Comprendre le « bon » et le « mauvais » cholestérol


Comment distinguer le « bon » du « méchant » cholestérol

hypercholestérolémieMême ceux qui savent qu’un excès de cholestérol est mauvais pour la santé, sont peu nombreux à savoir les distinguer.

Il existe 2 types de cholestérol :

  1. HDL, plus précisément HDL-C, est le « happy » cholestérol, le « bon« 
  2. LDL, plus précisément LDL-C, est le « laid » cholestérol, le « méchant« 

Notre corps fabrique 3/4 du cholestérol, le reste, 1/4 est apporté par l’alimentation.
Donc, même si vous faites un régime anticholestérolémique (bel exercice de diction !), il vous en restera dans le sang.

Comment ça marche ?

Le cholestérol est l’un des constituants de la membrane de chacune de nos cellules. C’est donc un élément vital de notre organisme.

Les acides biliaires, ceux fabriqués par la bile dans le foie, ainsi que les hormones sont fabriqués aussi avec du cholestérol.

Le « mauvais » cholestérol, le « laid », en excès, s’accumule sur les parois des vaisseaux sanguins, à tel point qu’il arrive que le passage du sang soit freiné, pire arrêté quand le vaisseau est bouché. C’est alors l’accident cardiaque.

Pour lutter contre le LDL, il y a le « bon » cholestérol, le « happy ». Le HDL parcoure aussi les vaisseaux sanguins.
En passant, il récupère le « mauvais » cholestérol, il racle les parois des vaisseaux sanguins et ramène le tout au foie. Le foie va l’absorber et l’éliminer.

Tout va bien, alors ?

Ben, non ! Pas en cas d’excès.

Qu’est-ce qui ne va pas ?

Deux causes principales, chacune a pour origine l’apport en cholestérol.

  1. La part du cholestérol produit naturellement par le corps représente parfois plus que les 3/4.
    Un facteur génétique peut faire dépasser le seuil.
    Rien à faire, sinon réduire la part qui est apportée par l’alimentation.
  2. La part apportée par l’alimentation dépasse souvent plus que le 1/4 qui complète la part produit par le corps.

Quand on cumule un facteur génétique avec une alimentation trop riche, notamment en graisse animale, on ajoute plus des 3/4 avec plus du 1/4, ça plus que 1.
C’est à partir de là que les ennuis commencent.

Quels ennuis ?

Le trop-plein de « mauvais » cholestérol et/ou le manque de « bon » cholestérol font partie des causes principales des risques cardiovasculaires, puisqu’ils sont dans le sang.

Vous risquez :

  • au niveau du coeur : Angine de poitrine ou infarctus du myocarde
  • au niveau des jambes : Pathologie artérielle
  • au niveau de la tête : Accident vasculaire cérébral, l’AVC

Solutions ?

  1. Adapter son régime alimentaire : manger moins gras, moins de viande rouge, de charcuterie, de fromage avec un taux de gras > 20%, plus de légumes, etc.
  2. Prendre les médicaments prescrits par votre médecin, car, lui seul, peut traiter votre cas particulier.

Source : AstraZeneca

Philippe Garin

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12 signes qui agacent le recruteur en entretien d’embauche


Agacer le recruteur = échec assuré

agacé irritéS’il y a bien une chose qui vous met hors course dans la recherche d’emploi, c’est agacer le recruteur.

Celui-ci ou celle-ci a l’habitude d’avoir, devant lui, un (e) candidat(e)s, qui cherche un emploi et qui est prêt (e) à « presque » tout pour le (la) « séduire » et le convaincre qu’il (elle) est le (la) meilleur (e) pour le poste.

Seulement voilà ! Même avec les meilleures qualités possibles et les capacités suffisantes pour obtenir le poste, vous le voyez vous passer sous le nez, sans comprendre pourquoi.

Ce ne sont ni vos savoir-faire ni vos savoir-être qui en sont responsables mais vous avez déçu par votre comportement durant l’entrevue d’embauche.

Vous l’avez agacé parce que

  1. Vous êtes arrivé en retard, sans prendre la peine de vous en excuser ni d’avoir prévenu
  2. Vous avez les mains moites ou avez une poignée de main molle
  3. Votre voix est trop haute ou trop basse
  4. Vous utilisez des mots qui se répètent ou d’autres tics de langage
  5. Vous zozotez ou balbutiez ou avez un fort accent
  6. Vous avez déballé vos affaires sur le bureau du recruteur sans autorisation
  7. Vous êtes mal assis (e)
  8. Vous avez votre smartphone qui sonne ou, pire, vous téléphonez
  9. Vous mâchez quelque chose : gomme ou autre
  10. Vous avez croisé les bras, signe de refus
  11. Vous avez occupé vos mains avec un objet ou un tapotement
  12. Vous avez fait la tête (presque) tout le temps

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Récapitulatif 19 Communication
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Développement personnel : Le bonheur en 7 règles


Atteindre le bonheur, c’est-à-dire ?

atteindre le bonheurÊtre zen est insuffisant pour atteindre le bonheur.

Le bonheur est une notion abstraite, difficile à décrire et qui, pourtant, est un objectif commun à chacun d’entre nous.

Certains se le disent ouvertement. D’autres préfèrent se le cacher ou l’ignorer.

Les règles pour être heureux ou heureuse

Point de départ de cet article,  une image apparue sur mon profil Facebook et des échanges avec un de mes correspondants sur le sujet du développement personnel.

Le développement personnel est une réflexion sur soi-même pour parvenir, à terme, à atteindre le bonheur.

Le bonheur est fait de petits riens, de moments où tous les soucis, les préoccupations sont oubliées pour se concentrer sur un plaisir intense que l’on appelle bonheur.

Ce qui manque souvent, c’est l’expérience, ou, à défaut d’expérience, des exemples.

1. Fais la paix avec ton passé

Il s’agit de pardonner, de se dire que c’est le passé, donc terminé et que la vie est devant soi.

Ressasser le passé est important seulement pour éviter de reproduire les mêmes erreurs.

C’est une notion abstraite
Plus on est jeune et moins on a de passé, donc moins d’expérience, c’est pourquoi les adolescents et les jeunes adultes éprouvent malaises et difficultés à trouver leur place.

2. Fous-toi de ce que les gens pensent de toi

Plus compliqué car cela dépend beaucoup de son éducation.

Certaines choses ont plus d’importance que d’autres, cependant ce qui est important pour les uns est moins important pour d’autres et réciproquement.

De plus, l’importance que l’on accorde dépend de son âge.
Par exemple, avoir une mauvaise note à un devoir est très important quand tu es à l’école et est absolument d’aucune importance quand tu pars à la retraite.

C’est plus concret, tout en étant toujours abstrait, car faire abstraction du regard des autres sur soi, demande une discipline mentale qui se développe avec la multiplicité des expériences.

3. Arrête de trop penser

Rester pragmatique plus que rêveur.
Même un rêveur doit revenir sur terre de temps en temps.

Se prendre la tête avec des idées irréalisables est une perte d’énergie qui peut nuire à la santé.

L’inverse aussi est vrai, nous sommes des humains et avons besoin de réfléchir avant d’agir, il faut aussi agir pour avancer et réagir quand le temps de la réflexion est passé.

Plus facile à dire qu’à faire, car il est quasi-impossible de s’arrêter de penser.

Par contre, on peut penser à ce qui nous sert ou servira à atteindre des objectifs, même les plus petits, même les plus répétitifs, que l’on appelle aussi des habitudes.

4. Le temps arrange à peu près tout

La sagesse se développe par accumulation des expériences, bonnes et mauvaises.

Souvent une situation se développe, un problème se résout tout seul sans devoir systématiquement intervenir.

Le cerveau est sélectif et certains souvenirs s’estompent ou disparaissent avec le temps.
Seuls les traumatismes et les temps forts de sa vie restent au-devant de son esprit.

Encore une notion théorique et subjective.
Difficile de s’en rendre compte quand on est jeune, plus facile à comprendre quand on a atteint un âge qui permet de confirmer cette notion par l’expérience.

5. Personne n’est responsable de ton bonheur sauf toi

Si tu attends trop des autres, tu risques d’être déçu (e).

Quand tu agis pour toi, tu prends le risque d’être responsable de ce qui t’arrive, en bon ou en mauvais.

Si tu veux être heureux (se), fais en sorte de te trouver dans des circonstances qui te le permettent, même si c’est pour un court moment.
Le bonheur est éphémère alors il faut en profiter quand il arrive.

Là encore, tant que tu en es au niveau de la réflexion, tu vois cela comme quelque chose de flou parce que tu es incapable de te représenter ce que cela signifie vraiment.

6. Ne compare pas ta vie à celle des autres

C’est le meilleur moyen de se sentir mieux.

A se comparer aux autres, on se trouve des défauts car on juge les autres meilleurs que soi.
Or, nous sommes tous différents.
« Meilleur » est une signification uniquement pour soi.

Les éléments que l’on compare sont parfois superficiels.
Chacun d’entre nous a ses qualités et ses défauts.
Même dans un magasin avec une réputation d’être moins cher, il y a des produits plus chers que dans un autre magasin. Et alors ?

Là, c’est plus concret, cependant pour y parvenir, il faut que tu saches où tu en es toi-même, que tu découvres tout ton potentiel et que tu sois à même de présenter des résultats concrets aux autres.
Cela peut être un résultat scolaire, l’obtention du permis de conduire ou le fait de s’installer chez toi et d’être indépendant (e), d’avoir un travail,etc.

Plus tu avanceras dans le temps et moins tu passeras du temps à te comparer parce qu’il y aura de moins en moins de possibilité de le faire ou parce que les critères seront différents.

7. Souris

  • Quand tu souris, les autres te souris par imitation inconsciente.
  • Quand tu donnes une image positive, tu reçois une image positive de la part des autres.
  • Quand tu es généreux (se), les autres le sont avec toi.
  • Quand tu aides, tu reçois de l’aide.

Tout cela grâce à un simple sourire.

C’est la notion la plus concrète de toutes. Tu sais ce que ça veut dire, tu l’as vu concrètement et tu sais même l’appliquer.

La plupart des notions sont des notions abstraites

Tant que les notions, en l’occurrence les 6 premières règles restent des mots sur un écran ou du papier, et que tu cherches une représentation plus concrète, tu te heurtes à des difficultés d’assimilation.
Comment assimiler, en effet, quelque chose de théorique ?

Il est tout à fait normal que tu éprouves des difficultés à assimiler et à appliquer ces recommandations.
C’est absolument naturel que tu en comprennent certaines et tu sois capable de les appliquer, alors que, pour d’autres, il faut les comprendre, les traduire dans ton système de référence, avant de les mettre en pratique.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Prendre du recul : Une évolution positive
Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire
Pour améliorer sa situation dans la durée

Les 10 premières choses sur les 20 qui arrivent quand tu viens d’avoir un bébé
Se connaître, trouver son mode de fonctionnement
Zone de confort et Chômage : Evolution obligatoire

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Récapitulatif 19 Bien-être

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Prendre du recul : Une évolution positive


Prendre du recul : Une évolution positive

prendre du reculLa capacité à prendre du recul est une qualité personnelle ou compétence douce (soft skill).

Cela évite des réactions trop brusques et inadaptées à la situation.

Quand un événement arrive, il y a la réaction émotionnelle naturelle qui vient en premier.
Cette réaction est spontanée et est en fonction de son caractère et de son éducation.

Puis, en quelques fractions de seconde, la raison intervient pour nous dire si nous avons bien réagit ou l’inverse, ou nous retient pour nous empêcher de réagir d’une manière inappropriée.

Toujours quelques fractions de seconde plus tard, jusqu’à quelques secondes, notre raison nous fait trouver la « bonne » réaction.
Bonne ou mauvaise car la réaction est influencée par la compréhension de la situation.

Un exemple pour bien comprendre

Pour bien comprendre cela, il faut s’imaginer se trouver avec un enfant dans un magasin qui se met à faire un caprice.
La réaction émotionnelle va être de le faire taire, peut-être avec une tape ou un cri contre lui.

Puis, notre raison nous dit que frapper un enfant ou crier après un enfant est une mauvaise chose et nous décidons de laisser tomber cette réaction.

La réaction va être ensuite différente selon le moment :

  • Prendre l’enfant dans ses bras,
  • Céder à son caprice,
  • Lui expliquer qu’il est impossible de satisfaire à son caprice,
  • etc.

Peu importe, en tout cas le pire a été évité.

Suivre sa tête ou suivre son cœur ?

Le recul, c’est la possibilité de choisir entre différentes réactions que notre raison nous propose.

Pour la tête, c’est la logique et le raisonnement qui vont primer, c’est avoir un cerveau gauche.

Pour le cœur, c’est l’intuition et les sentiments qui vont décider, c’est avoir un cerveau droit.

Nous sommes tous un peu les deux, parfois plus analytique parfois plus sensible, avec toujours une préférence naturelle pour un côté ou l’autre.

Un bon manager prend du recul

Lorsque vous avez une équipe à encadrer, avant de pousser des cris en disant que le travail était mal fait, rassemblez les informations nécessaires avant de décider.

À un poste de responsabilité, vous devez impérativement réagir en toute connaissance de cause.

Prendre du recul évite de dire ou de faire des bêtises.

Pas trop de recul

Attention à réagir à temps.

Quand on prend trop de recul, on risque de laisser penser à l’autre que l’on est incapable de réagir correctement, c’est-à-dire de décider de la réaction à prendre.

Comme tout ce processus prend généralement moins d’une seconde, c’est l’expérience qui nous aide.

Au début de sa vie, professionnelle ou personnelle, le processus est un exercice qui demande la capacité à évaluer les différentes options, donc à envisager ces options.

Avec de l’expérience, on utilise inconsciemment le passé pour trouver une réaction la plus appropriée possible.

Par contre, le manque d’expérience nous propose qu’une seule option ou zéro.
Zéro signifie que l’on reste bloqué sans savoir comment réagir.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Das Kind – L’enfant
Cerveau droit ou cerveau gauche : Trouver vos points faibles et vos points forts
Management : A savoir pour manager la génération Y

Quand la critique devient harcèlement
Les 5 types de risques dans un projet pro ou perso
Prise de décision : L’heure du doute et de la remise en question

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Recrutement : Palmarès des moyens les plus utilisés par les employeurs


Les moyens les plus utilisés par les employeurs dans le processus de recrutement

employeur ou employéLes entreprises ont des besoins de personnels pour assurer la bonne marche et le développement.

L’augmentation du Chiffre d’affaires va de pair avec le recrutement. Embaucher permet de déléguer des tâches qui nécessitent des compétences que le chef d’entreprise maîtrise mal ou qui lui prennent trop de temps.

De leur côté, les chercheurs d’emploi multiplient les sources de diffusion de leurs CV et leur présence sur la toile pour se faire voir, montrer leur savoir-faire dans l’espoir d’intéresser un chasseur de tête ou directement un employeur.

Une étude réalisée à la demande de Pôle emploi, en 2017, donne le palmarès des moyens utilisés pour trouver des profils qui correspondent aux critères de recherche de l’employeur.

Les entreprises utilisent plusieurs canaux pour trouver leur futur (e) employé (e)

67% Le réseau ou bouche-à-oreille

64% Les candidatures spontanées

45% Le contact avec d’anciens salariés

40% Les offres d’emploi diffusés en ligne sur Internet

40% Les services d’un organisme tel Pôle emploi ou cabinet de recrutement

17% Les CV présents dans des CVthèques autres que sur les jobboards

14% Les réseaux sociaux, LinkedIn en tête

12% Les offres d’emploi sur un site carrière

 9% Les salons et forums de l’emploi

 7% Les offres diffusées dans la Presse écrite

Les sites incontournables pour les entreprises

Pour trouver des profils, les employeurs ont le réflexe de s’adresser, dans l’ordre aux sites suivants :

1. Pôle emploi

2. Les sites emploi spécialisés

3. Les sites emploi généraliste

Vous trouverez plus de 1000 liens vers des sites d’emploi sur le site de Boosteremploi.

Les moyens pour choisir le futur collaborateur

Aucune surprise, le contact humain direct est le mode de choix principal. Cependant les outils internet présentent l’avantage de faire gagner du temps.

97%  L’entretien d’embauche

23%  Le téléphone

 4%  La visioconférence

Source : Studyrama Emploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Les sources de stress du recruteur
Recrutement : Attirer les talents façon 21ème siècle
Les étapes du recrutement côté entrepreneur

Employeur : Les Aides à la Préparation Opérationnelle à l’Emploi ou POE
Les missions de Pôle emploi
Fiche de poste : Que doit-elle contenir ?

Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 17 Emploi
Récapitulatif 17 Management

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Emploi : Les 20 compétences du candidat idéal


Le candidat idéal devrait posséder ces 20 compétences

capacités et compétencesUne étude du cabinet EY et de LinkedIn sur la révolution des métiers, basées sur plus de 7000 offres d’emploi révèle l’intérêt des entreprises pour un équilibre des compétences réparties entre les savoir-faire et les savoir-être.

C’est le principe de la « tête bien faite » ET de la « tête bien pleine ».

Les entreprises ont besoin de compétences techniques. Elles prêtent aussi de plus attention aux capacités personnelles des candidats à réagir dans un monde où tout va de plus en plus vite.

Les 10 compétences comportementales les plus attendues sont :

  1. La communication
  2. Les relations interpersonnelles
  3. La maîtrise des langues
  4. Le travail en équipe
  5. L’adaptabilité
  6. Le charisme
  7. L’autonomie
  8. La gestion du stress
  9. La capacité d’apprendre
  10. La capacité à résoudre des problèmes

Les 10 compétences sectorielles et techniques les plus recherchées sont :

  1. Les techniques informatiques
  2. Les capacités d’analyse
  3. La maîtrise de la bureautique
  4. Le management
  5. Les compétences financières
  6. Les connaissances réglementaires
  7. La vente et le marketing
  8. Les opérations et les processus internes
  9. Les compétences en organisation
  10. La gestion de la relation client

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :


En complément :

Définition des critères d’exigence dans le domaine Connaissances et compétences professionnelles
Il ne suffit pas de savoir, il faut aussi appliquer
Offre d’emploi : Les exigences et les souhaits dans les annonces

Le recrutement conversationnel ou social : Mode d’emploi pour les entreprises
Emploi : Exprimez vos talents
Recherche d’emploi : Pourquoi le poste vous a échappé

Autres Emploi :

Récapitulatif 17 Emploi

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Correspondance de tailles pour chapeau


Équivalence de taille pour les chapeaux

mètre ruban de couturierChapeaux, bonnets et autres couvre-chefs

Se rendre dans les pays au climat froid ou en période de froid, ou, à l’inverse, visiter un pays au climat chaud ou très chaud, ou en période de chaud implique de se protéger.

D’un côté, le bonnet est une alternative à la capuche.

De l’autre, de multiples formes de chapeaux protègent le crâne du soleil.

Enfants et adultes

Les enfants naissent avec un crâne plus gros proportionnellement au reste du corps, puis le corps grandit plus rapidement que le crâne.

Pour les enfants jusqu’à 2 ans, l’âge donne une indication sur la taille du tour de tête. Cependant, comme les enfants naissent avec des poids et des tailles différents, c’est pareil pour le tour de tête. Il faut donc le mesurer pour choisir la bonne taille du bonnet.

Adultes ou enfants, le plus simple est de prendre un mètre ruban souple, comme celui utilisé par les couturiers (ères) et de mesurer la circonférence de la boîte crânienne au niveau le plus large, là où le couvre-chef va enserrer la tête.

En cas de mesure entre deux centimètres, choisir toujours d’arrondir à la taille supérieure.
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Correspondances

Vous êtes dans un pays qui utilise le pouce à la place du centimètre ?
Les tableaux ci-dessous vont vous aider.

Pour les enfants

Âge

Tour de tête
en centimètres

3 mois

42

6 mois

44

9 mois

46

12 mois

48

18 mois

50

2 à 3 ans

51 – 52

4 à 6 ans

52 – 53

7 à 10 ans

54 – 56

 > 10 ans

56 – 58

Pour les adultes

Tour de tête
en centimètres

Tour de tête
en pouces

Taille US

Taille UK

52 – 53

20 ¾

XS

6 3/8 – 6 ½

54 –55

21 – 21 ½

S

6 5/8 – 6 ¾

56 – 57

22 – 22 ½

M

6 7/8 – 7

58 – 59

22 ¾ – 23

L

7 1/8 – 7 ¼

60 – 61

23 ½ – 24

XL

7 3/8 – 7 1/5

62 –63

24 3/8 – 24 7/8

XXL

7 5/8 – 7 ¾

Philippe Garin

Pour échanger, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :

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Télépéage : Comment ça marche
Chicoutimi, Saguenay, au Québec, Canada
Cotonou au Bénin

Taille des pantalons : équivalence américaine
Correspondance des tailles des gants
Conversion taille de soutien-gorge

Autres Bien-être et Voyage :

Récapitulatif 15 Bien-être
Récapitulatif 14 Voyage

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Partir pour travailler chez le concurrent


Le concurrent vous propose un job

Vous êtes en poste et le concurrent de votre entreprise vous approche et vous propose de vous embaucher. Ça vous tente ?Viens chez moi : le concurrent

La première question est celle du Pourquoi ?

Pourquoi est-ce que le concurrent s’adresse à vous ?

  • Parce qu’il reconnaît vos compétences, puisque vous lui avez chipé un marché ou que vous avez amélioré les performances de votre patron actuel ?
  • Ou parce qu’il veut obtenir, à peu de frais durant votre période d’essai, tous les renseignements sur les produits, les méthodes, les objectifs, les projets de votre patron actuel ou qu’il souhaite l’affaiblir en le privant d’un bon élément ?
  • Ou les deux ?

Les chasseurs de têtes, eux-mêmes, peuvent ne pas connaître la Vraie motivation de leur client.

Prenez le temps de la réflexion

En tout état de cause, analysez et réfléchissez.

Si vous êtes soumis à une pression pour que vous rejoigniez rapidement le concurrent, alors c’est qu’il y a anguille sous roche. Vos capacités et vos savoir-faire seront toujours là dans quelques semaines !

Au contraire, si le concurrent a posté une offre d’embauche officielle, cela semble nettement plus sérieux.

Vous proposez-t-il des conditions de travail identiques ou presque ? Un salaire nettement au-dessus ou quasi-équivalent ?

Selon la réponse, considérez les avantages et les inconvénients de quitter votre emploi pour un autre où vous ne connaîtrez la vraie raison que si vous parvenez à terminer votre période d’essai à son terme et en étant toujours en place,
sinon gardez le silence de façon à ce que votre chef actuel n’apprenne pas où vous êtes allé durant ces quelques mois,
et espérez qu’il vous reprenne, sinon lancez-vous dans une nouvelle recherche d’emploi.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en savoir plus :


En complément :

9 conseils pour atteindre et tenir ses objectifs
Prise de décision : Comment est-elle prise ?
La fatigue durant la période d’essai

Être mobile pour trouver un emploi = déménager ?
Cinq critères pour savoir ce que l’on veut
10 conseils pour décider de poursuivre ou d’abandonner une décision

Autre Emploi, Organisation

Récapitulatif 9 Emploi
Récapitulatif 4 Organisation
Récapitulatif 8 Organisation

Tous les articles de ces catégories sont listés dans les pages Emploi et Organisation de ce blog

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Management participatif : comment ça marche, points forts, points faibles


Caractéristiques du management participatif : ses points forts et ses points faibles

Dans le management participatif, le manager va assumer son rôle de décideur, tout en restant conscient qu’il a des lacunes dans ses connaissances

Par définition, personne ne dispose d’une compétence telle que l’on peut se passer de l’avis des autres.

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La recherche d’informations

Le manager participatif consulte, s’informe. Il le fait auprès de toutes les sources d’information possibles. L’une d’elle est à la portée de sa main : sa, son ou ses collaborateurs

Premier effet positif : Gain de temps

De pouvoir solliciter ses collaborateurs sur un sujet qu’ils connaissent, voire qu’ils maîtrisent, permet de gagner du temps en ayant un avis compétent et intéressé des collaborateurs.

Le manager aura fait acte de délégation, pour la partie recherche d’informations, ce qui, une fois encore, est un gain de temps pour lui.

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Deuxième effet positif : La montée en puissance du collaborateur

Si le (la) collaborateur (trice) ne possède pas les informations recherchées au moment où le manager les demande, il (elle) va s’y mettre, acquérir ainsi des connaissances et ainsi progresser.

Troisième effet positif : Amélioration des images réciproques

Quand un manager trouve des connaissances, des compétences chez un collaborateur, l’image que donne ce dernier est bonne. Lorsque le collaborateur présente des informations qu’il est parvenu à trouver et les présente clairement, en détail ou d’une manière synthétique selon la demande du manager, son image grandit aussi.

De l’autre côté, le collaborateur apprécie d’être sollicité et d’avoir la possibilité de montrer son savoir-faire, ce qui renforce la bonne image qu’il a de son manager.


La décision et l’action

Une fois que toutes les informations nécessaires sont mises à sa disposition, le manager prend sa décision, lui et lui seul ou en participation avec sa propre hiérarchie.

Dans le management participatif, et dans d’autres formes de management, le manager informe son (sa) (ses) collaborateur (trice) (s) (trices) de la décision qu’il a prise.

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Premier effet positif : Pas de surprise à l’annonce de la décision

Les collaborateurs, ayant été consultés préalablement à la prise de décision, sont déjà au courant, puisqu’ils y ont contribué par l’apport d’informations. Pas d’effet de surprise, sauf, peut-être si radio moquette ou radio machine à café a mal fonctionné, pour les autres collaborateurs.

L’effet de surprise est aussi atténué si la décision prise s’avère différente de celle attendue

Le gain de temps tient aussi dans le fait que l’annonce de la décision est courte, puisque tout le monde sait de quoi il s’agit.

Deuxième effet positif : L’action qui suit la décision s’engage rapidement

Le management participatif permet de lancer l’action qui suit la décision sans perte de temps.

Le manager sait déjà qui va mener l’action : sa ressource va être la personne qui l’a aidé à prendre sa décision, dans la plupart des cas.

Le (la) collaborateur (trice) sollicitée dans la recherche d’informations dispose donc des informations nécessaires pour mener l’action. Elle aussi va gagner ainsi du temps.


plus et moins


Les côtés négatifs du management participatif

Premier écueil possible : La grosse tête du collaborateur

De savoir que son manager le (la) consulte, peut laisser penser au (à la) collaborateur (trice) que rien ne se décide sans lui (elle).

C’est au manager de bien faire comprendre quel est le rôle de chacun et de faire participer ses collaborateurs au bon moment et non pas en permanence.

Être en mesure de prendre la décision sans en avoir l’autorité peut laisser penser au collaborateur, qu’il pourrait être le manager, qu’il pourrait faire mieux que le manager, surtout si la décision prise par le manager est différente de celle qu’il aurait prise.

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Deuxième conséquence potentielle : La frustration et/ou la rancoeur

La frustration du collaborateur peut se transformer en guerre larvée entre le (la) collaborateur (trice) et son manager. L’ambiance au sein du service peut se dégrader. Les personnes non sollicitées vont se mettre à jalouser « les chouchous du chef ».

Au manager de faire en sorte que tous ses collaborateurs soient sollicités dans le management participatif, en fonction des sujets à traiter et de la connaissance qu’il a des compétences et connaissances de ses collaborateurs.

Dans la répartition des tâches suite à la décision du manager, la rancoeur d’un collaborateur envers un autre peut se présenter, surtout lorsque la décision prise avec la collaboration d’une personne implique qu’une autre personne va s’attacher à mener l’action qui suit la décision.
D’une part, la personne qui a participé aurait peut-être aimé être choisie pour l’action, de l’autre celle qui doit mener l’action aurait peut-être aimé s’en passer surtout lorsqu’elle sait que la décision est la suite de l’apport d’informations par un (e) collègue qu’elle n’apprécie pas.

Troisième point à surveiller : L’image du manager

Le manager peut se prendre au jeu au point que certains n’hésitent pas à le critiquer sur son manque de charisme, ce qui n’a aucun rapport.

Selon le cas, l’image du manager peut aussi se dégrader auprès de collaborateur, moins performant et qui rechigne à montrer incompétence ou lacune.

Quatrième effet négatif : La perte de compétences du manager

Le manager peut se trouver démuni en cas d’absence ou de perte d’un collaborateur, surtout si celui-ci (celle-ci) est la personne qu’il faisait participer.

Sa propre hiérarchie s’attend à trouver en lui des compétences, qui, de fait, se trouvent chez les collaborateurs et non pas chez le manager.

C’est ce qu’on appelle aussi : atteindre son degré d’incompétence.

De là à dire que, plus le manager est haut dans la hiérarchie et plus il est incompétent…

Heureusement, chaque poste demande des compétences différentes et celle de faire participer ses collaborateurs en est une, n’est-ce pas ?

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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