La fameuse courbe du deuil


La courbe du deuil

La fameuse Courbe du deuil, inventée en 1969, par Elisabeth Kübler-Ross, psychiatre et fervente défenseur des soins palliatifs, fait l’objet de multiples variantes.

la courbe du deuil par Philippe GarinElle est utilisée notamment :

Le nombre d’étapes ainsi que leur désignation varient selon le domaine et la version.

Elle montre les émotions suscitées par l’annonce de la mauvaise nouvelle, au cours du temps.

La période de deuil est plus ou moins longue selon chaque personne, car les étapes peuvent être passées très rapidement ou très lentement.

Des allers et retours peuvent avoir lieu, entre la partie montante de la courbe et la partie descendante.

Toutes les courbes du deuil, passent par les mêmes 5 étapes du modèle original.

Les étapes

Tout commence au moment de l’annonce de la mauvaise nouvelle, le décès d’un proche, un divorce, une restructuration d’entreprise, l’arrivée d’un nouveau logiciel, la perte de son emploi, etc.
Elle provoque un choc négatif.

1. Le déni

Difficile de croire à cette mauvaise nouvelle. L’incrédulité et l’incompréhension dominent.

Le refus et le rejet sont les premières réactions.

Malheureusement, il faut se faire à l’évidence : L’annonce est vraie.

2. La colère

Tout de suite après le déni, vient une période de colère.

Elle se traduit par une forte montée d’émotion qui pousse à se révolter contre le changement de situation imposé.

Cette montée d’énergie génère une argumentation, des tentatives de faire changer d’avis, quand c’est possible. Seulement, la décision ou la situation est irréversible.

C’est alors que l’inertie démarre et paralyse.

3. La tristesse

Vient alors la tristesse, car la situation passée est bien passée.

C’est une période d’absence de ressort, de lassitude.

Pour certains, cela peut se traduire physiquement, impossible de sortir de son lit, de chez soi, de penser correctement.

Le désespoir et la dépression peuvent être au rendez-vous.

L’avenir semble tellement lointain.

4. L’acceptation

Après la tristesse, bien naturelle, vient l’acceptation de la situation.

Pas moyen de revenir en arrière. C’est une période de résignation.
Parfois aussi de pardon auprès de ceux qui ont subi la colère et la tristesse autour de soi.

C’est la quête d’un sens nouveau, tourné vers l’avenir. La vie continue.

L’énergie revient et l’intérêt se porte sur comment se reconstruire et reconstruire sa vie future, vie privée ou/et professionnelle.

5. L’intégration

La mauvaise nouvelle devient un souvenir, certes douloureux et pourtant intégrée parmi ses souvenirs.

La sérénité revient. De nouvelles forces se rassemblent pour construire un nouveau présent et un nouveau futur. »

« C’est la vie.

The show must go on »

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Des amis pour la vie : Des vrais


Des amis par centaines ou à l’unité

ami signes et languesDans la vie,
il ne s’agit pas d’avoir beaucoup d’ami(e)s,

mais d’avoir les bon(ne)s.

Source : Brigitte.de (Magazine allemand)

Traduction par Philippe Garin
phgarin@gmail.com

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Partir pour travailler chez le concurrent


Le concurrent vous propose un job

Vous êtes en poste et le concurrent de votre entreprise vous approche et vous propose de vous embaucher. Ça vous tente ?Viens chez moi : le concurrent

La première question est celle du Pourquoi ?

Pourquoi est-ce que le concurrent s’adresse à vous ?

  • Parce qu’il reconnaît vos compétences, puisque vous lui avez chipé un marché ou que vous avez amélioré les performances de votre patron actuel ?
  • Ou parce qu’il veut obtenir, à peu de frais durant votre période d’essai, tous les renseignements sur les produits, les méthodes, les objectifs, les projets de votre patron actuel ou qu’il souhaite l’affaiblir en le privant d’un bon élément ?
  • Ou les deux ?

Les chasseurs de têtes, eux-mêmes, peuvent ne pas connaître la Vraie motivation de leur client.

Prenez le temps de la réflexion

En tout état de cause, analysez et réfléchissez.

Si vous êtes soumis à une pression pour que vous rejoigniez rapidement le concurrent, alors c’est qu’il y a anguille sous roche. Vos capacités et vos savoir-faire seront toujours là dans quelques semaines !

Au contraire, si le concurrent a posté une offre d’embauche officielle, cela semble nettement plus sérieux.

Vous proposez-t-il des conditions de travail identiques ou presque ? Un salaire nettement au-dessus ou quasi-équivalent ?

Selon la réponse, considérez les avantages et les inconvénients de quitter votre emploi pour un autre où vous ne connaîtrez la vraie raison que si vous parvenez à terminer votre période d’essai à son terme et en étant toujours en place,
sinon gardez le silence de façon à ce que votre chef actuel n’apprenne pas où vous êtes allé durant ces quelques mois,
et espérez qu’il vous reprenne, sinon lancez-vous dans une nouvelle recherche d’emploi.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour un accompagnement personnalisé, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en savoir plus :


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Heureusement qu’elle s’est mariée


Histoire vraie : heureusement qu’elle s’est mariée

liseuse de microfichesCeci est une histoire vraie.

C’était dans les années 70, les ordinateurs étaient très chers, très lourds, très volumineux et réservés à des calculs qu’un banal ordinateur d’aujourd’hui dépasse de cent coudées.
Donc pas d’ordinateur dans cette histoire.

C’était le début des microfiches

Pour ceux qui ne saurait pas ce que c’est : Vous en apercevez parfois dans des films où il y a enquête.
Les micro-fiches ou microfiches permettent de stocker de l’information sous forme d’image. Les enquêteurs, dans les films, visionnent les microfiches sur lesquelles ils lisent, généralement, des articles de journaux anciens.
Les microfiches ont été à la mode jusqu’à la fin des années 90 dans certaines entreprises où les documents papiers, par exemple des factures ou des bulletins de salaire, étaient « microfilmés » pour faciliter la recherche et la lecture. On en trouve encore dans certaines médiathèques.

Pour microfilmer le papier, il fallait préparer les documents, les classer et leur attribuer des codes, des clés pour permettre l’identification et le classement des microfiches.
On parle de microfilm quand plusieurs microfiches sont regroupées sur un même support, une sorte de sommaire visuel des fiches.

Cette histoire se déroule

dans un bureau de la Caisse Régionale d’Assurance Maladie d’une Région dont je tairais le nom. Le département était celui des retraites.
C’était un bureau paysager que l’on appelle parfois Open Space, à cette différence prêt, qu’aucune cloison ne séparait les employées. Le personnel était presque exclusivement féminin, comme dans beaucoup d’administration.
Là se trouvaient une demi-douzaine d’employées dont la tâche principale consistait à préparer des documents qui devaient être ensuite microfilmés dans un autre service.

Conditions de travail

Le travail était simple, en apparence. Il demandait cependant une concentration importante, car l’erreur n’était pas permise. Si, par inattention une fiche cartonnée ne se trouvait à sa place dans la pile alors c’est tout le paquet qui devait repasser.
Tout devait se faire manuellement.
Chaque fiche devait être minutieusement vérifiée.
Ces fiches provenaient des archives. Ces dizaines de milliers de fiches cartonnées contenaient toutes les informations sur les activités des salariés de la Région et servaient à établir le calcul des pensions à verser aux retraités.

L’incident

Le silence était nécessaire à la bonne marche du service car chacune était penché sur son paquet de fiches.
Soudain, un grand rire éclata dans ce silence pesant.

La curiosité n’étant pas le moindre défaut d’employées dont le travail, plutôt insipide et routinier, laissait peu de place à l’imagination, les têtes se levèrent. Le silence était interrompu. Enfin, un peu de distraction !

Le rire se prolongeait et la personne qui riait en était aux larmes, apportant ainsi le sourire sur le visage de ces collègues.
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Que se passe-t-il ?
– Qu’es-tu trouvé ?

Le rire se calma. Et la personne leva une fiche, d’un air triomphant, pour la montrer à l’ensemble du grand bureau.
– « Heureusement qu’elle s’est mariée ! »
– Comment cela ?
– Et bien, si elle ne s’était pas mariée, elle serait restée pieds-nus toute la vie !

L’incompréhension se lu sur le visage des collègues qui s’étaient rapprochées.
– Lisez la fiche et vous comprendrez

Que pouvait-on lire sur cette fameuse fiche ?

Sur cette fiche, en caractères majuscules, écrits avec délicatesse à l’encre violette par une plume Sergent major, figuraient ces quelques mots :
Nom : CHAUSSE
Nom de jeune fille : PIEDSNUDS

Effectivement, Mlle Piedsnuds avait épousé M. Chaussé.
En trouvant chaussure à son pied, elle a évité de rester « Piedsnuds » toute sa vie.

Heureusement qu’elle s’est mariée !

Ceci est une histoire vraie. Que les personnes qui se sont reconnues lui pardonnent !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Congés payés réponses au test


Réponses au test sur les Congés payés à l’usage des employeurs

Le questionnaire du test est accessible ici :
Test congés payés à l’usage des employeurs

congés payés de nos jours

1.      Vrai

Le salarié qui effectue un travail rémunéré pendant ses congés peut être condamné à verser des dommages-intérêts au fonds de chômage départemental.

Il peut aussi faire l’objet d’un licenciement s’il a, ce faisant, manqué à son obligation de loyauté et de fidélité, voire d’exclusivité.

2.      Faux

Les salariés à temps partiel ont les mêmes droits à congés que les salariés à temps plein. Mais les jours à horaire réduit compris dans la période de congés sont entièrement décomptés.

Le salarié qui ne travaille habituellement le mercredi et qui prend trois semaines de congés payés se voit décompter dix-huit jours ouvrables et non pas quinze.

3.      Vrai

Le samedi est toujours décompté, sauf lorsqu’il s’agit d’un jour habituellement non travaillé dans l’entreprise et qu’il correspond au premier jour de congé du salarié.

Ainsi, un salarié qui prend son lundi ne se voit décompter qu’un jour de congé.

4.      Faux

Le jour férié inclus dans les congés du salarié ne lui est pas décompté seulement s’il est chômé dans l’entreprise.

5.      Faux

Les salariés qui n’ont pas un nombre suffisant de jours pour couvrir la période de fermeture peuvent être indemnisés au titre du chômage partiel.

6.      Faux

Vos salariés doivent prendre au moins douze jours ouvrables consécutifs et au plus vingt-quatre jours ouvrables consécutifs entre le premier mai et le 31 octobre au titre de leur congé principal.

Lorsqu’un salarié prend une partie de son congé principal en dehors de cette période, ce fractionnement peut ouvrir droit à des jours de congés supplémentaires, dont le nombre est généralement indiqué dans la Convention collective, souvent 2 jours.

7.      Faux

Mais cette renonciation doit être individuelle et expresse. Recueillez-la toujours par écrit.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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