Conflits au bureau : Questionnaire d’Analyse


Analysez un cas de conflit professionnel qui vous a touché

Avec un ou une collègue, votre chef ou votre patron, un client ou un fournisseur, un partenaire, vous avez des divergences de point de vue. Divergences qui peuvent avoir dégénérer en conflit.

Choisissez un cas que vous avez vécu. Réfléchissez bien à cette situation et répondez aux questions suivantes. Soyez honnête avec vous-même dans votre auto-analyse.

Atomkraft_divergence

  1. Identifiez l’incident. Quelle était la difficulté que je n’ai pas pu résoudre correctement ?
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  2. Qui était l’autre impliqué dans le conflit ? Collègue, relation hiérarchique, collaborateur, etc. ?
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  3. Dans quel lieu se passe la scène
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  4. à quelle occasion ? Situation unique ou fréquente ?
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  5. Comment cela a-t-il commencé ?
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  6. Qu’ai-je fait ou dis ?
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  7. Qu’a fait ou dis l’autre ? ………………………………………………………………………………………………………………………
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  8. Que s’est-il passé ensuite ?
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  9. En quoi d’autre, après ?
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  10. Comment cela a-t-il fini ?
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  11. Quels furent mes sentiments, à la fin ? Tristesse, agacement, culpabilité, etc.
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  12. Comment pensez-vous que l’autre s’est senti, à la fin ?
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  13. Qu’est-ce que je me dis sur moi ?
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  14. Que me dis-je sur l’autre ?
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  15. Que vais-je faire pour me sortir de ces sentiments désagréables ?
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  16. Aurais-je agir autrement et comment ?
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confrontation entre le fort et le faible

êtes-vous fort ou faible dans la confrontation ?

Un conflit est souvent une confrontation entre deux personnalités. La vôtre et celle de l’autre.
Peut-être est-ce vous qui avez une forte personnalité et avez voulu imposer votre point de vue à l’autre.

Peut-être avez-vous une personnalité moins prononcée et regrettez de vous êtes laissé faire.

Dans l’un ou l’autre cas, la réflexion, après votre autoanalyse devrait se porter sur la recherche du changement de votre relation à cet autre.

L’incident que vous avez choisi pour cette analyse vous a suffisamment marqué pour que vous l’ayez retenu. Cas unique ou répétitif ? Réconciliation ou séparation ? Vous seul pouvez répondre.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Conflit entre salarié et employeur : Les intervenants
Les 7 phases du travail ou Comment savoir si vous devez arrêter de toute urgence
Les 6 catégories de facteurs de risques psychosociaux

La Process Communication : Les 6 personnalités
Les rôles dans la communication ou sachez pourquoi vous communiquez mal
Critiqué(e) en public : Comment réagir

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5 Conseils pour mieux se concentrer


5 Conseils pour mieux se concentrer

La fatigue ou le manque d’intérêt sont deux des facteurs qui font que nous sommes distraits ou que nous ayons du mal à nous concentrer sur ce que nous écoutons, écrivons, disons, faisons.

De tout temps et en tout lieux, le manque d’attention est souvent lié à notre esprit. Il vagabonde, il imagine, se soustrait à la tâche ingrate que l’on s’impose et qui nous est imposée.

Selon une étude américaine en 2020,

  1. 28% du temps de travail d’un employé est perdu en bavardages, vagabondages des idées et plus généralement à la déconcentration au travail,
  2. 34% des distractions serait dû aux interruptions d’autres employés ;
  3. 29% viennent de la lecture de mails,
  4. 23% de discussions entre collègues
  5. 21% de réunions
soyez attentif

soyez attentif

Pour se (re)concentrer sur son travail, voici quelques conseils de non aloi :

1/ Se concentrer sur une autre activité

Afin de discipliner son esprit, autant le faire sur une distraction qui demande de la concentration : le jeu en solitaire : Mots croisés et équivalent, sudokus, et autres jeux de mémoire qui font appel à la réflexion et oblige à se concentrer exclusivement sur le jeu.

Ceci a pour conséquence, d’apprendre au cerveau à se concentrer sur la tâche du moment, tout en créant les connexions synaptiques nécessaires qui aident, par la suite, à se concentrer sur son travail.

2/ Faire des pauses

Quand le cerveau surchauffe, il « décroche » sans nous prévenir. On s’acharne à poursuivre au risque de faire des erreurs par manque de concentration. Plus on veut poursuivre et plus la concentration se perd.

C’est pourquoi, faire des pauses régulières permet au cerveau de décompresser. La tension artérielle baisse et le sang circule mieux. Le cerveau est mieux irrigué.

pause chocolat

pause chocolat

Reprendre un travail après une pause où l’on a agi par de simples actes comme se désaltérer, manger un en-cas, aller aux toilettes, se laver les mains, permet une déconnexion rapide et une meilleure concentration.

3/ Dormir

La qualité du sommeil influence grandement la concentration et l’efficacité au travail.
La quantité de sommeil entre aussi en jeu. Selon chacun d’entre nous, le nombre d’heures de sommeil est différent, néanmoins, il se situe généralement autour de 7 à 8 heures au quotidien. Dans le silence, le noir et sans interruption.

4/ Avoir une activité physique

Outre le fait d’améliorer la circulation sanguine par une pratique du sport, il est toujours possible de trouver des moments pour avoir une activité physique.

Elle permet d’éliminer les déchets toxiques pour notre organisme. Il s’agit le plus souvent de la marche. Une bonne marche, vive, sans flâner, monter les escaliers, laisser la voiture plus loin ou descendre une station de bus, de tram ou de métro avant sa destination.

méditer, respirer

méditer, respirer

5/ Respirer consciemment

Une pause relax, une séance de sophrologie, ou un moment de méditation, sont autant de techniques qui aident à se concentrer.

Prendre conscience de sa respiration, respirer lentement en faisant attention à l’inspiration et à l’expiration, permet de se concentrer, sur soi d’abord, puis sur son travail ensuite..

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Manque de repos : Causes, erreurs et risques
Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire
Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez

6 comportements des personnes mentalement fortes
Concentrez vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré
Gestion du temps : Concentré de tomates ou la technique Pomodoro

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Entretien d’embauche ou grand oral du bac : 7 Conseils pour le réussir 2/2


Comment s’en sortir lors d’une présentation à l’oral

La première partie dans l’article précédent

Dans une situation où un entretien est déterminant pour la réussite de votre projet : grand oral du bac ou entretien d ‘embauche, l’oral est déterminant.

Voici la suite des conseils.

5/ Éliminez vos tics de langage

A contrario du point précédent, vous perdez beaucoup de temps avec des tics de langage.

La répétition de ces tics retient plus l’attention que le reste de votre discours.

Vous risquez le lasser vos auditeurs et même de les agacer au point qu’ils ne vous écoutent plus, même si vous êtes pertinent.

tics de langage

tics de langage

Rien de mieux pour corriger vos tics de langage que de discourir devant un public neutre ou favorable avant de passer au vrai oral.

Votre famille, vos amis ou l’enregistrement de votre discours, vont vous donner un retour sur vos tics de langage, voire de gestes et mimiques.

En prenant conscience de leurs existences, vous êtes à même de les faire disparaître ou de le remplacer dans des expressions plus variées et des gestes différents.

6/ Posture et gestes

Le langage non verbal représente un pourcentage énorme de votre communication.

Nous sommes tous habituer à voir la moindre grimace, le coup d’œil, le frémissement du corps de l’autre, que nous interprétons, chacun à notre manière, selon notre éducation. C’est exactement ce qui se passe quand c’est à notre tour de nous exprimer devant d’autres personnes.

Si vous êtes debout, soyez bien campé sur vos jambes, légèrement écartées l’une de l’autre.
Assis, vous serez le dos décollé du dossier du siège, légèrement penché vers l’avant.

Bon : main ouverte en entretien

Bon : main ouverte en entretien

Votre attitude sera l’ouverture, donc oubliez immédiatement les jambes, les bras ou les mains croisés.
Paumes vers le haut ou l’autre vers l’autre, vous donnez une expression de confiance en soi, propice au succès de l’oral.

Regardez celui ou celle qui vous parle est un signe de respect. Si vous êtes gêné de regarder dans les yeux, focalisez votre regard sur un point situé à 10 centimètres derrière son œil gauche.

Si votre entretien oral se passe en visio alors c’est la caméra que vous devez regarder. Collez un post-il juste à côté de la caméra pour vous en rappeler durant l’entretien.

7/ Gardez votre sang-froid

Les questions pièges sont une partie des astuces utilisés par votre interlocuteur pour vous déstabiliser. Il peut aussi faire des gestes, avoir des grimaces, par exemple, en soufflant tout en levant les yeux au ciel.

Le but de ces attitudes est de voir comment vous réagissez en situation de difficulté, par un manque de connaissance d’un sujet, d’un manque de précision ou d’une réponse floue ou à côté de la question.

gardez votre sang-froid !

gardez votre sang-froid !

Plus une attaque est basse et vile, plus elle porte. Gardez donc la maîtrise de vos réactions instinctives. Quand on nous attaque, deux attitudes involontaires se font sentir alors qu’il vous faut en utiliser une troisième.

La contre-attaque et la fuite sont impossibles. Par conséquent, c’est le raisonnement qui vous permettra de vous en sortir. La CNV ou Communication Non Violente a été développée pour répondre aux provocations.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Entretien d’embauche : Quand répondre à une question provoque des regrets
L’éloquence en 10 conseils
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La Reformulation : Une technique efficace
Comment regagner de la confiance en soi
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Entretien d’embauche ou grand oral du bac : 7 Conseils pour le réussir 1/2


Comment s’en sortir lors d’une présentation à l’oral

Depuis 2022, l’épreuve du grand oral a été mise en œuvre pour décrocher le baccalauréat.

Dans la suite de sa vie professionnelle, vous êtes confronté à l’exercice de l’entretien d’embauche.

Dans deux cas, vous êtes confronté à prendre la parole en public, à convaincre que vous maîtrisez votre sujet, à répondre aux questions des interrogateurs, à les rassurer sur vos capacités à aller plus loin, dans les études ou la carrière.

le grand oralC’est là que l’art oratoire vous sert pour passer l’épreuve avec succès.

1/ Préparation mentale

C’est un moment de partage. Un moment où vous levez le voile sur vos connaissances et votre personnalité.

L’entrainement des sportifs de haut niveau – et les autres – passe par une phase de concentration mentale, de répétition de la situation. Plus vous aurez répéter votre rôle, comme au théâtre, et plus vous serez à l’aise lors de la rencontre.

2/ Respirez pour vous calmer

La respiration est un élément-clé pour faire baisser les tensions.
Inspirez puis expirez lentement par le nez.

Vous calmerez aussi votre cœur. Vous ferez baisser votre tension et calmerez votre stress, en diminuant l’apport d’adrénaline et en augmentant l’oxygénation des cellules de votre corps, notamment celles de votre cerveau.

position pour bien respirer et destresser

position pour bien respirer

3/ Pitch et mots-clés

Le pitch est la partie de l’entretien où vous devez vous présenter en 2 à 3 minutes chrono.

Pour le réussir, écrivez-le et apprenez-le par cœur. Entrainez-vous à le réciter en y mettant le ton qui convient.

Pour le reste de votre discours, mieux vaut connaître son sujet par des mots-clés.

Chaque mot-clé représente une partie de ce que vous avez prévu d’évoquer ou/et des réponses aux questions attendues et peut-être moins attendues.

4/ Synthèse et détails

Moins vous avez de connaissances et plus vous avez tendance à vouloir détailler.

A l’inverse, mieux vous connaissez vos savoirs et savoir-faire et plus vous êtes en mesure de synthétiser.

Dans un oral, il faut, à la fois, faire des phrases courtes et déceler si votre ou vos interlocuteurs attendent que vous détailliez vos propos. Comme vous avez un temps limité, avec des phrases courtes, vous vous donnez plus de temps pour fournir du détail là où ça en vaut la peine.

La suite dans l’article suivant

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Guide d’observation en entretien de recrutement
6 comportements des personnes mentalement fortes
Lettre de motivation et entretien : Mots et expressions à éviter

Recherche d’emploi : Des clés pour construire votre pitch
Entretien de recrutement : Gardez votre calme !
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6 faiblesses positives pour l’entretien d’embauche


6 Points faibles à citer dans un entretien d’embauche

Point faible : Mannequin ET trisomique

Madeline Stuart : Mannequin ET trisomique


La question des points faibles est des plus récurrentes, et qui prend la tête autant aux candidats qu’aux recruteurs.

Sommaire

  1. Mort de trac
  2. Échecs professionnels
  3. Avoir un défaut, et alors ?
  4. Le manque d’expérience
  5. Trop d’expérience
  6. Pas de diplôme ou pas le bon diplôme

Les premiers pèchent pas manque d’imagination ou la trouille d’énoncer des faiblesses qui pourraient leur coûter le job.
Les autres sont saturés des « perfectionnistes » et autres banalités tellement peu originales.

Cependant, il existe des points faibles que l’on peut très bien énoncer lors d’une entrevue d’embauche, qui conviennent assez bien pour les deux parties.

Philippe Garin

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Pour en avoir plus :


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Recruteurs : 7 conseils pour évaluer les candidats
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Liste 6 d’atouts en tant que point fort ou point faible à dire en entretien d’embauche

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Emploi Entretien de recrutement : Des trous dans son CV

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Récapitulatif 12 Management
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Conflit entre salarié et employeur : Les intervenants


Qui peut intervenir dans un conflit entre salarié et employeur ?

carton vert pour un accordLorsqu’il y a conflit entre un (e) salarié (e) et son employeur, les tensions et le rendement du travail s’en ressent.

Au départ : vous êtes seul (e)

Que vous soyez employeur et mécontent des résultats ou de l’attitude de votre salarié (e), ou que vous soyez salarié (e) et que vous avez des reproches à faire à votre employeur, vous êtes seul (e) au départ.

Conseil : Relativisez et cherchez les causes.

Côté employeur :

Les causes d’une baisse de rendement, d’efficacité au travail peuvent être liées à une personne ou un groupe de personnes, mais aussi par une organisation inadaptée ou l’absence de connaissance du salarié. Elles peuvent aussi être dans le cadre de la vie privée du salarié, qui est donc moins concentré sur son travail.

Côté salarié :

Les attentes du salarié peuvent aussi être déçues. Les objectifs personnels au travail et les objectifs de l’employeur, la compréhension du poste ou les mauvaises relations avec un ou des collègues peuvent générer un malentendu qui va se transformer en hostilité, en rancœur, en non-dit négatifs.

Le dialogue à deux

Les employeurs hésitent moins que les salariés à engager le dialogue pour dissiper les incompréhensions et exprimer leurs reproches aux salariés.

Le salarié, selon son tempérament, peut également demander une rencontre « entre quatre yeux » pour s’expliquer et demander des explications.

Au minimum une fois par an, le salarié peut s’exprimer librement lors de l’entretien annuel, lorsqu’il est organisé dans l’entreprise. Néanmoins, en cas de conflit et, de préférence, au début de celui-ci, mieux vaut une rencontre en face-à-face le plus tôt possible.

Le dialogue en interne à plusieurs

SI le conflit persiste après le dialogue, le salarié peut faire appel à un délégué du personnel, lorsqu’il en existe au sein de l’entreprise. Ce dernier a plus l’habitude de présenter des doléances, de décrire une situation et sert d’intermédiaire pour trouver une solution qui conviendra au salarié et à leur employeur.

Des intervenants extérieurs

Les syndicats, patronaux et de salariés

Les syndicats, patronaux et de salariés disposent des moyens de conseils et juridiques, auprès de leurs adhérents ou futurs adhérents. Leurs interventions de conseils peuvent apporter un éclairage, des idées de solution auxquelles les deux parties n’avaient pas pensé jusque-là.

Souvent, un délégué du personnel appartient à un syndicat de salarié, mais ce n’est pas une obligation.

L’inspecteur du travail

L’inspecteur du travail détient le règlement intérieur et ses annexes, de même que toutes les conventions collectives et leurs annexes. Il est au courant des lois et des règles. Il est le garant d’une certaine impartialité. Il conseille aussi bien le chef d’entreprise que le salarié, sur les aspects du respect du droit du travail.

L’inspecteur du travail peut se proposer pour servir de conciliateur et ne prendra pas partie pour le salarié ou pour l’employeur. Ce n’est pas un juge.

Les conseils de Prud’hommes

Les conseils de Prud’hommes sont une juridiction pour juger des conflits entre employeurs et salariés. Lorsque toutes les démarches à l’amiable n’ont pas fonctionné ou que les conditions de procédures n’ont pas été respectées ou que l’une des parties s’estime lésée par l’autre, alors elle peut déposer un dossier auprès des conseils de Prud’hommes.

Un juriste, un avocat

Un juriste, un avocat, peuvent accompagner l’employeur. Il en est de même que le salarié. Les conseils de Prud’hommes sont élus, à part égale, par des collèges patronaux et des salariés. Ils trancheront en fonction des dossiers et des preuves qui leur seront transmis.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Faute grave : Définition juridique
Licencié pour avoir cherché à effacer ses connexions sur des sites porno
Conseil de prud’hommes Art. L 512-1 et L 512-8 du Code du travail

Harmonisation des objectifs professionnels et privés
Règles pour un manager pour des phases difficiles de communication
Mener un entretien d’évaluation d’un collaborateur

Autres Juridique, Emploi et Management :

Récapitulatif 10 Juridique
Récapitulatif 11 Emploi
Récapitulatif 11 Management

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Lâcher-prise vs relaxation


Se relaxer ou lâcher-prise

lâcher prise

Faut-il lâcher prise pour se relaxer ?
Et puis, qu’est-ce que cela veut dire ?

Se relaxer

Se relaxer est un mécanisme physique dont l’impulsion de départ est donnée par sa propre volonté.
La relaxation consiste à une déconcentration mentale et musculaire.

Les meilleurs résultats sont obtenus le matin ou le soir, ou encore avant une épreuve sportive.

Une mise en condition est nécessaire à la relaxation :

  • Choisir, de préférence, une pièce calme et une température neutre, ni trop froid, ni trop chaud
  • Être allongé ou assis confortablement avec la nuque calée et les bras posés sur des accoudoirs ou sur un support comme le soir
  • Fermer les paupières, être immobile, diminuer son niveau d’alerte

Les conséquences de la relaxation

La relaxation permet une diminution de la tension artérielle, du pouls et de la respiration.
Elle passe aussi par une prise de conscience de son corps, en particulier de sa respiration.
Et aussi :

  • D’avoir une sensation de bien-être
  • Une diminution de la fatigue, de la douleur, des insomnies
  • Une diminution d’émotions fortes, comme la colère et l’anxiété

Lâcher prise

Le Lâcher prise démarre aussi par une décision de sa propre volonté et a des implications sur le physique.
Seulement le lâcher prise est avant tout un mécanisme psychique qui permet de faire le vide dans ses pensées.

Il est possible de lâcher prise sans passer par la relaxation

Un moyen efficace est celui du rideau de fumée : avoir une activité qui nécessité de la concentration mentale au point d’arriver à ne plus penser aux préoccupations qui occupe l’esprit et empêchent le lâcher prise.
Par exemple, le sudoku ou les mots-croisés.

Ces exercices mentaux sont effectués en pleine conscience.
Elle ne relaxe le corps que parce qu’il faut rester dans une position physique telle que les mouvements sont réduits au minimum.

Le lâcher prise n’est pas le renoncement, l’abandon de la réflexion individuelle et personnelle ou du contrôle de ses émotions ou de ses pensées.

C’est aussi un moyen de décontraction qui permet, ensuite, de mieux réfléchir aux sujets qui nous préoccupent.
C’est une mise entre parenthèse et pour un temps relativement court des pensées qui nous parasitent.

Se relaxer pour lâcher prise ou lâcher prise pour se relaxer ?

Dans les 2 cas, c’est une question de volonté.

L’environnement joue aussi son rôle et toute perturbation extérieure interrompt l’un et l’autre des deux mécanismes de la volonté.

Les objectifs sont quasi-identiques. C’est l’ordre de priorité et les moyens de parvenir au but qui les différencient.

En gros, pour se sentir physiquement mieux, alors les techniques de relaxation peuvent parvenir au résultat attendu, et pour penser plus efficacement, alors le lâcher prise permet de faire une pause mentale et d’épurer ses pensées parasites.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Tests de réaction au stress et aux tensions


Tests de réaction au stress et aux tensions

résistance au stress et aux tensionsTestez-vous pour analyser votre situation du moment face au stress et aux tensions quotidiennes.

Pour vous aider à répondre la question : suis-je surchargé et ma santé est-elle compromise ?
Voici une grille d’analyse :

Symptômes

L’affirmation correspond à ma situation

Souvent /
très souvent

En partie /
de temps en temps

Rarement / jamais

1. Je m’irrite lorsqu’il me faut attendre

2. Je prends souvent de travail chez moi

3. Je fume plus de 10 cigarettes par jour

4. Je consomme de l’alcool chaque jour

5. J’ai un excédent de poids supérieur à 10 kg

6. Je ne pratique aucun sport

7. Je suis souvent sollicité de partout

8. Je ne m’accorde jamais de véritable pause

9. On me dérange souvent (visiteurs, téléphone, bruits, etc.)

10. Après des ennuis au travail, je souffre de colique

11. Lorsque je veux qu’un travail soit bien fait, je dois l’exécuter moi-même

12. Mes collaborateurs ne sont pas assez qualifiés

13. Après mes absences, j’ai mon bureau encombré de paperasses

14. Je fais souvent des heures supplémentaires

15. Lorsque j’ai des problèmes, je me réveille la nuit et je ne peux plus me rendormir

16. J’ai souvent l’impression d’être débordé de travail

Total des croix :

Si j’ai plus de cinq à huit « souvent / très souvent », je suis surchargé (e) et ma santé est compromise.

Réfléchir à mes propres qualités / à ma position personnelle.

La vie professionnelle et privée, l’esprit et le corps pris en considération simultanément.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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