Le trac : Comment le vaincre


Pour une prise de parole sans trac

contre le trac le yoga, la respiration sur la plagePeu de personnes sont capables de prendre la parole sans éprouver du trac, ne serait-ce que quelques secondes avant de mettre à parler, quand tous les regards sont braqués sur eux.

Le trac est normal. C’est une appréhension, la crainte du jugement des autres.

Le trac paralyse et bloque la parole uniquement lorsqu’il est présent en excès.
Il est lié à l’énergie du corps et au manque de confiance en soi.

Se préparer corps et esprit

Pour le corps, une bonne respiration est essentielle. Inspirez lentement et à fond, expirez par le nez en fermant la bouche, lentement aussi.

Si l’énergie augmente la nervosité, alors dépensez-la dans un exercice physique court et intense :
Faire des pompes ou une course de 100 ou 200 mètres avant une bonne douche chaude, est idéal.
Évitez tout exercice de compétition qui augmenterait la nervosité.

Pour l’esprit, le tai-chi et le yoga font bien l’affaire.

Vous avez la parole

Devant un auditoire de plusieurs dizaines de personnes dans une salle ou en tête-à-tête avec votre chéri (e), votre chef (e) ou un recruteur (se), quand à votre tour de parler, le trac peut se transformer en stress, et même en angoisse, jusqu’à la panique.

Raisonnez-vous, l’autre ou les autres sont là pour vous écouter. Cela signifie qu’il y a un intérêt à apprendre ce que vous avez à dire.

Si vous connaissez votre sujet et le déroulement ou le plan de ce que vous avez à dire, gardez-le en mémoire.

Répondez aux questions avec un ton affirmé et cherchant le regard de la personne qui vous approuve ou vous encourage.
Exprimez-vous d’une manière courte, concise et claire.

Vous pouvez aussi gagner du temps, quelques secondes, en cas de déstabilisation, sans provocation.
Pour cela, vous pouvez consulter vos notes, réfléchir quelques instants, formuler dans votre texte avant de vous remettre à parler.
Le silence est plus positif qu’on le croit.

Par contre, en cas de provocation, le temps de la réponse sera plus court.
L’humour est alors le meilleur allié. Un pirouette de langage et un sourire vous permettent de répondre en détournant l’attaque tout en montrant votre capacité à encaisser les coups et votre sens de la répartie.

Répéter la question permet aussi de gagner du temps pour trouver une réponse appropriée.

Dans tous les cas où le trac ou le stress se font sentir, rappelez-vous que les autres sont à votre écoute et que votre corps et vos paroles vont, ensemble, générer des émotions chez votre ou vos auditeurs.

Observez, vous aussi, leurs réactions, elles vous donneront des indications sur l’appréciation de votre discours.
Quant à ceux qui cachent leurs émotions derrière une « face de poker », faites comme si tout allait bien.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Entrevue d’embauche : Trac et patatras


Perdre ses moyens à cause du trac

nous sommes tous égauxQuand l’enjeu est important, le trac s’installe.

C’est le cas lorsque vous vous présentez à une entrevue d’embauche.

La sueur commence à perler au front, dans le cou et sur tout le corps. La vision se trouble. L’audition baisse. L’esprit se vide.
Vous oubliez ce que vous voulez dire. Vous vous sentez paralysé (e). Vous perdez vos moyens.

Le trac est une énergie. C’est une sorte de peur.

Si nos ancêtres n’avaient jamais eu peur, notre race aurait disparue depuis longtemps.
Il faut de l’énergie pour fuir le danger… ou lui faire face.

Quand le trac arrive, ce sont les premiers instants qui comptent le plus.

Préparez-vous

Il faut comprendre et se préparer :

  • un look en phase avec le poste et le style de l’entreprise,
  • arriver à l’heure ou moins de cinq minutes avant le début de l’entretien,
  • serrer la main que votre interlocuteur vous tend, fermement sans l’écraser,
  • et surtout sourire.

Juste avant d’arriver devant la porte du bâtiment où va se dérouler l’entretien d’embauche, respirez un bon coup.

Évidemment, pas de cigarette, de gomme à mâcher ni de parfum qui pourraient mettre mal à l’aise votre interlocuteur.
Votre coiffure est en ordre. Vos chaussures sont propres. Voilà le recruteur qui arrive.

Inférieur(e) ou égal(e)

Le trac vient de la peur du jugement par l’autre.

L’accumulation des échecs entretient le sentiment que cette fois-ci sera comme les autres, un échec.

Il est très facile de se dévaloriser, de croire à la malchance ou à la loi des séries.
Il est tout aussi facile de penser que l’on est très inférieur à ce juge tout puissant qui va décider de la suite de votre candidature, à défaut de votre carrière toute entière.

La peur produit un effet qui peut se traduire par le besoin de fuir. Sauf que, là la fuite signifierait l’échec garanti.

Se replacer

D’abord, physiquement

Attendez que le recruteur vous le propose pour vous assoir. Vous avez environ 1 à 5 secondes pour regarder autour de vous pendant que vous posez votre sac à main, si vous en avez un, que vous enlevez votre manteau ou votre imperméable, en hiver ou en temps de pluie.

Prenez place sur le siège, ni trop au fond, ni sur le bord. Vous devez pouvoir vous adossez sans effort.

C’est le moment de poser la question d’autorisation de prendre des notes. Question de pure forme puisque tous les recruteurs répondent oui.
Sortez alors votre bloc-notes, votre stylo ou crayon. Posez le tout sur une de vos cuisses.

Gardez le buste droit, c’est le moment de détente. Très court, certes, et pourtant primordial.

Ensuite, Mentalement

L’autre est là pour vous dire si vous correspondez à la description de ce que l’entreprise attend de vous. C’est tout.

Ce qui va être jugé, c’est l’adéquation entre ce que vous savez faire, ce que vous êtes et ce que l’employeur imagine trouver.

Être respectueux, c’est se sentir que l’on est au même niveau que l’autre.

C’est un dialogue et non un interrogatoire.
Vous avez le droit de poser des questions, même en cours d’entretien, sans attendre sa fin.

Quand vous êtes dans le feu de l’action, le trac disparait.

Vous écoutez votre interlocuteur attentivement pour garder en tête, ou/et sur papier, les informations les plus utiles à la conversation.
Vous repérez le ton et l’attitude de l’autre.

Vous même, inconsciemment ou tout à fait consciemment, vous vous faites une idée sur le recruteur.
Vous le trouvez sympathique ou antipathique. Peu importe, il faut faire avec.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Peur de ne pas réussir : Comment réagir


Pire que le trac, la déconsidération de soi

peur de l'échecVous doutez de vous-même ?

Après une série d’échecs ou une seule rebuffade, votre moral est au plus bas.

Un dépit amoureux ou un licenciement, un cadeau raté reçu à votre anniversaire ou une réduction qui vous est passé sous le nez, une remontrance de votre chef ou un harcèlement sur Internet, etc. : il y a tellement d’occasions de se sentir oublié (e), frustré (e), décontenancé (e), rabaissé (e), au point de penser que l’on est bon à rien, malgré ses qualités et son savoir-faire.

La peur de l’échec

La peur de l’échec est un des premiers symptômes que l’on éprouve dans sa vie.

Elle apparaît dès l’école, surtout quand une leçon est mal apprise ou que l’on s’est entiché de son ou sa camarade de classe.

La peur de manquer des connaissances ou des compétences pour parvenir au résultat envisagé est au moins aussi forte que celle d’essuyer un refus et de perdre l’estime de l’autre.

Le manque de confiance en soi

Le manque de confiance en soi vient aussi des discours entendus dans sa vie professionnelle autant que dans sa vie personnelle.

Quand vos parents, vos professeurs, votre conjoint (e), vos enfants, vos chefs disent du mal de vous ou vous répètent que d’autres font mieux que vous, ou encore vous ignorent, on peut dire que cela pèse sur le moral.

Se sous-estimer

Mettez-vous la barre trop haute ?

Sans vouloir pécher par excès de zèle ou surestimer ses qualités et ses compétences, dites-vous que l’opinion des autres sur vous-même à moins d’importance que votre propre opinion sur vous-même.

C’est vous qui avez raison !

Accumulez les échecs pour progresser

Si vous ratez cette fois-ci, ce sera pour une prochaine fois.

Préparez-vous, formez-vous, renseignez-vous et quand vous pensez être prêt (e), lancez-vous.

Avoir peur de l’échec conduit à la paralysie, alors dites-vous que l’occasion fait le larron : une opportunité que l’on laisse passée vous fait éprouver des regrets.

Préférez-vous avoir des regrets ou des remords ? Ceci est une question entendue dans un entretien d’embauche.

Agir, c’est se donner le droit de se tromper. Le droit à l’erreur que l’on s’accorde, permet de rebondir sur de meilleures bases, sous réserve d’avoir compris ce qu’il aurait fallu faire.

Analyser ses erreurs

Certains échecs sont sans rapport avec vous :

Un amour non réciproque, un licenciement économique, une inondation soudaine, etc. sont autant d’exemples où l’échec est indépendant de votre volonté.

D’autres échecs sont bien les vôtres :

Ne rejetez pas systématiquement tous les malheurs qui vous arrivent sur les autres. On a vite fait de trouver des boucs-émissaires alors qu’une analyse plus objective montre que vous avez commis une erreur.

Faites la part des choses et rebondissez.

Progresser

D’autres font mieux que vous ou ont plus de chance. Et alors ? La jalousie est un sentiment négatif.
Être envieux (se) devrait vous aider à vous surpasser.

Si vous voulez parvenir à atteindre les mêmes objectifs que les plus chanceux, les plus intelligents ou les plus entreprenants, alors déterminez vos points forts et vos axes d’amélioration.

Renforcez les premiers et minimisez les seconds.

Philippe Garin

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Emploi : Votre pitch de présentation


Le pitch ou présentation en 2 minutes

euh euh euhDans les 2 minutes maximum que vous avez après avoir dit bonjour au recruteur, vous devez lui dire qui vous êtes et ce que vous voulez.

Ce laps de temps est à la fois très court et très long. Il convient donc de l’optimiser.

Soyez serein et évitez d’avoir votre CV à la main, sur un salon pour l’emploi, et … la tremblote :

Avoir votre CV à la main signifie que vous êtes venu pour déposer votre CV. Merci, mettez-le sur la pile et au suivant.
C’est évidemment inutile de passer sur un salon de l’emploi pour cela.
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Préférez plutôt un « cache-misère »

C’est-à-dire un classeur, un porte-document, ou quoi que ce soit qui vous permet de porter vos CV et de recueillir les documents que vous pourriez emporter.

La tremblote est mauvaise conseillère. Quand le document à la main est agité par un tremblement de votre main ou votre bras, c’est que vous êtes bien trop nerveux et, surtout, que cela se voit.

Si vous ne savez pas quoi faire de vos mains avant de serrer celle du recruteur, mettez-les dans votre dos. Vous pourrez ainsi mieux maîtriser votre trac.

Philippe Garin

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Points faibles à citer en entretien d’embauche 1/6 : Mort de trac


Point faible à citer dans un entretien d’embauche 1/6 : Mort de trac

Le comportement et l’apparence comptent beaucoup dans un entretien d’embauche. Il est important de se présenter sous son meilleur jour.

Sommaire

6 faiblesses positives pour l’entretien d’embauche :

  1. Mort de trac
  2. Échecs professionnels
  3. Avoir un défaut, et alors ?
  4. Le manque d’expérience
  5. Trop d’expérience
  6. Pas de diplôme ou pas le bon diplôme

Or, il se trouve que l’enjeu est tellement important : sa carrière, sa vie sociale, ses revenus, etc. que l’on peut stresser, perdre les pédales. Bref : être mort de trac !

mort de trac

Avouez-le ! Utilisez un vocabulaire approprié à votre interlocuteur :

« Je suis mort de trouille »

ou

« L’enjeu me met mal à l’aise, veuillez excuser ma fébrilité »

sont deux exemples. Un conseil : Trouvez le bon milieu !

Que risquez-vous ?

Un sourire, une parole d’apaisement.

Le recruteur tient à ce que ses candidats soient le plus à l’aise possible, qu’ils se sentent bien pour dialoguer avec lui.
Il est assez frustrant d’avoir un bloc de glace devant soi ou une tomate rouge de confusion ou de timidité, qu’il est préférable, pour le chargé de recrutement, d’évaluer le candidat aussi sous son meilleur aspect.

Savoir, que le candidat est stressé, est connu et accepté à l’avance. Qui pourrait dire le contraire, à part ceux qui souhaitent échouer à l’entretien ?

Par contre, vous faites preuve d’humilité et d’authenticité, deux qualités positives pour obtenir un poste, même d’encadrement.

Philippe Garin

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Concentrez vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré
Moi, stressé (stressée) ?

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6 faiblesses positives pour l’entretien d’embauche


6 Points faibles à citer dans un entretien d’embauche

Point faible : Mannequin ET trisomique

Madeline Stuart : Mannequin ET trisomique


La question des points faibles est des plus récurrentes, et qui prend la tête autant aux candidats qu’aux recruteurs.

Sommaire

  1. Mort de trac
  2. Échecs professionnels
  3. Avoir un défaut, et alors ?
  4. Le manque d’expérience
  5. Trop d’expérience
  6. Pas de diplôme ou pas le bon diplôme

Les premiers pèchent pas manque d’imagination ou la trouille d’énoncer des faiblesses qui pourraient leur coûter le job.
Les autres sont saturés des « perfectionnistes » et autres banalités tellement peu originales.

Cependant, il existe des points faibles que l’on peut très bien énoncer lors d’une entrevue d’embauche, qui conviennent assez bien pour les deux parties.

Philippe Garin

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Moi, stressé (stressée) ?


« Moi, stressé (stressée) ? »

moi stressé, tu crois ?

moi stressé, tu crois ?

Allons donc !

– On dit que le stress est la maladie du siècle !

– De quel siècle ?

– Eh bien, de tous les siècles !

– Oui, mais aujourd’hui, on stresse plus qu’avant, n’est-ce pas ?

Le stress va du simple trac à l’angoisse maladive et peut aller jusqu’à la mort par infarctus ou la peur d’avoir peur.

Stresser nuit à la santé

C’est un premier niveau d’alerte. Plusieurs symptômes peuvent vous alerter, et vous conduire à consulter un médecin, généraliste ou spécialiste (psy…)

D’autres symptômes existent et sont du domaine du comportement.
C’est l’accumulation de plusieurs de ces symptômes qui conduisent à penser que l’on se trouve dans une situation de stress (à ne pas confondre à une situation stressante, bien que…)

Dans le film « Les Dieux sont tombés sur la tête« , nous avons un comparatif entre notre monde moderne, qui nécessite de longues années d’apprentissage pour pouvoir survivre dans notre société, et le monde archaïque des Bushmens qui vivent dans le désert du Kalahari.

Mais, déplacés dans le milieu de l’autre, le Bushmen dans notre civilisation ou nous dans son environnement, nous nous trouvons confronté au stress.

Et vous, êtes-vous stressé(e) ?

Répondez et comparez vos réponses à celles des autres.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Trac : Conseils pour lutter contre
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Les événements susceptibles de faire augmenter le stress durant une urgence
Stress technologique : comment le maîtriser
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Entretien d’embauche en France vs entrevue d’embauche au Canada


Différences entre un entretien d’embauche en France et une entrevue d’embauche au Canada

entrevue croisée embauche canada franceLa première entrevue au Canada est téléphonique, puisque téléphoner après avoir envoyé sa candidature est l’habitude ET une nécessité pour montrer son intérêt pour le poste.

Plus vous vous serez renseigné sur l’entreprise, plus vous serez préparé et mieux se déroulera l’entretien, téléphonique ou en face à face.

Vos réponses aux questions du recruteur doivent être courtes et aller droit au but.

Alors qu’en France, le jeu des questions – réponses a autant pour but l’observer le candidat pour déterminer sa personnalité que de confirmer ses compétences, au Canada, une réponse doit

  • aller à l’essentiel,
  • être courte – moins de deux ou trois minutes,
  • formulée avec des mots simples
  • être néanmoins complète

Ce n’est qu’après avoir répondu aux questions du recruteur, que vous pourrez poser vos questions.

A la fin de l’entrevue, n’hésitez pas à demander la suite donnée à votre candidature et quand la réponse vous sera transmise. Demandez si vous pouvez téléphoner pour cela.

Pour vous renseigner : Travailler au Canada

Philippe Garin

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Pour en avoir plus :


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Lettre de motivation : Canada vs Europe
Comment s’habiller pour un entretien d’embauche

Trac : Conseils pour lutter contre
Comment donner confiance à son interlocuteur
Questions de recruteurs et exemples de réponses

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Trac : Conseils pour lutter contre


Conseils pour lutter contre le trac

Le trac est un phénomène qui se présente lorsque l’on a à prendre la parole en public.craquer à cause du trac

Le plus connu est celui des artistes, qui, avant de monter en scène, s’adonnent à des rituels superstitieux pour se sentir moins mal à l’aise.

Généralement, leur trac disparaît dès la première seconde où ils sont face au public.

Pour les autres, le trac peut se poursuivre durant quelques minutes et même pendant la durée de leur prestation.

Le trac est pourtant une énergie qui prépare notre corps à l’intervention.

Le rythme cardiaque s’accélère et le taux d’adrénaline augmente. Les sens sont plus affutés. La gorge sèche, les mains moites sont l’expression de la tension interne qui monte, donc de l’énergie contenue dans le corps et qui se rassemble pour affronter l’épreuve.

Pour lutter contre le trac, quelques conseils :

1.      Se décontracter physiquement. Se relaxer. Se concentrer sur son rythme respiratoire. Alimenter son cerveau en oxygène

2.      Se préparer mentalement. Se motiver. Reprendre les grandes lignes de sa prestation dans son esprit. Relativiser l’enjeu de celle-ci.

3.      Faire du public un allié. Prendre une poignée de seconde pour regarder son public, avec un sourire engageant et bienveillant. Quelques remarques d’ordre humoristique facilitent la décontraction, surtout au début de sa prestation

4.      Bien se préparer. Plus la préparation aura été minutieuse et mieux on se sentira à l’aise pour répondre aux questions ou remarques. Les parties de l’intervention préparées sont connues, ce qui l’aise tout loisir de prendre plus sereinement l’improvisation qu’il faudra mettre en œuvre pour les parties non préparées.

5.      Comprendre son trac et analyser, après coup, les causes de son apparition. A chaud, puis à froid, de façon à encore mieux se préparer pour l’intervention suivante.

6.      S’exercer. S’entraîner. Se mettre en situation. C’est plus facile face à un public acquis d’avance et où il n’y a d’enjeu, mais aussi considérer que cette intervention sera meilleure que la précédente, car source d’informations et d’améliorations potentielles.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Tests de réaction au stress et aux tensions

Quelques bonnes résolutions à partir de maintenant
Ce que vous devez atteindre
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Le timbre de la voix


Le timbre de la voix

timbre de la voixQuelques conseils pour mieux maîtriser le timbre de votre voix.

Platon : « Parlez, afin que je vous connaisse;
tant il est vrai que la voix décèle le caractère. »

Le timbre naturel

  • Si vous avez un timbre de voix dur : adoucissez–le.
  • Si votre timbre de voix est aigu : voilez-le.
  • Votre voix est menue ou efféminée et cela vous dérange : affermissez-là

Vous ne savez rien de tout cela : Enregistrez votre voix.

Au début, en entendant votre voix, vous aurez l’impression que ce n’est pas la vôtre. C’est parce que vous avez l’habitude de l’entendre « de l’intérieur », c’est-à-dire au travers votre boîte crânienne et non pas au travers de vos oreilles externes.

La souplesse et l’élasticité des cordes vocales sont indispensables pour parvenir à corriger les défauts de votre voix. Surveillez votre respiration et apprenez à inspirer et à expirer.

Un changement momentané

Votre voix s’éraille

C’est que vous parlez de la gorge. La place d’une voix, c’est la bouche : Parlez dans le masque en projetant votre voix vers les lèvres.

Les cordes vocales prennent leur forme dans la bouche sous l’action conjuguée de la langue, du palais, des dents set des lèvres. Les consonnes sont réparties quatre catégories : linguales (langue), palatales (palais), dentales (dents), labiales (lèvres)

Vous vous sentez une voix ingrate

Apportez à vos propos un ton convainquant, voire passionné. Essayez de transmettre vos émotions.

Votre voix est épuisée

Posez votre voix ; c’est-à-dire, sachez la soutenir pendant la durée du discours et lui donner l’ampleur et l’intensité nécessaire.

Réglez les temps de pause. Un très court arrêt entre les phrases donne le rythme de votre discours.

Problèmes chroniques

Si vous avez des problèmes chroniques avec votre voix jusqu’à devenir aphone : Évitez l’abus de tabac, les poussières, l’humidité et le froid.
Toutes ces influences externes s’attaquent aux muqueuses du pharynx et du larynx.

L’aphonie est parfois un réflexe purement de nervosité chez un débutant ou une personne impressionnable. C’est le raidissement des cordes vocales dû au trac.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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