La compatibilité en informatique, c’est quoi ?


La compatibilité des programmes et des données

On parle de compatibilité entre deux choses lorsqu’elles vont bien ensemble.

Les logiciels que l’on utilise sont :

  • issus d’un développement spécifique réalisé par le service informatique de l’entreprise ou par soi-même, ou
  • disponibles sur le marché sous forme de licences que l’on peut installer par un simple téléchargement ou directement dans son navigateur Internet.
compatibilités sanguines

compatibilités sanguines

Les versions de progiciels

Ces derniers sont aussi appelés progiciels, pour « produits logiciels ». L’exemple le plus connu et le plus répandu est la bureautique, c’est-à-dire le traitement de texte en premier et quelques autres : tableur, etc.

Les progiciels sont aussi plus complexes, comme la messagerie, la comptabilité, la paie ou les progiciels de gestion intégré ou PGI, ERP en anglais.

Les fournissent de ces progiciels ajoutent des fonctionnalités dans leurs programmes, corrigent les anomalies et comblent des failles de sécurité, au travers de nouvelles versions de leurs produits.

La compatibilité permet de travailler sur des fichiers créés dans d’anciennes versions, ce qui permet d’utiliser la dernière version sans perdre d’informations, sauf pour les informations créées uniquement grâce à la dernière version.

Ceci implique que le retour à une version précédente est impossible sauf à perdre les nouveautés et avec le risque de perdre des données.

Les changements de progiciels

Dès qu’un changement de logiciel a lieu, il faut que l’entreprise reprenne les informations et les rende « compatibles » avec le nouveau logiciel.

Pour cela, des programmes de transfert sont développés pour effectuer les transformations des données pour les rendre utilisables par le nouveau progiciel.

Ces programmes doivent reprendre tous les fichiers de l’ancien logiciel, un par un, vers le nouveau.

C’est indispensable lorsqu’une entreprise décide de passer d’un développement spécifique vers un progiciel ou l’inverse ou, lorsque les deux logiciels utilisent des systèmes différents ou encore des codifications différentes.

Par exemple, une date avec l’année sur 2 positions va devenir une date avec l’année sur 4 positions. Selon le cas « 30 » va devenir « 1930 » ou « 2030 ».

Autre exemple, les données d’un fichier accessible sous Unix sont inaccessibles ou incompatibles avec celles d’un fichier accessible sous Windows 10 ou SAP, et réciproquement. Impossibles à lire et à stocker, donc à utiliser.

Les changements dans les développements spécifiques.

Lorsqu’une activité dans une entreprise est unique dans son domaine, il est très difficile de trouver un progiciel sur le marché ou d’en trouver un qui prenne en compte le fonctionnement de l’entreprise.

Là, soit l’entreprise s’adapte au progiciel, soit elle adapte le progiciel à ses façons de faire, soit elle développe tous ses programmes-maison.

Les données sont, par définition, toujours compatibles, puisqu’il n’y a pas de versions issues du marché et en provenance d’un fournisseur externe.

Lorsque le logiciel fait l’objet d’améliorations, celles-ci sont intégrées au fur et à mesure des besoins, au rythme de l’entreprise.
Les modifications mineures sont intégrées directement.
Les modifications majeures se font de telle façon que les données restent compatibles avec les nouveautés.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Récapitulatif 17 Informatique
Récapitulatif 17 Sécurité

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Le clavier BEPO


Disposition Bépo

disposition BépoLe clavier Bépo est absent du commerce. Bien que chaque pays a ses variantes en fonction de son alphabet, globalement les touches se retrouvent à peu près aux mêmes endroits.

Les claviers les plus courants sont le clavier AZERTY et le clavier QWERTY. Le premier pour le français (entre autres), le second pour l’anglais.

Oui, mais…

Sur le clavier AZERTY, il manque des caractères. Par exemple, le signe (inférieur ou égal) qui est accessible en tant que caractère spécial dans un traitement de texte et inaccessible directement à partir du clavier.

Par ailleurs, certains langages informatiques, surtout dans le domaine des logiciels libres, ont besoin de caractères, qui, pour être écrits, nécessitent des combinaisons de touches.

De plus, la fatigue des doigts et la rapidité de taper sur le clavier dépendent beaucoup des mouvements des doigts, de l’écartement des doigts pendant la frappe, des changements de lignes du clavier etc.

Le Bépo, c’est quoi ?

L’américain August Dvorak a passé une dizaine d’années pour aboutir, en 1932, à la définition d’un clavier ergonomique en alternative au clavier QWERTY.

Dans la première décennie des années 2000, les informaticiens se sont emparés de ses travaux pour définir la disposition plus complète et plus ergonomique pour permettre un confort et une plus grande rapidité de saisie au clavier : la disposition Bépo, nommée ainsi, comme les autres claviers, selon la disposition des premières lettres.

clavier Bépo

Dès le premier coup d’oeil, on s’aperçoit de différences flagrantes : le nombre de caractères et leurs dispositions

Comment l’utiliser ?

Puisque le clavier est absent des rayons des magasins, c’est donc par un changement de programmation des caractères sur le clavier classique que l’on peut mettre en place le Bépo.

Des autocollants placés sur les touches d’un clavier ordinaire suffisent pour se rappeler la disposition Bépo.

Pour l’utiliser, il faut avoir un système d’exploitation parmi les suivants :
FreeBSDn GNU/Linux, Mac OS X, OpenBSD, NetBSD, OpenSolaris ou … Windows

Ensuite, hé bien, il faut l’apprendre et s’entraîner.

Source : Wikipédia

Philippe Garin

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Le CLAVIER
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Récapitulatif 16 Informatique

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Le CLAVIER


Le CLAVIER

1. Types de clavier

Le terme « AZERTY » (en rapport avec les 6 premières touches alphabétiques du clavier) désigne un type de clavier, équipant la quasi-totalité des ordinateurs des pays francophones

Le clavier « QWERTY » du clavier désigne un type de clavier, équipant la quasi-totalité des ordinateurs des pays non francophones.

clavier qwerty

Sur un clavier « AZERTY » Il peut arriver, que l’on se retrouve en mode Qwerty (clavier anglais).
En ce cas, il faudra trouver la touche correspondante :
A = Q et inversement
Z = W et inversement

2. Description du clavier AZERTY

clavier azerty

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3. Les touches du clavier

Touche Description
{Entrée} ou {Return} Permet d’aller à la ligne, de créer un nouveau paragraphe
{Retour arrière} Efface le caractère avant le curseur
{Impr Ecran} Imprimer la page affichée à l’écran
{Ctrl} Associée à d’autres touches, elle est utilisée pour les raccourcis clavier de Windows. Cf. le paragraphe suivant ‘Les raccourcis clavier’
{Maj} Maintenez la enfoncée et appuyer sur une lettre alphabétique et vous l’obtiendrez en majuscule. Cf. le paragraphe suivant ‘Les raccourcis clavier’

Cette touche sert également pour les touches ayant 2 symboles, à obtenir le symbole du haut.

Exemple : Pour obtenir le point, maintenez la touche MAJ enfoncée et appuyez sur la touche POINT VIRGULE ( ; )

{Verr Maj} ou CAPS LOCK bloque le clavier en position majuscule
{Tab} Elle permet d’ajouter des tabulations dans un texte ou de passer d’une cellule à l’autre dans un chiffrier. Dans une boîte de dialogue, elle permet souvent de sauter d’une option à l’autre.
{Windows} Elle permet d’ouvrir le menu Démarrer

Cf. le paragraphe suivant ‘Les raccourcis clavier’

{Alt} Combinée avec d’autres touches.

Cf. le paragraphe suivant ‘Les raccourcis clavier’

Barre d’espace Elle permet d’insérer un espace
{Alt Gr} Elle permet de sélectionner certains caractères du clavier (ceux situés dans le coin inférieur droit de la touche).

Cf. le paragraphe suivant ‘Les raccourcis clavier’

Exemple : Si vous maintenez la touche ALTGR enfoncée et que vous tapiez le chiffre 5 (au-dessus des touches R et T) ; vous obtiendrez le crochet ( [ ).

Flèches de direction
4 flèches permettent de se déplacer à l’intérieur d’un texte
Pavé numérique
Ces touches fonctionnent en deux modes. Lorsque la touche Verr Num est enfoncée, on y retrouve les chiffres de 0 à 9. Dans le cas contraire, elles jouent le rôle des flèches de direction.
Bloc d’édition
PgUP et PgDN – Page suivante et Page précédente permettent déplacement par bloc plus haut ou plus bas dans la page
Touche {Origine} Représentée par la flèche oblique – permettent respectivement d’aller en début de ligne.
Touche {Fin} permettent respectivement d’aller en fin de ligne.
Touche {Inser} Permet d’insérer du texte avant le curseur. Si vous désactiver le mode insertion, les caractères tapés écraseront ceux qui existent
Touche {Suppr} permet de supprimer le caractère qui suit le curseur
Touches de fonction F1 à F12
{F1} Cette touche sert habituellement pour l’aide
{F2} à {F12} Elles permettent de réaliser rapidement certaines tâches qui peuvent varier selon les programmes.

Exemple avec la touche située à gauche de la touche ENTREE :
Avec SHIFT : £
Sans SHIFT : $
Avec ALT GR : ¤

4. Les raccourcis clavier

Combinaison avec la touche {ALT}

{ALT} + {TAB} basculer vers une autre application ouverte
{ALT} + {MAJ} Basculer d’un clavier AZERTY vers un clavier QWERTY
{ALT} + {F4} fermer un programme ou une fenêtre

Combinaison avec la touche {Windows}

{WINDOWS} dérouler le menu Démarrer
{WINDOWS} + {E} ouvrir l’Explorateur Windows

Combinaison avec la touche {CTRL}

{CRTL} + {N} créer un Nouveau document, ouvrir une nouvelle fenêtre
{CRTL} + {O} Ouvrir un document
{CRTL} + {S} Sauvegarder le document en cours,
{CRTL} + {Q} Quitter un programme
{CRTL} + {Z} annuler la dernière commande
{CRTL} + {X} couper la partie sélectionnée
{CRTL} + {C} Copier la partie sélectionnée
{CRTL} + {V} coller le contenu du presse-papiers

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Récapitulatif 14 Informatique

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Le TCO ne suffit pas pour changer de logiciel en entreprise


Le TCO permet de savoir quand changer de logiciel, mais ça ne suffit pas

Représentation schématique de la qualité de logiciel

source : Wikipedia

Il faut partir aussi du principe que le logiciel dure plus longtemps que le matériel où il sera installé : Un ERP est amorti sur 7 ans alors qu’un PC fixe l’est sur 3 ans et un PC portable sur 2 ans.

Quant aux logiciels, généralement amorti sur 1 ou 2 ans, sauf ERP (= PGI, Progiciel de gestion intégrée), cela dépend de leur origine et il y a quatre types :

  1. Le système, attaché et fourni avec le matériel, dont la durée de vie est identique à la machine, son coût est intégré à celui de la machine
    .
  2. La bureautique et assimilés, dont la durée de vie est identique à 1 ou 2 fois la durée de vie du système, bien que cela dépend de la fréquence de l’évolution des versions de Windows, de Linux ou d’un autre.
    C’est ainsi que Office2003 est encore utilisé malgré les versions 2007n 2010 et suivantes
    .
  3. Les progiciels métiers, plus spécialisés que les logiciels généralistes que sont ERP et bureautique, sont développés par des entreprises extérieures et répondent à un besoin très précis, tout en étant commercialisés.
    Par exemple, la PAO, Publication Assistée par Ordinateur, la DAO, Dessin Assisté par Ordinateur, un CRM, Gestion de la relation client, etc. Ils coûtent chers et le but est de les conserver le plus longtemps possible. Parfois, ils évoluent aussi et alors il faut faire évoluer l’ensemble de leur environnement : matériels et logiciels, en même temps.
    Cette remarque concerne aussi les bases de données de type Oracle ou autre que j’assimile aux logiciels
    .
  4. Les développements spécifiques sont de deux ordres :
    – Les « purs » développements car aucun logiciel ne peut répondre au besoin, qu’il faut donc couvrir par des programmes spécifiques, par soi-même ou en sous-traitance. Les coûts sont là encore différents selon qui développe et qui maintient les développements.- L’autre ordre est celui des interfaces entres les logiciels et progiciels.
    Par exemple, entre un logiciel de paie et un logiciel de comptabilité ou de trésorerie, entre un logiciel de CAO et un ERP, un CRM et un ERP.

    Ces interfaces sont indispensables pour simplifier le travail de transfert d’informations d’un logiciel à l’autre.

    Elles concernent aussi des transferts entre systèmes différents. Par exemple, entre un lecteur de badge et le système des ressources humaines ou de la sécurité des bâtiments.

    A chaque fois, qu’un des composants changent les interfaces sont à refaire et cela peut s’avérer très coûteux. Malheureusement, c’est la rentabilité de l’entreprise qui est en jeu. Elles sont donc indispensables, même si parfois on se dit qu’il vaut mieux ressaisir les données plutôt que de les transférer.
    Ce n’est pas possible car purement numérique ou encore parce que la volumétrie est trop importante et l’embauche de personnels ne répond pas à ce besoin, et cela coûte aussi

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Du Coca Cola sur une disquette


Du Coca Cola sur une disquette

floppy disk ou disquette grand formatC’était au début des années 80 mais l’histoire, à peu de chose prêt, est toujours valable de nos jours.

Dans une ESN, ex-SSII, appelée à l’époque SSCI, société de service et de conseils en informatique, le téléphone sonne.

Une cliente, passablement paniquée, supplie et raconte son malheur.

« J’ai renversé mon coca sur ma disquette, ça fait de la mousse, que puis-je faire ? »

Réponse stoïque et pragmatique :

« Jetez-là ! »

? ? ?!

Pour ceux qui n’auraient pas compris :

Elle espérait éviter les remontrances de son chef, et récupérer ses données, mais, hélas, le cola avait dissous la disquette !

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Windows propre ou le nettoyage physique se confond avec le virtuel


Windows propre ou le nettoyage physique se confond avec le virtuel

écran vertA la fin des années 80, les écrans « verts » ou écrans passifs étaient de simples monitors, des interfaces utilisateurs rigides, monochromes et peu pratiques.

Pourtant, il était possible d’avoir deux sessions ouvertes en même temps.
Un simple jeu de touches permettait de passer d’une session à l’autre, un peu comme de passer d’une fenêtre à une autre avec les systèmes d’exploitation actuels.

Ces écrans, à tube cathodique, avaient la fâcheuse habitude d’attirer la poussière et devaient être souvent nettoyés.
Pas question de verser un liquide quelconque sur l’écran lui-même.
Le produit nettoyant devait être déposé sur un chiffon propre et c’est le chiffon qui était appliqué sur l’écran.

Méthode toujours valable de nos jours, pour effacer les traces de doigts de certains.

Dans un élan de propreté, un collègue avait son chiffon imbibé à la main et commence à le passer sur les divers écrans quand il parvient au mien.
Il le nettoya. Puis, je basculais sur la deuxième session de mon écran et lui demanda de repasser le chiffon pour nettoyer ma nouvelle fenêtre.

Une seconde durant, il m’a regardé d’un air ahuri, puis nous avons éclaté de rire.

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Point de restauration sur votre PC


Un Point de restauration

point de restauration pour restaurer son systèmen’est pas, en informatique, l’endroit où se situe votre cafétéria favorite.

Ce n’est pas non plus, le chantier pour restaurer une oeuvre d’art ou un monument.

C’est tout simplement un moyen qui permet d’effacer les actions menées sur un ordinateur depuis la création du point de restauration.

Lorsque vous créez un point de restauration, vous enregistrez la situation de votre PC à ce moment-là.
Pour ceux qui s’y connaissent un peu, c’est une image des registres au moment où l’on procède.

C’est très utile en cas d’installation d’un logiciel ou d’un changement de paramètre de votre machine et que vous souhaitez revenir en arrière.

Une désinstallation laisse souvent des traces dans l’ordinateur alors qu’un point de restauration vous permet de retrouver la situation du passé, donc avant cette installation ou ce changement de paramètre.

Windows créé, de lui-même, des points de restauration.

Vous pouvez en créer d’autres, au moment que vous, vous aurez choisi.

NB : Les points de restauration prennent un peu de place sur votre disque dur.
Pensez donc à supprimer les plus anciens, car les petits ruisseaux font les grandes rivières et plus il y a de points de restauration sur votre PC, plus la place disponible diminue.

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