste !

Suite de mon premier article sur la première prise de poste de manager, voici 10 conseils, en deux articles, pour gérer vos premiers jours.

Avant de rentrer dans l’arène aux lions, commencez par rassembler vos forces et vos faiblesses dans votre tête.
Vous allez avoir plusieurs défis à surmonter en même temps.

1. L’entreprise

Si vous avez l’avantage d’y avoir déjà travaillé, même si c’est dans un lieu différent, vous connaissez les habitudes de la maison, les attentes du groupe.
Vous connaissez le milieu professionnel, les habitudes de la clientèle, les trucs et astuces du métier.

Sinon, il est absolument indispensable de prendre tous les renseignements possibles et imaginables sur l’entreprise, son secteur et ses habitudes, AVANT même d’y mettre les pieds.

2. Les collaborateurs

Dès les premières heures, vous devez apprendre et retenir le nom de vos collaborateurs et les traiter de la même façon. Certains seront plus enclins à se faire bien voir, d’autres seront plus en retrait.

C’est à la fois une période de lune de miel, où vous pouvez demander tout et n’importe quoi,vos collaborateurs vous pardonnerons vos exigences et vos questions, et une période brouillonne, dans la mesure où vous devez prendre des décisions sans avoir obligatoirement toutes les connaissances pour les prendre.

C’est parfois aussi une période de gaffes.

3. Le lieu

Indispensable, la visite des lieux, le repérage des améliorations à apporter dans la propreté, le rangement, les risques, la qualité des installations techniques, etc.

Et aussi, l’affichage pour la clientèle dans le magasin et les installations pour le personnel, y compris panneaux d’affichage ou toilettes.

Vous devez aller partout, ouvrir les placards de l’entreprise, sauf là où se trouvent les affaires privées de vos collaborateurs.

4. Votre coin à vous

Comme tout manager, vous allez avoir votre bureau et vos endroits favoris.

Mettez-y votre empreinte, de telle façon que lorsque vous recevrez collaborateurs ou fournisseurs, les gens « sentent » votre touche personnelle. Ce peut être un simple poster sur un mur où la façon dont vous rangez votre bureau.

Le but est que vous vous sentiez à l’aise et que l’ombre de votre prédécesseur soit remplacée par la vôtre.

Ces conseils sont aussi valables pour votre tenue vestimentaire, très important dans votre entreprise et dans votre position.

5. Les fournisseurs et autres contacts externes

Durant les premiers jours, vous allez avoir affaire à un défilé de solliciteurs : fournisseurs ou commerciaux qui vous prospecteront. Là, rien de particulier à vous conseiller, si ce n’est d’agir à votre façon.

Vous avez toute liberté d’attitudes et d’actions vis-à-vis des solliciteurs en tout genre.

Dans la mesure du possible, fixez des rendez-vous à partir de votre seconde semaine de présence pour vous donner le temps de vous installer.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Se sentir bien en entreprise : Les 7 critères
Être manager de nos jours : Entre sa hiérarchie et ses collaborateurs
Stratégies à l’usage d’un dirigeant d’entreprise

Prise de décision : L’heure du doute et de la remise en question
Actions d’amélioration au sein d’une entreprise
Quels sont les éléments qui composent un bureau bien conçu ?

Autres Management, Emploi et Organisation :

Récapitulatif 15 Management
Récapitulatif 15 Emploi
Récapitulatif 15 Organisation

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Bientôt retraité (e) : Préparer sa retraite


La retraite, ça se prépare

La loi sur le recul de l’âge pour faire valoir ses droits à la retraite est compliquée. En gros, selon sa date de naissance, cet âge change. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut travailler plus longtemps qu’avant.Dans tous les cas, même pour certains privilégiés qui partent avant leurs 60 ans, la retraite est un moment très attendu ou redouté.

Comparaison retraite publique retraite privée

source : fonction-publique.gouv.fr

Du jour au lendemain

Un jour, on travaille. On a des collègues, des clients, des fournisseurs, un statut social par son poste.

Le lendemain, on est … seulement retraité(e) ; Avec un peu de nostalgie, on peut parfois ajouter un terme vague pour décrire ce que l’on faisait encore la veille.

Il y a aussi ceux qui attendent avec impatience de remplacer une allocation sociale parce qu’ils n’ont plus de travail depuis des années, par une pension de retraite. Un très fort pourcentage de plus de 50 ans se trouvent au chômage et franchissent la frontière vers la retraite avec le regret d’une pension plus faible que s’ils avaient pu continuer à travailler.

Les études, scolarité, supérieures ou apprentissage, préparent à l’arrivée dans le monde du travail.
Les joies, les peines, les envies, les aides sont nombreuses et les débutants reçoivent des conseils de tous côtés, ou doivent découvrir par eux-mêmes, les relations hiérarchiques, entre collègues, etc.

Pour les futurs retraités : rien. C’est à chacun de se débrouiller pour préparer la transition.

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La liberté ou le vide

Le cercle des fréquentations va se restreindre d’une manière drastique. 80 à 90% des relations avec les autres sont liés au monde du travail.

D’un seul coup, seuls les amis proches, surtout s’ils sont eux-mêmes retraités, et la famille, lorsque les enfants sont à proximité et le veulent bien.

Plus de contraintes professionnelles, plus besoin de se lever pour aller travailler. Le temps de la journée est entièrement disponible pour les activités de son choix.

Il reste, certes, les contraintes au quotidien, faire les courses, le ménage, à manger, etc.

Comme un enfant de 2 ou 3 ans veut aller à l’école pour avoir des vacances, le retraité est en vacances tout le temps. Il en rêvait peut-être quand il travaillait, et même quand il était au chômage. Maintenant, le voilà sans savoir quoi faire de son temps ou trop occupé pour être joignable.

Déprime ou pas

Comme toute période de repos prolongée, la retraite peut amener à la déprime, à un laisser-aller de mauvais aloi, à une irritation de sa part ou de la part des autres, ceux qui travaillent, envers lui. Eux, ils n’ont pas le temps.

La vie du conjoint est impactée, elle aussi. Avoir le retraité « dans les pattes » signifie devoir changer ses habitudes à la maison prises parfois depuis des décennies.

Un changement de revenu va peut-être impliquer un changement de résidence, un départ vers une zone plus agréable, quand on en a les moyens, ou moins agréable, quand les finances sont trop justes.

Le temps du rêve devenu réalité

Préparer sa retraite, c’est se poser des questions. En voici un échantillon :

  • À quoi vais-je passer mon temps ?
  • Vais-je avoir les moyens financiers suffisants pour assouvir mes envies ?
  • Même question sur sa santé.
  • Qui vais-je voir, rencontrer ? Comment trouver de nouvelles connaissances ?
  • etc.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Mal préparé(e) ? contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Retraite : Avant de s’expatrier
Ehpad : Nouveau nom pour les maisons de retraite médicalisées
Partir plus tôt avec sa retraite complète

Le contrat de génération : L’argent n’est pas la seule motivation
Génération W ou babyboomers
Décès : Démarches à effectuer

Autres Bien-être et Emploi :

Récapitulatif 15 Bien-être
Récapitulatif 15 Emploi

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Pour une image positive : abandonnez vos tics de langage


Séduire pour se faire apprécier

positivez

Qui parle ?

Entretien d’embauche, devant ses collègues, en bonne compagnie, les moments où il faut plaire sont nombreux. Les circonstances nous obligent parfois à surmonter sa timidité naturelle pour se montrer sous son meilleur jour.

Abandonner les tics de langage

Les tics de langage sont des mots ou des expressions, ayant un sens parfois détourné du sens réel qui énervent votre ou vos interlocuteurs.

Ils sont souvent répétés tellement souvent, qu’ils pénalisent le message que l’on veut transmettre. L’autre retiendra ses mots parasites au lieu de retenir les autres propos, les plus importants pour vous.

Parmi ces tics de langage, on trouve :

  • « Euh »
  • « Au jour d’aujourd’hui »
  • « Petit » et « petit peu »
  • « Oui, mais » et « non, mais »
  • « C’est c’la, ouiii »
  • etc.

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Supprimer les mots et expressions négatives

Là encore, les expressions ou les mots négatifs ont un impact négatif sur son interlocuteur. Pour se faire apprécier de l’autre, mieux vaut tourner la phrase à l’envers en utilisant des expressions ou des mots positifs.

Quelques exemples :

  • « Je n’avais pas le temps de … » devient « je prenais mon temps pour … »
  • « Je ne sais pas faire » devient « Avec une formation, je saurais faire »
  • « Ne pensez-vous pas que … » devient « Pensez-vous que … »
  • etc.

Remplacez « mais » par « et ». Ce ne sont pas les expressions qui manquent, mais …. Oups, pardon : il y a beaucoup d’occasions pour cela, et … . Pas mal, heiiinnnn ?

Réfléchir et s’entrainer

Perdre ses tics de langage et prendre de nouvelles habitudes se heurtent à ceux qui prédisent l’échec en pointant sur doigt le « chasser le naturel, il revient au galop ». Sauf, qu’un langage s’apprend, la notion d’instinct laisse la place à la notion d’apprentissage.

Pour qu’une nouvelle habitude, surtout de langage, soit prise, il faut s’y préparer, en cherchant ses tics de langage et ses expressions négatives, et en trouvant des mots et expressions de remplacement.

Il faut aussi répéter, répéter, répéter, jusqu’à ce que ce qui est un effort important au départ devienne « naturel », donc une habitude.
Philippe Garin, plus de 20 de management en entreprise

Pour un accompagnement positif, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :

En complément :

Les 3 types de Management
Quitter son emploi ou rester : Telle est la question
TMS : Des chiffres et des accessoires (Troubles musculo-squelettiques)

Stratégie à l’usage d’un dirigeant d’entreprise
Psychologie du travail dans l’organisation du bureau
Pratiquez-vous le management participatif : Sondage

Autres Communication et Emploi:

Récapitulatif 14 Communication
Récapitulatif 15 Emploi

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Les bases de la productivité 2/4 : Les habitudes


Les bases de la productivité 2/4 : Les habitudes

L'habitudeUn des moyens de gagner en productivité est d’agir rapidement en ayant conscience de ce que l’on fait.

Les habitudes nous permettent de mettre de côté ou de réduire le temps de la réflexion qui précède l’action, après avoir éprouvé que l’habitude retenue soit efficace et productive.

Sommaire :

Les bases de la productivité 1/4 : L’état d’esprit
Les bases de la productivité 2/4 : Les habitudes
Les bases de la productivité 3/4 : L’hygiène de vie
Les bases de la productivité 4/4 : Les outils et principes

Voici quelques règles qui permettent d’agir avec plus d’efficacité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre coeur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour une meilleure organisation dans votre travail, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Analyse de mes habitudes de travail
Psychologie positive, Pensée positive, Parler positif
Génération Y : Les bases

9 conseils pour atteindre et tenir ses objectifs
Les recettes magiques vers l’échec
Comment reconnaître mon propre comportement de fuite au travail

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

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Productivité : le coeur et l’esprit en harmonie


Agissez lorsque votre esprit et votre cœur sont en harmonie

Y'a qu'à s'y mettre, faut que je plongeTout au long de sa carrière, nous sommes amenés à entreprendre de nouvelles actions, de nouveaux projets.

Salarié ou patron, nos actions sont dépendantes de notre environnement. Même les plus répétitives des actions sont entrecoupées de nouvelles actions.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Tout nouveau projet contient des opérations, des enchaînements, des démarches, du travail.

Grand projet sur plusieurs mois ou années ou tout petit projet de quelques heures ou jours, lorsque la volonté et l’envie se contredisent alors existe le risque que le projet ou l’action s’éternise et échoue.

Quand l’esprit dit « il le faut » et que le cœur répond « pas envie », alors le travail est fait avec réticence, dont avec un manque d’efficacité. La productivité est alors plus faible que lorsque le mental, les sentiments et le corps fonctionnent tous dans le même sens, à savoir la réussite du projet.

Effectuer un travail en reculant a pour conséquence une perte de productivité.

La fatigue intellectuelle, le manque de volonté peut aller jusqu’à la procrastination ou le burn-out, à moins que ce soit l’inverse avec le bore-out et un ennui profond.

Il y a dysfonctionnement, dès que la volonté et l’envie se contredisent. le « Y’a qu’à – faut qu’on » se heurte à la mise en oeuvre d’un projet ou même d’une action unique. L’énervement prend le pas sur la raison.

De plus, lorsque la volonté est celle d’un (e) autre, un (e) chef, par exemple, et que l’action est confiée à un (e) collaborateur (trice), qui n’en a pas envie, alors les frictions entre les personnes induisent une perte de productivité.

L’inverse est vrai quand un (e) collaborateur (trice) soumet des idées d’actions à sa hiérarchie et qu’il (elle) se heurte à une inertie de celle-ci.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour plus de conseils :

En complément :

Les 4 facteurs influençant les comportements
Vos envies – ce que vous aimez ou pas
Vos priorités dans la vie

Se reconvertir ? Pourquoi ? Analyse de vos motivations
Prise de décision : D’où vient votre mal-être, votre malaise
Je peux le faire ! ou motivation personnelle en 8 étapes

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

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Efficacité : 30 jours pour une nouvelle habitude


Une habitude : 30 jours

Fernand Raynaud

Fernand Raynaud

Un exercice de communication consiste à demander aux apprenants combien de temps il faut pour prendre une nouvelle habitude.

Généralement, les réponses sont très divergentes d’une personne à l’autre. Chacun y va de sa réponse en fonction de ses expériences personnelles.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Une « bonne » habitude s’attrape-t-elle plus lentement qu’une « mauvaise » habitude ?

Cette seconde question semble plus facile à répondre et pourtant la réponse serait la même :

« Un certain temps »

Une habitude au travail est-elle plus facile à prendre qu’une habitude dans sa vie personnelle ?

Cette question mérite un peu plus de réflexion puisque, souvent, les habitudes au travail influencent les habitudes de la vie privée. Il suffit de penser à un changement de poste, à un changement d’entreprise, voire un déménagement pour se rapprocher de son lieu de travail, pour s’imaginer les changements induits dans la vie personnelle.

De même, un évènement qui nous touche personnellement va avoir une influence sur son travail : mariage, naissance, séparation, etc.

Dans tous les cas, le changement de situation, de travail, d’attitudes, devient une habitude au bout de 30 jours. C’est le temps moyen dont nous avons besoin pour qu’une habitude soit bien installée, que l’on se soit « habitué ».

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour plus de conseils :

En complment :

Analyse de mes habitudes de travail
Journée de travail : 10 minutes avant de partir
Catastrophe stress et mesures personnelles à prendre pour se préparer

Les 6 erreurs humaines d’après Cicéron
Inventions grâce à la perception du temps
Le bûcheron qui n’a pas le temps

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

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Productivité : Travaillez tous les jours, sans exception


Productivité : Travaillez tous les jours, sans exception

planning de la semaineLe principe de Jost est qu’il est plus facile d’apprendre en morcelant l’apprentissage et en l’étalant dans le temps.
C’est efficace sous réserve de conserver le rythme d’apprentissage et de répéter les leçons apprises précédemment.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Pour le travail, ou n’importe quelle habitude, il est plus facile, donc plus efficace de travailler tous les jours.
Bien sûr, durant les congés de fin de semaine ou les périodes de vacances, le rythme de travail est ralenti et le travail même différent.

Arrêter une habitude pour quelques jours ou quelques semaines et l’habitude devient plus difficile à reprendre quand on retourne travailler.

Pour conserver sa productivité, mieux vaut « garder la main », ralentir certes, sans abandonner son activité. En faire, un peu, chaque jour, permet de conserver l’habitude de travailler.

C’est un point que certaines personnes malades ou au chômage, ou encore à la retraite, oublient parfois. Ne plus rien avoir à faire, perdre, forcé ou non, ses habitudes et c’est le désœuvrement, l’ennui ou/et la dépression à la clé.

L’objectif devient alors de reprendre une activité et donc des habitudes le plus vite possible.

« L’humanité se divise en trois catégories :

ceux qui ne peuvent pas bouger,
ceux qui peuvent bouger, et
ceux qui bougent. »

Benjamin Franklin

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour plus de conseils :

En complément :

Management participatif : Votre plus grande satisfaction
Réflexions pour une orientation professionnelle
Productivité : Un résultat rapidement

Le Kaizen : Difficile à mettre en place ?
Dégradation de la relation personnelle avec le responsable hiérarchique
Le grizzly affamé

Autres Organisation :

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Efficacité : Tenez compte de vos préférences au travail


Efficacité : Tenez compte de vos préférences au travail

L’envie est plus forte que la préférence

L'envie est plus forte que la préférenceLa motivation est un très bon moteur pour son efficacité personnelle et donc pour sa productivité au travail.

L’envie et le plaisir d’agir comme on le veut et de choisir ce que l’on veut faire sont des facteurs qui réduisent le temps de la productivité ou/et qui augmentent la production et la qualité de ses actions.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

La préférence est limitée par les choix et les possibles. On choisit parmi un certain nombre de valeurs ou d’objets, celles et ceux qui attirent le plus. Parfois, il s’agit d’un choix par défaut ou d’un choix par élimination des autres options.

Dans un cas comme dans l’autre, lorsque l’on en a la possibilité, on travaille mieux quand on se sent bien avec ses envies, ses préférences, que ce soit pour les idées, les outils, le lieu ou les conditions de travail.

L’idéal est d’avoir réussi l’harmonisation entre ses objectifs personnels et les objectifs professionnels.

Quelle que soit la motivation, on est toujours plus efficace quand elle est là.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de motivation, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Productivité: Une seule action à la fois


Productivité: Une seule action à la fois

chiffre 1Pour certains, cela semble une hérésie ou impossible, pour d’autres une évidence : une seule action à la fois mène pourtant à une amélioration de sa productivité personnelle.

L’analyse d’une action a permis, depuis l’avènement de l’industrie, un découpage des tâches. L’arrivée de la mécanisation, puis de l’électronique, a réduit la durée de l’action et amélioré la qualité de la production en diminuant les erreurs humaines.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

D’ailleurs, une machine n’effectue qu’un mouvement à la fois. Son travail est linéaire, même lorsqu’il est répétitif.

Les prémices et conséquences

Il est rare qu’une action soit isolée. Une autre action ou plusieurs autres actions la précédent. Un ou plusieurs autres actions la suivent. La réflexion porte aussi sur les différentes options, c’est-à-dire des actions alternatives selon le résultat de l’action que l’on va mener.

Les prémices

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Le temps de la réflexion

Juste avant l’action proprement dite, il y a le temps de la réflexion. La durée de la réflexion est fonction de la complexité de la tâche à accomplir et de la concentration de celle ou celui qui y réfléchit.

le temps de la réflexion

Complexité et combinaisons

Mener plusieurs réflexions et plusieurs actions en parallèle conduit à multiplier les combinaisons et la complexité du processus de réflexion avec le risque de mélanger l’intégration dans la réflexion d’éléments du passé autant que les actions à mener.

En gros, le chaos est proche. Plus on veut mener d’actions en parallèle et plus il y a d’interférences dans la réflexion et dans l’action.

Réflexe et combinaison

Les interférences dans les processus rendent la durée de réflexion plus importante que la somme des durées de chaque processus de réflexion, ne serait-ce que parce qu’il faut se concentrer à nouveau sur un sujet à la fois, même si en arrière-plan de son cerveau, les autres réflexions continuent.

Un seul processus à la fois

De plus, la concentration est plus importante et donc le temps de la réflexion est plus court, lorsque l’esprit a un seul sujet à traiter à la fois

un seul processus

La qualité de l’action

Lorsque le temps de l’action est venu, l’ensemble des ressources physiques et intellectuelles se concentre sur son exécution. L’attention que l’on y porte est entière et le résultat plus conforme aux attentes.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Journée de travail : 10 minutes avant de partir


À quoi passez-vous les 10 dernières minutes en fin de journée de travail ?

10 dernières minutesTerminer une journée de travail est un rituel que chacun met au point à sa façon.

Que vous soyez en poste dans une entreprise ou femme au foyer, les habitudes sont différentes de l’un à l’autre.

Lorsqu’une personne perd son emploi, elle perd aussi ses repères et celui du rituel des 10 dernières minutes au travail est aussi perdu, puisqu’elle ne sait plus quand sa journée de termine.

Sondage : À quoi passez-vous vos 10 dernières minutes d’une journée de travail ?

Réduire le stress

Le simple fait de se poser la question de ce que vous faites pendant les 10 dernières minutes de votre journée de travail vous fait prendre conscience de ces habitudes.

Que vous partiez en courant, de peur de louper le bus ou la sortie d’école de vos enfants, ou que vous partiez serein (e), content (e) de votre journée et prêt (e) pour le lendemain, votre résistance au stress sera éprouvée et le reste de la fin de journée sera calme et reposante ou difficile et énervante.

Pour les chercheurs d’emploi

Le processus de recherche d’emploi nécessite de passer plus de temps que ce que l’on consacre quand on est en poste. Au lieu des 35 heures par semaine, ce sont 8 à 10 heures par jour que l’on y consacre, ou devrait y consacrer pour trouver rapidement un nouvel emploi. Seulement voilà, être chômeur et le rester n’est pas un choix, même démissionnaire.

Alors, il est important de se fixer la limite de fin de la recherche dans une journée.

De même, la semaine de travail contient parfois une, généralement deux jours de repos, le weekend ou le dimanche et le lundi, la semaine d’un chercheur d’emploi DOIT comporter au moins une journée de repos, sans action planifiée de recherche.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Déperdition de l’information : Pourquoi


Pourquoi la déperdition d’information ?

La déperdition orale

La déperdition de l’information est une perte de compréhension entre un émetteur et un récepteur, c’est-à-dire entre deux personnes.

Chaque personne a sa propre culture, l’éducation qu’elle a reçue, ses habitudes familiales, son expérience de vie, etc.
C’est que l’on appelle les filtres.

Celui qui veut transmettre un message d’information, utilise son propre vocabulaire. Il y met l’intonation, son accent, et sa compréhension des mots qu’il choisit. C’est son filtre à lui.

Celui qui va recevoir le message, entend et interprète le message à sa façon. Un mot, une tournure de phrase que la première émet, est comprise par le récepteur du message avec son propre filtre.

déperdition de l'information

Comme chaque filtre est propre à chaque personne, pour que l’information sans transmise sans déperdition, il faudrait que les deux filtres soient identiques, ce qui est impossible par nature.

La déperdition écrite

La transmission d’informations par écrit est moins soumise à la déperdition d’information.

D’abord, on n’écrit pas comme on parle. L’exercice qui consiste à écrire demande un mode de réflexion différent et donc on formule les phrases différemment.

Quant à celui qui lit le texte, il peut relire, reprendre le texte, chercher les mots inconnus ou l’on a un doute sur la signification.

De plus, en dehors du cerveau, le texte transmis oralement se fait par la bouche et la réception se fait par l’oreille.

Dans le message écrit, ce sont les mains pour l’un et les yeux de l’autre qui sont sollicités. Or nos yeux sont l’organe le mieux utilisé chez l’être humain.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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La fatigue durant la période d’essai


Occuper un nouveau poste génère plus de fatigue

Quel que soit le poste que vous allez nouvellement occuper, que ce soit pour un travail manuel ou un travail de bureau, ou encore lié à des déplacements, vous serez sujet à un surcroît de fatigue.

fatigue_chouette

La fatigue est d’abord intellectuelle

Vous devez :

  • apprendre à connaître les lieux,
  • reconnaître les personnes et leurs rôles,
  • retenir les noms des personnes avec qui vous allez travailler,
  • apprendre de nouvelles techniques de travail,
  • vous renseignez sur les habitudes de la maison, du patron, du chef direct,
  • etc.

La fatigue est aussi physique

Vous devez :

  • apprendre un nouvel itinéraire pour vous rendre à votre travail,
  • prendre de nouvelles habitudes alimentaires : durant les pauses avec ou sans les collègues, y compris les repas,
  • partager les rencontres avec les collègues, lorsqu’il y en a. Cela fait partie de l’intégration,
  • faire travailler des muscles, marcher, courir, acquérir de nouvelles postures. Tous les sièges ne sont pas confortables !
  • etc.

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Re-po-sez-vous !

  • Changez vos habitudes, si nécessaire, pour consacrer plus de temps au repos.
  • Ce peut être le sommeil, en se couchant plus tôt le soir.
  • Profitez de la pause de midi pour faire une micro-sieste de 5, 10 ou 20 minutes
  • Écrivez des informations à retenir, plutôt que de tenter de les conserver toutes et tout de suite dans votre mémoire
  • Utilisez la liste des numéros de téléphone internes pour apprendre les noms et les postes des personnes
  • Ingurgitez les informations au fur et à mesure, en commençant par les plus importantes. N’hésitez pas à demander à votre chef et à vos collègues ce que vous devez retenir en premier
  • Faites répéter les autres, sans heurter les autres, surtout ceux qui vont juger de la réussite de votre intégration
  • etc.

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :

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La période d’essai : Pour faire ses preuves
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