Prendre sa vie en main : vie privée et vie professionnelle


Prendre sa vie en main

À la naissance, l’être humain est incapable de vivre par lui-même. Ses parents sont là pour lui.
Il commence à devenir autonome en apprenant à manger seul, puis à marcher, puis à parler.
Il reste encore très dépendant.

L’adolescence est une période où il se sent mal à l’aide, pas encore autonome tout en ayant bien envie. Vient le choix d’une carrière, le choix d’avoir une vie privée à soi ou à deux.

Dans un cas comme dans l’autre, vous devenez indépendant. Vos choix sont les vôtres.
Oui !? Est-ce vraiment le cas ?

Qualité ou défaut

Vous pouvez développer une autonomie par des prises de décision unilatérale ou, au contraire, être à l’écoute de votre entourage, être influencé par vos lectures et les conseils.

devenir autonome par l'éducation

devenir autonome par l’éducation

Prendre une décision évolue avec le temps.
Vous pouvez passer pour un inconditionnel, un têtu, un meneur ou un incompris, un hésitant, un suiveur, au début de votre vie active et basculer, au gré des rencontres et des aléas de la vie de l’autre côté. Ceci même plusieurs fois.

Qui contrôle votre vie ?

  • « Qui m’aime me suive ! »
  • « Tu ne penses qu’à toi ? »

Si le nombre de divorces est aussi important, le hasard y joue un rôle mineur.
Si le nombre de fermetures d’entreprise augmente, il y a bien des raisons à cela.

Des influences extérieures viennent toujours contrecarrer les plans les mieux préparés.

Les uns vont se sentir honteux, dépressifs. Ils vont ressasser les idées de perte, se sentir blessés, perdus et restent tournés vers le passé.

Les autres vont se remettre rapidement du changement de situation. Ils vont rebondir et aller de l’avant, chercher une autre voie et se tournent vers l’avenir.

vous êtes responsable du contrôle de votre vie

vous êtes responsable du contrôle de votre vie

Les deux attitudes peuvent même avoir lieu en même temps : l’une dans la vie professionnelle, l’autre dans la vie personnelle.
Par exemple : Une rencontre amoureuse va entrainer la perte de votre emploi ou la perte de votre emploi va entraîner une séparation de la personne qui partageait votre foyer.

Vous êtes responsable

Être responsable est différent d’être coupable. Vous êtes responsable aussi des bonnes choses qui vous arrivent dans la vie.

Lorsque vous pensez en termes de solutions, alors vous parvenez à contrôler votre vie, à définir le chemin pour accéder à vos objectifs.

Lorsque vous pensez en termes de problèmes, alors ce seront les autres qui influenceront votre vie, qui prendront les décisions à votre place.

Quand vous prenez votre vie en main, peu importe les obstacles, vous ferez ce qui vous semble correct, pour les contourner, les surmonter, les franchir, pour continuer à avancer sur le chemin de votre vie.

En entretien d’embauche ou durant une discussion avec vos petits-enfants, ou encore, simplement en regardant ce que vous avez fait de votre vie passée, serez-vous plein de regrets ou plein de fierté ?

Vous seul pouvez répondre.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Entretien d’embauche : Quand répondre à une question provoque des regrets


Regretter d’avoir répondu à des questions

regret d'avoir réponduIl arrive que, dans le feu de l’action de l’entretien d’embauche, on réponde à des questions et que l’on regrette sa réponse.

Dans tout entretien, il y a des questions et des réponses.

Ce qui dérange, c’est le contenu des réponses, pas le fait de répondre.

Quelles questions ?

Il y a deux sortes de questions :

  1. Les questions pour lesquelles vous avez une réponse déjà prête puisque vous les avez préparées avant l’entretien,
  2. les questions nouvelles, auxquelles vous ne vous attendiez pas.

Celles qui dérangent le plus sont les secondes.

Pour réduire le nombre de ces questions, il faut augmenter le nombre de réponses préparées. La durée d’un entretien implique un nombre limité de questions. C’est une sorte de vases communicants entre les deux sortes de questions.

Cela semble une vérité pleine de bon sens et c’est exactement cela.

Internet et préparation

Sur Internet, de nombreux articles sont publiées sur les questions les plus fréquemment posées en entretien d’embauche. Vous en trouverez plusieurs dans mon blog.

Lire est insuffisant, si l’on s’en contente. Il faut se lancer dans une préparation, assez longue, qui consiste à imaginer une ou plusieurs réponses à chacune de ces questions.

Plus vous préparerez de réponses et plus les réponses viendront facilement. Si besoin, demandez autour de vous des conseils de la part de personnes qui vous connaissent bien et qui connaissent votre CV ou parcours professionnel.

Les réponses sont classiques et tournent toujours autour des mêmes sujets. Les réponses à donner doivent être classiques, appropriées à votre cas, tout en étant suffisamment originales pour que le recruteur se souvienne de vous parmi tous les candidats, en bien.

Et pour les questions inattendues

Pour les questions inattendues ou non préparées, plusieurs techniques existent.

D’abord, avec l’entrainement que vous aurez acquis en cherchant des réponses aux questions de la première catégorie, vous saurez plus facilement improviser des réponses.

Dites la vérité, accompagnez vos réponses de gestes amples, c’est-à-dire les bras ouverts, les mains ouvertes, les jambes dénouées et avec le sourire bienveillant.

Si vous « séchez » et ne savez pas quoi répondre, laissez-vous le droit à prendre quelques secondes pour réfléchir.
Un recruteur préfère quelqu’un qui réfléchit 10 secondes que quelqu’un qui répond trop spontanément et qui le regrette tout de suite.

Vous avez aussi le droit de dire que vous n’avez pas de réponse tout de suite à donner, surtout lorsqu’il s’agit d’une question de savoir, de compétences, et que vous répondrez quand vous aurez trouvé une réponse appropriée.

Temporiser est une technique qui marche. Elle peut, aussi, irriter l’autre quand elle est trop fréquente, donc à utiliser sans dépasser 3 ou 4 fois durant l’entretien. Au delà, le recruteur notera que vous en savez moins que ce que vous avez annoncé dans votre CV.

Basez vos réponses sur votre expérience personnelle ou que vous avez lu ou entendu. Les histoires des autres font partie de votre expérience puisque vous les avez retenues.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Peur de ne pas réussir : Comment réagir


Pire que le trac, la déconsidération de soi

peur de l'échecVous doutez de vous-même ?

Après une série d’échecs ou une seule rebuffade, votre moral est au plus bas.

Un dépit amoureux ou un licenciement, un cadeau raté reçu à votre anniversaire ou une réduction qui vous est passé sous le nez, une remontrance de votre chef ou un harcèlement sur Internet, etc. : il y a tellement d’occasions de se sentir oublié (e), frustré (e), décontenancé (e), rabaissé (e), au point de penser que l’on est bon à rien, malgré ses qualités et son savoir-faire.

La peur de l’échec

La peur de l’échec est un des premiers symptômes que l’on éprouve dans sa vie.

Elle apparaît dès l’école, surtout quand une leçon est mal apprise ou que l’on s’est entiché de son ou sa camarade de classe.

La peur de manquer des connaissances ou des compétences pour parvenir au résultat envisagé est au moins aussi forte que celle d’essuyer un refus et de perdre l’estime de l’autre.

Le manque de confiance en soi

Le manque de confiance en soi vient aussi des discours entendus dans sa vie professionnelle autant que dans sa vie personnelle.

Quand vos parents, vos professeurs, votre conjoint (e), vos enfants, vos chefs disent du mal de vous ou vous répètent que d’autres font mieux que vous, ou encore vous ignorent, on peut dire que cela pèse sur le moral.

Se sous-estimer

Mettez-vous la barre trop haute ?

Sans vouloir pécher par excès de zèle ou surestimer ses qualités et ses compétences, dites-vous que l’opinion des autres sur vous-même à moins d’importance que votre propre opinion sur vous-même.

C’est vous qui avez raison !

Accumulez les échecs pour progresser

Si vous ratez cette fois-ci, ce sera pour une prochaine fois.

Préparez-vous, formez-vous, renseignez-vous et quand vous pensez être prêt (e), lancez-vous.

Avoir peur de l’échec conduit à la paralysie, alors dites-vous que l’occasion fait le larron : une opportunité que l’on laisse passée vous fait éprouver des regrets.

Préférez-vous avoir des regrets ou des remords ? Ceci est une question entendue dans un entretien d’embauche.

Agir, c’est se donner le droit de se tromper. Le droit à l’erreur que l’on s’accorde, permet de rebondir sur de meilleures bases, sous réserve d’avoir compris ce qu’il aurait fallu faire.

Analyser ses erreurs

Certains échecs sont sans rapport avec vous :

Un amour non réciproque, un licenciement économique, une inondation soudaine, etc. sont autant d’exemples où l’échec est indépendant de votre volonté.

D’autres échecs sont bien les vôtres :

Ne rejetez pas systématiquement tous les malheurs qui vous arrivent sur les autres. On a vite fait de trouver des boucs-émissaires alors qu’une analyse plus objective montre que vous avez commis une erreur.

Faites la part des choses et rebondissez.

Progresser

D’autres font mieux que vous ou ont plus de chance. Et alors ? La jalousie est un sentiment négatif.
Être envieux (se) devrait vous aider à vous surpasser.

Si vous voulez parvenir à atteindre les mêmes objectifs que les plus chanceux, les plus intelligents ou les plus entreprenants, alors déterminez vos points forts et vos axes d’amélioration.

Renforcez les premiers et minimisez les seconds.

Philippe Garin

Pour vous faciliter le recrutement, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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