Vous ne pouvez pas vous laver les yeux avec du savon


Des impossibilités physiques à connaître

Le saviez-vous ?savon n¨5 de chanel

1 Vous ne pouvez pas vous laver les yeux avec du savon

2 Vous ne pouvez pas compter vos cheveux

3 Vous ne pouvez pas respirer par le nez en tirant la langue

4 Vous venez d’essayer le n° 3

6 Quand vous avez essayé n ° 3, vous avez remarqué qu’il est possible que vous ayez eu l’air d’un chien

7 Vous souriez maintenant parce que vous avez été eu

8 Vous avez sauté le n° 5

9 Vous venez de vérifier s’il n’y a pas de 5

10 Vous devez partager cela si vous avez souri

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Salle informatique ou salle serveur : Quel risques sanitaires ?


La salle serveurs, source de maladies

Comme tous lieux fermés hermétiquement et accessibles uniquement par une porte étanche, la salle informatique qui contient les serveurs et autres matériels informatiques est protégée pour mettre à l’abri des données de l’entreprise ou de l’organisation.

Ces équipements de sécurité, à commencer par la salle elle-même, contient à la fois la protection et l’origine de plusieurs symptômes qui conduisent au développement de maladies.
Cela arrive peu souvent. Toutefois, lors d’un séjour prolongé dans la salle, la santé peut être mise à rude épreuve.

salle serveurs à risque

Les risques sanitaires dans un travail prolongé dans une salle informatique sont principalement liés aux éléments suivants :

La climatisation

La climatisation a pour objet de maintenir une température constante malgré ou à cause du dégagement de chaleur important des matériels électriques et électroniques que se trouvent dans la salle.

La température est ainsi maintenue à un niveau relativement bas, en dessous de 20°C le plus souvent.

Le premier risque sanitaire vient des écarts de températures entre l’intérieur et l’extérieur de la salle.
Chaque entrée et sortie provoque un chaud et froid brutal pour la personne qui pénètre et qui sort de la salle.

Le second risque vient tout simplement de l’exposition au froid.

Moins de 20°C est souvent 18°C. Rien de grave en soi, sauf en cas de mauvaise adaptation des vêtements à cette température.
Venant de l’extérieur, surtout en période chaude comme l’été, la personne qui travaille dans la salle est habillée pour une température plus élevée que celle de la salle.
Si elle reste trop longtemps exposée à la température de la salle sans pull, alors gare au rhume.

La sécheresse

Contrairement à ce que certains peuvent croire, il faut un apport d’eau dans une salle informatique.

Le degré d’hygrométrie soit être aussi permanent que la température.
Si cet apport d’eau est insuffisant, alors l’air devient trop sec.

C’est mauvais pour la respiration. La gorge devient irritée et les poumons fonctionnent mal.
Sans humidité, nous ne pouvons respirer.

La poussière

Attirée par les ventilateurs des appareils, notamment des serveurs, la poussière ambiante se colle sur les ventilations, faisant augmenter la température avec les risques sanitaires expliqué plus haut.

La respiration devient difficile si la poussière reste dans la salle informatique, qu’elle soit collée sur les ventilateurs ou présente dans l’air.

La poussière irrite les yeux et la gorge.

Plus une personne est sensible et plus vite elle s’expose à ces irritations.

L’électricité

Pas d’informatique sans électricité.

Les risques sanitaires proviennent de l’installation électrique à l’intérieur de la salle informatique ainsi que de la négligence des personnes.

Tous les équipements doivent être reliés à la terre. C’est un principe de base des installations électriques.
Le risque est faible car les électriciens font bien leur travail.

Cependant, si vous touchez une surface métallique sans bracelet de sécurité (prise de terre), vous risquez une bonne châtaigne et même pire.

Par ailleurs, en cas d’orage, sans parafoudre, les appareils peuvent être endommagés ou détruits.
Si vous êtes trop prêt à ce moment-là, vous risquez de graves brûlures, au minimum.

Le son

Plus insidieux est le son.

On s’habitue vite à ne plus faire assez attention du bruit continu produit par les divers appareils présents dans la salle informatique.
Ce ronronnement est plus ou moins fort selon la taille de la salle et des matériels.

Ce son provient notamment des ventilateurs et de la climatisation.

Gare donc à votre système auditif, sans vous en rendre compte, vous pouvez perdre en audition.

De plus, si la salle contient des appareils bruyants, par exemple une imprimante à marteaux, la perte d’audition est un risque sanitaire à prendre en compte.

Les câbles

Les câbles apparents sont inoffensifs quand ils sont bien posés.
Par contre, se prendre les pieds ou les mains dedans et c’est le risque de faire tomber des équipements qui peuvent vous blesser.

C’est un risque sanitaire faible, sauf pour les négligent(e)s.

Conclusion

J’espère que vous ne souffrez d’aucune pathologie.

Les risques sanitaires dans une entreprise sont à rapporter au CHSCT et/ou au médecin du travail.
Les deux sont habilités à vous fournir la liste plus exhaustive des risques, spécifiques à votre environnement.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Regardez les informations visuelles plutôt que du texte


Voir et lire pour apprendre et comprendre

organes de la visionPourquoi gagne-t-on en efficacité lorsque l’on regarde une information visuelle plutôt que du texte ?

Tout d’abord, il y a la vision, ensuite, il y a l’interprétation. La compréhension et l’apprentissage viennent avec le temps.
Ce sont d’autres organes que ceux de la vision qui entrent alors en jeu.

La vision

La vision est un mécanisme qui se déroule dans le cerveau, à partir des capteurs d’informations que sont les yeux.

La lumière éclaire les objets, par exemple un panneau publicitaire, puis rebondit et entre dans les yeux.
Les nerfs optiques transmettent l’information au centre de la vision du cerveau. Là, l’image est alors « visible » dans notre esprit.

Nous distinguons immédiatement, à la vitesse de la lumière, les formes et les couleurs.

Bien sûr, quand l’un de nos organes de la vision est endommagé, nous voyons mal.
Beaucoup d’entre nous portent des dispositifs correctifs pour les yeux, lunettes et autres lentilles. C’est plus difficile pour le cerveau, c’est ainsi que certains voient les couleurs différemment que la majorité.

Lorsque l’on voit une image, on l’identifie instantanément. Nous savons faire la différence entre une image figurative et une image abstraite, entre un panneau de circulation et un tableau de maître.

Nous pouvons même distinguer un texte écrit dans une langue étrangère que l’on ne comprend pas. De multiples systèmes d’écriture forment du texte par des lettres ou par des idéogrammes.
Sans connaître la signification du moindre signe, nous savons dire, à la seule vue, s’il s’agit d’un alphabet latin, cyrillique, arabe ou chinois, sans même que nous puissions interprété le moindre signe. Nous savons que c’est du texte, c’est tout.

L’interprétation

Il est plus facile, moins contraignant de regarder la télévision que de lire un journal ou une revue.
Pourtant le message passe bien par les yeux et se rend bien au même endroit dans le cerveau.

C’est son cheminement dans le cerveau qui détermine l’interprétation.

Quand l’image atteint le centre de la vision, il va faire l’objet d’un examen, à la vitesse du signal dans nos neurones, pour déterminer que qu’elle va devenir.

Elle est stockée dans la mémoire. Elle déclenche des émotions. Elle lance le processus de « traduction » du texte en rapprochant les acquis des apprentissages précédents avec l’image des caractères qui composent le texte.

C’est ainsi qu’en comparant ce que nous avons « enregistré » dans notre mémoire avec l’image que notre vision reçoit que notre cerveau permet de comprendre la signification du texte ou de l’image.

Nous pouvons lire, plus ou moins bien, sa langue ou d’autres langues que sa langue maternelle, selon que nous les avons appris.
Nous pouvons comprendre un signal de danger ou nous extasiez devant un paysage grandiose de magnificence.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Voyez-vous bien les couleurs ? Le test de Diana Derval


Ce test de l’arc-en-ciel devrait vous donner la réponse !

Seule une personne sur quatre peut reconnaître toutes les couleurs. En faites-vous partie ?

le test des couleurs de Diana Derval

© Diana Derval

L’exercice du professeur Diana Derval est un simple comptage de couleurs.

Utilisez le pointeur de la souris et comptez-les. Combien voyez-vous de tons de couleurs différentes ?

Ci-dessous se trouve la réponse, mais, d’abord, jouez le jeu, regardez le tableau et comptez les couleurs !


La solution

Alors ? Combien de couleurs avez-vous compté ?

Moins de 20 couleurs : La dichromie

Dans la rétine de vos yeux se trouvent deux types de cônes. Ces récepteurs de couleurs sont responsables du bleu et du vert.
Aucune raison de se faire des soucis : seul un quart des personnes est comme vous.

De 20 à 32 couleurs : La trichromie

Trois types de cônes pour vous permettre de distinguer les couleurs. C’est ce qui vous permet de voir différents tons de rouge.
Vous êtes en bonne compagnie, puisque la moitié du genre humain en fait partie.

Entre 33 et 39 couleurs : Le tétrachromatisme

Il est plutôt rare. Dans votre oeil, il y a également un quatrième récepteur de couleurs avec lequel vous pouvez distinguer les différentes nuances de jaune.
Seule une personne sur quatre peut presque voir toutes les couleurs.

Plus de 39 couleurs : Regardez de plus près !

En effet, seules 39 couleurs peuvent être vues !

Source : Brigitte, magazine féminin allemand

Traduction par Philippe Garin
phgarin@gmail.com

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Déperdition de l’information : Pourquoi


Pourquoi la déperdition d’information ?

La déperdition orale

La déperdition de l’information est une perte de compréhension entre un émetteur et un récepteur, c’est-à-dire entre deux personnes.

Chaque personne a sa propre culture, l’éducation qu’elle a reçue, ses habitudes familiales, son expérience de vie, etc.
C’est que l’on appelle les filtres.

Celui qui veut transmettre un message d’information, utilise son propre vocabulaire. Il y met l’intonation, son accent, et sa compréhension des mots qu’il choisit. C’est son filtre à lui.

Celui qui va recevoir le message, entend et interprète le message à sa façon. Un mot, une tournure de phrase que la première émet, est comprise par le récepteur du message avec son propre filtre.

déperdition de l'information

Comme chaque filtre est propre à chaque personne, pour que l’information sans transmise sans déperdition, il faudrait que les deux filtres soient identiques, ce qui est impossible par nature.

La déperdition écrite

La transmission d’informations par écrit est moins soumise à la déperdition d’information.

D’abord, on n’écrit pas comme on parle. L’exercice qui consiste à écrire demande un mode de réflexion différent et donc on formule les phrases différemment.

Quant à celui qui lit le texte, il peut relire, reprendre le texte, chercher les mots inconnus ou l’on a un doute sur la signification.

De plus, en dehors du cerveau, le texte transmis oralement se fait par la bouche et la réception se fait par l’oreille.

Dans le message écrit, ce sont les mains pour l’un et les yeux de l’autre qui sont sollicités. Or nos yeux sont l’organe le mieux utilisé chez l’être humain.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Noir sur blanc confort visuel ou pourquoi le fond d’écran est blanc


Noir sur blanc confort visuel ou pourquoi le fond d’écran est blanc

Avant les années 1970, les tableaux à l’école étaient noirs et l’on écrivait à la craie blanche

Puis, les tableaux sont devenus verts et la craie a pris de la couleur.

Encore aujourd’hui de très nombreuses écoles ont encore des tableaux verts et utilisent la craie.

C’est plus pour des raisons économiques, car la craie coûte moins cher que des feutres, que pour des raisons sentimentales, dans la mesure où l’on aime bien retrouver, en tant qu’enseignant, l’environnement sécurisant de son enfance à l’école.

En parallèle, les écrans informatiques étaient de simples moniteurs, noirs avec un affichage en vert émeraude, puis, parfois couleur ambre, c’est-à-dire orangé.

Brusquement, vers la fin des années, des écrans en couleurs sont apparus. Petits, comme le célèbre MacIntosh d’Apple, puis de plus en plus grands comme ceux qui servent aussi de téléviseur maintenant.MacIntosh

Mais les écrans ont eu un fond blanc alors que les tableaux à l’école avaient toujours un fond vert.

Les constructeurs se sont rendu compte que le regard, focalisé sur l’écran, enregistrait aussi l’environnement de cet écran.

Or les murs sont généralement de couleurs claires, pastel ou blancs. Le contraste entre le fond de la vision, en blanc, par rapport au petit écran noir, rendait plus difficile la lecture du texte écrit sur l’écran.

Pour éviter un double contraste, les ingénieurs ont pensé qu’en harmonisant les fonds d’écrans avec le fond de la vision, le regard allait se concentrer, avec un minimum d’effort sur le texte à l’écran.

Cette notion d’effort minimum de l’œil est importante dans la mesure où le reproche a été fréquent et polémique par des accusations contre le travail à l’écran qui faisait mal aux yeux.

En réalité, le travail à l’écran permet de révéler plus tôt un défaut de vision qui aurait été détecté plus tard.
Fort de ce constat sur le confort visuel, les fabricants de tableaux ont proposé, aux entreprises et aux écoles, des tableaux blancs avec les feutres noirs ou de couleurs.

Depuis, nous écrivons en noir sur un fond blanc et non plus en blanc sur un fond noir, que ce soit à l’école ou devant un ordinateur.

Philippe Garin

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