5 Conseils pour mieux se concentrer


5 Conseils pour mieux se concentrer

La fatigue ou le manque d’intérêt sont deux des facteurs qui font que nous sommes distraits ou que nous ayons du mal à nous concentrer sur ce que nous écoutons, écrivons, disons, faisons.

De tout temps et en tout lieux, le manque d’attention est souvent lié à notre esprit. Il vagabonde, il imagine, se soustrait à la tâche ingrate que l’on s’impose et qui nous est imposée.

Selon une étude américaine en 2020,

  1. 28% du temps de travail d’un employé est perdu en bavardages, vagabondages des idées et plus généralement à la déconcentration au travail,
  2. 34% des distractions serait dû aux interruptions d’autres employés ;
  3. 29% viennent de la lecture de mails,
  4. 23% de discussions entre collègues
  5. 21% de réunions
soyez attentif

soyez attentif

Pour se (re)concentrer sur son travail, voici quelques conseils de non aloi :

1/ Se concentrer sur une autre activité

Afin de discipliner son esprit, autant le faire sur une distraction qui demande de la concentration : le jeu en solitaire : Mots croisés et équivalent, sudokus, et autres jeux de mémoire qui font appel à la réflexion et oblige à se concentrer exclusivement sur le jeu.

Ceci a pour conséquence, d’apprendre au cerveau à se concentrer sur la tâche du moment, tout en créant les connexions synaptiques nécessaires qui aident, par la suite, à se concentrer sur son travail.

2/ Faire des pauses

Quand le cerveau surchauffe, il « décroche » sans nous prévenir. On s’acharne à poursuivre au risque de faire des erreurs par manque de concentration. Plus on veut poursuivre et plus la concentration se perd.

C’est pourquoi, faire des pauses régulières permet au cerveau de décompresser. La tension artérielle baisse et le sang circule mieux. Le cerveau est mieux irrigué.

pause chocolat

pause chocolat

Reprendre un travail après une pause où l’on a agi par de simples actes comme se désaltérer, manger un en-cas, aller aux toilettes, se laver les mains, permet une déconnexion rapide et une meilleure concentration.

3/ Dormir

La qualité du sommeil influence grandement la concentration et l’efficacité au travail.
La quantité de sommeil entre aussi en jeu. Selon chacun d’entre nous, le nombre d’heures de sommeil est différent, néanmoins, il se situe généralement autour de 7 à 8 heures au quotidien. Dans le silence, le noir et sans interruption.

4/ Avoir une activité physique

Outre le fait d’améliorer la circulation sanguine par une pratique du sport, il est toujours possible de trouver des moments pour avoir une activité physique.

Elle permet d’éliminer les déchets toxiques pour notre organisme. Il s’agit le plus souvent de la marche. Une bonne marche, vive, sans flâner, monter les escaliers, laisser la voiture plus loin ou descendre une station de bus, de tram ou de métro avant sa destination.

méditer, respirer

méditer, respirer

5/ Respirer consciemment

Une pause relax, une séance de sophrologie, ou un moment de méditation, sont autant de techniques qui aident à se concentrer.

Prendre conscience de sa respiration, respirer lentement en faisant attention à l’inspiration et à l’expiration, permet de se concentrer, sur soi d’abord, puis sur son travail ensuite..

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Manque de repos : Causes, erreurs et risques
Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire
Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez

6 comportements des personnes mentalement fortes
Concentrez vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré
Gestion du temps : Concentré de tomates ou la technique Pomodoro

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CSP ou Contrat de Sécurisation Professionnelle : Les avantages


Les avantages du CSP lors d’un licenciement économique

Le CSP est réservé aux personnes licenciées économiques alors qu’elles avaient un contrat à durée indéterminé, CDI.

CSp ou contrat de sécurisation professionnelle

Lors du licenciement économique, les salarié (e) s ont un délai de 21 jours pour accepter ou refuser le Contrat de Sécurisation Professionnelle.

Voici les 4 avantages à accepter ce contrat

1 Un accompagnement renforcé et personnalisé

Un conseiller de Pôle emploi spécialisé cous accompagne pendant un minimum de 12 mois.

Durant cet accompagnement, vous pouvez bénéficier des prestations suivantes :

  1. Définition de votre Projet professionnel
  2. Bilan de compétences
  3. Immersion en entreprise pour découvrir un nouveau métier
  4. Une formation pour acquérir de nouvelles compétences ou monter en qualification
  5. Entrainement à la recherche d’emploi pour convaincre les recruteurs

2 Une allocation majorée

Le montant de l’Allocation de Sécurisation Professionnelle ou ASP est supérieur à l’Allocation de Retour à l’Emploi, ou ARE, dont bénéficient les Demandeurs d’emploi qui ont le droit à une indemnité chômage.

L’ASP dépend de l’ancienneté dans l’entreprise

  1. 1 an ou plus : 75% du salaire brut
  2. Moins d’1 an : 57% du salaire brut

À noter que 57% du salaire brut est le montant de l’ARE si le CSP est refusé.

3 Pas de période de carence

Le CSP débute immédiatement après la fin du contrat de travail, sans tenir compte du délai de carence habituel.
Néanmoins, il faut attendre le délai de réflexion de 21 jours.

4 Des aides au retour à l’emploi

En cas de retour à l’emploi avant la date de fin du CSP, l’ancien demandeur d’emploi a la possibilité de bénéficier d’une aide financière, soit la forme d’une Prime de reclassement ou d’une indemnité

Source : Pôle emploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

L’indemnité chômage : Les durées
Chômage : Le nombre de jours sans indemnité
Indemnité chômage : Comment est calculé le montant de l’Allocation d’aide au Retour à l’emploi

Indemnisé (e) par Pôle emploi après un travail au Luxembourg : Les conditions
Demandeur d’emploi : La Préparation Opérationnelle à l’Emploi individuelle ou POE I
Allocation chômage : Nouvelle convention, nouvelles règles

Autres Emploi et Juridique :

Récapitulatif 20 Emploi
Récapitulatif 20 Juridique

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Recrutement : Refuser un poste en se préservant


Refuser un poste en préservant l’avenir

non merciRien de pire que de refuser un poste en mettant à mal la relation établie avec le recruteur.

Qu’il soit recruteur professionnel, externe ou interne, ou occasionnel, le recruteur est une femme ou un homme avant tout, au même titre que la candidate ou le candidat.

Les uns et les autres ont droit au respect.

Dire non avec tact

Il existe autant de raisons pour un candidat de refuser un poste que de recruteurs pour rejeter une candidature.

Si nombre de recruteurs se permettent de laisser les candidats recalés sans réponse, un chercheur d’emploi se doit d’annoncer son refus.

Un mail est le minimum, un appel téléphonique est préférable.

Inutile de faire un long discours ou de justifier sa réponse négative. Annoncez simplement qu’après réflexion, vous avez pris la décision de retirer votre candidature, parce que vous privilégiez une autre piste. Cela suffit.

Vous pouvez, bien entendu, fournir plus de détails, selon votre volonté.

Garder le contact

Il est possible qu’un autre poste, proposé par le même recruteur, dans le même contexte ou dans d’autres circonstances, puisse vous intéresser.

Si vous avez joué de la chaise vide, ou ghosting, ou si vous avez été véhément (e) lors de votre refus, il est fort probable que votre candidature échoue. La rancune est tenace.

Mieux vaut remercier le recruteur du temps passé avec vous durant le recrutement en cours.
Ajoutez que vous souhaitez qu’il vous contacte au cas où votre profil conviendrait pour un autre poste à pourvoir dans le futur.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Le ghosting ou quand le candidat est aux abonnés absents
Recrutement : 21 raisons illégales de refuser un candidat
Chômage : Sanctions plus dures pour ceux qui ne respectent pas les règles

Interrompre l’entretien d’embauche : Oui, mais quand ?
Candidature : Comment choisir entre deux réponses positives
Emploi chauffeur ou une belle arnaque

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Récapitulatif 19 Emploi

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Prendre du recul : Une évolution positive


Prendre du recul : Une évolution positive

prendre du reculLa capacité à prendre du recul est une qualité personnelle ou compétence douce (soft skill).

Cela évite des réactions trop brusques et inadaptées à la situation.

Quand un événement arrive, il y a la réaction émotionnelle naturelle qui vient en premier.
Cette réaction est spontanée et est en fonction de son caractère et de son éducation.

Puis, en quelques fractions de seconde, la raison intervient pour nous dire si nous avons bien réagit ou l’inverse, ou nous retient pour nous empêcher de réagir d’une manière inappropriée.

Toujours quelques fractions de seconde plus tard, jusqu’à quelques secondes, notre raison nous fait trouver la « bonne » réaction.
Bonne ou mauvaise car la réaction est influencée par la compréhension de la situation.

Un exemple pour bien comprendre

Pour bien comprendre cela, il faut s’imaginer se trouver avec un enfant dans un magasin qui se met à faire un caprice.
La réaction émotionnelle va être de le faire taire, peut-être avec une tape ou un cri contre lui.

Puis, notre raison nous dit que frapper un enfant ou crier après un enfant est une mauvaise chose et nous décidons de laisser tomber cette réaction.

La réaction va être ensuite différente selon le moment :

  • Prendre l’enfant dans ses bras,
  • Céder à son caprice,
  • Lui expliquer qu’il est impossible de satisfaire à son caprice,
  • etc.

Peu importe, en tout cas le pire a été évité.

Suivre sa tête ou suivre son cœur ?

Le recul, c’est la possibilité de choisir entre différentes réactions que notre raison nous propose.

Pour la tête, c’est la logique et le raisonnement qui vont primer, c’est avoir un cerveau gauche.

Pour le cœur, c’est l’intuition et les sentiments qui vont décider, c’est avoir un cerveau droit.

Nous sommes tous un peu les deux, parfois plus analytique parfois plus sensible, avec toujours une préférence naturelle pour un côté ou l’autre.

Un bon manager prend du recul

Lorsque vous avez une équipe à encadrer, avant de pousser des cris en disant que le travail était mal fait, rassemblez les informations nécessaires avant de décider.

À un poste de responsabilité, vous devez impérativement réagir en toute connaissance de cause.

Prendre du recul évite de dire ou de faire des bêtises.

Pas trop de recul

Attention à réagir à temps.

Quand on prend trop de recul, on risque de laisser penser à l’autre que l’on est incapable de réagir correctement, c’est-à-dire de décider de la réaction à prendre.

Comme tout ce processus prend généralement moins d’une seconde, c’est l’expérience qui nous aide.

Au début de sa vie, professionnelle ou personnelle, le processus est un exercice qui demande la capacité à évaluer les différentes options, donc à envisager ces options.

Avec de l’expérience, on utilise inconsciemment le passé pour trouver une réaction la plus appropriée possible.

Par contre, le manque d’expérience nous propose qu’une seule option ou zéro.
Zéro signifie que l’on reste bloqué sans savoir comment réagir.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Das Kind – L’enfant
Cerveau droit ou cerveau gauche : Trouver vos points faibles et vos points forts
Management : A savoir pour manager la génération Y

Quand la critique devient harcèlement
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Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire


Se concentrer est parfois difficile

se concentrerDans une période d’intenses réflexions comme les révisions avant de passer des épreuves pour un diplôme ou un concours, il est nécessaire de se concentrer pour être efficace.

Seulement voilà, l’esprit vagabonde, la procrastination est toute proche. La concentration vous fuit.

Vous vous endormez le soir, avec une idée précise sur votre programme du lendemain, et, le lendemain soir, vous avez la passé la journée sans avancer vraiment.

Comment se concentrer

La concentration signifie être capable de rester actif sur une action avec l’esprit et le corps qui pensent et qui agissent uniquement sur l’action en cours.

Pour cela, il faut plusieurs éléments, liés à nos différents sens.

1 La vue

Regardez l’objet, par exemple un texte ou une image, en « oubliant » tout ce qui est autour, donc en focalisant son attention sur cet objet ou cette pensée.
Pour la pensée, fermer les yeux est une solution.

2 L’ouïe

Il faut aussi se couper des sons parasites, c’est-à-dire tout ce qui peut perturber, par exemple, la musique, la télévision, les publicités sur Internet, les bruits de la rue ou de la maison, bref de l’endroit où l’on se trouve.

Le filtre de ses oreilles doit laisser passer uniquement le son « utile ».

Dans certains cas, une musique douce, par exemple, le bruit de la pluie, de la mer, nous conditionnent à nous concentrer sur le présent.

3. Le toucher

Le toucher implique que l’on fait abstraction de la façon dont se tient.

Debout, assis, allongé, peu importe, le contact avec le corps se fait uniquement par rapport à l’objet que l’on touche volontairement et sur lequel on veut se concentrer.

La chaleur ou le froid sont également des facteurs perturbants de la concentration. Il est plus facile de se concentrer quand l’environnement est à la bonne température.

4. L’odorat

L’odorat a un rôle puissant, car il est tourné vers le passé et les souvenirs, positifs ou négatifs, qui occupent alors l’esprit.

Évitez les parfums forts, si vous êtes sensibles aux odeurs, mieux vaut des senteurs printanières, par exemple, une légère odeur de muguet ou, mieux, pas d’odeur du tout

Cela permet au cerveau de désactiver la partie qui sert à l’identification des odeurs.

5. Le goût

Le rôle du goût est moindre, sauf si l’objet de ta concentration est une recette de cuisine.

Pour la concentration, évitez les moments où vous avez faim.

Calmer sa faim permet de faire abstraction de ce facteur perturbant.

6 Le cerveau

Le plus compliqué est le cerveau et les pensées.

Parfois, faire une pause et s’occuper à tout autre chose permet de chasser de son esprit, pendant un temps, ce qui nous préoccupe.

Par exemple, faire des mots-croisés, jouer au solitaire, faire un puzzle sont des activités qui nécessitent de la concentration et qui empêchent de penser à autre chose.

Une fois, la période de détente passée, vous êtes plus à même de vous concentrer.

6 Autres conseils :

Dormir. Quand on fait une sieste, au minimum de 10 minutes, on a « vidé » le cerveau.

Vient ensuite la respiration. Assis confortablement, les bras ballants, inspirez lentement par le nez, puis expirez profondément par la bouche.
Répétez une dizaine de fois l’exercice, tout en étant dans un environnement non parasité par les autres sens.

Parfois aussi, passer sous la douche ou prendre un bain permet de détendre son corps.
Cela permet la production d’endorphines qui calment. La concentration est plus facile par la suite.

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Entretien d’embauche : L’écoute pour se mettre au diapason

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Récapitulatif 19 Organisation

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Si vous pouvez le faire en 2 minutes, faites-le maintenant


Si vous pouvez le faire en 2 minutes, faites-le maintenant

maintenant en plusieurs languesIl est très facile de perdre du temps. Beaucoup plus que d’en gagner.

Dans une journée, il y a ce que l’on a prévu de faire et ce que l’on fait.

Comme nous sommes des êtres humains, nous vivons en communauté. Nous agissons en commun, notamment au travail et en famille.

Quel que soit son degré de sociabilité, nous sommes influencés par les autres et nous les influençons à notre tour. Ce qui est évoqué ici sont les interactions des uns envers les autres et non les influences d’opinion.

C’est ainsi que nous devons répondre aux sollicitations des autres, qu’ils s’appellent chef, collègue, collaborateurs, ou conjoint (e), enfant, voisin, par exemple, ou encore client, fournisseur, fonctionnaire.

Maintenant ou plus tard

Lorsque l’on est sollicité, que l’on sollicite, l’action est cours est interrompue ou vient de se terminer. Avant de commencer la suivante, il faut s’imaginer le temps qu’elle va prendre.

Lorsque l’action à mener est rapide, en moins de 2 minutes, alors exécutez-la. Inutile d’attendre, de la repousser à plus tard.

En effet, reprendre ou démarrer une activité, c’est recommencer à se mettre au courant de ce qu’il y a à faire.
« Se remettre dans le bain » implique de passer moins de 2 minutes à se remémorer ce qu’il y a à faire.

Alors pourquoi perdre ces précieuses minutes ?

Autre conséquence d’une action rapide : Plus besoin de la planifier à nouveau. Terminée l’action, place à l’action suivante.

Évidemment, il peut y avoir une suite à l’action menée. Peu importe le moment où elle est exécutée, elle aura la même suite à donner.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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BYOD ou AVEC : Définition et limites

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Coupez tous vos appareils électroniques


Coupez tous vos appareils électroniques

sans électricitéDrame. Catastrophe. Imaginez une coupure de courant durable qui fait qu’aucun de vos appareils électriques et électroniques ne fonctionnent.

Pire ! Des interférences bloquent vos communications téléphoniques fixes ou smartphones.

Et maintenant, travaillez !

Outre ce scénario apocalyptique, que se passerait-il si vous faites une pause, libre de tous appareils électroniques.

  • Fermez votre ordinateur,
  • éteignez votre smartphone,
  • Pas de montre ou autre objet connecté.

Le monde continuerait de tourner.

Combien de temps allez-vous tenir ? Comment allez-vous travailler ?

Il était une fois, au vingtième siècle et jusque dans le milieu des années 80, un monde sans téléphone portable, sans Internet grand public, dans lequel l’information passait par la télévision, quelques chaînes, la radio et la Presse écrite sur du papier journal.

On prenait ses rendez-vous avec un téléphone fixe. On se rendait chez son client ou son fournisseurs, son partenaire commercial, en voiture, pour apprendre que le rendez-vous était annulé.

Par contre, on faisait le trajet dans le calme et la tranquillité.

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Visualisez votre raisonnement pour être au plus performant


Visualisez votre raisonnement ou alors oubliez-le

Visualisez le but et le chemin

visualiser le coloriage

Un des principes de l’efficacité est de prendre quelques instants pour visualiser son raisonnement.

Imaginez le résultat que vous souhaitez obtenir. Voyez-le dans votre esprit.

Faites de même avec les différentes alternatives qui vous permettraient d’atteindre votre but.

Que ce soit par une image, un film ou un écrit, le fait de visualiser sa réflexion permet de graver dans son esprit le but, le chemin pour l’atteindre et les différentes conséquences, positives et négatives des alternatives.

Cela vous permet de choisir le moyen le plus approprié pour parvenir au résultat que vous attendez.

Ces quelques instants de réflexion, avec une image précise de ce que vous avez à faire, va vous gagner du temps et va améliorer la qualité de votre action.

C’est comme si vous étiez dans un labyrinthe et que vous réfléchissiez avant de vous lancer tête baissée dans l’action. Si vous prenez le premier chemin qui vous vient à l’esprit, il est possible qu’il soit le bon, bien qu’en général, il y ait un meilleur chemin.

Et quand on connait le chemin

À part une action répétitive, déjà issue d’une réflexion précédente, prenez le temps de vous posez des questions, de visualiser ce que vous avez à faire et vous gagnerez en efficacité.

C’est ce que font les sportifs; Par exemple, un sauteur à la perche, un skieur d’un slalom géant ou un participant à un rallye automobile, sans parler des joueurs d’échecs.

Nombreux sont les exemples dans le domaine sportif de haut niveau. Cela s’applique aussi au quotidien, au travail ou même à la maison.

Avant de se mettre à cuisiner, mieux vaut visualiser le plat à réaliser et tous les gestes qui sont nécessaire. Cela permet d’éviter d’oublier un ingrédient ou une partie de la recette.

Bon appétit, bon exercice physique et intellectuel et bon efficacité. Soyez les meilleurs dans votre domaine et vous obtiendrez satisfaction et reconnaissance.

Et quand on n’y parvient pas

Quand vous ne parvenez pas à visualiser votre raisonnement, soit il est trop abstrait, soit vos efforts se perdent dans la multitude des alternatives, alors appuyez-vous sur des méthodes de résolution de problèmes.
Ou alors oubliez tout car vous êtes un robot.

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Productivité : Utilisez du papier quand l’ordinateur n’est pas nécessaire


Le mythe du zéro papier

le mythe du zero papierÀ l’arrivée des ordinateurs, certains ont poussé un cri de joie : fini les piles de papier qui encombraient le bureau.
Tout cela disparaîtrait car enregistré dans un petit volume, celui de l’ordinateur.

D’autres ont crié de désespoir : ce serait toute l’industrie du bois et du papier qui serait mise à mal par une diminution effroyable de l’utilisation du papier.

Force est de constater que les industries du papier se portent bien, sinon mieux qu’à cette époque et que nos bureaux sont toujours encombrés de papier… en plus de l’ordinateur.

Réfléchir avec du papier

Mettre ses idées sur papier, dessiner sur papier, écrire ou mettre des notes de musique sur du papier.

Le papier existe depuis des siècles. Il est le support, par excellence de tout support visuel, durable, universel du savoir et de l’information.

Aucune limite. Si la feuille est trop petite, on lui en accole une autre et on poursuit sa réflexion.

Une erreur dans une formule, un dessin, une faute dans un mot : une gomme ou une rature et la réflexion se poursuit.

On peut revenir sur ce qui a été écrit plus tôt, prendre des notes, faire des phrases ou utiliser les mots-clés. Le papier stimule la réflexion car à part un crayon, les techniques à connaître sont des plus simples : savoir lire et écrire, compter, dessiner.

Encore mieux, il est possible de se tromper dans le graphisme ou les graphèmes, sans conséquence fâcheuse car la réflexion se poursuit.

Écrire une idée sur un post-it puis le coller au mur au milieu d’autres idées dans un exercice de créativité

Et l’ordinateur alors ?

L’écran, le clavier et la souris, sont des outils qu’il faut d’abord maîtriser avant de les utiliser pour réfléchir.

L’esprit est en partie occupé à cette maîtrise au détriment de la réflexion proprement dite.

L’écran est toujours trop petit. Il faut utiliser la souris ou le clavier pour retrouver ses idées qui n’apparaissent plus à l’écran.

Bien sûr, l’ordinateur permet de conserver les informations, d’en trouver pour alimenter la réflexion. Cependant, le mécanisme de la réflexion reste dans le cerveau.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Productivité : Douchez-vous quand vous voulez réfléchir


Douchez-vous pour réfléchir au calme

pommeau de doucheL’effet physique

Une « bonne douche » nettoie, en premier lieu.

Être propre permet d’éliminer le facteur olfactif qui pourrait perturber la réflexion.

L’effet de la douche stimule la peau. Mettre sa tête sous le pommeau de la douche, c’est placer son cerveau au plus près des jets d’eau qui massent ainsi la peau du crâne. Le sang est activé et stimule les neurones.

En dehors de l’effet physique d’une eau ni trop chaude, ni trop froide, se trouver sous la douche implique de se consacrer à cette tâche d’une manière exclusive. Impossible de faire quoi que ce soit d’autre de physique.

L’effet intellectuel

C’est parfait lorsqu’il faut se mettre à réfléchir, quel que soit l’objet de sa réflexion, puisque c’est la chose que l’on puisse faire.
Le summum de la concentration.

Bien sûr la douche sert aussi à se relaxer. Là, le bain est plus efficace.

Chercher des idées, trouver des solutions, envisager un scénario, imaginer le futur.
Tout le temps passé sous la douche à faire abstraction de l’activité physique est alors consacré à réfléchir.

Bien entendu, on peut réfléchir en dehors de la douche.
Par contre, à cet endroit, les perturbations sont taboues : personne ne vient vous déranger, le téléphone sonne sans que vous décrochiez, vous êtes libre… et propre.

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Après une longue réflexion


J’ai pris ma décision

prise de décision : peut-êtreAprès une longue réflexion et
après avoir pris conseil de moi-même,
j’ai enfin pris une décision et je vous dit :

peut-être !

Source : Brigitte.de

Traduction par Philippe Garin
phgarin@gmail.com

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Productivité: Une seule action à la fois


Productivité: Une seule action à la fois

chiffre 1Pour certains, cela semble une hérésie ou impossible, pour d’autres une évidence : une seule action à la fois mène pourtant à une amélioration de sa productivité personnelle.

L’analyse d’une action a permis, depuis l’avènement de l’industrie, un découpage des tâches. L’arrivée de la mécanisation, puis de l’électronique, a réduit la durée de l’action et amélioré la qualité de la production en diminuant les erreurs humaines.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

D’ailleurs, une machine n’effectue qu’un mouvement à la fois. Son travail est linéaire, même lorsqu’il est répétitif.

Les prémices et conséquences

Il est rare qu’une action soit isolée. Une autre action ou plusieurs autres actions la précédent. Un ou plusieurs autres actions la suivent. La réflexion porte aussi sur les différentes options, c’est-à-dire des actions alternatives selon le résultat de l’action que l’on va mener.

Les prémices

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Le temps de la réflexion

Juste avant l’action proprement dite, il y a le temps de la réflexion. La durée de la réflexion est fonction de la complexité de la tâche à accomplir et de la concentration de celle ou celui qui y réfléchit.

le temps de la réflexion

Complexité et combinaisons

Mener plusieurs réflexions et plusieurs actions en parallèle conduit à multiplier les combinaisons et la complexité du processus de réflexion avec le risque de mélanger l’intégration dans la réflexion d’éléments du passé autant que les actions à mener.

En gros, le chaos est proche. Plus on veut mener d’actions en parallèle et plus il y a d’interférences dans la réflexion et dans l’action.

Réflexe et combinaison

Les interférences dans les processus rendent la durée de réflexion plus importante que la somme des durées de chaque processus de réflexion, ne serait-ce que parce qu’il faut se concentrer à nouveau sur un sujet à la fois, même si en arrière-plan de son cerveau, les autres réflexions continuent.

Un seul processus à la fois

De plus, la concentration est plus importante et donc le temps de la réflexion est plus court, lorsque l’esprit a un seul sujet à traiter à la fois

un seul processus

La qualité de l’action

Lorsque le temps de l’action est venu, l’ensemble des ressources physiques et intellectuelles se concentre sur son exécution. L’attention que l’on y porte est entière et le résultat plus conforme aux attentes.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Management participatif : Votre plus grande satisfaction
Réflexions pour une orientation professionnelle
Productivité : Un résultat rapidement

Le Kaizen : Difficile à mettre en place ?
Dégradation de la relation personnelle avec le responsable hiérarchique
Le grizzly affamé

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Efficacité : La lenteur est productive


Efficacité : Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire

Raaalllennntiiiiissssseeeezzzz !

Thomas A. Edison

Thomas A. Edison

Le principe de « faire vite et bien » est inculqué, dès notre plus tendre enfance, dans nos esprits.

Être efficace passe par une bonne préparation et l’obtention rapide d’un premier résultat, toutefois, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation.

Sommaire :

  1. Principe de Pareto ou principe des 80-20
  2. Si être productif signifie être égoïste, alors soyez égoïste
  3. Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie
  4. Démarrez seulement lorsque vous êtes vraiment prêt
  5. Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile
  6. Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement
  7. Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire
  8. Finissez rapidement, souvent, sans rechercher la perfection

Prendre du temps

La mise au point de l’ampoule à incandescence a pris du temps, car Edison a utilisé 6 000 substances différentes avant de trouver celle qui dure le plus longtemps pour un éclairage suffisant.

Un inventeur de cet acabit est une exception. Ses inventions ont été une combinaison d’un cheminement intellectuel et de séries d’expérimentations. De nos jours, Internet facilite l’accès à la connaissance. Toute la connaissance de l’humanité est la disposition de tous les inventeurs du monde entier, sous réserve d’avoir des connaissances linguistiques et techniques suffisantes ou un bon traducteur.

Rythme et pauses

Ralentir son rythme de travail, lever la tête de temps en temps, faire des pauses. Tout cela permet de réfléchir, tout en permettant de renouveler son énergie par l’alimentation et le repos. L’inventeur du radar a eu l’idée de son appareil durant son sommeil.

Ralentir permet aussi de vérifier le résultat partiel de son travail et d’ajuster ainsi le temps restant à prévoir ainsi que les coûts et les moyens nécessaires pour parvenir au résultat attendu.

Ce besoin de prendre du recul, de freiner son travail, permet aussi une meilleure rentabilité dans la mesure où la qualité de son travail augmente lorsque le rythme reste à la portée de l’exécutant. Certes, des machines et des outils facilitent le travail et augmente la productivité, cependant l’Homme doit continuer de les maîtriser. Produire plus que nécessaire est un gâchis, une perte d’argent et de temps donc de productivité.

Même Edison, détenteur de plus de 1 000 brevets, l’avait compris, puisqu’il est l’auteur de la maxime :

« Ne jamais inventer quelque chose dont les gens ne veulent pas »

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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Productivité : Un résultat rapidement


Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement

Ai-je fais le bon choixPlus vite le résultat de votre action apparaît, plus vite vous en jugerez la qualité et les conséquences.

La meilleure préparation possible est insuffisante dans la mise à l’épreuve du résultat obtenu. C’est un phénomène qui augmente avec la complexité de la tâche, du service ou du produit résultant de cette tâche.

Sommaire :

  1. Principe de Pareto ou principe des 80-20
  2. Si être productif signifie être égoïste, alors soyez égoïste
  3. Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie
  4. Démarrez seulement lorsque vous êtes vraiment prêt
  5. Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile
  6. Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement
  7. Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire
  8. Finissez rapidement, souvent, sans rechercher la perfection

Par exemple, le nombre d’anomalies dans un programme croît avec le nombre de lignes du programme. Les grandes compagnies de logiciel ont beau investir des millions dans le développement, elles investissent aussi des millions dans les tests de fiabilité de leurs programmes. Malgré cela, les pirates découvrent en permanence des failles dans ces systèmes.

Principe du prototype

Les industries connaissent bien le principe d’avoir un prototype avant de lancer une production en série. Plus vite le prototype existera et plus vite il sera possible de mettre au point le produit, les outils, les méthodes de fabrication et de commercialisation de ce produit.

Bannissez la procrastination, qui, bien que les conditions de lancement de l’action soient réunies, vous tergiversez encore à démarrer. Attendre par crainte de faire mal est contre-productif dans la mesure où il est alors impossible d’apprendre de ses erreurs, sous réserve qu’il y a bien une erreur dans le résultat de l’action.

Les actions de corrections et le retour à la réflexion et à la préparation, le lancement d’une action avec un résultat le plus rapide possible, forment ensemble un cycle. Plus ce cycle sera court et plus vite, vous obtiendrez un résultat fiable. Vous augmentez ainsi votre productivité.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Prise de décision : D’où vient votre mal-être, votre malaise


Vous avez un doute sur une décision que vous avez déjà prise

vous doutez de votre choixAvant de décider de poursuivre le choix pris ou de laisser tomber et de changer de vie, d’orientation, d’employeur, il convient de chercher les causes de son mal-être.

Vous reconnaissez-vous dans l’une ou l’autre de ces affirmations :

  • Vous avez décidé sans avoir suffisamment réfléchi
  • Vous avez décidé à la dernière minute, en vitesse
  • Vous avez décidé plus selon vos sentiments que selon vos capacités
  • Votre choix a produit un résultat insuffisant ou décalé par rapport au résultat attendu initialement
     
  • Votre objectif est toujours aussi lointain
  • Vous avez le sentiment que les perspectives demeurent trop vagues et incertaines
  • Les inconvénients réels sont plus importants ou plus nombreux de ceux imaginés, lors de votre prise de décision
     
  • Vos critères de choix étaient trop élevés, comparés à la réalité du terrain
  • Vous pensez avoir fait trop de compromis avec vos valeurs, vos envies, votre vision
  • Vous avez l’impression que le choix précédent vous a été imposé ou que vous avez été trop influencé (e)
     
  • Vous avez le sentiment de ne pas avoir été suffisamment libre de votre choix
  • Vous vous sentez décalé (e) dans votre nouvel environnement issu de votre décision précédente
  • Vous êtes en conflit avec les autres, famille, amis, collègues

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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