4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai


4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai

Période tous les dangers, la période d’essai peut capoter, si vous vous y prenez mal.

Il existe de nombreux pièges où les croyances que vous avez peuvent vous desservir durant cette période que vous souhaitez réussir, c’est-à-dire aller jusque sa fin et confirmer votre embauche.

période d'essaiLa ponctualité

C’est tout bête. Soyez à l’heure, tant pour arriver sur votre lieu de travail qu’au moment des pauses ou à la fin de votre journée.

Bien sûr, il est tentant de montrer son zèle en adoptant les horaires des collègues voir celles de votre chef. Seulement, la fatigue durant la période d’essai est plus grande que la fatigue quand on a attrapé la routine.

Soyez souple aussi. Si un coup de collier est nécessaire pour une action commune, prenez alors vos responsabilités.
Si le dépassement d’horaires est la règle, à vous de voir si vous l’acceptez ou si votre intérêt est d’interrompre la période d’essai.

Prendre le rythme

Les automatismes viennent avec le temps.

prendre le rythme

prendre le rythme

Vous découvrez de nouvelles façons de faire, des logiciels, un environnement de travail. Tout cela contribue à vous prendre du temps avant d’être aussi opérationnel (le) que les collègues.

Discutez avec les autres, posez-leur des questions, demandez leur aide.
Se faire aider pour acquérir plus vite les connaissances indispensables pour devenir plus efficace.

Restez, cependant, mesuré (e), car vous risquez de ralentir le travail des autres et de trop les déranger. Profitez des moments de leurs pauses où ils sont plus au calme pour vous répondre ; si vous pouvez attendre.

Faites-vous bien voir

Le partage d’opinion et l’expression de son point de vue impliquent de connaître la situation dont il est question.

Laissez les autres lancer la conversation et participez-y en posant des questions, plutôt en donnant votre opinion, surtout si elle est en contradiction avec ce que vous entendez.

Mieux vaut faire profil bas, du moins, durant la période d’essai et ainsi éviter des conflits inutiles.

conversation entre collègues

Attendez avant les remises en question

Il est probable que vous ferez la comparaison entre votre précédent travail et le nouveau.

Si prendre l’initiative de proposer des changements est souvent bien vu de la hiérarchie, le contraire l’est tout autant. L’opposition existe déjà, elle est encore plus forte quand c’est le (la) dernier (ère) arrivé (e) qui en est le point de départ.

La remise en cause doit se faire à bon escient, avec un degré d’acceptation élevé. A vous de trouver les arguments qui touchent ou attendez la fin de votre période d’essai pour le faire.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Les 100 jours de la période d’essai réelle
Période d’essai : Les débuts comme chef de service
Malade pendant la période d’essai : Conséquence

Management : L’entretien d’intégration
Comment présenter un avantage ou un inconvénient
Premier emploi : Adaptation impérative

CLIQUEZ ICI POUR VISITER NOS ANNUAIRES DE L’EMPLOI

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Facilitez-vous la vie avec vos Mots de passe


4 stratégies de Mot de passe faciles à retenir

clé mot de passeTout informaticien est confronté à des utilisateurs qui n’utilisent pas des mots de passe assez fort.
Ces utilisateurs mettent en danger leurs données, mais aussi celles des gens avec qui ils collaborent.
Voici un article qui peut rendre moins fastidieux l’élaboration de mots de passe et donc peut servir dans le cadre de formations.

Pour beaucoup d’utilisateurs se rappeler d’un mot de passe est difficile, d’autant que nous devons nous rappeler du code de carte de crédit, mot de passe professionnel etc.

Il existe malgré tout les moyens mnémotechniques pour faciliter la création et la mémorisation de mots de passe complexes (plus de 10 caractères).

Quelques règles pour un bon mot de passe

  • pas moins de 10 caractères, les logiciels de piratage peuvent de plus en plus rapidement déterminer un mot de passe trop court
  • ne pas utiliser de mots connus dans le mot de passe
  • une recommandation très connue : utilisez les 4 types de caractères (minuscules, majuscules, chiffres et caractères spéciaux). Cela dit, attention certains systèmes informatiques n’autorisent pas un ou plusieurs types.

Des stratégies mnémotechniques

Comme un mot de passe peut être long, il faut utiliser des stratégies mnémotechniques (sans trop compromettre la sécurité):

  • grouper les caractères selon des formes
  • grouper les caractères selon des significations autres que le caractère lui-même
  • produire un rythme personnel dans le mot de passe
  • utiliser des abréviations vous évoquant une signification personnelle

Voyons pour chaque point :

Grouper les caractères selon des formes

Cela consiste simplement à regrouper majuscules, minuscules, chiffres et caractères spéciaux, en voici des exemples :

  • DHUR6793kijo(#= ! (complexe à retenir car dans les 4 groupements, les caractères sont choisis au hasard)
  • GUgu68-_GU (plus facile à retenir : il y a une liaison logique entre chacun des groupes de deux caractères)

Grouper les caractères selon des significations

autres que le caractère lui même, par exemple le caractère va servir de support à un dessin :

  • @O0.formGALA ( on doit penser en lisant ce mot de passe, « Formation d’une galaxie », mnémotechniquement les 4 premiers caractères peuvent faire penser à 4 phases de la formation d’une galaxie)
  • SERP°Zz_pres (les 4 caractères du milieu doivent évoquer un serpent, les 4 dernières lettres sont l’anagramme des 4 premières, mais en minuscule)

Produire un rythme personnel dans le mot de passe

Par exemple en définissant un rythme utilisé par tous les mots de passe :

  • 3 majuscules , 3 minuscules, 3 chiffres, 3 caractères spéciaux
  • 2 majuscules , 2 minuscules, 2 chiffres, 6 caractères spéciaux
  • 5 chiffres , 2 minuscules, 3 caractères spéciaux, 2 majuscules

Des abréviations

Utiliser des abréviations vous évoquant une signification personnelle

Votre pensée : «J’ai une voiture bleue, et je l’ai achetée un jour de soleil » sera traduit en mot de passe :
V6B4&a5j3@
où le chiffre représente le nombre de caractère du mot suivant, & pour « et », @ pour « soleil »

Votre pensée : « la pluie, la neige et le froid c’est ce que j’aime à la montagne »
M0N7//**°°<33gna
où le mot « MONTagne » est coupé en deux, « O » est remplacé par zéro, « T » par « 7 », « // » évoque la pluie « ** » la neige « °° » la température « ❤ » remplace « aime » le dernier « 3 » remplace « e »

D’autres astuces

Il y a d’autres astuces à utiliser avec les recettes montrées plus haut.

Utiliser le nom des caractères, par exemple pour le mot :

  • EFAUErette ( « Forêt » : « EF-AU-Er-et-te »)
  • d10i10x («10» et « dix »)
  • V,I,R,g,u,l,3 (« virgule », le « 3 » remplace le « e »)

Autres méthodes

Il existe beaucoup de méthodes pour former des mots de passe forts (on dit aussi robustes) vous pouvez voir d’autres exemples sur cette page du blog alainfaure.net, notamment cet article sur les mots de passe : http://alainfaure.net/2016/04/25/mot-de-passe-simples-a-retenir-mais-efficaces/
Même si ces exemple peuvent paraître complexes, essayez et vous verrez qu’ils sont plus facile à retenir qu’on le pense.

Bon courage 🙂

Cet article vous est recommandé par Philippe Garin

Pour en savoir plus, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Mot de passe : En changer tous les combien ?
Sécurité informatique : Les scénarii de risques
Même mot de passe partout : Une mauvaise idée

Internet : Composer votre guide des bonnes pratiques vous-même
Liste des risques de sécurité informatique
Compétences numériques : Sécurité informatique

Autres Informatique et Sécurité :

Récapitulatif 17 Informatique
Récapitulatif 17 Sécurité

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Manque de dynamisme dans un entretien d’embauche ? Conseils


Par quoi se traduit le manque de dynamisme dans un entretien d’embauche, et ailleurs ?

Sans surprise, une personne introvertie éprouvera plus de difficultés qu’une personne extravertie.
La première est plus sensible à l’opinion des autres sur elle-même que la seconde, plus « narcissique » et qui pensera à parler d’elle plus facilement.

Il est généralement convenu que la communication passe essentiellement par le non verbal.

dynamisme vers le succès

Selon Albert Mehrabian, la communication est composée de :

  • 7% de Verbal : choix des mots et des formulations par des phrases
  • 38% de Vocal : intonations, niveau sonore, rythme de la voix
  • 55% de Visuel : mimiques, postures, gestes, etc.

Source : Wikipedia

Le dynamisme

Le dynamisme est la perception de l’émotion lié à ces trois facteurs qui composent la communication interpersonnelle.

Cela signifie que, pour améliorer l’impression de dynamisme et diminuer celle de nonchalance, vous devez intégrer ces notions dans :

  • le choix de vos mots, principalement en utilisant des verbes d’action et en remplaçant des substantifs par ces verbes. Ex : Rédiger plutôt que Rédaction
  • le remplacement des expressions négatives par des expressions et des mots positifs
  • la modulation de la voix, voix ni trop basse ni trop haute
  • le rythme du parler, pour éviter une voix monocorde et donner plus d’emphase en appuyant sur les mots les plus importants de son discours, en baissant le son en fin de phrase affirmative et en l’élevant en fin de phrase interrogative
  • la posture pour vous tenir droit et légèrement penché en avant, le dos décollé du dossier du siège,
  • le regard pointé sur l’oeil gauche de son interlocuteur comme si vous regardiez à 20 centimètres derrière sa tête
  • le sourire franc à la place de l’absence de sourire ou d’un sourire crispé
  • les gestes des mains, toujours ouverts et amples pour montrer son aisance et la maîtrise de son sujet
  • etc.

C’est toute une éducation qui est nécessaire. Ces exemples sont les plus probants car ils donnent un résultat immédiat dans l’image que l’on donne à l’autre.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Le timbre de la voix
Exercices de diction : Le rayon dans la bouche
Points faibles à citer en entretien de recrutement 1/6 : Mort de trac

Que pense un recruteur en entretien d’embauche ?
Start-up : 10 clés du succès
Cerveau droit ou cerveau gauche : trouver vos points faibles et vos points forts

Autres Communication et Emploi :

Récapitulatif 17 Communication
Récapitulatif 17 Emploi

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez


Travail vs Relaxation

chaise longue pour se détendreUn bon équilibre entre le travail et la détente ; voilà ce qui rend productif.

Relaxer le corps

Le temps du repos permet de reposer son corps.

Bien dormir, c’est dormir suffisamment longtemps pour respecter son propre rythme naturel.

C’est aussi, avoir un sommeil de bonne qualité, qui fait que l’on se réveille en forme.

Une petite sieste de 10 minutes permet de couper le rythme de la journée, juste avant de reprendre ses activités d’après-déjeuner.

Une chaise longue, un chapeau, le soleil qui caresse votre corps sans le brûler = un moment de détente au calme.

Une activité physique pour éliminer les toxines, sans se forcer outre-mesure.

Relaxer l’esprit

La relaxation de l’esprit est également importante.

Les mots-croisés, la lecture d’un roman, assembler un puzzle, faire la cuisine et même les émissions de jeux à la télévision, sont des dérivatifs pour dériver les pensées ailleurs que vers le travail.

Recevoir des amis ou leur rendre visite.
Écouter de la musique relaxante en faisant le vide en soi tout en prenant conscience de sa respiration.

Toutes ces activités sont relaxantes et permet de recharger ses batteries, de retrouver de l’énergie.

Il faut se fixer des limites

Point trop n’en faut non plus. À trop se détendre, on s’approche de la procrastination et du désir de repousser à plus tard les tâches associées au travail.

La modération évite de trop forcer sur les activités physiques.

Inutile de remplacer la concentration au travail par une concentration sur un problème intellectuel de loisir.

Finir une activité de détente avant de se mettre au travail, et terminer une tâche de travail avant de se délasser, permettent dans les deux cas, une meilleure productivité.

Cette règle permet de se concentrer sur ce que l’on fait, ou ne fait pas.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour une meilleure organisation dans votre travail, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Les bases de la productivité 3/4 : L’hygiène de vie

Friday Wear ou Le vendredi relax
Lâcher-prise vs relaxation
Burn out : Les symptômes pour le repérer

Journée de travail : 10 minutes avant de partir
10 conseils pour gérer les premiers jours de manager 1/2
Menu à préparer chaque matin pour un bon jour

Autres Organisation :

Récapitulatif 16 Organisation

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Productivité : Ignorez les « mange temps »


Productivité: Ignorez les gens qui n’en n’ont rien à faire de votre temps

Il paraît queQuand, pendant que vous travaillez, vous êtes dérangé (e), non seulement vous interrompez votre action en cours, mais encore vous devez vous reconcentrer pour reprendre votre travail là où vous vous êtes arrêté.

Les clients, prospects, fournisseurs, partenaires sont des sources de dérangement que l’on peut canaliser, en fixant des plages dans son agenda pour les recevoir, les visiter ou leur téléphoner.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Pour les collègues, lorsque les contacts font partie du travail et des actions en cours, alors le temps employé peut être optimisé par une organisation de son emploi du temps.

Outre la possibilité de mettre une pancarte « Ne pas déranger » sur son bureau ou sur sa porte, mal venue si elle arrive sans avoir préparer son entourage, il est difficile de repousser les dérangements de sa hiérarchie, sauf à faire comprendre à ses chefs, avec diplomatie ou selon le caractère de ses relations interpersonnelles avec eux, qu’ils obtiendront de vous une meilleure productivité s’ils vous laissent tranquille durant les horaires où vous êtes concentré dessus.

Quant aux collègues, qui n’en rien à faire de votre temps, ignorez-les ou demandez-leur de passer plus tard, et ils s’habitueront à votre façon de travailler.

Il y a aussi ceux avec qui vous devez travailler ensemble. Là, il faut faire taire les bavards et ramenez avec insistance conversation et actions sur la tâche à effectuer en commun. Votre ou vos collègues vont bien se mettre à travailler et se faire à l’idée qu’il vaut suivre votre rythme plutôt que le leur. Enfin… espérez-le !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour plus de conseils :

En complément :

Quelques règles pour bien planifier ses actions dans le temps
Découpage du temps de travail
Le bûcheron qui n’a pas le temps

Management : Être informé à temps pour agir (vu par Machiavel)
De combien de temps est-ce que je dispose ?
Le cercle des règles de la gestion du temps

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Productivité : Travaillez tous les jours, sans exception


Productivité : Travaillez tous les jours, sans exception

planning de la semaineLe principe de Jost est qu’il est plus facile d’apprendre en morcelant l’apprentissage et en l’étalant dans le temps.
C’est efficace sous réserve de conserver le rythme d’apprentissage et de répéter les leçons apprises précédemment.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

Pour le travail, ou n’importe quelle habitude, il est plus facile, donc plus efficace de travailler tous les jours.
Bien sûr, durant les congés de fin de semaine ou les périodes de vacances, le rythme de travail est ralenti et le travail même différent.

Arrêter une habitude pour quelques jours ou quelques semaines et l’habitude devient plus difficile à reprendre quand on retourne travailler.

Pour conserver sa productivité, mieux vaut « garder la main », ralentir certes, sans abandonner son activité. En faire, un peu, chaque jour, permet de conserver l’habitude de travailler.

C’est un point que certaines personnes malades ou au chômage, ou encore à la retraite, oublient parfois. Ne plus rien avoir à faire, perdre, forcé ou non, ses habitudes et c’est le désœuvrement, l’ennui ou/et la dépression à la clé.

L’objectif devient alors de reprendre une activité et donc des habitudes le plus vite possible.

« L’humanité se divise en trois catégories :

ceux qui ne peuvent pas bouger,
ceux qui peuvent bouger, et
ceux qui bougent. »

Benjamin Franklin

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour plus de conseils :

En complément :

Management participatif : Votre plus grande satisfaction
Réflexions pour une orientation professionnelle
Productivité : Un résultat rapidement

Le Kaizen : Difficile à mettre en place ?
Dégradation de la relation personnelle avec le responsable hiérarchique
Le grizzly affamé

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Efficacité : La lenteur est productive


Efficacité : Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire

Raaalllennntiiiiissssseeeezzzz !

Thomas A. Edison

Thomas A. Edison

Le principe de « faire vite et bien » est inculqué, dès notre plus tendre enfance, dans nos esprits.

Être efficace passe par une bonne préparation et l’obtention rapide d’un premier résultat, toutefois, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation.

Sommaire :

  1. Principe de Pareto ou principe des 80-20
  2. Si être productif signifie être égoïste, alors soyez égoïste
  3. Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie
  4. Démarrez seulement lorsque vous êtes vraiment prêt
  5. Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile
  6. Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement
  7. Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire
  8. Finissez rapidement, souvent, sans rechercher la perfection

Prendre du temps

La mise au point de l’ampoule à incandescence a pris du temps, car Edison a utilisé 6 000 substances différentes avant de trouver celle qui dure le plus longtemps pour un éclairage suffisant.

Un inventeur de cet acabit est une exception. Ses inventions ont été une combinaison d’un cheminement intellectuel et de séries d’expérimentations. De nos jours, Internet facilite l’accès à la connaissance. Toute la connaissance de l’humanité est la disposition de tous les inventeurs du monde entier, sous réserve d’avoir des connaissances linguistiques et techniques suffisantes ou un bon traducteur.

Rythme et pauses

Ralentir son rythme de travail, lever la tête de temps en temps, faire des pauses. Tout cela permet de réfléchir, tout en permettant de renouveler son énergie par l’alimentation et le repos. L’inventeur du radar a eu l’idée de son appareil durant son sommeil.

Ralentir permet aussi de vérifier le résultat partiel de son travail et d’ajuster ainsi le temps restant à prévoir ainsi que les coûts et les moyens nécessaires pour parvenir au résultat attendu.

Ce besoin de prendre du recul, de freiner son travail, permet aussi une meilleure rentabilité dans la mesure où la qualité de son travail augmente lorsque le rythme reste à la portée de l’exécutant. Certes, des machines et des outils facilitent le travail et augmente la productivité, cependant l’Homme doit continuer de les maîtriser. Produire plus que nécessaire est un gâchis, une perte d’argent et de temps donc de productivité.

Même Edison, détenteur de plus de 1 000 brevets, l’avait compris, puisqu’il est l’auteur de la maxime :

« Ne jamais inventer quelque chose dont les gens ne veulent pas »

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Loi de Fraisse (Paul) : La perception du temps est subjective
Pour bien parler : respirez correctement
La prononciation, que faire contre le bégaiement, le balbutiement, le bredouillement

Quelles sont les pauses raisonnables qui m’aident dans mon travail
Chronitron : une idée saugrenue pour son organisation personnelle ?
Pause cigarette encadrée

Autres Organisation :

Récapitulatif 12 Organisation

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Pour bien parler : respirez correctement


Manquez-vous de souffle ?

soufflet de forge

soufflet de forge

Lorsque vous êtes amené à parler, au milieu d’une réunion de réseau, parmi des amis ou des inconnus, devant une salle pleine d’élèves, dans un entretien de recrutement ou devant un auditoire dans un symposium, votre voix est un des éléments essentiels pour vous faire entendre.

Outre la modulation de la voix, il faut aussi bien respirer. Ce que nous faisons, souvent sans nous en rendre compte, lorsque nous chantons, nous devrions le faire aussi lorsque nous parlons.

Avec une poitrine rentrée, les poumons ne peuvent expulser suffisamment d’air pour faire vibrer les cordes vocales.
Le son qu’elles produisent est faible, la voix est étouffée par le bruit ambiant ou forcée pour compenser.
Vos auditeurs vous comprennent alors mal, ou pas du temps, surtout s’ils sont un peu éloignés de vous.

Avec le remplissage correct des poumons par une inspiration lente par le nez, il est alors possible d’expulser l’air comme une soufflerie dans une forge, avec suffisamment de force pour terminer votre phrase, sans être à court d’oxygène.

Entraînez-vous à respirer

Inspirez lentement par le nez, bloquez votre respiration un bref instant, puis expirez par la bouche, tout aussi lentement, ce qui, par ailleurs, vous évite une hyperventilation. Recommencez autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que cette respiration réfléchie devienne naturelle et sans effort.

Faites des pauses quand vous parlez, en rythme avec votre respiration. Imaginez que vous prononcez vos paroles comme s’il s’agissait d’une lecture d’un texte avec des points et des virgules, et autres signes de ponctuation.

Vous baissez le ton à la fin d’une phrase, sauf pour les phrases interrogatives. Et surtout, vous inspirez rapidement à chaque virgule avec une très courte pause.

Essayez et vous parviendrez à retenir l’attention de votre ou vos interlocuteurs avec succès.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

La prononciation, que faire contre le bégaiement, le balbutiement, le bredouillement
La monotonie du débit de la voix
Quelles sont les pauses raisonnables qui m’aident dans mon travail

Comment se libérer une ancre négative
Quelques bonnes résolutions à partir de maintenant
Entretien d’embauche, discours, présentation : Conseils pour Bien parler

Autres Communication :

Récapitulatif 12 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

La voix pour bien communiquer en entretien d’embauche et ailleurs


A savoir sur la voix pour bien communiquer en entretien d’embauche et ailleurs

Les « 3V »

les 3VLes « 3V » sont une expression pour indiquer les domaines où la voix provoque une bonne ou une mauvaise impression le Visuel, le Vocal et le Verbal

Cela est flagrant quand la voix est le seul moyen de communiquer, par exemple lors du premier contact téléphonique avec le recruteur

L’impact de la voix

L’élocution et le timbre de la voix ont de l’importance, particulièrement lors d’un entretien d’embauche

Le stress ou le manque de confiance en soi s’entendent très bien

L’impact d’un message dépend à 75 % de la voix : si elle sonne sûre d’elle et décidée, l’auditoire sera plus facilement conquis que si l’orateur bégaye et hésite

Le recruteur fera plus facilement confiance en face d’un orateur qui exprime clairement ses idées et d’une voix assurée

La voix a une influence énorme sur la perception qu’ont les autres. Une idée ou une proposition exprimée avec une voix agréable, portante, claire, a infiniment plus de chance de provoquer une adhésion qu’une voix qui traîne, qui montre la fatigue ou le peu d’intérêt que l’on porte sur le sujet, qui « mange ses mots » et qui est indistincte

La voix laisse transparaître les émotions et les états d’esprit

Le stress, l’excitation, la perplexité, la retenue ou la joie sont traduits par la voix

De même, le manque de confiance va se traduire par des balbutiements, des hésitations, la recherche de ses mots, un débit trop rapide, une voix trop aigüe, hystérique même

Utiliser sa voix comme un outil de communication

L’accent donne une indication sur son origine géographique ou ethnique ou encore sociale

Les intonations, le rythme du phrasé sont autant d’outils qui permettent de transmettre un message avec une qualité nettement supérieure qu’avec une voix monocorde

La force de la voix, une voix grave, ne rendent pas le message plus compréhensible qu’une voix douce à condition que l’articulation soit claire et que l’interlocuteur ne soit pas obligé de tendre l’oreille pour entendre

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

La prononciation, que faire contre le bégaiement, le balbutiement, le bredouillement
Pausez vous ! Faute de français ou évolution de la langue ?
Comment bien mener un entretien

Convaincre par les mots
Les noms et les verbes pour améliorer un entretien par des bonnes questions
Soyez positif ! Ne dites pas, dites

Autres Communication et Emploi :

Récapitulatif 1 Communication
Récapitulatif 4 Communication
Récapitulatif 7 Communication
Récapitulatif 7 Emploi

Tous les articles de ces catégories sont listés dans la page Emploi et dans la page Communication de la page Autres catégories

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Les atouts du langage


Les atouts du langage

les voix de Jeanne d'Arc

convaincue par les voix

Le langage commence par la voix.

Il a commencé dès la préhistoire et permet de transmettre des informations cohérentes.
Là où se trouve le gibier ou le gite, la mise en garde contre un prédateur, la cour au sexe opposé.

Plus la société est devenue complexe et sophistiquée plus le langage s’est développé pour transmettre des idées.

Dans tous les cas, le langage provoque des réactions dans le domaine émotionnel chez les auditeurs et les spectateurs.

Ceux qui savent se servir de leur voix peuvent soulever des foules, dans une arène politique ou dans une salle de concert.
Ils peuvent aussi hypnotiser, convaincre, faire rire, séduire.

La voix

  • Posée
  • Enthousiaste
  • Variée
  • Mélodieuse
  • Agréable

L’intonation

  • Chaleureuse
  • Cordiale
  • Amicalement, Ferme
  • Adaptée

Le rythme

  • Dynamique
  • Alterné
  • Ajusté
  • Stimulant

Le vocabulaire

  • Convivial
  • Professionnel
  • Compréhensible
  • Précis
  • Positif
  • Optimiste

L’attitude

  • Actif
  • Empathique
  • Disponible
  • Ouvert
  • Souriant
  • Diplomate
  • Respectueux
  • Congruent

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Convaincre par les mots
Ces phrases qui tuent le dialogue
Des mots pour se définir

Le timbre de la voix
La monotonie du débit de la voix
La prononciation, que faire contre le bégaiement, le balbutiement, le bredouillement

Autres Communication :

Récapitulatif 5 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

La monotonie du débit de la voix


La monotonie du débit de la voix

Jacques Wagrez Les Voix de Jeanne d'ArcEntendre un orateur parler d’une voix monocorde avec un débit monotone engendre une tendance à l’endormissement ou à l’agacement, à cause de l’effort que la concentration nécessaire pour écouter.

En français, l’accent doit être mis sur le dernier mot. C’est ce qui nous permet de comprendre qu’il s’agit de la fin d’une phrase, qu’elle soit affirmative, impérative ou interrogative.

Rythmer le débit de la voix, c’est varier la vitesse à laquelle on prononce les mots.

C’est aussi introduire des pauses, plus ou moins courtes.

Parler plus ou moins haut, permet de « réveiller » l’attention de l’auditoire.

Lorsque le sujet contient des émotions, elles doivent être transmises tant par le choix des mots que par la modulation et le débit de la voix.

Aux points précédents respirer et placer sa voix, s’ajoute donc le troisième : rythmer la voix.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Le timbre de la voix
Sentir son auditoire pour être un bon orateur
Être à l’aise avec soi pour bien parler

Avoir de la conversation ou comment parler en public
La voix pour bien communiquer en entretien d’embauche et ailleurs
Vidéoconférence : entretien d’embauche ou pas, 6 conseils pour soigner votre communication

Autres Communication :

Récapitulatif 5 Communication

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter

Quelles sont les pauses raisonnables qui m’aident dans mon travail


Quelles sont les pauses raisonnables qui m’aident dans mon travail

café gâteauFaire une pause dans son travail permet de reconstituer son capital efficacité, concentration, écoute, énergie.

Lesquelles sont les plus adaptées à votre situation.

Tout d’abord, les pauses se font au moment bas de votre courbe d’efficacité.

Si vous êtes du matin, les pauses sont à faire dans l’après-midi, de préférence en début d’après-midi, puis vers seize ou dix-sept heures avant de reprendre en soirée.

Si vous êtes du soir, elles doivent avoir lieu plutôt le matin, plus précisément en fin de matinée, vers dix ou onze heures.

Une pause peut durer de quelques secondes, de l’ordre d’une à deux minutes, ou dix minutes ou vingt minutes, selon votre capacité à vous isoler et à reconstituer vos forces.

Lorsque vous êtes concentré sur votre travail, l’idée de faire une pause ne vient pas du tout à l’esprit.

Si par contre, vous y pensez, c’est que votre subconscient vous alerte d’une baisse de rythme, de concentration, d’énergie.

Quand vous vous posez la question de savoir quelle est la prochaine étape de votre travail ou la prochaine tâche, posez-vous aussi la question de savoir si ce n’est pas le bon moment pour faire une pause.

Voici quelques exemples à suivre :

  • Faire des exercices physiques : gymnastique, taï-chi, étirements
  • Prendre de l’air frais : ouvrir la fenêtre ou sortir sur le pas de la porte de votre bâtiment
  • Boire de l’eau, fraîche ou à température ambiante (selon la saison)
  • Aller aux toilettes
  • S’adosser à son siège et fermer les yeux
  • Regarder par la fenêtre et se laisser aller à penser à autre chose qu’au travail : les gens dans la rue, la météo, les prochaines vacances, la famille, les bons amis, le prochain repas, etc. Tout ce qui est beau et bon dans la vie.
  • Respirer, inspirer profondément et expirer lentement par le nez
  • Fermer votre porte et décrocher le téléphone, vous isoler
  • Compter vos pulsations cardiaques ou vos cycles de respiration
  • Jouer, peu importe le type de jeu, du moment qu’il vous permet de ne pas penser au travail. Evitez les jeux d’argent. Privilégiez les petits jeux rapides et très simples : compter les voitures rouges qui passent dans la rue pendant cinq minutes, etc.

Et des exemples à éviter :

  • Fumer,
  • Boire de l’alcool, du café, du thé
  • Se rappeler de mauvais souvenirs
  • Penser aux problèmes qui sont ou qui vont arriver, au travail, dans la vie privée, chez les autres

La pause déjeuner ou dîner, le petit en-cas de neuf heure, ou de quinze heures, horaires variables selon votre rythme, permet de vous recharger en énergie. A boucler en une demi-heure, trois quart d’heure maximum pour ne pas prendre le sens et l’efficacité au travail et pas moins sinon vous ne profitez pas de la pause. Le déjeuner doit rester simple. L’en-cas léger : préférez un fruit à une barre chocolatée…

… Et il vous reste la lecture de mon blog

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Définition de l’effectivité et définition de l’efficience
L’inefficacité de Franz Schubert
Indicateurs d’efficacité

L’impact des couleurs sur le subconscient
Comment je me facilite le travail de routine au moyen de listes de contrôle ou check-lists
Comment reconnaître mon propre comportement de fuite au travail

Autres Organisation :

Récapitulatif 2 Organisation

abonnez_vous_ICI_a_la_Newsletter