5 erreurs courantes en entretien d’embauche et les solutions


5 types d’erreurs courantes en entrevue d’embauche

courrir à un rendez-vousÀ moins d’être un spécialiste, un entretien d’embauche est relativement rare dans une vie professionnelle.

La vertu d’une simulation d’entretien est de se rendre compte des erreurs qui vous pouvez facilement éviter avec un minimum de préparation.

Parmi les erreurs les plus courantes des candidats, en voici 5 :

1 Arriver en retard

Prévoyez l’imprévu, c’est-à-dire

  • le retard des transports en commun,
  • les correspondances manquées,
  • le contrôle imprévu qui dure,
  • les pannes,
  • les travaux sur la route,
  • les accidents,
  • la panne de carburant,
  • le blocage par une manifestation,
  • etc.

Bref ! Le minimum est d’ajouter une heure à la durée prévue de trajet, notamment dans les grandes agglomérations, quitte à attendre, hors de vue de l’immeuble du rendez-vous.

2 Se tromper d’adresse du lieu de l’entretien

Plus souvent que certains le pensent, il est facile de se tromper ou même d’oublier l’adresse du rendez-vous.

Il est peut-être différent du futur lieu de travail, au siège de l’entreprise ou dans un cabinet de recrutement.

3 Vouloir un travail, n’importe lequel

Être dans une situation personnelle difficile, à cause du chômage, est légitime.
Cependant, cela a tellement peu de valeur pour le futur employeur.

Ce qu’il veut, c’est quelqu’un qui soit apte à prendre le poste proposé, en premier.

Un (e) candidat (e) qui parle uniquement de lui (d’elle) sans s’intéresser au poste, à l’entreprise, à l’équipe au sein de laquelle se trouve le poste, a peu de chance de retenir l’attention du recruteur.

4 Être mal habillé (e), fatigué (e)

Votre image est loin de celle de la photo sur votre CV.
Prévoyez d’expliquer votre changement de coiffure, au cas où la question est posée et uniquement dans ce cas-là.

Dormez tout votre saoul, reposez-vous.

Habillez-vous « comme il faut », propre sans excès et avec le code vestimentaire de l’entreprise.

Asseyez-vous au fond du siège durant l’entretien, en vous penchant légèrement vers l’avant, dans une posture de conquête.

Regardez votre interlocuteur sans le fixer intensément, ce qui pourrait le gêner.

Parlez d’une voix sereine, claire et audible.

5 Manquer de confiance en vous

Faire trembler la table ou le siège, en agitant les jambes ou les bras est une très mauvaise attitude.
Restez serein (e). Faites des gestes mesurés qui accompagnent vos propos.

Éliminez tout objet pour vous occuper les mains et qui agacent votre interlocuteur.

Bannissez les tics gestuels ou verbaux.

Cessez de couper la parole et écoutez ce que l’autre vous dit. Prenez le temps de noter, d’enregistrer, de comprendre les informations qu’il (elle) vous donne.

C’est normal que vous soyez stressé (e). L’autre aussi ! Pensez-y !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Manque de repose : Causes, erreurs et risques
Difficultés de transports : Témoignage d’un candidat heureux
Mobilité : Oser déménager pour retrouver du travail

Tempes grises : Soigner son apparence
Devise 047 : ne fais jamais confiance à un homme qui porte un meilleur costume que toi
Recrutement : Les sources de stress du recruteur

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Le Médiateur national de l’énergie : Rôle et moyens


Le médiateur de l’énergie le médiateur de l'énergie

Loi du 7 décembre 2006

Depuis que la fourniture d’électricité et de gaz naturel est devenue un marché concurrentiel, la création du rôle de médiateur de l’énergie indépendant s’est avérée nécessaire.

Plusieurs acteurs privés proposent de l’énergie à des prix de leur choix en fonction de l’offre et de la demande.

Les deux gros fournisseurs historiques français d’électricité et de gaz proposent chacun ce que l’autre avait en exclusivité jusque-là.

La loi a évoluée pour permettre le choix aux consommateurs.
Désormais, chacun peut choisir son fournisseur qui peut être différent du propriétaire ou du locataire précédent.

Rôle et missions du Médiateur de l’énergie

Le Médiateur de l’énergie est nommé pour 6 ans et ne peut être révoqué.

Le rôle principal du Médiateur de l’énergie est de proposer des solutions pour régler les conflits entre les consommateurs et leurs fournisseurs d’énergie, électricité, gaz et toute autre énergie domestique.

Ses missions sont définies par la loi L122 du Code de l’énergie.
Outre sa mission de recommandation de solutions en cas de conflit, il est chargé de l’information des consommateurs sur leurs droits.

Les moyens d’information

Deux moyens principaux sont à la disposition du public et sous la responsabilité du Médiateur de l’énergie :

Le site energie-info.fr, très pratique avec des informations sur les démarches, les droits, les offres dans chaque commune et des simulateurs de l’évolution des prix.

Le numéro vert 0800 112 212 permet d’entrer en contact avec les personnes en charge de répondre aux demandes, questions ou litiges avec les fournisseurs d’énergie.

L’intervention du Médiateur de l’énergie a lieu seulement après une démarche directe du consommateur auprès de son fournisseur, à condition que tous les éléments lui  soient fournis pour traiter le conflit.

La demande d’intervention suspend toutes les procédures en cours, notamment juridiques.

Source : Wikipedia

Philippe Garin

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En complément :

Les conseils d’un avocat gratuits : C’est possible
Directives anticipées : Nom officiel pour les souhaits sur sa fin de vie
Décret 2019-253 : Retrait des jeunes travailleurs en danger

Le Médiateur des entreprises : Qui, Pourquoi, Où ?
Quand une entreprise en difficulté demande de l’aide au Médiateur du Crédit
Le médiateur de Pôle emploi : Qui, Quand, Comment

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Récapitulatif 19 Juridique

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Recrutement : 12 soft skills ou compétences douces les plus demandées


Les soft skills de plus en plus demandées

Dans une lettre de motivation, en entretien et même dans le CV, il est devenu incontournable de citer ses compétences liées aux traits de caractère, et à la façon dont on se comporte à son poste de travail.

S’il est important de s’en préoccuper en période de chômage, il est plus facile de la faire quand on est encore en poste.

12 softs skills par Philippe garin

Voici 12 de ces « compétences douces » appréciées par les employeurs :

1. Sens de l’organisation

Notamment en France, un candidat ayant un sens fort de l’organisation retiendra plus l’attention du recruteur.

Savoir s’organiser dans un pays réputé, à l’étranger, pour être brouillon, malgré les performances économiques de la France, est un atout.

Chaque chose à sa place, une place pour chaque chose

Même si les tables sont encore encombrées en quittant le travail.

2. Motivation

Montrer son envie de travailler pour l’organisation auprès de laquelle, le candidat postule, est valorisant pour l’entreprise, le recruteur et … le candidat.

L’intégration sera d’autant facilitée que le candidat est motivé.
D’où l’importance de la séduction de l’organisation auprès des candidats, ce que l’on appelle aussi l’image de l’organisation.

3. Rigueur

Citée souvent parmi les points faibles du candidat, dans le sens de l’exagération de la rigueur, c’est-à-dire l’exigence.

Comme le contraire est le laxisme, il est facile de comprendre qu’il vaut mieux assurer la qualité de son travail.

Faire vite et bien

est inculqué aux enfants à l’école, bien que la rigueur de perdre dans la laxisme qui laisse passer beaucoup de fautes d’orthographe.

4. Enthousiasme

L’arme la plus forte d’un débutant est son enthousiasme pour le poste, la responsabilité, les tâches à effectuer, le travail en équipe.

L’envie forte de démontrer que l’on a les capacités d’assumer les charges du travail alors que l’on manque d’expérience fait toujours bonne impression sur les recruteurs.

5. Axé sur le résultat

Être axé sur le résultat, c’est agir en fonction du résultat attendu : financier, organisationnel, qualité, recherche d’information, etc.

Les employeurs apprécient les candidats qui pensent comment atteindre les objectifs fixés par l’organisation, notamment les entreprises.

6. Gestion du temps

Gagner du temps, optimiser le temps disponible pour exécuter les tâches qui composent son travail.

Cette qualité implique une organisation du cerveau qui prend en compte le maximum de facteurs, qui a une vision d’ensemble de ce qu’il y a à faire et réalise efficacement son travail.

7. Persévérance

Avoir un objectif et tout faire pour y parvenir.
Il y a des situations où il faut être persévérant, parce que les relations commerciales sont difficiles ou parce que le résultat attendu met longtemps à venir.

La persévérance est une qualité recherchée par les employeurs, particulièrement quand le poste implique des négociations difficiles.

8. Capacité à résoudre les problèmes

Cela paraît tellement évident que les candidats oublient souvent qu’ils sont là aussi, sinon surtout, pour prendre en charge des imprévus.

C’est là que prend l’importance de la capacité à résoudre les problèmes.
La recherche de solution est un gage de réussite dans sa carrière.

9. Confiance

La confiance est à deux sens : La confiance en soi et la confiance dans les autres.

Un candidat qui montre de la confiance en soi est un candidat qui connaît ses limites. Il doit juste trouver comment l’exprimer devant l’employeur, ou le recruteur.

La confiance dans les autres dépend de l’organisation pour laquelle le candidat souhaite travailler. C’est un avantage dans les structures qui dépendent d’informations venant de l’extérieur de l’organisation. Par exemple, dans le domaine médical.

10. Assiduité

Être là, à son poste, pour répondre aux besoins de sa hiérarchie, de ses clients ou de ses fournisseurs ou partenaires.

Montrer que l’on est disponible, présent, ponctuel toujours et à chaque fois qu’un événement exceptionnel arrive, permet au futur patron de dire qu’il peut compter sur son (sa) salarié (e).

11. Sociabilité

Point important pour l’harmonie des collaborateurs entre eux et avec la hiérarchie, être sociable, s’entendre bien avec les autres, permet de raccourcir la durée de l’intégration et de développer une atmosphère de travail propice à l’efficacité et à la productivité.

Un gros point fort pour l’organisation.

12. Curiosité

Rares sont les métiers où la curiosité est absente. Il y a toujours quelque chose à découvrir.

À notre époque d’Internet et du foisonnement d’informations, être curieux permet d’apporter deux avantages à son organisation : rester dans le coup et développer ses activités.

Conclusion

L’ordre de ses quelques soft skills est différent d’une personne à l’autre.

Il est impossible de les mettre toutes dans son CV ou sa lettre de motivation.

Toutefois, ces compétences douces peuvent faire la différence en entretien d’embauche, en entretien d’évaluation, en cas de promotion espérée.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être ?
Le MBTI pour mieux se décrire en quelques mots
Employabilité : Les 8 compétences que les entreprises attendant d’un cadre

Handicap au travail : Vrai ou faux
Recherche d’emploi : Méthodes classiques et nouvelles
Les démarches pour embaucher pour la première fois

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Récapitulatif 19 Emploi
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A qui appartient le chat et qui habite Strasbourg exercice de logique


A qui appartient le chat et qui habite Strasbourg ?

chaton dans la villeAu cours d’un bilan de compétences ou en fin d’études, il arrive que vous soyez soumis à des tests de logique pour déterminer l’orientation professionnelle qui vous convient le mieux.

Parmi ces exercices, en voici un, qui demande moins de réflexion que les trois autres, cités en fin de cet article, sans être trop facile non plus.
Amusez-vous bien !

Cinq soeurs enseignent chacune une langue, habitent une ville différente, ont un animal et une voiture.

  1. Patricia est professeur d’espagnol
  2. La Fiat appartient à Catherine
  3. La propriétaire du chien enseigne l’italien
  4. La troisième habite Marseille
  5. Le garage de la Citroën est à bordeaux
  6. La plus jeune enseigne le russe
  7. Celle qui enseigne l’anglais roule en Renault
  8. La souris et la Peugeot ont la même propriétaire
  9. Hélène est la quatrième
  10. Après Anne, c’est Élisabeth la plus âgée
  11. Par l’âge, Catherine vient juste après la maîtresse du chien
  12. C’est à Clermont que vie Anne
  13. Celle qui enseigne l’italien habite Paris
  14. Le lapin appartient au professeur d’allemand
  15. Le propriétaire de la Honda est plus que jeu celle du poisson

A qui appartient le Chat ? et qui habite Strasbourg ?

Jouez sans tricher ! C’est plus drôle !

Réponse :

tnomrelC à tiv ,nossiop ud eriatéirporp tse ,tluaneR ne eluor ,sialgna‘l engiesne,  eégâ sulp al tse ennA

xuaedroB à evuort es ,nëortiC al tse erutiovas ,dnamella‘d rurddrforp tse ,ennA euq sniom ed nanu a htebasilE

elliesraM à etibah te siruos al ed eriatéirporp al tse ,longapse‘d ruesseforp tse emèisiort al tse aicirtaP

gruobsartS etibah te tahc el edèssop ,taiF al ed eriatéirporp tse ,essur el engiesne ,enuej sulp al tse enirehtaC

siraP à etibah ,neihc ud te adnoH al ed eriatéirporp tse ,neilati‘l engisne ,emèirtauq al tse enèléH

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

L’orgue et l’encens exercice de logique
Le parapluie de Jean exercice de logique
A qui appartient le zèbre et qui boit de l’eau ?

J’ai grossi, bien sûr !
Défaite : Une question de point de vue
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Quand la critique devient harcèlement


Critiquer est-il du harcèlement ?

Le harcèlement

On parle de harcèlement ces temps-ci dans 3 cas :

  • le harcèlement sexuel où certaines femmes se plaignent de gestes ou de propos déplacés d’hommes qui devraient mieux se tenir,
  • le harcèlement moral au travail où les paroles de collègues ou supérieurs hiérarchiques n’ont pas lieu d’être,
  • le harcèlement moral des jeunes sur Internet, qui conduit parfois jusqu’au suicide des victimes.

t'es trop bêteChacun réagit à sa façon, en fonction de son tempérament, de sa confiance en soi ou de la crainte des autres, de son éducation, de sa capacité de répartie, etc.

La critique

En cas de critiques d’une autre personne à son encontre, il y a deux cas de figure :

  • Soit la critique est justifiée,
  • soit elle ne l’est pas.

La critique est justifiée lorsqu’une erreur a été commise.
La critique est injustifiée lorsqu’elle s’attaque à la personne plus qu’à ses actes.

La critique peut être constructive car elle permet de réagir pour s’améliorer, ou par exemple, pour éviter de refaire la même erreur.
Encore faut-il qu’il y ait erreur et non pas mauvaise interprétation et qu’il y ait volonté de la part de l’autre de vous faire réfléchir et avancer.

La critique est destructrice, mauvaise, méchante quand elle ne sert à rien, si ce n’est d’humilier la personne critiquée.

Il y a une critique intermédiaire : la bêtise ou l’ignorance.
En effet, une personne critique une autre, tout simplement parce qu’elle manque d’empathie et qu’elle ne se rend pas compte de l’impact de ses critiques sur la personne critiquée.
Ce sont celles qui font le plus de mal, car elles sont soit trop bêtes pour s’imaginer qu’elles font du mal, soit elles parlent sans savoir de quoi elles parlent.

Quand une personne en critique une autre, elle se place comme juge et comme bourreau.
Elle considère qu’elle a raison et que les autres ont tort.
Elle prend son expérience personnelle comme référence et tout ce qui est différent est source de critique. C’est ce qu’on appelle l’intolérance.

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Son expérience personnelle comme référence

Nous sommes tous confronté, en permanence, à ce phénomène : nous ramenons tout à notre façon de voir les choses.
Il est évident que c’est ce qu’il y a de plus facile :

« JE considère que j’ai raison, donc TOUS les autres ont tort ».

L’intolérance, le racisme, le rejet de l’autre, de tout ce que l’on ne comprend pas sont des versions poussées à l’extrême.
ça existe et, malheureusement, cela existera toujours.

On dit que le plus intelligent gagne. D’autres disent que c’est le plus fort qui gagne.
Les deux sont vrais, mais cela dépend beaucoup si vous faites partie des gagnants ou non.

Action => Réaction

A chaque action, il y a une réaction.

Les pleurs

Cette réaction émotionnelle a laissé de marbre la personne qui vous critique, tout simplement, parce qu’elle manque totalement d’empathie.

Si elle en avait, elle ne vous critiquerait pas ou userait de critique positive.

La violence

Qu’elle soit verbale ou physique, la réaction, immédiate et violente a des conséquences négatives évidemment.

C’est une réaction des plus émotionnelles également. Mieux vaut un bon contrôle de soi !

Critique et harcèlement

La critique devient harcèlement quand il y a répétition.

A force d’entendre toujours les mêmes critiques, surtout sur son incapacité à comprendre ou à faire, on finit lentement par y croire.

Là est le danger.

Quand on est critiqué, surtout en public, des heures et des jours durant, on peut, au début laisser dire, ne serait-ce que pour éviter de s’attirer encore plus de critiques et d’ennuis.

Au travail, cela peut conduire à un arrêt de travail, une démission ou un acte irréversible.
Dans la vie personnelle, il est difficile de faire taire les critiques. Certains s’imagine n’avoir plus qu’une solution, dramatique.

Quand il y a incompatibilité sur le plan valeurs personnelles, mieux vaut se séparer.
Un nouvel emploi qui permet de mettre en oeuvre vos qualités, celles qui étaient fortement critiquées, ou déménager, changer pour une nouvelle école ou encore un nouveau partenaire dans sa vie avec qui vous vous trouver sur la même longueur d’onde.

Même quand on sait comment les choses se passent, il est difficile de résister.
Les femmes et hommes politiques en savent quelque chose.

Et comment faire cesser les critiques

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Les rôles dans la communication ou sachez pourquoi vous communiquez mal
Management participatif : Les critiques
Parlez-moi de vos erreurs

Emigrer ou Immingrer : Quand on change de pays pour y vivre
Chômage : Les idées reçues ont la vie dure – Sondage
Penser positif génère des résultats positifs

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Récapitulatif 17 Communication

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Proposition, Mémoire, Solution : Comment les présenter ?


Savoir présenter une proposition

Dans sa vie professionnelle, nous sommes amené à devoir présenter une solution, une proposition, un mémoire.
Cela arrive durant les études devant un jury, dans son entreprise devant son chef ou le Comité de direction, devant une assemblée lors d’un colloque, etc. Les circonstances sont multiples.

Devant la page blanche, ou devant son écran, les idées sont absentes ou se bousculent. Pourtant, il faut les mettre dans un certain ordre pour parvenir à se faire comprendre et à convaincre pour obtenir un diplôme, un budget, l’adhésion à la mise en oeuvre de sa proposition.

proposition de loi 2223

Un plan simple

Rien ne vaut la simplicité dans le plan du document que l’on va remettre :

    1. Constat, description de l’existant
    2. Expression de la problématique
    3. Proposition de solutions et perspectives

1. Le constat

Reprise des éléments vécus, constatés, lus et les témoignages recueillis. Ce sont des faits sans prise de position, uniquement un rappel de ce qui est.

On peut y mettre aussi les références à des études effectuées par d’autres, pour autant qu’il s’agisse de constat. Il faut que le constat soit le plus neutre possible et que tout soit incontestable et illustré par des faits vérifiables.

C’est la partie la plus compliquée car on a tendance naturellement à empiéter sur les deux autres parties du plan. Si cela arrive, il suffit de faire le tri et de déplacer, vers l’une ou l’autre des deux autres parties, les phrases lors de la relecture finale ou durant la rédaction.

2. L’expression de la problématique

Une problématique s’exprime par la phrase suivante :

« Comment faire pour …. alors que …. ? »

Par exemple,
 » Comment faire pour bien accueillir un nouvel arrivant et pour qu’il réussisse son intégration alors que la procédure d’accueil se limite à un tour des locaux par le chef direct et par quelques documents à remplir fournis par le service RH comme l’adhésion à une mutuelle (en France du moins) et à la remise de la liste des téléphones internes, et alors qu‘aucune procédure d’intégration n’existe dans l’organisation ?  »

Ensuite, il faut détailler, c’est-à-dire donner son point de vue, agrémenté de citations et d’arguments en faveur de sa vision.

3. Les propositions de solutions et perspectives

Là, la question à laquelle il faut répondre est :

« Si j’avais tout pouvoir de décision ou de proposition au sein de l’organisation, je ferais quoi ? »

Il s’agit de lister les mesures à prendre, les actions à mener, les moyens financiers et humains et le calendrier de ces actions.

C’est alors une question d’imagination, de cogitations, de réflexions et de cohérence.

La partie « perspectives » est une sorte de lettre d’intention puisque, aujourd’hui, tout est encore théorique et la décision est encore à prendre.
Par contre, il est possible de montrer le degré d’acceptation des propositions auprès d’un échantillon de la population concernée par la proposition, la solution, les résultats du mémoire.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Organisation : Attention, prêt, partez !
Guide méthodologique de mon organisation du travail personnelle
Que doit contenir un rapport d’activité ?

Pourquoi les propositions, recommandations, nouvelles idées sont-elles souvent refusées ?
Stratégie de présentation en six points
Fiche pour le suivi de l’action

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Résolvez vos problèmes durant votre sommeil


La nuit porte conseil

la nuit porte conseil même durant halloweennUne bonne nuit de sommeil est indispensable pour remettre ses idées en place.

C’est le moment où le cerveau se met à classer toutes les informations recueillies durant la période d’éveil : Images, sons, odeurs, goûts, sensations, sentiments, agilité intellectuelle.
Ce super-ordinateur, que la nature nous a donné, compile des milliers d’informations, les trie et les classe.

Dans leur plus grande majorité, ces informations passeront dans la catégorie « à oublier », afin de garder dans le conscient uniquement les informations dont nous avons vraiment besoin.

C’est valable aussi pour les problèmes qui se posent à nous durant la journée. Petits ou grands, ils sont là. La solution est généralement instantanée.
Par exemple, j’ai soif, que dois-je faire ? Réponse : boire. C’est plus ou moins facile selon l’endroit où nous nous trouvons.

Parfois la solution à un problème nécessite une intense réflexion et des recherches d’informations complémentaires.
Par exemple : Comment être plus performant en entretien d’embauche ? Réponse : faire appel à Philippe Garin, sinon … ?

La solution vient toute seule ?

Oui et non. Dans de nombreux cas, le cerveau, durant sa phase de tri et de classement des informations, va retrouver d’anciennes informations qu’il pensait avoir oubliées. Elles sont là parmi les centaines de milliers d’informations stockées dans nos neurones.

L’association d’informations stockées auparavant avec les nouvelles informations va produire des associations d’idées, un rapprochement entre le problème à résoudre et la solution à trouver.

De fait, au réveil, la solution paraît s’être trouvée toute seule, après une bonne nuit de sommeil. Ce qui était inconsciemment présent dans son cerveau est passé du côté conscient.

L’effacement de la mémoire d’informations secondaires a libéré de la place, comme dans une mémoire d’ordinateur, pour effectuer la recherche de la solution.

Ce phénomène est antédiluvien, puisqu’il existe depuis que la vie existe sur la Terre.

Quel bel outil que le cerveau !

Quand la solution est absente au réveil, c’est qu’elle nécessite encore plus de réflexions, seul ou en groupe, et d’informations à découvrir

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Productivité : Douchez-vous quand vous voulez réfléchir


Douchez-vous pour réfléchir au calme

pommeau de doucheL’effet physique

Une « bonne douche » nettoie, en premier lieu.

Être propre permet d’éliminer le facteur olfactif qui pourrait perturber la réflexion.

L’effet de la douche stimule la peau. Mettre sa tête sous le pommeau de la douche, c’est placer son cerveau au plus près des jets d’eau qui massent ainsi la peau du crâne. Le sang est activé et stimule les neurones.

En dehors de l’effet physique d’une eau ni trop chaude, ni trop froide, se trouver sous la douche implique de se consacrer à cette tâche d’une manière exclusive. Impossible de faire quoi que ce soit d’autre de physique.

L’effet intellectuel

C’est parfait lorsqu’il faut se mettre à réfléchir, quel que soit l’objet de sa réflexion, puisque c’est la chose que l’on puisse faire.
Le summum de la concentration.

Bien sûr la douche sert aussi à se relaxer. Là, le bain est plus efficace.

Chercher des idées, trouver des solutions, envisager un scénario, imaginer le futur.
Tout le temps passé sous la douche à faire abstraction de l’activité physique est alors consacré à réfléchir.

Bien entendu, on peut réfléchir en dehors de la douche.
Par contre, à cet endroit, les perturbations sont taboues : personne ne vient vous déranger, le téléphone sonne sans que vous décrochiez, vous êtes libre… et propre.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Les bases de la productivité 3/4 : L’hygiène de vie

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Le brainstorming ou remue méninges, une méthode pour trouver des idées en groupe
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Compétences numériques : Résolution de problèmes


Compétences : Résolution de problèmes informatiques

résolution de problèmeHé oui ! Dans un monde parfait, les problèmes liés aux matériels informatiques et à l’usage des applications seraient inexistants.

Seulement voilà, la réalité est autre et les problèmes existent.

Bien sûr, faire appel à des spécialistes est toujours possible, moyennant rémunération.
Toutefois, comme le bricolage par rapport aux professionnels du bâtiment, être capable de résoudre soi-même des problèmes permet de faire gagner du temps, et de l’argent.

C’est d’ailleurs une des compétences numériques demandées dans le CV européen.

Voici une grille pour découvrir comment vous vous en sortez.

Utilisateur élémentaire

  • Je peux trouver soutien et assistance lorsqu’un problème technique se produit ou lorsque j’utilise un nouvel appareil, un nouveau programme ou une nouvelle application.
  • Je sais comment résoudre les problèmes de routine (par ex. fermer un programme, redémarrer un ordinateur, réinstaller ou mettre à jour un programme, vérifier une connexion Internet).
  • Je sais que les outils numériques peuvent m’aider à résoudre certains problèmes.
  • Je suis également conscient de leurs limites.
  • Lorsque je suis confronté à un problème technologique ou non technologique, j’utilise les outils numériques que je connais pour le résoudre.
  • Je sais que je dois actualiser mes compétences numériques régulièrement.

Utilisateur indépendant

  • Je peux résoudre la plupart des problèmes les plus fréquents liés à l’utilisation des technologies numériques.
  • Je peux utiliser les technologies numériques pour résoudre des problèmes non techniques.
  • Je peux choisir un outil numérique adapté à mes besoins et évaluer son efficacité.
  • Je peux résoudre des problèmes technologiques que je rencontre en explorant les paramètres et les options des programmes et des outils.
  • J’actualise régulièrement mes compétences numériques.
  • Je suis conscient de mes limites et cherche à combler mes lacunes.

Utilisateur expérimenté

  • Je peux résoudre presque tous les problèmes auxquels je suis confronté lorsque j’utilise les technologies numériques.
  • Je peux choisir l’outil, l’appareil, l’application, le logiciel ou le service le mieux adapté pour résoudre un problème non technique.
  • Je m’informe sur les progrès technologiques.
  • Je comprends comment les nouveaux outils fonctionnent.
  • J’actualise fréquemment mes compétences numériques.

Source : Europass

Les niveaux de compétences des 5 domaines du numérique :

  1. Traitement de l’information
  2. Création de contenu
  3. Communication
  4. Résolution de problème
  5. Sécurité

Pour vous aider à autoévaluer votre propre niveau, cliquer sur les liens pour accéder aux grilles

Philippe Garin

Pour un accompagnement personnalisé, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Redémarrer après une panne : 74% des entreprises sont mal préparées
Le MTBF ou temps moyen entre 2 pannes
Méthodes et outils de résolution de problèmes

Les étapes et les principes de la Méthode d’Analyse de problème
Parefeu : Analyser l’activité du parefeu
Mail bloqué : Explications

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Conseils pour bien s’intégrer dans une nouvelle entreprise


Conseils pour réussir son intégration

serviette de travailLes débuts dans une entreprise, comme n’importe quels débuts, sont délicats. La première impression que vous ferez aura un impact sur la réussite de votre intégration.

Vous avez choisi pour vos compétences professionnelles et pour le potentiel que vous portez au profit de l’entreprise. L’entreprise mise sur vous. À moins d’avoir triché sur ses compétences, il faut maintenant les mettre en oeuvre.

Au-delà des compétences et des connaissances, l’intégration passe par les relations avec les autres :

  1. Une tête bien pleine avec un relationnel à vomir aura pour conséquence quasi-certaine d’une interruption prématurée de la période d’essai.
  2. Un excellent relationnel vous permettra de jouer sur l’indulgence des autres sur les erreurs de « débutant » que vous pourriez faire durant la période d’essai.

La découverte

Le premier jour et les suivants sont ceux de la découverte. Rapidement s’installent quelques automatismes : les rituels internes à l’entreprise.

Du nombre de bises pour saluer les femmes, aux moments de pause devant la machine à café en passant par le choix de la place dans le restaurant ou celle du parking. Beaucoup de rituels, d’habitudes existent. Il faut donc les découvrir au plus vite.

Les écueils et les solutions

Se présenter en quelques mots ou passer de longs moments à raconter sa vie est un choix personnel. Certaines des questions que les collègues vont poser méritent réflexion et il est compréhensible que vous gardiez les réponses pour vous. Un sourire et botter en touche sont une bonne réponse.

À l’inverse, s’il est souhaitable de poser des questions, mieux vaut éviter de rappeler sans arrêt que vos anciennes habitudes ou méthodes de travail sont meilleures que celles que l’on vous demande de pratiquer dans ce poste.

Retenez-vous de faire étalage de votre science et de donner le sentiment aux autres qu’ils sont moins compétents que vous. Attendez d’avoir positivement terminé votre période d’essai pour cela.

Si vous êtes nouveau sur le marché du travail

Sachez que ce que vous avez appris à l’école, quel que soit le niveau de votre formation, se heurte à la réalité du terrain.

Laissez-vous guider par vos collègues et faites la part des choses entre ce que l’on vous a appris à l’école et ce que vos collègues disent de faire ou d’éviter de faire. Prenez du recul avant d’accepter ou de refuser, votre avenir professionnel va en dépendre.

Si vous êtes expérimenté

Adaptez votre comportement à celui que l’on attend de vous. Votre expérience va jouer, sous réserve qu’elle soit sollicitée à bon escient. Il est rare que toutes vos manières de faire et toutes vos connaissances soient demandées dans ce nouveau poste. C’est à l’entreprise de vous indiquer celles dont elle a besoin. Adaptez-vous rapidement pour réussir.

Dans tous les cas

L’originalité, vestimentaire ou comportementale, est source d’intérêt ou de recul de la part de vos nouveaux collègues. Il est sans doute plus facile d’apprendre comment se comporter que de changer sa garde-robe ou son apparence. Pensez à entrer dans le moule, là encore, vous pourrez revenir à vos envies après la conclusion favorable de la période d’essai.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Open space : Des solutions humaines


Des solutions contre les nuisances dues aux personnes

open space : trop pleinPlus le nombre de personnes qui travaillent dans un open space est important, plus ils sont entassés sur quelques mètres carrés, et plus ils sont soumis au stress de la présence des autres.
L’activité de chacun a un impact sur son propre travail.

Sommaire :

Les bruits

Tout ce qui est générateur de bruit est facteur de perturbation.

Cela commence par les bruits parasites : le crayon qui sert de baguette de tambour, les ongles sur le clavier, les bijoux qui se cognent entre eux ou contre la table, le fredonnement de la dernière chanson à la mode, etc.
Autant de bruits que l’on peut facilement éliminer.

La voix

La voix est un instrument indispensable pour son travail, à condition qu’elle soit faible pour ne pas déranger les autres tout en restant audible lors des échanges de vive-voix ou au téléphone.
De même, les échanges doivent être professionnels, courts si possible. Les bavards se verront regardés d’un mauvais œil par les autres ou subiront les conséquences négatives dans leurs rapports aux autres.

Lors d’une conversation téléphonique, la voix monte avec l’énervement face à un interlocuteur qui ne comprend pas les explications qu’on lui donne, qui lui-même hausse le ton, qui est de mauvaise foi, etc. Cela se fait involontairement.

Dans de tels cas, mieux vaut basculer sur un téléphone portable, si ce n’est pas déjà fait, et s’éloigner de l’open-space pour se rendre, par exemple, dans un bureau ou une salle de réunion vide.

Pour se concentrer

Lorsque le travail nécessite une forte concentration, il est préférable de signifier aux autres ce besoin.
Un petit écriteau mentionnant ce besoin, sur le coin du bureau, un casque anti-bruit sur les oreilles permettent de prévenir les autres de ne pas vous déranger, à condition de ne pas en abuser au risque de laisser penser que vous souhaitez un isolement total et permanent.

L’utilisation des plages horaires où les autres sont absents, moments de pause ou de réunion, pour effectuer le travail demandant le plus de concentration est aussi un moyen d’améliorer son efficacité au travail.

Soi et les autres

Si l’aménagement de l’open space peut minimiser les bruits et la vue des autres, il est parfois indispensable de se créer sa propre espace personnel.
L’open space est partagé, son poste de travail est SON espace à soi.

La spontanéité et la présence des autres provoquent l’envie de partager des informations sans s’éloigner de son poste de travail.
Que ce soit des échanges de propos professionnels ou plus personnels, le mieux est de les éviter dans l’open space.

Partagez vos trucs et astuces pour vous sentir bien en open space et pour y travailler efficacement, contactez-moi.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Open space : Des solutions matérielles


Des solutions contre les nuisances dues à l’aménagement

Open space des années 2010

Open space des années 2010

L’éclairage et les matériaux

Dans l’idéal, un open space dispose d’un éclairage naturel, avec des puits de lumière au-dessus des bureaux individuels.

Or, l’un des avantages d’un open space est la capacité de l’employeur de pouvoir bouger les meubles, par exemple, pour inclure un nouveau collaborateur dans cet espace.

Sommaire :

Les puits de lumière ne changent pas de place, les collaborateurs si. Dans ce cas, pour chaque bureau, une lampe permet d’éclairer le plateau du bureau de telle façon que le collaborateur puisse travailler sans avoir d’ombre générée par sa lampe.

Il existe plusieurs matériaux qui permettent de diminuer le bruit, que ce soit pour le sol ou le plafond.

La disposition des meubles

L’emplacement des armoires de rangement permet un cloisonnement entre les bureaux, de même que des panneaux séparateurs. Les choisir de préférence, suffisamment haut pour créer l’illusion d’avoir un pseudo bureau individuel et surtout d’empêcher les collaborateurs de se voir ou même de s’entendre. Ce dernier point est l’une des causes de stress et donc de mauvais rendement et de mauvaise qualité du travail.

Quand la surface le permet et quand l’organisation du travail le permet, il est préférable que les bureaux soient disposés de telle façon que les collaborateurs ne soient pas face-à-face, lorsqu’ils sont assis à leur place. La nature est telle que nous avons toujours l’œil attiré par le mouvement autant que par le son, si minimes soient-ils.

De même, il est préférable d’organiser les chemins de passage entre les bureaux, pour éviter que le trajet de la porte au poste de travail ressemble à un déplacement dans un labyrinthe, à une course d’obstacles, parsemé de dérangements des autres collaborateurs à chaque pas.

L’espace individuel

Pour plus de confidentialité, le travail en commun et les échanges entre collègues se font à l’extérieur de l’open space dans une salle de réunion proche et séparée.

Installer des plantes entre deux bureaux permet de délimiter un espace personnel, de cacher l’autre et d’agrémenter la décoration de l’open space par des éléments de décor apaisants.

Plus l’espace individuel au milieu de l’open space est réduit et plus le collaborateur se sentira mieux et sera efficace dans son travail.

Autre point à mi-chemin entre des solutions physiques et des solutions liées aux personnes, les sonneries des téléphones et de tous autres équipements sonores, comme une cafetière ou un copieur, l’alarme des agendas ou de l’arrivée d’un mail, soient choisies comme produisant un son faible, voire aucun son, sauf le téléphone bien évidemment, qu’il est néanmoins préférable de mettre sur vibreur.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Open space : Nuisances et solutions


Open space : Nuisances et solutions

open space années 30

open space années 30

L’open space est ce vaste espace où plusieurs personnes vont travailler, chacune à son poste de travail, à des tâches qui sont généralement individuelles.

Cet aménagement de l’espace de ce grand bureau permet à l’entreprise d’économiser de la surface louée ou achetée, et d’avoir un nombre d’employés au m2 plus important que s’ils étaient dans des bureaux séparés.

Sommaire :

Les nuisances

Si l’open space représente un avantage pour l’entreprise, y travailler implique 2 types de nuisances :

  1. Les nuisances liées à l’aménagement physique de l’open space
  2. Les nuisances liées à celles et ceux qui y travaillent

Dans un bureau individuel, on y trouve :

  • La table,
  • Le siège du collaborateur, voire plus s’il est amené à recevoir des visiteurs internes ou externes à l’entreprise,
  • L’équipement de bureau,
  • Des rangements pour les flux physiques d’informations

Dans un open space, on y trouve les mêmes objets, à ceci près que l’équipement de bureau peut-être partagé entre plusieurs personnes et que les rangements le sont aussi.

La taille de l’open space importe peu sur le comportement des employés. Il suffit qu’un seul ne respecte pas les règles de savoir-vivre en open space pour que la vie des autres soit perturbée pendant les heures communes de présence.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Productivité : Paresseux et productif


Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile

je suis trop paresseux pour te quitter

La nécessité et l’envie

La nécessité et l’envie, sont deux moteurs importants de la créativité. Les paresseux (envie) et les handicapés (nécessité) sont des personnes suffisamment ingénieuses et créatives pour inventer des méthodes et des moyens qui leur facilite la vie.

Sommaire :

  1. Principe de Pareto ou principe des 80-20
  2. Si être productif signifie être égoïste, alors soyez égoïste
  3. Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie
  4. Démarrez seulement lorsque vous êtes vraiment prêt
  5. Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile
  6. Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement
  7. Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire
  8. Finissez rapidement, souvent, sans rechercher la perfection

Le puits, l’irrigation, le tout-à-l’égout, sont autant d’inventions créées pour se faciliter la vie que pour des raisons de théories.

À chaque fois, qu’un problème apparaît, quelqu’un trouve une solution. Et lorsque plusieurs solutions sont envisagées, celle qui est retenu est celle qui demande le moins d’effort.

Les aliments prédécoupés, prédécoupés et précuits ont pris le pas sur la préparation interminable des repas de nos ancêtres.

Alors attendre ?

Attendre sans rien faire peut paraître un moment comme la solution la plus facile, seulement cela ne produit aucun résultat. L’agriculture a été inventée car la chasse et la cueillette donnaient des résultats insuffisants. Le chemin le plus facile a été de se sédentariser et de cultiver plutôt que de dépendre uniquement de la nature.

La productivité en entreprise suit cet état d’esprit préhistorique. Les entreprises innovantes vont créer des produits et des services qui faciliteront la vie des individus et des autres sociétés.

Certes, ce qui facilite la vie de certains peut s’avérer une contrainte pour d’autres. Si les ordinateurs servent à tout le monde, ils facilitent le travail des inspecteurs des impôts tout autant que les employés de la sécurité sociale ou des allocations familiales pour le meilleur service à ses employés et aux personnes qui bénéficient de leurs services.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Nouvel emploi : une réprimande met-elle l’intégration en danger ?


Nouvel emploi, première réprimande

réprimandé(e)Vous démarrez un nouveau job, peut-être est-ce même le premier emploi. Vous vous faites réprimander et vous craignez pour votre intégration dans l’entreprise.

Se faire envoyer sur les roses, fait partie de tous les jobs. C’est une constante quel que soit son niveau dans la hiérarchie.

Des solutions

En général, c’est parce que son supérieur hiérarchique veut des solutions pas des problèmes.

Il considère que vous êtes apte à résoudre les problèmes que vous rencontrez.

Trois attitudes possibles

  1. Exposer un problème en espérant un coup de main, c’est s’exposer presque toujours à un refus et souvent à une remarque désobligeante. Quel est le manager qui accepte de faire le travail d’un de ses subordonnés ?
  2. Exposer un problème en proposant des solutions, de façon à ce que son chef puisse choisir en fonction des avantages et des inconvénients des solutions, est bien vu par le chef, car ça, c’est son rôle.
  3. Faire un compte rendu d’activité, en présentant la solution que vous avez choisie, est considéré différemment selon les managers.
    • Il y a ceux qui veulent tout savoir, parce qu’il a besoin de ces informations pour faire son propre compte-rendu d’activités de son équipe à sa hiérarchie.
    • Et il y a ceux qui s’en fiche du moment que tout marche bien, tant que les objectifs sont atteints.

Les premiers privilégient les rencontres formelles, les réunions d’équipe, hebdomadaires, par exemple, donc peu de comptes-rendus informels, sauf devant la machine à café.

S’intégrer

S’intégrer dans un nouveau poste consiste aussi à comprendre le mode de fonctionnement de son chef en matière de compte-rendu et de traitement des problèmes/solutions.

Plus vite, vous aurez compris et plus rapidement vous saurez quelle attitude choisir. La première réprimande est à accepter facilement, dans la mesure où elle est mise sur le compte de cet « apprentissage » par tous les responsables hiérarchiques. Le truc est d’en tirer les conséquences et de ne pas renouveler l’erreur.

Pour soi

Faire un compte-rendu pour soi, à défaut de le faire à son chef, quand il n’en veut pas, permet néanmoins de se fixer les idées et d’avoir de quoi discuter lors d’un entretien annuel individuel et pendant une réunion de demande d’augmentation en retraçant tout le travail effectué et les résultats obtenus.

Là encore, il y a les chefs qui tiennent compte uniquement des résultats et d’autres qui tiennent compte aussi des efforts et du travail faits pour juger les collaborateurs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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