Postuler : 6 freins psychologiques Partie 2 sur 2


3 autres freins à faire disparaître

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Postuler : 6 freins dans votre tête Partie 2 sur 2

4/ Votre crainte de la concurrence

Pour devenir astronaute ou président de la République, la concurrence est effectivement rude.

Votre persévérance et vos soutiens vont vous aider à vous montrer sous votre meilleur jour.

haka pour contre la peur de à la concurrence

haka pour vaincre sa peur ou la donner aux concurrents

Dans votre recherche d’emploi, la solitude est mauvaise conseillère. En emploi, vous êtes aussi confronté à la concurrence.
Vos collègues, votre responsable hiérarchique ou vos subordonnés, sont tous à l’affut de vos erreurs. Ils vous jugent tous les jours, certains avec bienveillance, d’autres…

Comme dans une course cycliste, un seul sera vainqueur. Vous décrochez le poste parfois sur un détail.

Faites de votre mieux. Vos concurrents sur le poste feront pareil de leur côté. La prise de décision appartient aux recruteurs.
Peu importe que vous soyez seul, dix ou cent candidats, vous avez tous autant de chance.

Les mathématiques sont une science, le recrutement est une appréciation humaine.

5/ L’offre est ancienne

Il arrive que le recrutement prenne plus de temps que prévu. Il arrive aussi que la personne choisie, quitte son nouveau poste durant sa période d’essai. Le recrutement repart donc à zéro.

De même, la description du poste dans l’offre d’emploi décourage trop les candidats de postuler, sans compter les aprioris sur les conditions de travail qui vous rebutent.

ancienne pub pour trouver un emploi

La date de publication de l’offre d’emploi est trop ancienne à vos yeux ? Dites-vous qu’en arrivant après les premières candidatures, la vôtre a de plus forte chance de se trouver sur le haut de la pile.

Il est possible que tous les candidats précédents aient été rejeté, alors que votre candidature arrive à point nommé.

Avec le temps, le recruteur, qui peine à recruter, assouplit ses critères de recherche. Des critères qu’il mettait, au départ, comme indispensables, vont devenir des critères moins importants pour son choix.

6/ Vos prétentions salariales

Parfois, une offre d’emploi indique la fourchette de salaire envisagée. Généralement, c’est une mention absente. Pourquoi ce phénomène devrait-il vous freiner ?

Quand vous recherchez, sur Internet, les salaires pratiqués, vous vous apercevez qu’ils sont plus élevés que ce qui est proposé ou plus bas que ce que vous espériez.

D’abord, seuls ceux qui considèrent avec un bon salaire remplissent les questionnaires en ligne, ce qui fausse les résultats des rémunérations moyennes.
Ensuite, la loi du marché est un rapport de force entre l’offre et la demande.

le salaire de la peur

quel était le montant du salaire dans ce film ?

Les métiers en tension sont plutôt bien payés pour attirer les candidats. Il en est de même de toutes les spécialités. Les experts sont recherchés.

Ce qui compte, c’est l’adéquation entre vos besoins et la rémunération, sous réserve que l’employeur soit en mesure de vous payer à hauteur de vos espérances.
Il doit faire avec la rémunération des autres salariés en place, surtout de ceux de la même équipe.

Néanmoins, le salaire se négocie aussi au moment de l’embauche. Vous pouvez avoir des surprises et une meilleure rémunération, en fin de compte, que celle que vous imaginiez au départ, même si elle est au-dessus de la fourchette écrite dans l’annonce.

Conclusion

Vos hésitations à envoyer votre candidature sont le plus souvent dans votre tête. Elles sont guidées par votre éducation, des on-dit, des préjugés, des croyances.

Les recruteurs cherchent, avant tout, des collaborateurs capables de satisfaire aux besoins de l’entreprise. Alors éliminez vos états d’âmes, lancez-vous.

Si vous échouez, postulez ailleurs. Vous gagnerez en confiance en soi, puis en estime de soi et vous décrocherez le poste qui vous convient.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Recrutement : le choix se fait par les détails
Prise de décision 10 méthodes
Période d’essai interrompue : Et alors ?

Le syndrome de l’imposteur ou Suis-je à ma place
Parler salaire durant un entretien d’embauche : Les risques
Comment reprendre confiance malgré les phrases négatives de notre enfance

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Postuler : 6 freins dans votre tête Partie 1 sur 2


Les 3 premiers freins à lever pour postuler

Contrairement à ce que de nombreuses personnes croient, être chômeur est une situation subie. Si elle pouvait être tout le temps éviter, ce serait mieux pour tout le monde.

Seulement voilà, quand ça vous arrive, il faut accuser le coup et faire le deuil de son ancienne vie professionnelle et rebondir vers une prochaine.

Le moral est bas. La perspective de revenus qui baissent, brusquement, au début, puis progressivement au fur et à mesure que les mois de chômage passent, renforcent déprime ou/ stress.

Alors il est courant que vous vous mettiez des freins au moment d’envoyer votre candidature.

Voyons lesquels.

rue de l'humilité à Lyon

rue de Lyon

1/ Votre humilité ou votre honte

Dans nos sociétés, nous sommes éduqués avec idée que nous devons être humbles, jusqu’à cacher toutes nos qualités.

Cette situation, désagréable à souhait, est vue par ceux qui sont passé à travers, vous fait honte, comme si vous étiez coupable, comme si vous aviez une maladie honteuse, comme si le jugement des autres est plus important que votre propre jugement.

Or, dans une recherche d’emploi, vous devez montrer, au contraire, toutes vos compétences, vos savoirs, vos savoir-faire, votre capacité à vous intégrer dans une nouvelle équipe.

Vous avez beaucoup plus de qualités et de compétences que vous le pensez.

2/ Votre peur d’échouer

Les éloges sont donnés aux meilleurs. C’est, du moins, ce que vous apprenez en allant à l’école. Pourtant, bons et mauvais à l’école ont leur place dans la société. Chacun y contribue à la hauteur de ses capacités. Le chômage frappe toutes les catégories de salariés : du PDG au niveau le plus bas dans la hiérarchie.

anxiété peur d'échouer

peur d’échouer

Chacun a peur d’échouer dans sa recherche d’emploi, comme chacun craignait d’avoir une mauvaise note à l’école.

Pourtant, c’est différent.

Dans une recherche d’emploi, vous avez, avant même de postuler, une réponse négative. Tout ce qui peut vous arriver en envoyant votre candidature, c’est une réponse positive. Une réponse négative laisserait votre situation inchangée alors qu’elle sera améliorée.

Comme dit un slogan publicitaire bien connu :

100% des gagnants ont tenté leur chance.

3/ Vous êtes loin du profil idéal

Les descriptions de poste sont parfois longues et très complètes dans les offres d’emploi. Cela apparaît dans la longue liste des principales tâches ou dans celles des savoir-faire et savoir-être demandées.

Les recruteurs savent parfaitement que la description du candidat idéal est celle de la perfection, celle du candidat impossible à trouver.

Parmi tous les critères de sélection, certains sont incontournables, d’autres le sont beaucoup moins.

profil de l'homme idéal

l’homme idéal ?

S’il est très difficile de les classer dans l’une ou l’autre de ces deux catégories, ce qui compte est plus le pourcentage de critères que votre profil possède.

Bien découper l’offre pour y attacher vos compétences à chaque critère vous permet de définir celles demandées et qui vous manquent ou que vous avez.

Votre personnalité, votre éloquence, votre prestance sont autant d’éléments qui jouent en votre faveur, une fois le premier rendez-vous pris.

Vous pouvez compenser les savoir-faire manquants par des formations, à évoquer sur la lettre de candidature, durant l’entretien ou/et négocier à l’embauche.

La suite dans ce second article

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Décrivez-vous en un mot : Comment répondre en entretien d’embauche
Emploi : Les murs et les ponts
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Faut-il avoir peur des tests de personnalité informatisés ?
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Entretien d’embauche : 5 conseils supplémentaires pour réussir l’entrevue


5 conseils supplémentaires pour réussir votre entretien d’embauche

Le précédent article vous propose 5 premiers conseils pour débuter votre entretien d’embauche.

Mettez toutes les chances de votre côté pour que ce passage obligé vers votre prochain poste se déroule au mieux pour vous.

6/ Être clair sur son parcours

De nos jours, tout le monde a des trous dans son CV.
Un candidat qui cherche à les cacher se rendre suspect, alors que si vous les assumez en expliquant ce que vous avez fait durant la période entre deux emplois, vous serez mieux juger sur votre capacité à rebondir et à faire face aux responsabilités du poste à pourvoir.

Refuser de répondre à des questions légitimes ou tout faire pour éviter que le recruteur appelle votre ancien employeur parce que vous êtes parti fâché est une très mauvaise idée.

des trous dans son parcours

des trous dans son parcours

Mieux vaut jouer cartes sur tables et expliquer pourquoi vos relations se sont dégradées.

De toute façon, il vous est impossible d’éviter le contrôle de référence par le futur employeur.

7/ Rester professionnel

Votre vie privée peut faire l’objet de questions de la part du recruteur. Certaines questions interdites mises à part, il est important de faire connaître certaines implications personnelles pour l’exercice du poste à pourvoir. C’est le cas du lieu d’habitation, par exemple.

Cependant, vos préoccupations d’ordre privé, sont à exclure totalement de l’entretien d’embauche. Celui-ci concerne et doit concerner uniquement le domaine professionnel.
Gardez à l’esprit que vous devez garder une attitude professionnelle, même lorsque vous parlerez de vos centres d’intérêt.

8/ Garder certaines questions pour la fin de l’entretien

Vous devez, avant tout, convaincre le futur employeur que vous êtes le candidat qu’il attend pour renforcer son équipe. Par conséquent, si vous montrez plus d’intérêt à savoir s’il propose des tickets restaurants ou un téléphone portable, il y aura un écart de motivation bien trop important pour qu’il vous embauche.

reste calme c'est presque finiRéservez vos questions sur les conditions de travail, les avantages divers pour la fin de l’entretien, comme il le fera aussi sur le montant de la rémunération ou la date à partir de laquelle vous serez disponible pour démarrer.

Ces informations sont secondaires aux yeux de l’entreprise et vous devez vous mettre en phase avec elle.

9/ Poser des questions sur la suite

Il est indispensable de se renseigner sur la suite que compte donner le recruteur à votre candidature.

A minima, vous devez savoir, si vous êtes le dernier candidat interviewé, et quand vous aurez une réponse.

Si la réponse est immédiate et négative, alors transformez immédiatement l’entretien en entretien de réseau. Demandez ce qui a déplu et si votre interlocuteur connaît d’autres entreprises susceptibles d’être intéressées par votre profil.

Si la réponse est positive ou qu’un délai vous est donné, gardez votre calme, souriez et patienter. C’est au futur employeur de vous informer de la suite, même si cela prend plus de temps que celui qu’il vous a indiqué à la fin de votre entretien.

Un second entretien, même inattendu, est toujours possible.

heureux au travail10/

Le poste avant l’entreprise

Lorsqu’une entreprise vous intéresse, il est contreproductif, de répondre à toutes les annonces qu’elle publie. Cela montre que vos candidatures sont peu sérieuses car il est impossible d’être motivé et d’avoir les compétences nécessaires pour tous ces postes.

Mieux vaut montrer votre intérêt pour l’entreprise en envoyant une candidature spontanée. Ce sera alors, dans l’entretien qui, peut-être, suivra, l’occasion de voir, ensemble, quel est le poste qui vous correspondra le mieux au sein de l’organisation.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Comment traiter des trous dans votre CV
Contrôle de référence : Peur du référent ?
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Embauche : 20 Questions sur la culture d’entreprise pour prendre le poste ou pas
Embauche : Pourquoi voulez-vous ce poste ?
Comment se déroule une entrevue ou entretien d’embauche

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Entretien d’embauche : 5 premiers conseils pour bien débuter l’entrevue


5 premiers conseils pour réussir votre entretien d’embauche

Réussir son entretien d’embauche demande de la concentration, une attitude positive, la maîtrise de son stress durant toute la conversation.

C’est l’épreuve par laquelle tous les candidats passent pour avoir une chance de faire la différence, pour rassurer et convaincre l’entreprise de vous embaucher.

Voici les cinq premiers des 10 conseils pour mettre toutes les chances de votre côté :

1/ Arriver à l’heure

Arriver pile à l’heure est preuve de ponctualité.

Cinq minutes à l’avance est un maximum pour laisser à la personne qui vous reçoit de venir jusqu’à l’entrée du bureau ou devant son ordinateur s’il s’agit d’une entrevue via écrans interposés.

arrivé cinq minutes avant ou après l'heure du rendez-vous

bon : 5 min avant ; mauvais : 5 min après

Si vous êtes plus tôt, restez dans la rue ou dans le plus proche café, à l’abri du regard de la fenêtre du recruteur. Prenez soin de garder votre tenue propre. Évitez tâches et miettes et les mains moites.

Si vous sentez que vous aurez du retard, prévenez au plus tôt votre interlocuteur. C’est très désagréable d’attendre un candidat en retard et met le recruteur dans une mauvaise disposition à votre égard.

2/ Être modéré dans sa communication non verbale

D’un côté, il y a les nerveux, ceux qui sont mal à l’aise à cause de l’enjeu ou d’un manque de qualification, voire d’un mensonge sur le CV, ou, au contraire, sont très enthousiastes et cherchent à convaincre par une attitude, hélas excessive.
Ils bougent sans arrêt, la jambe tremblotte, les mains sont incapables de tenir en place, les lèvres tremblent.

D’un autre côté, il y a les paralysés, ceux qui sont immobiles, qui donnent l’impression de ne pas respirer, d’être coincés sur le bout de la chaise, le dos droit, les mains cachées ou crispées.

les 3 singes de la sagesse

les 3 singes de la sagesse

Et puis, il y a la grande majorité, ceux qui s’assoient bien calés dans le siège, le buste en avant, les mains ouvertes qui appuient le discours, sans grands gestes avec les bras.
Le regard se pose 10 cm derrière l’œil gauche de son vis-à-vis. L ’attitude est sereine, la voix posée, le sourire aux lèvres.

3/ Poser des questions

Il se peut que le recruteur vous fournisse tellement d’informations que vous ayez l’impression de tout savoir sur l’entreprise et le poste.

L’entretien d’embauche est un échange pendant lequel le recruteur parle environ un tiers du temps, habituellement, et vous fait parler de vous, de vos forces et de l’apport que représente votre candidature pour l’entreprise.

Un échange comprend aussi des questions, de part et d’autre. Il y a toujours des questions à poser, sur des sujets comme la personnalité des collaborateurs et des collègues.

Venir sans question, c’est comme se déplacer sans argent sur soi.

4/ Prendre des notes

Dans le même ordre d’esprit que les questions à poser, prendre des notes, avec l’accord de votre interlocuteur, est une démonstration de votre intérêt pour le poste et l’organisation.

prendre des notes en entretien d'embauche

prendre des notes

Montrer son intérêt fait partie de la motivation. S’en abstenir, c’est donner l’impression que vous êtes là pour passer un moment sans rien retenir de la conversation. Outre un sentiment désagréable que vous laisseriez, un candidat plus motivé, même moins compétent aura la préférence du recruteur.

5/ Apporter vos documents

En plus de votre bloc-notes, de crayons taillés ou de stylo qui marche, vous aurez besoin d’apporter des documents avec vous.
Indispensables sont votre CV en deux exemplaires, dont l’un pour le recruteur s’il l’a oublié ou feint de l’avoir oublié, votre Lettre de motivation et l’annonce à laquelle vous avez répondu, si tel est le cas.

Vous pouvez aussi, amener avec vous, vos diplômes ou certificats de qualification, habilitation, certifications.

De même, toutes les notes que vous avez prises, préalablement sur l’entreprise, ce qui montrera, mine de rien, que vous êtes motivé suffisamment pour vous êtes renseigné avant l’entretien.

Votre antisèche, c’est-à-dire les réponses préparées aux questions les plus fréquentes, vos questions à poser, etc.

Le prochain article vous propose 5 conseils supplémentaires pour réussir votre entretien d’embauche

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai
Question piège du recruteur : Pourquoi vous ?
20 gaffes qui ruinent un entretien d’embauche

Faire une bonne impression en entretien d’embauche : Mode d’emploi
12 conseils pour convaincre
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4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai


4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai

Période tous les dangers, la période d’essai peut capoter, si vous vous y prenez mal.

Il existe de nombreux pièges où les croyances que vous avez peuvent vous desservir durant cette période que vous souhaitez réussir, c’est-à-dire aller jusque sa fin et confirmer votre embauche.

période d'essaiLa ponctualité

C’est tout bête. Soyez à l’heure, tant pour arriver sur votre lieu de travail qu’au moment des pauses ou à la fin de votre journée.

Bien sûr, il est tentant de montrer son zèle en adoptant les horaires des collègues voir celles de votre chef. Seulement, la fatigue durant la période d’essai est plus grande que la fatigue quand on a attrapé la routine.

Soyez souple aussi. Si un coup de collier est nécessaire pour une action commune, prenez alors vos responsabilités.
Si le dépassement d’horaires est la règle, à vous de voir si vous l’acceptez ou si votre intérêt est d’interrompre la période d’essai.

Prendre le rythme

Les automatismes viennent avec le temps.

prendre le rythme

prendre le rythme

Vous découvrez de nouvelles façons de faire, des logiciels, un environnement de travail. Tout cela contribue à vous prendre du temps avant d’être aussi opérationnel (le) que les collègues.

Discutez avec les autres, posez-leur des questions, demandez leur aide.
Se faire aider pour acquérir plus vite les connaissances indispensables pour devenir plus efficace.

Restez, cependant, mesuré (e), car vous risquez de ralentir le travail des autres et de trop les déranger. Profitez des moments de leurs pauses où ils sont plus au calme pour vous répondre ; si vous pouvez attendre.

Faites-vous bien voir

Le partage d’opinion et l’expression de son point de vue impliquent de connaître la situation dont il est question.

Laissez les autres lancer la conversation et participez-y en posant des questions, plutôt en donnant votre opinion, surtout si elle est en contradiction avec ce que vous entendez.

Mieux vaut faire profil bas, du moins, durant la période d’essai et ainsi éviter des conflits inutiles.

conversation entre collègues

Attendez avant les remises en question

Il est probable que vous ferez la comparaison entre votre précédent travail et le nouveau.

Si prendre l’initiative de proposer des changements est souvent bien vu de la hiérarchie, le contraire l’est tout autant. L’opposition existe déjà, elle est encore plus forte quand c’est le (la) dernier (ère) arrivé (e) qui en est le point de départ.

La remise en cause doit se faire à bon escient, avec un degré d’acceptation élevé. A vous de trouver les arguments qui touchent ou attendez la fin de votre période d’essai pour le faire.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Les 100 jours de la période d’essai réelle
Période d’essai : Les débuts comme chef de service
Malade pendant la période d’essai : Conséquence

Management : L’entretien d’intégration
Comment présenter un avantage ou un inconvénient
Premier emploi : Adaptation impérative

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Recruteur : 5 questions indispensables à poser aux candidats


5 questions indispensables pour réussir son recrutement

Que ce soit votre métier ou que vous participez occasionnellement à un processus de recrutement, vous faites partie des recruteurs.

Le risque le plus important que vous devez assumer, c’est de vous tromper et de choisir un candidat qui va vous décevoir.

se tromper

se tromper de candidat ?

En entretien d’embauche, un des moyens de mieux connaître les candidats est de leur poser des questions et de jauger leurs réponses, tant orales que non verbales.

1. Pourquoi êtes-vous ici ?

Une question directe amène une réponse directe.

La réaction du candidat va être à la hauteur de sa motivation et de sa préparation à l’entretien.

Elle sera centrée sur lui-même ou orientée vers le poste et l’entreprise.
Elle vous permettra de voir si le candidat s’est intéressé à son éventuel futur environnement de travail.

2. Pourquoi pensez-vous être compétent (e) pour ce poste ?

La réponse vous permettra de savoir si le candidat se connaît bien, s’il connaît ses points forts et ses axes d’amélioration.

compareDe même, vous déterminez le degré d’adéquation entre les besoins de l’entreprise et le profil du candidat.

3. Comment vous voyez-vous ce poste ?

Cette question est déterminante pour esquisser les éventuelles difficultés ou la facilité d’intégration du candidat à l’équipe en place.

La réponse portera sur ses traits de caractère, ses compétences comportementales, ou sur ses savoir-faire, ou encore sur son plan de carrière, ses motivations.

C’est aussi une question pour estimer la durée de présence dans l’organisation. Un candidat bien intégré aura moins envie de repartir rapidement et sera plus productif.

4. Pourquoi voulez-vous quitter/avez-vous quitté votre emploi ?

La réponse sera différente si le candidat est encore en poste ou s’il est en repositionnement professionnel.

au revoir les collègues

au revoir les « ex-« collègues

Néanmoins, le ton qu’il emploiera montrera le contrôle de ses émotions, ainsi que la façon positive ou négative de s’exprimer indiqueront sa façon de décrire sa situation, de l’analyser.

Vous déterminez ainsi s’il est « prêt » à rejoindre la structure ou s’il a encore besoin de faire son deuil de son ancien emploi.

5. Décrivez-nous une situation difficile que vous avez maîtrisée

C’est la même question que « parlez-moi de vos échecs » ou « comment gérez-vous votre stress ? ».

La capacité de réaction, l’inventivité, la communication, employées par le candidat ainsi que le choix de la situation sont autant d’indications qui permettent de déterminer si le candidat a su tirer des enseignements de la situation maîtrisée.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Recruteur : Que faire après la publication d’une offre d’emploi
Entretien d’embauche : Les nouvelles questions pièges liées à la pandémie
ATS ou Logiciel de recrutement : Les 12 fonctionnalités indispensables

Comment l’IA analyse l’entretien vidéo
5 méthodes pour optimiser son recrutement
Contrôle de référence, côté recruteur

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Les clés de la réussite selon Steve Jobs


Les facteurs qui mènent au succès

Il est toujours bon de comprendre comment un homme, talentueux, est parvenu à devenir l’un des entrepreneurs ayant un succès aussi grand que celui de Steve Jobs.

Steve Jobs - 2007

Steve Jobs – 2007

Il nous a laissé des conseils pour parvenir à réussir dans ce que nous entreprenons.

1 Suivez votre passion

Choisir un métier qui vous plait est un facteur de succès car vous l’exercerez avec passion.

2 Changez le monde

Quand vous avez une vision claire de votre projet, vous pouvez changer le monde. Voir grand, voir loin, avoir de l’ambition et transmettre sa vision ouvrent les voies du succès.

Confucius

Confucius

3 Soyez curieux de tout

Plus vous apprenez dans de multiples domaines, et plus vous aurez des connaissances qui vous permettons d’aborder n’importe quel sujet. Vous aurez une meilleure compréhension du monde qui nous entoure.

4 Savoir dire non

Réussir passe aussi par savoir se concentrer sur l’action en cours. Évitez de vous disperser quand vous avez fait un choix. Concentrez vos efforts sur des objectifs ciblés et donc plus faciles à atteindre.

savoir dire non5 Créez un lien

Avec vos collaborateurs, avec vos clients, avec vos divers contacts dans la vie, l’interaction avec les autres à titre personnel créer un lien direct qui mène à la prospérité.

6 Sachez communiquer

Les présentations de Steve Jobs étaient des shows à succès. La scénarisation, l’histoire racontée, le divertissement et la mise en lumière de l’objet de votre communication sont des facteurs de réussite.

rêver de réussir7 Faites rêver

Quand ce que vous proposez est simple à comprendre, vous montrez aux autres qu’ils sont doués pour vous comprendre. Cela valorise l’autre. Vous excitez son imagination pour le faire rêver, le rendre plus grand et plus satisfait.

Conclusion

Steve Jobs a personnifié le succès. Il a su partager sa vision et faire de son entreprise l’un des fleurons de l’économie mondiale.

Chacun peut s’inspirer de ces conseils pour avancer dans la vie vers la réussite.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Jack Welch : « Mes conseils pour réussir »
Les 14 règles de Jeff Bezos pour devenir un bon manager
7 conditions de réussite pour la résolution de problème

Start-up : 10 clés du succès
Les 5 plus puissantes motivations au Monde
Les cinq clés de la Communication pour un manager

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Les 14 règles de Jeff Bezos pour devenir un bon manager


Les 14 règles de Jeff Bezos pour devenir un bon manager

Jeff Bezos est le fondateur d’Amazon Jeff Bezos

Comme beaucoup de chefs d’entreprise américains, il partage ses « recettes » du succès.

14 principes pour être efficace au travail

  1. Ne penser qu’au client
  2. Inventer et simplifier
  3. Avoir souvent raison
  4. Apprendre et être curieux
  5. Recruter et développer les meilleurs
  6. Placer le niveau d’exigence toujours plus haut
  7. Voir grand
  8. Privilégier l’action
  9. Maîtriser et optimiser les coûts
  10. Gagner la confiance
  11. Analyser en profondeur
  12. Avoir du cran et s’engager
  13. S’investir personnellement
  14. Obtenir des résultats

Source : BFM Business

À méditer quand on est manager ou qu’on veut le devenir !

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Jack Welch : « Mes conseils pour réussir »
Comment favoriser le renouvellement et le dynamisme des organisations
Organisation verticale : D’où provient la reconnaissance du manager par son équipe ?

Start-up : 10 clés du succès
Devise 028 : Ne crie pas ton succès (Star Trek)
Bien diriger : Les recettes de six grands patrons

Autres Management :

Récapitulatif 19 Management

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Comment regagner de la confiance en soi


Les caractéristiques de la confiance en soi

Manque de confiance en soi

même pas peur confiance en soiLe manque de confiance en soi est caractérisé par :

  • La peur de ne pas y arriver
  • Des hésitations permanentes
  • Un jugement négatif sur ses capacités
  • Le sentiment de ne pas être à sa place (syndrome de l’imposteur)
  • Une mise en avant de ses échecs
  • etc.

Le manque de confiance vient de la perception de l’on a de sa valeur.

Certains cultivent de sentiment et s’engagent dans une spirale de déboires en tout genre, d’ordre privé et professionnels.

Sans être une maladie, le pessimisme semble être la règle, car le manque de confiance en soi est un état qui dure longtemps.

Il pénalise la carrière et paralyse les relations avec les autres.

Gain de confiance en soi

Comme contre la timidité, il est possible de combattre cet état et d’améliorer sa confiance en soi.

D’abord, la pensée positive et l’envie de s’améliorer doit se mettre en place.
Sans la volonté de vouloir faire évoluer son comportement, tenter d’avoir l’apparence d’une meilleure confiance en soi restera une tentative infructueuse.

Les caractéristiques d’un gain de confiance en soi :

  • Prendre du recul
  • Avoir un jugement réaliste et objectif
  • Tolérer ses propres erreurs, se pardonner
  • Apprendre de ses erreurs, en tirer des leçons pour le futur
  • Avancer pas à pas
  • Diminuer l’ampleur de ses objectifs pour pouvoir les atteindre
  • Écouter les critiques et retenir les axes d’amélioration
  • Se convaincre de pouvoir réussir
  • etc.

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La méthode Coué
Être timide et réservé : Point faible ou point fort ?
Peur de ne pas réussir : Comment réagir

Le trac : Comment le vaincre
Incompétence ou 10 conseils pour faire face aux critiques
Chômage : Sortez de votre indécision

Autres Bien-être et Organisation :

Récapitulatif 19 Bien-être
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Les 4 registres de la Communication interpersonnelle


Bien communiquer, c’est utiliser les 4 registres

Que ce soit pour parler à un public nombreux, en petit comité ou à une seule personne, la communication entre les personnes passe par le langage verbal et non verbal.

Ces deux dimensions font partie du premier des 4 registres de la Communication.

Voici ces 4 modes de fonctionnement pour une bonne communication :

le renard communique mieux que le corbeau

Il a atteint son objectif

1. Le registre du corps

C’est celui qui vient d’être évoqué et que fait l’objet de plusieurs articles dans ce blog.

  • La voix
  • Les expressions du visage ou mimiques
  • Les gestes du corps : mains, bras, jambes
  • Les postures
  • Le regard

2. Le registre relationnel

Bien communiquer passe par l’établissement d’une bonne relation avec son ou ses interlocuteurs.

Un lien se créé qui permet de faire passer son message par un canal plus favorable à la réception du message que si vous avez une mauvaise relation.
Une bonne relation s’établit par :

  • Accueillir : technique du SBAM
  • Favoriser un bon climat physique
  • Mettre à l’aise son ou ses interlocuteurs, ou son public
  • Répondre aux questions
  • Donner la parole, écouter sans interrompre

3. Le registre intellectuel

Partie cachée aux autres, ce que vous avez dans la tête, le registre intellectuel permet de mieux communiquer en évitant des erreurs qui détruisent votre communication.

Il s’agit de :

  • Avoir un objectif et s’y tenir
  • Structurer mentalement le discours
  • Organiser ses idées avant de les exprimer, savoir ce que l’on veut dire
  • Convaincre avec des arguments clairs et précis
  • Observer et réagir aux propos de son ou ses interlocuteurs

4. Le registre émotionnel

Bien communiquer, c’est faire passer ses émotions aux autres, les afficher et les rendre positives pour accentuer l’impact de ses paroles.

Pour cela, il faut :

  • Du charisme, de la présence
  • De la confiance en soi
  • De l’assurance, en montrant que vous êtes sûr (e) de vous
  • De l’aisance, tant dans les gestes et le regard que dans les paroles
  • De l’enthousiasme, qui se partage
  • Du désir de réussir

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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La Process Communication : Les 6 personnalités
Règles pour un manager pour des phases difficiles de communication

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Réussir son entretien d’embauche au téléphone


Conseils pour réussir son entretien d’embauche téléphonique

entretien téléphonique préparéUn entretien d’embauche au téléphone peut avoir lieu d’une manière planifiée ou inattendue.

Le recruteur vous appelle, soit suite à votre candidature, soit parce qu’il est un chasseur de têtes.

Dans tous les cas, vous êtes, l’un et l’autre, dans une situation où l’entrevue d’embauche se fait à distance, sans que vous vous voyiez.

La tenue vestimentaire devient totalement indépendance et les repères habituels de décryptage de vos gestes sont absents.

Cela peut sembler plus réconfortant pour le candidat, seulement il faut se rappeler que c’est le cas aussi du recruteur.

Il va se concentrer sur les questions qu’il a soigneusement préparées et prendre plus de notes par écrit pour vos réponses et ses réflexions.

En absence de contact visuel, tout va se jouer sur l’échange verbal et le contenu des réponses à vos questions.

La meilleure situation est quand l’appel est prévu à une heure précise, comme pour un rendez-vous en face-à-face.

Si vous n’êtes pas dans un environnement approprié, vous serez mal à l’aise pour répondre.
Il est alors préférable de différer le rendez-vous à un moment choisi par vous.

Le recruteur sait que son appel imprévu a souvent pour conséquence un deuxième rendez-vous téléphonique.
Il acceptera plus facilement de vous en fixez un nouveau après s’être assuré que vous êtes bien toujours candidat (e), plutôt que de risquer de perdre un(e) candidat(e) intéressant(e) à cause d’un manque de préparation.

Distractions interdites, préparation indispensable

Préparez-vous un quart d’heure avant l’heure du rendez-vous.

Évacuez tous les éléments qui peuvent perturber votre environnement :

  • Faites en sorte que les enfants soit gardés par quelqu’un d’autres ou/et que votre animal de compagnie soit éloigné durant toute la durée de la conversation
  • Débrancher votre sonnette ou mettez un mot pour qu’un visiteur inopportun vienne sonner ou frapper à votre porte
  • Vérifiez que le message de votre répondeur soit classique. Changez-le si nécessaire en évitant plaisanterie ou musique
  • Ayez sous les yeux tous les documents nécessaires : offre, CV, lettre de motivation, diplôme(s), etc.
  • Relisez vos questions à poser au recruteur, que vous avez préalablement rédigées
  • Ayez à portée de main toutes les notes que vous avez prises lorsque vous vous êtes renseigné sur l’entreprise et le poste
  • Sortez papier et crayon ou stylo pour noter les points importants de votre échange
  • Soyez confortablement installé, de préférence sans écran à proximité qui pourrait donner l’impression que vous n’écoutez pas le recruteur
  • Faites un dernier point mental sur votre présentation en deux minutes et les réponses aux questions les plus courantes

Pendant et après l’entretien

C’est un entretien d’embauche.
Il faut donc agir comme si le recruteur était en face de vous.

Votre voix sera posée, calme, claire, ni trop forte, ni mollassonne.

Votre propos seront les mêmes. C’est le même échange, les mêmes questions et les mêmes réponses qu’en vis-à-vis.
Cependant, vous devez parler l’un après l’autre. Répondez ou posez vos questions quand vous avez la parole.

C’est le recruteur qui mène l’entretien, donc qui décide de sa durée.
Vous avez fixé une heure environ, et prévu que l’entretien puisse se prolonger, donc vous évitez d’avoir un autre rendez-vous après celui-ci, ne serait-ce que pour aller chercher les enfants à la sortie de l’école, par exemple.

À la fin de l’entretien, vous renouvelez votre intérêt pour le poste, ce que vous confirmerez par mail après l’entrevue, le soir ou le lendemain, après que le recruteur relise ses notes tranquillement.

Profitez d’avoir à peine raccroché, et que vous êtes encore disponible, pour reprendre les points qui vous ont parus insatisfaisants ou incomplets pour apporter un complément à vos réponses que vous enverrez dans le mail de remerciement que vous enverrez au recruteur.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Penser positif génère des résultats positifs


Les pensées positives génèrent des résultats positifs

image positiveLe cercle vertueux de la productivité passe par un certain optimisme.

Lorsque l’on pense d’une manière positive, on envisage de réussir ce que l’on va entreprendre.

Puis, l’action débute et se poursuit, grâce à des étapes. Chacune d’elles représente un objectif intermédiaire atteint. Durant toute la durée de la tâche, les pensées sont orientées vers la mise en œuvre des actions qui conduisent au succès.

Les pensées parasites, la crainte d’échouer, l’anxiété du respect de la date butoir, la panique de rater, l’angoisse de la qualité perdue, sont autant d’émotions qui génèrent du mauvais stress. Ce mauvais stress paralyse, rend malade, fait perdre du temps, de la précision dont de la productivité.

À l’inverse, la pensée positive conduit à la sérénité, au calme, à l’estime de soi, génère des trucs et astuces qui, mis en œuvre, concurrent aux résultats positifs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Psychologie positive, Pensée positive, Parler positif
Soyez positif – Ne dites pas, dites
Critiquer sans blesser : Mode d’emploi

Paix Mondiale : Les 23 indices
Confiance en soi : Un indicateur pour la mesurer
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Bonne année 2016 !


Excellente année 2016

Tous mes voeux de réussite et de bonne santé pour cette nouvelle année 2016 !
voeux bonne année 2016

Philippe Garin

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2016 : Les jours fériés
Calendrier scolaire 2015 2016
Symboles des années de mariage

Devise 028 Ne crie pas ton succès (Star Trek)
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Défaite : Une question de point de vue

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Défaite : Une question de point de vue


Présenter les choses est tout un art

un_pere_et_sa_fillePapa demande :

Comment s’est passé votre course ?

Julie répond :

Très bien, je suis arrivée deuxième !

Papa :

Et ta soeur ?

Julie :

Oh ! Seulement avant-dernière.

Papa :

Vous étiez combien ?

Julie :

Deux

Comme quoi, tout est une question de point de vue.

Présenter les choses objectivement et dire la vérité peut s’avérer un art,
pour peu qu’une défaite semble une victoire.

Philippe Garin

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Lettre de motivation : 8 conseils pour réussir


Pour bien rédiger une lettre de candidature

Lettre de motivation ratée

Lettre de motivation ratée

1 Évitez la « redite »

Ce que vous écrivez dans la lettre de motivation doit être différent de ce qui se trouve dans votre CV

Outre que vous montreriez ainsi un manque d’imagination, vous lassez le recruteur qui aura, préalablement, lu votre CV. Qu’apporte alors la lettre, si vous redonnez les mêmes informations ?

2 Complétez le CV

Grâce à la lettre de motivation, vous apportez du détail sur une ou deux expériences, présentes sur le CV, en lien direct avec le poste à pourvoir. C’est cela qui montre votre motivation, d’où son nom

3 Expliquez et démontrez

Plus vous serez précis dans les circonstances, les lieux, chiffres et résultats obtenus, dans votre lettre de motivation, appelée aussi lettre de candidature, plus vous retiendrez l’attention du lecteur, sous réserve que cela a un intérêt pour le poste qu’il propose.

4 Informez-vous

Plus vous aurez trouvé d’informations sur l’entreprise et plus vous aurez envie de postuler, … ou de renoncer. Les éléments qui vous ont particulièrement intéressés vous donneront des mots à utiliser dans la lettre de motivation et montrera que vous vous êtes intéressé à votre « peut-être » future entreprise

5 Des points forts

Tout ce qui représente, en votre candidature, des avantages pour l’entreprise, vos points forts, vos qualités professionnelles et personnelles, sont à mettre en avant, sans, toutefois, étouffer le lecteur par trop d’informations.

6 Gardez le but de la lettre en mémoire

L’objectif premier de la lettre de motivation est de convaincre le chargé de recrutement qu’il a intérêt à vous contacter pour vous proposer un rendez-vous, un entretien d’embauche. Donc, à indiquer dans la dernière partie de la lettre.

7 Faire simple

Inutile de chercher à multiplier les polices de caractères, le gras, l’italique, etc. Faire des phrases simples, courtes est plus efficace.

De même, la lettre de candidature tiendra sur une seule page, avec des paragraphes de 4 lignes maximum, aérée, avec une signature bien visible au-dessus de votre nom.

8 Le choix des mots

Spécialiste dans votre métier, vous vous adressez à un chargé de recrutement, dont le jargon professionnel est souvent différent du vôtre. Pensez-y dans le choix de vos mots.

Évitez aussi toute familiarité, même si c’est un ami « dans le civil ».

Restez toujours positif et supprimez tout mot et expression contenant des mots négatifs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Autre structure de la lettre de motivation
Lettre de motivation : Canada vs Europe
Les étapes du recrutement côté entrepreneur

Quand une candidature spontanée n’est pas vraiment spontanée
Avantages d’une boite-aux-lettres independante
En poste ET en recherche d’emploi : Prudence

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