Entretien d’embauche ou grand oral du bac : 7 Conseils pour le réussir 1/2


Comment s’en sortir lors d’une présentation à l’oral

Depuis 2022, l’épreuve du grand oral a été mise en œuvre pour décrocher le baccalauréat.

Dans la suite de sa vie professionnelle, vous êtes confronté à l’exercice de l’entretien d’embauche.

Dans deux cas, vous êtes confronté à prendre la parole en public, à convaincre que vous maîtrisez votre sujet, à répondre aux questions des interrogateurs, à les rassurer sur vos capacités à aller plus loin, dans les études ou la carrière.

le grand oralC’est là que l’art oratoire vous sert pour passer l’épreuve avec succès.

1/ Préparation mentale

C’est un moment de partage. Un moment où vous levez le voile sur vos connaissances et votre personnalité.

L’entrainement des sportifs de haut niveau – et les autres – passe par une phase de concentration mentale, de répétition de la situation. Plus vous aurez répéter votre rôle, comme au théâtre, et plus vous serez à l’aise lors de la rencontre.

2/ Respirez pour vous calmer

La respiration est un élément-clé pour faire baisser les tensions.
Inspirez puis expirez lentement par le nez.

Vous calmerez aussi votre cœur. Vous ferez baisser votre tension et calmerez votre stress, en diminuant l’apport d’adrénaline et en augmentant l’oxygénation des cellules de votre corps, notamment celles de votre cerveau.

position pour bien respirer et destresser

position pour bien respirer

3/ Pitch et mots-clés

Le pitch est la partie de l’entretien où vous devez vous présenter en 2 à 3 minutes chrono.

Pour le réussir, écrivez-le et apprenez-le par cœur. Entrainez-vous à le réciter en y mettant le ton qui convient.

Pour le reste de votre discours, mieux vaut connaître son sujet par des mots-clés.

Chaque mot-clé représente une partie de ce que vous avez prévu d’évoquer ou/et des réponses aux questions attendues et peut-être moins attendues.

4/ Synthèse et détails

Moins vous avez de connaissances et plus vous avez tendance à vouloir détailler.

A l’inverse, mieux vous connaissez vos savoirs et savoir-faire et plus vous êtes en mesure de synthétiser.

Dans un oral, il faut, à la fois, faire des phrases courtes et déceler si votre ou vos interlocuteurs attendent que vous détailliez vos propos. Comme vous avez un temps limité, avec des phrases courtes, vous vous donnez plus de temps pour fournir du détail là où ça en vaut la peine.

La suite dans l’article suivant

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Le rapport ou compte-rendu de réunion


Réunion de travail : Un rapport complet

rapport ou compte-rendu de réunionSommaire :

À quoi sert une réunion de travail

Bien préparer une réunion de travail

Réussir l’animation d’une réunion de travail

Le rapport ou compte-rendu de réunion

Toutes les réunions de travail doivent faire l’objet d’un rapport ou compte-rendu de réunion.

Le rapport doit être rédigé le jour-même ou, au pire, le lendemain, afin d’avoir encore en tête la compréhension des notes prises durant la réunion et se rappeler les points omis dans ses notes.

Tout retard expose à de la perte d’information.

Le rapport sera adressé à tous les participants et à ceux qui ont besoin de connaître les conclusions du travail des participants.

Le compte-rendu rependra, point par point, l’ordre du jour, qui est fil conducteur.

Si, pour un point, une ou des actions sont à mener, alors celui ou celle (ou ceux) qui est chargé de ces tâches sera mentionné, avec, de préférence, une date butoir de réalisation de l’action.

Si une autre réunion doit suivre celle qui vient de se dérouler alors la date de la prochaine réunion sera indiquée en fin du rapport.

Le rapport doit être le reflet réel et objectif de la réunion.
Les interprétations du rédacteur du compte-rendu sont exclues.

Un bref résumé synthétisera le résultat obtenu, lequel dépend de l’objectif de la réunion.

Pour une réunion de décision ou de résolution de problème, c’est la décision ou la solution qui sera brièvement décrite.

Toutes les alternatives seront indiquées, du plan B aux idées éliminées, si cela a un sens.

Pour une réunion d’information ou une formation, le rapport est accompagné d’un questionnaire où chaque participant donne son avis sur le résultat obtenu et sa satisfaction personnelle.

Si des avis différents ont été exprimés, ils doivent figurer dans le compte-rendu, avec la mention de majorité et de minorité pour l’un ou l’autre des avis.

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Question piège du recruteur : Pourquoi vous ?


Pourquoi, moi recruteur, devrais-je vous embaucher ?

pourquoi vous choisirC’est une question que les chargés du recrutement non professionnels, par exemple les responsables hiérarchiques du futur collaborateur, posent pour déstabiliser le candidat.

En général, ils s’attendent à entendre un peu de tout, notamment à ce que le candidat se fasse mousser, prend de la hauteur, ou cherche à se valoriser par rapport à ses concurrents directs.

Ce sont, bien sûr, des réponses possibles. Elles sont aussi à côté du but recherché.

Démontrez pourquoi

La vraie réponse est d’effectuer un résumé de l’entretien d’embauche, une synthèse de toutes les informations que vous avez recueillies sur l’entreprise et le poste.

Pour chaque élément, vous mettrez en avant le ou les liens avec votre profil.

La compréhension des tâches à effectuer, des responsabilités à assumer, dans l’environnement professionnel de l’entreprise et de l’équipe, sont les facteurs de réussite de l’entretien d’embauche.

Vous devez être en mesure de vous projeter dans le poste et de répondre en fonction de ce que vous avez compris.

Vous rappelez vos qualités et vos expériences en rapport avec le poste à pouvoir.

Vous pouvez même aller jusqu’à dire par quoi vous envisagez de débuter dès la première journée. Cette affirmation est surtout réservée aux cadres ou encadrants.

Si vous trouvez que vous avez besoin de compléter votre réponse, vous pouvez le faire dans le mail ou courrier de remerciement après l’entretien d’embauche.
Cependant, l’impact est nettement moindre.

Et le gagnant est

La différence avec les autres candidats se fait au travers de vos commentaires durant la réponse à cette question.

Le choix se fera sur vous, non pas parce que vous êtes le meilleur candidat, mais parce que vous avez le mieux compris ce que l’entreprise attend de vous.

Plus vous rappellerez les points communs entre le poste et votre profil, plus vos chances d’être choisi seront importantes.

Hélas ! Comme toujours, il est possible qu’un autre candidat fasse mieux que vous ou ait un profil encore plus en adéquation avec le poste.

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Questions de recruteurs et exemples de réponses

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Rédiger un rapport d’activité dans une entreprise pour la première fois


Débutant dans l’entreprise, rédiger son premier rapport d’activité

L’embauche est faite. La période d’essai est démarrée. Les premières tâches accomplies.

Voilà le moment d’écrire son premier rapport d’activité.

Bien !
Euh ! Comment on fait ?

premier rapport d'activité ?

premier rapport d’activité ?

Le point de départ

Il est rare d’un type de rapport d’activité soit à créer de toutes pièces. Le plus simple est de prendre un modèle qui existe déjà dans l’entreprise.

Si l’habitude est que chacun fait comme il le veut, alors d’autres réponses s’appliquent.

D’abord, un rapport d’activité d’un collaborateur de base à son chef d’équipe ou de service est différent d’un rapport d’activité de ce chef à son supérieur hiérarchique.
De même, que celui d’un cadre supérieur à son patron ou du patron à ses actionnaires.

Synthèse et détails

Plus on monte haut dans la hiérarchie et plus le choix des informations à transmettre est important au niveau de celui ou de celle qui rédige le rapport.

Plus on est au bas de la hiérarchie et plus les détails auront de l’importance.

Le plus compliqué est quand on se trouve entre le haut et le bas.

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Interne ou externe

Autre point à considérer, le rapport peut être extérieur à l’entreprise, issue d’un stagiaire ou transversal, c’est-à-dire indépendant d’une hiérarchie, sauf auprès de celui ou celle à qui est destiné le rapport.

Là, le rapporteur se trouve seul et n’a aucun appui interne.

La nature du rapport

À prendre en compte également, la nature du rapport.

S’agit-il d’un rapport d’avancement d’une situation ou d’un rapport dont le résultat va avoir des conséquences désagréables pour certaines personnes, une fois qu’il aura été remis à la ou aux personnes qui décident.

La nature du rapport a une influence directe sur la sérénité de son auteur. Il est difficile de rester neutre, même en se contentant de rapporter les faits.

Que doit-on trouver dans un rapport ?

C’est la question qui est traitée dans ce deuxième article.

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Plan d’un rapport d’audit en entreprise
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Points faibles à citer 2/6 : Les échecs professionnels


Points faibles à citer dans un entretien d’embauche 2/6 : Les échecs professionnels

Au pluriel ou au singulier, faire part de ses échecs est toujours un moment difficile à passer, une faiblesse que l’on aimerait bien passer sous silence.

Sommaire

6 faiblesses positives pour l’entretien d’embauche :

  1. Mort de trac
  2. Échecs professionnels
  3. Avoir un défaut, et alors ?
  4. Le manque d’expérience
  5. Trop d’expérience
  6. Pas de diplôme ou pas le bon diplôme

la plus grande victoire n'est pas de ne pas tomber, mais de se relever à chaque fois

Seulement voilà, un banal contrôle de référence peut mettre le candidat en porte-à-faux vis-à-vis du chargé de recrutement. C’est alors pire que d’avouer avoir subi des échecs dans sa carrière.

Le recruteur sait que, la carrière de beaucoup de candidats est émaillée d’échecs divers. Sa curiosité est naturelle dans la mesure où il a besoin de savoir si le faux-pas est susceptible de se reproduire, s’il confie le poste au postulant assis devant lui (ou elle).

Les plus importants dans la description d’un échec est de traduire les leçons que le candidat en a tirées. S’il faites l’apologie du « ce n’est pas ma faute ! », la tension du chargé de recrutement va monter.

Par contre, si le candidat explique qu’il a retenu pour éviter de reproduire l’erreur alors il montrera un esprit d’analyse, de synthèse, ainsi que le sens de la responsabilité et de l’amélioration continue. Le candidat montre ainsi, aussi, son pragmatisme.

Philippe Garin

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Période d’essai interrompue : Faire son deuil
Les recettes magiques vers l’échec
Recherche d’emploi : Pourquoi le poste vous a échappé

Des mots pour se définir
Devise 019 : Satisfaction n’est pas garantie
Je peux le faire !  ou motivation personnelle en 8 étapes

Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 12 Management
Récapitulatif 12 Emploi

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L’écoute active : mode d’emploi


La pratique de l’écoute active

je t'aime  - moi non plusParmi les techniques qui permettent de réussir un entretien, qu’il soit d’embauche, de promotion, pour demander une augmentation de salaire ou faire valoir ses atouts pour obtenir une mission, figure l’écoute active.

L’écoute active, c’est se concentrer sur les propos de l’autre sans perdre le fil ni de son discours ni du sien propre.

Inutile de déballer l’ensemble de vos arguments si votre interlocuteur montre des signes de lassitude, s’il veut en placer une et que votre débit l’empêche de le faire, sauf quand vous prenez une respiration.

Pour parvenir à convaincre l’autre que ce que vous dites est intéressant, il convient aussi de faire attention à ce qu’il dit, ainsi qu’à son langage non verbal.

C’est l’approche centrée sur la personne qui fera de vous un « bon » interlocuteur.

S’entraîner

Pour utiliser l’écoute active, il va falloir vous entraîner, car cette technique est loin d’être naturelle.

Le naturel est d’être concentré sur soi, de faire preuve d’égoïsme dans le discours et de le ramener à soi, de discourir en émettant ses idées et en utilisant son propre vocabulaire et tics de langage.

Il est très difficile au début de l’apprentissage de la méthode, d’écouter sans perdre le fil de la conversation, de répondre aux questions de l’autre et donner une réponse, tout en observant la réaction de son interlocuteur.

C’est comme une partie de ping-pong où vous devez à la fois suivre la balle des yeux pour la renvoyer sur la table sans faire de faute et de regarder son adversaire pour savoir où il se place, comment il tient sa raquette et quel est son prochain geste, de façon à envoyer la balle là où il faut pour gagner le point.

Trois outils pour la mise en pratique

Poser des questions

Un très bon moyen de savoir ce que l’autre pense et le faire parler et de lui poser des questions, tout simplement.

Il s’agit, bien sûr, de questions ouvertes, c’est-à-dire des questions qui nécessitent une réponse avec plusieurs phrases ou plusieurs mots. Il faut que l’autre puisse exprimer avec son propre vocabulaire suffisamment longtemps pour pouvoir l’observer et réagir.

Reformuler

Reformuler, c’est tout simplement répété ce que l’autre vient de dire, de préférence sous une autre forme, soit avec son propre vocabulaire soit en le mélangeant avec le sien. La langue française à ce gros avantage d’avoir à sa disposition un nombre important de synonymes.

En même temps reformuler permet de réfléchir la réponse que l’on va donner.

Résumé ou faire une synthèse

Reprendre les propos de l’autre, en utilisant moins de mots que lui, tout en conservant l’idée qu’il aimait, s’appelle faire une synthèse. C’est un résumé qui reprend l’idée maîtresse sans la dénaturer.

Comme dans la formulation, la synthèse permet de voir comment l’autre réagit, et en cas de désaccord sur un point détail, la réaction de votre interlocuteur permettra de savoir si vous allez dans le même sens que lui, ou si vous avez mal compris ses propos.

Se mettre au diapason

En combinant l’écoute active, la concentration sur l’autre, et la PNL, vous allez vous mettre au diapason, être en phase avec votre interlocuteur, et transmettre plus d’informations et de meilleure qualité au travers de ses filtres naturels et augmenter ainsi la qualité de votre discours et diminuer la déperdition de l’information.

Autre avantage, le choix de ce que vous allez dire, c’est-à-dire le fond de votre pensée correspondra aux attentes votre interlocuteur. Vous ne le lasserez pas avec de longs discours, avec des propos dont il n’a rien à faire. Ce conseil est particulièrement important lorsqu’il s’agit d’un entretien d’embauche.

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Comment bien mener un entretien efficace
Comment faire passer mes idées en 8 étapes
Entretien d’embauche, discours, présentation : Conseils pour Bien parler

PNL visuel, auditif ou kinesthésique
Schéma de la déperdition de l’information
Ces phrases qui tuent le dialogue

Autres Communication et Emploi :

Récapitulatif 12 Communication
Récapitulatif 12 Emploi

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Quels Points faibles mettre dans une lettre de motivation ?


La question des points faibles dans une lettre de motivation

Certains se demandent quels sont leurs points faibles et leurs points forts, dans l’optique de pouvoir les ressortir en entretien d’embauche.

Une fois un bilan de compétences établi ou une fois que l’on a isolé dans des listes de points faibles et de points forts, ceux qui semblent correspondent à son caractère ou à son savoir-faire, il est utile de pouvoir les utiliser ailleurs que durant une entrevue de recrutement.

C’est pourquoi, les points forts sont à saupoudrer dans son CV ou, au contraire, les écrire dans une liste de points forts.

se faire du mal

Qu’en est-il de la lettre de motivation ?

Dans le cursus scolaire, nous avons appris que, dans une rédaction ou un texte philosophique (c’est la période des examens de fin de scolarité), il faut découper son texte en thèse, antithèse et synthèse, avec une introduction et une conclusion.

Une lettre de motivation ou lettre de candidature a d’autres règles de construction. Plusieurs modèles existent.

C’est ainsi que les personnes en recherche d’emploi vont mélanger ce qu’elles ont appris à l’école et ce qui leur semble le plus approprié dans un courrier de candidature, à savoir donner des points faibles peu pénalisants pour faire ressortir des points forts bien intéressants pour le recruteur et le poste à pourvoir.

Ensuite, elles sont surprises de constater que le taux de retour à leurs courriers reste faible.

Pourquoi se faire du mal ?

Un point faible est un trait de caractère qui est incompatible, plus ou moins, avec les qualités nécessaires ou indispensables, à la tenue du poste de travail que l’on convoite. Il y a donc toutes les raisons du monde pour éviter de les inclure dans une lettre de motivation.

Que ce soit sur le CV ou dans la lettre, le lecteur doit y trouver uniquement des éléments positifs et qui « collent » avec ce qu’il cherche ou qui l’interpellent.

Donc, dans la partie Expériences professionnelles ou dans les Loisirs du CV, Laissez uniquement les informations avec lesquelles vous vous sentez à l’aise.

Sinon, on risque d’être amené à inventer ou à mentir et ça, le recruteur s’en rend compte tout de suite.

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Point faible, Axe de progrès, Faiblesse, Entretien d’embauche
Cerveau droit ou cerveau gauche : trouver vos points faibles et vos points forts
Liste d’exemples de points forts et de points faibles

CV Les embuches du parcours professionnel
Entretien de recrutement : Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise
Faut-il avoir peur des tests de personnalité informatisés ?

Autres Emploi :

Récapitulatif 11 Emploi

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Approche Bottom-up


Approche Bottom-up

microscope de seibert

du petit vers le grand

L’approche bottom-up est une démarche fondamentale dans le traitement des tâches. La direction du bas vers le haut se réfère à la voie de bas en haut, c’est-à-dire du détail vers le général.

Un exemple typique d’une approche bottom-up est l’initiative populaire, à l’initiative d’individus au départ isolés puis en groupe, qui remonte vers le haut pour être prise en compte.

L’approche contraire est le «Top-down».

L’orientation de l’objectif dans une approche bottom-up est problématique. Il est impossible de satisfaire tout le monde, sauf accord à l’unanimité.
Dans l’analyse d’un problème, cette approche implique de faire la synthèse de tous les détails pour une compréhension globale.

L’avertissement prône un « contre-courant des procédures » en tant que combinaison de bottom-up et top-down.

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Les paramètres de la maturité des systèmes d’information
Évolution de l’informatique dans l’entreprise
Méthode d’Analyse de problème

Questions clés à propos des quatre méthodes d’Analyse
Pratiquez-vous le management participatif ?
Que doit contenir un rapport d’activité ?

Autres Informatique :

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Les 10 qualités d’un coach


Les 10 qualités d’un coach

coach entraineurQue l’on voit le coaching comme une mode, comme un succédanée à un psy, ou comme une aide réelle dans sa vie professionnelle ou personnelle, un coach doit posséder un certain nombre de qualités en plus de ses connaissances et de son savoir-faire.

  1. Le respect de l’autre
  2. La capacité d’écoute ; sympathie, neutralité, écoute active
  3. La capacité à gérer une relation d’aide : résolution de problèmes
  4. La capacité à discerner : saisir rapidement les situations et les synthétiser
  5. Le dynamisme et la capacité à dynamiser
  6. La capacité à faire partager et mettre en œuvre une ambition de progrès
  7. Une bonne culture générale : économique, psychologique, sociologique…
  8. La maîtrise des techniques d’entretien et de communication
  9. La capacité à gérer les situations de stress
  10. Le besoin et le souci de se mettre à niveau en permanence

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En complément :

Entretien Qualités personnelles recherchées ou points forts pour un recrutement
Objectifs et Priorités Modes d’emploi
Les différentes sources du pouvoir

Conditions d’utilisation d’un site Web
Point fort, Atout, Force, Talent, Entretien d’embauche
Psychologie positive, Pensée positive, Parler positif

Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 3 Emploi
Récapitulatif 3 Management

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A quoi sert un tableau de bord d’entreprise


A quoi sert un tableau de bord d’entreprise

exemple de tableau de bordUn tableau de bord d’entreprise sert à représenter, sous une forme simple, généralement sur une page, une situation réelle ou/et estimée.

Sous une forme structurée, un tableau de bord peut indiquer des écarts entre un état envisagé et la réalité.

Ces écarts ont pour objectif d’alerter et donc de permettre de prendre les mesures adéquates pour réviser l’état envisagé initialement.

Un tableau de bord est aussi une synthèse d’informations, essentielles ou intéressantes pour la compréhension de l’état des lieux et les possibilités d’actions ouvertes.

Un tableau de bord est adapté au niveau de la hiérarchie auquel il est destiné.

Le niveau de détail n’est pas le même, malgré qu’il s’agisse d’indicateurs communs, du niveau inférieur vers le niveau au-dessus dans la hiérarchie, au sens organigramme d’entreprise, sachant que chaque niveau a ses propres indicateurs.

Il y a donc un effet de zoom entre les tableaux de bord du haut vers le bas.

Une erreur très commune dans les entreprises, surtout au plus haut niveau, est la confusion entre un tableau de bord et une statistique.

Le tableau de bord est constitué d’indicateurs alors qu’une statistique fournit des listes d’informations plus ou moins longues.

Bien entendu, les indicateurs sont généralement issus des mêmes données que celles des statistiques.

Exemple

Un indicateur de vente peut être rouge si un commercial n’a pas atteint le chiffre d’affaire prévu alors que la statistique de ce commercial va donner la liste des clients, des commandes ou des factures, avec leurs totaux.

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Comment construire un tableau de bord
Quels sont les bons critères pour des indicateurs de tableaux de bord
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Tableau de Bord Questions à se poser pour construire son tableau de bord de pilotage stratégique
Quatrième loi de Murphy
Indicateurs de sécurité Exemples

Autres Management :

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