Les 7 phases du travail ou Comment savoir si vous devez arrêter de toute urgence


7 étapes avant de quitter son emploi de toute urgence

Depuis un certain temps ça ne va plus entre vous et votre travail ? Pas étonnant si vous faites le même depuis plus de trois ans.

Si vous travaillez dans votre métier depuis plus de trois ans et que vous n’êtes plus satisfait, nous avons un message important pour vous : Sortez de là !

Pourquoi ?

les 7 phases du travail

Parce que votre propre attitude envers le travail est divisée en sept phases et après trois à sept ans, la plupart des gens sont tout simplement à bout de souffle.

Selon la science, une seule chose peut aider : Partir.
Parce que malheureusement ça empirera.

Phase 1 – L’enthousiasme de Barney Stinson

Lorsque vous commencez un nouvel emploi, c’est excitant et nouveau.
Vous débordez d’énergie et essayez de vous habituer à la nouvelle situation.

Votre devise est basée sur celle de Barney Stinson : « Nouveau, c’est toujours mieux! »

Phase 2 – Adieu aux lunettes roses

Oups, le nouveau travail est un peu épuisant … et les collègues sont plus réservés qu’on ne le pensait au départ.

Était-ce une erreur de changer d’emploi ? Ça ne l’était pas!
Il est normal que la mélancolie vienne après quelques semaines. Tout va bien, passez.

Phase 3 – La phase « ouais-ouais-ouais »

Écoutez, ça se passe plutôt bien.
De nouvelles amitiés, des premiers succès et le début agréable d’un esprit d’équipe rendent le travail quotidien vraiment agréable à nouveau.

Sinon, c’est vraiment un travail de malade.

Phase 4 – Phase « Mon travail est mon château »

Cela fonctionne – et vraiment bien.
Dans la quatrième phase, nous nous sentons complètement à l’aise avec tout et nous évoluons  à un bon niveau.

Vous ne gagnez aucun prix pour cela, mais tout va très bien comme cela.

Le burnout ? C’est quoi

Phase 5 – Phase « Donnez plus »

C’est maintenant ou jamais.

Dans la phase « Donnez plus », le moteur fonctionne à plein rendement.

Cette phase dure quelques mois voire quelques années, mais après cinq ans au plus tard le salarié le plus coriace est arrivé à la fin de sa phase de « donnez plus ».
La plupart après un an au plus tard.

Cette phase comprend souvent une promotion ou une négociation salariale qui se passe finalement bien.

Phase 6 – « Tout m’agace »

Voilà. Vous vous plaignez soudainement le dimanche soir ou accueillez volontiers une petite grippe, alors c’en est fini avec le plaisir d’aller au travail.

C’est ok ou juste un signe que le temps est venu de faire un pas en avant.

Alors partez à la recherche d’un emploi.
Il y a encore assez d’énergie en vous pour bien se présenter.

Phase 7 – Phase « Sauve qui peut »

Il est grand temps de crier « sauve qui peut ! ».
Ceux qui n’ont pas utilisé la phase 6 ont maintenant peu de temps pour se sauver.

Quiconque est coincé dans la phase « sauve qui peut » sera tôt ou tard malade ou s’énervera face au chef.

C’est maintenant ou jamais.
La vie est trop courte pour rester dans un malheur durable.

Source : Marie Stadler, journaliste allemande

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Emploi : Quels sont les différents types de mobilité ?


Être mobile, ça veut dire quoi ?

mobilité déplacementDéplacement

La mobilité est d’abord associée aux déplacements.

En premier, on pense aux commerciaux et autres métiers pour lesquels le travail se fait en se rendant chez un client ou un fournisseur.

Et aussi ceux qui se rendent sur leur lieu de travail comme un chantier ou une mission de sécurité.

Déménagement

La mobilité d’emploi ou le changement d’emploi conduit parfois à déménager.

C’est être mobile géographiquement. Notion qu’il vaut mieux signaler dans l’entête de son CV en précisant l’étendue de la zone géographique à l’intérieur de laquelle on accepte un travail.

On peut être aussi amené à déménager pour regroupement familial.

Mobilité hiérarchique

Être mobile, c’est aussi rester dans la même entreprise tout en changeant de position dans la hiérarchie.
Si rétrograder est impossible, il est, par contre, possible d’évoluer au sein d’une organisation.

La promotion permet de grimper les échelons de la hiérarchie.

Les concours, surtout administratifs, donnent aussi l’opportunité de monter en grade, qu’ils soient internes, c’est-à-dire réservés aux salariés, ou externes, c’est-à-dire, ouverts à de futurs nouveaux salariés.

Changement d’employeur

Entre démission et licenciement, entre volonté de valoriser une expérience récente et motivations personnelles, les motifs de changement d’employeur sont multiples, divers et propres à chacun.

Que ce soit volontaire ou non, dû à la crise, une mauvaise gestion ou une ambition personnelle, changer d’employeur s’appelle aussi mobilité.

Reconversion

Un changement de métier complet est plus rare qu’une évolution d’un métier vers un autre.

Une ou des formations à la clé aident à réussir sa reconversion, encore faut-il avoir les capacités personnelles, le savoir-faire et le sens de la persuasion pour convaincre un employeur pour se faire embaucher ou une clientèle si l’on choisit de se mettre à son compte.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Organisation verticale : D’où provient la reconnaissance du manager par son équipe ?


La reconnaissance du manager par son équipe ne vient pas du lien hiérarchique

Bons pointsDans une organisation verticale d’une entreprise, la reconnaissance PAR son équipe est secondaire. Ce qui compte au yeux du responsable, c’est l’appréciation de son supérieur hiérarchique.

Celle qui vient de ses subordonnées a seulement pour effet de lui faire prendre conscience de l’intérêt d’appuyer l’un ou l’autre de ses collaborateurs pour un geste de reconnaissance, une formation complémentaire par exemple.

Cependant, la multiplication des réussites est considérée comme « normale ».
Combien de fois entend-on qu’un collaborateur « a fait son travail, sans plus » ?

On ne peut donc pas compter sur son équipe pour faire sa bonne réputation auprès de son supérieur hiérarchique, sauf exception.
Mais là, on dépasse le cadre de la hiérarchie pour aborder le sujet des pouvoirs en entreprise.

Dans une organisation verticale, il est possible d’avoir un type de management plus participatif où le chef consulte ses plus proches collaborateurs qui deviennent alors des conseillers et non plus uniquement des exécutants ou des apporteurs d’informations.
Cependant, ce mécanisme est limité à un petit groupe et avec des collaborateurs directement subalternes du chef. Le phénomène reste marginal.

Ceux qui ont envie de progresser tenteront de se démarquer en espérant que la récompense sera une promotion. Plus l’entreprise est grande et plus les opportunités de « monter » dans une telle organisation hiérarchique verticale sont plus nombreuses que dans d’autres entreprises.

Si cela ne fonctionne pas ou pas assez vite à leur goût iront voir ailleurs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Organisation hiérarchique : Principaux défauts


Quel est le principal défaut de l’organisation hiérarchique verticale  ?

organisation hiérarchique verticale

L’organisation hiérarchique verticale est la plus courante, celle pratiquée depuis des milliers d’années : Un chef au sommet ; puis quelques collaborateurs forment son premier cercle, ce sont ses lieutenants, puis la hiérarchie descend jusqu’aux éléments de base.

Les décisions et les reconnaissances se font toujours du haut vers le bas.
Ce sont les principaux défauts et qualités de ce type d’organisation.

Plus on est haut dans la hiérarchie et plus on est censé avoir la réponse à tous les problèmes.
Les réponses sont souvent apportées par les subordonnés, mais c’est toujours le chef qui reçoit les louanges ou les médailles.

Par contre, en cas d’échec, les reproches s’adressent aux subalternes qui n’ont pas apportés les informations correctes ou qui n’ont pas effectués le travail correctement.

Dans une telle organisation, la reconnaissance du manager POUR son équipe, se fait, selon son domaine de décision que lui accorde sa propre hiérarchie, sous forme de compliments, voire de primes ou de promotion, quelques fois par une augmentation.

Dans une telle organisation, chaque maillon de la hiérarchie communique avec le maillon au-dessous et le maillon au-dessus.
Les maillons plus haut ou plus bas, quand ils existent, souvent suivre « la voie hiérarchique ».
C’est un autre défaut de l’organisation verticale, celle de la perte d’information d’un niveau à l’autre, ceci dans les deux sens.

Autre caractéristique de l’organisation hiérarchique verticale est la prise de décision, dans la mesure où, par l’autorité conférée par le système, les niveaux hiérarchiques inférieurs exécutent les ordres sans les discuter, même s’ils sont contre.

Néanmoins, il existe des nuances. Ce que je viens d’écrire correspond à un management de type patriarcal.
La décision est prise par le haut, systématiquement et de manière unilatérale.

Il reste que la rapidité d’exécution est plus importante et le démarrage des actions est plus rapide dans ce mode de hiérarchie que dans d’autres.

Les collaborateurs apprécient aussi ce type de management vertical, qui leur évite de trop s’impliquer.

Certains sont très mal à l’aise quand on leur demande leur avis ou quand il faut suggérer des solutions.
Ils préfèrent éviter de se poser des questions et exécutent les consignes sans se préoccuper de leur validité.
Centrés sur eux-mêmes, ces collaborateurs ont tendance à stagner et se sentent très bien comme ça.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Employabilité : Les 8 compétences que les entreprises attendent d’un cadre


Que doit être capable de faire un cadre pour progresser

perle rareLes entreprises de tailles diverses ont les mêmes difficultés de recrutement : trouver le mouton à cinq pattes, le cadre idéal; la perle rare.

La caricature dit que ce cadre idéal est moins de 30 ans avec 10 ans d’expérience, accepte n’importe quelle tâche pour un salaire minimum.
Enfin ! C’est une caricature…, n’est-ce pas ?

Trêve de plaisanterie.

Qu’est qu’une entreprise attend d’un cadre ?

TPE, PME, ou grande entreprise, les besoins de compétences sont identiques.

01. Grande polyvalence

Être capable de tout faire, ou presque, et de le faire bien

02. Maîtrise des outils digitaux

Internet ou autres logiciels, la maîtrise des outils numériques est indispensable

03. Compétences technico-règlementaires

C’est la base : connaître son métier, à la fois techniquement et en connaître les règles et les limites règlementaires

04. Management des équipes

Également une compétence de base pour un cadre, l’encadrement de son équipe de collaborateurs

05. Gestion de projet

Mener des projets, en maîtrisant les ressources financières, humaines et matérielles, dans un délai et un budget donnés, pour répondre à un besoin précis, est une compétence attendue de tous les cadres

06. Stratégie globale de l’entreprise

Plus le cadre a un poste élevé dans la hiérarchie et plus il doit avoir une vision globale de l’entreprise et être capable de définir et/ou d’apprécier la stratégie de son positionnement et de son développement

07. Approche systémique du marché

Être capable d’appréhender les tenants et aboutissants du marché par une analyse des interactions entre les différents systèmes internes et externes à l’entreprise, est aussi une compétence demandée

08. Soft Skills ou savoir-être

Les qualités personnelles prennent de plus en plus le pas sur les critères purement de connaissances et d’expériences en matière de recrutement

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Peur de ne pas réussir : Comment réagir


Pire que le trac, la déconsidération de soi

peur de l'échecVous doutez de vous-même ?

Après une série d’échecs ou une seule rebuffade, votre moral est au plus bas.

Un dépit amoureux ou un licenciement, un cadeau raté reçu à votre anniversaire ou une réduction qui vous est passé sous le nez, une remontrance de votre chef ou un harcèlement sur Internet, etc. : il y a tellement d’occasions de se sentir oublié (e), frustré (e), décontenancé (e), rabaissé (e), au point de penser que l’on est bon à rien, malgré ses qualités et son savoir-faire.

La peur de l’échec

La peur de l’échec est un des premiers symptômes que l’on éprouve dans sa vie.

Elle apparaît dès l’école, surtout quand une leçon est mal apprise ou que l’on s’est entiché de son ou sa camarade de classe.

La peur de manquer des connaissances ou des compétences pour parvenir au résultat envisagé est au moins aussi forte que celle d’essuyer un refus et de perdre l’estime de l’autre.

Le manque de confiance en soi

Le manque de confiance en soi vient aussi des discours entendus dans sa vie professionnelle autant que dans sa vie personnelle.

Quand vos parents, vos professeurs, votre conjoint (e), vos enfants, vos chefs disent du mal de vous ou vous répètent que d’autres font mieux que vous, ou encore vous ignorent, on peut dire que cela pèse sur le moral.

Se sous-estimer

Mettez-vous la barre trop haute ?

Sans vouloir pécher par excès de zèle ou surestimer ses qualités et ses compétences, dites-vous que l’opinion des autres sur vous-même à moins d’importance que votre propre opinion sur vous-même.

C’est vous qui avez raison !

Accumulez les échecs pour progresser

Si vous ratez cette fois-ci, ce sera pour une prochaine fois.

Préparez-vous, formez-vous, renseignez-vous et quand vous pensez être prêt (e), lancez-vous.

Avoir peur de l’échec conduit à la paralysie, alors dites-vous que l’occasion fait le larron : une opportunité que l’on laisse passée vous fait éprouver des regrets.

Préférez-vous avoir des regrets ou des remords ? Ceci est une question entendue dans un entretien d’embauche.

Agir, c’est se donner le droit de se tromper. Le droit à l’erreur que l’on s’accorde, permet de rebondir sur de meilleures bases, sous réserve d’avoir compris ce qu’il aurait fallu faire.

Analyser ses erreurs

Certains échecs sont sans rapport avec vous :

Un amour non réciproque, un licenciement économique, une inondation soudaine, etc. sont autant d’exemples où l’échec est indépendant de votre volonté.

D’autres échecs sont bien les vôtres :

Ne rejetez pas systématiquement tous les malheurs qui vous arrivent sur les autres. On a vite fait de trouver des boucs-émissaires alors qu’une analyse plus objective montre que vous avez commis une erreur.

Faites la part des choses et rebondissez.

Progresser

D’autres font mieux que vous ou ont plus de chance. Et alors ? La jalousie est un sentiment négatif.
Être envieux (se) devrait vous aider à vous surpasser.

Si vous voulez parvenir à atteindre les mêmes objectifs que les plus chanceux, les plus intelligents ou les plus entreprenants, alors déterminez vos points forts et vos axes d’amélioration.

Renforcez les premiers et minimisez les seconds.

Philippe Garin

Pour vous faciliter le recrutement, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Quitter son emploi ou rester : Telle est la question


Évolution professionnelle ou Recherche d’emploi

évolution professionnelle ou recherche d'emploiQuand vous ressentez un malaise dans l’entreprise pour laquelle vous travailler. De multiples raisons sont la cause de ce mal-être au travail. Il est alors temps de se poser la question de l’évolution de sa carrière.

Envie de progresser

Rester : Une mutation, une nomination, une promotion, sont autant de facteurs qui incitent à rester, surtout quand une promesse vous a été faite.

Partir : Quand, avec ou sans promesse, vous trouvez que c’est trop long ou que d’autres passent avant vous.

Doute sur votre employabilité

Rester : Quand vous êtes frileux et bien content de votre travail, sans vous poser trop de questions

Partir : Pour éviter de perdre du savoir et de sa valeur sur le marché du travail, faute de mises à jour de vos connaissances

Routine et ennui

Rester : Tout va bien, la routine est reposante et l’ennui est un mot qui vous est inconnu

Partir : Si aller au travail se fait à reculons et que vous attendez le week-end avec une impatience certaine

Stress et charge de travail

Rester : Quand vous finissez votre journée à l’heure et sans soucis, satisfait (e) du travail accompli dans la journée et sans crainte du lendemain.

Partir : Quand vous ne savez plus où donner de la tête, que vos pauses sont un souvenir lointain et que vous vous énervez de ne pas avancer dans votre travail autant que vous le voudriez.

Valeurs éthiques et ambiance

Rester : Quand vos collègues sont devenus (es) des amis (es). L’ambiance est superbe et le travail se fait en accord avec vos valeurs, vous êtes en accord avec les objectifs et les moyens mis en œuvre par votre direction.

Partir : Quand l’ambiance est détestable ou que vous vous sentez à l’écart. Quand vous désapprouvez les choix et les conséquences attendues des décisions de votre direction, parce qu’ils sont à l’encontre de vos valeurs.

Salaire et revenu

Rester : Quand votre salaire et vos primes vous conviennent et que vous pouvez assurer le train de vie auquel vous pensez avoir droit

Partir : Quand des augmentations vous sont refusées alors que vous en avez besoin pour vivre dans de meilleures conditions

Facteurs extérieurs

Rester : Quand vous êtes satisfait de votre environnement de vie, pour vous et votre famille

Partir : Quand vous ou/et votre famille a envie de changer de lieu et de cadre de vie, par obligation ou par choix

Alors rester ou partir ?

Si vous décidez de rester, alors nous parlons d’évolution professionnelle, d’amélioration d’une situation par des formations et des conseils en efficacité personnelle.

Si vous décidez de partir, alors nous parlons de recherche d’emploi, de techniques de communication pour trouver un travail qui va mieux vous convenir et où vous pourrez vous épanouir.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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3 métiers dans sa vie ?


3 métiers dans sa vie ?

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Lui : 3 métiers

Dans les années 70, un instituteur nous disait :

« Vous, les jeunes, dans votre vie, vous allez changer de métier au moins 3 fois dans votre vie »

Cette affirmation m’avait laissé sans voix.
Je me suis fait alors cette réflexion :

« Quoi ? Faire des études pour exercer le métier que j’aurais choisi, seulement pour une partie de ma vie professionnelle !
Il doit s’agir de métier proche du premier ! »

Pendant des années, j’ai progressé dans l’échelle sociale et j’ai gravi tous les échelons correspondant à mon métier. J’ai effectivement évolué et exercé des activités différentes, tout en restant cohérent dans cette progression.

De l’échelon le plus bas de la hiérarchie au plus haut possible, avec quelques variantes selon les employeurs, je pensais que

cela faisait plus de 3 métiers différents dans ma vie

Que nenni ! Mon professeur d’alors exprimait une opinion basé sur un constat : l’évolution de la société s’accélère de plus en plus, les techniques et les découvertes scientifiques font encore s’accélérer les choses.

Bien sûr, il ne s’imaginait pas à quel point les certitudes du moment allaient passer d’un état à un autre.

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Par exemple, le telex

Outil très largement utilisé par les entreprises, surtout pour tous les aspects de logistique, le telex a été remplacé en très peu de temps par le fax, ou fac-similé. Le fax avait l’immense avantage qu’il permettait de transmettre n’importe quelle image, des plans par exemple, alors que le telex n’autorisait que des caractères, un peu comme un télégramme.

Quand Internet s’est démocratisé, et cela s’est fait en un temps record, le fax a quasi disparu. Pourquoi, en effet, s’embêter à passer des feuilles de papier dans un appareil alors que l’on peut joindre n’importe quel document en tant que pièce jointe à un courriel, y compris du son et des vidéos ?

Il est donc évident que les concepteurs, les fabricants, les mainteneurs de ces différents appareils ont vu leur métier évolué et les entreprises qui n’ont pas su s’adapter ont disparues.

Un autre exemple, encore plus flagrant :

L’apparition des appareils photos numériques, puis des smartphones, a fait disparaître les fabricants des pellicules argentiques et les entreprises de développement des photos. Celles qui sont encore présentes, développent à partir des supports électroniques et via Internet ou des appareils à l’entrée des grands magasins.

De très nombreux exemples peuvent être cités et cela dans tous les domaines de l’agriculture, de l’industrie et même des services.

A cela, s’ajoute les évolutions induites par la mondialisation.

On conçoit dans un pays, on fabrique dans un autre, on distribue dans le reste des pays. Là, l’évolution des métiers tend vers une spécialisation.

Dans le premier cas, une technique en remplace une autre. Les professionnels sont remplacés ou s’adaptent grâce à des formations continues.

Dans le deuxième cas, à part s’expatrier ou devenir les premiers, les experts dans son domaine, l’évolution dans sa carrière passe toujours par des formations continues de plus en plus pointues. Quand cela ne suffit plus, alors que faire ?

L’évolution dans sa carrière passe alors par un changement de métier.

Trois changements de métiers seulement dans sa vie professionnelle, comme le disait mon ancien instituteur ?… Ou plus ?

Qu’en pensez-vous ?

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Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Management participatif : comment ça marche, points forts, points faibles


Caractéristiques du management participatif : ses points forts et ses points faibles

Dans le management participatif, le manager va assumer son rôle de décideur, tout en restant conscient qu’il a des lacunes dans ses connaissances

Par définition, personne ne dispose d’une compétence telle que l’on peut se passer de l’avis des autres.

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La recherche d’informations

Le manager participatif consulte, s’informe. Il le fait auprès de toutes les sources d’information possibles. L’une d’elle est à la portée de sa main : sa, son ou ses collaborateurs

Premier effet positif : Gain de temps

De pouvoir solliciter ses collaborateurs sur un sujet qu’ils connaissent, voire qu’ils maîtrisent, permet de gagner du temps en ayant un avis compétent et intéressé des collaborateurs.

Le manager aura fait acte de délégation, pour la partie recherche d’informations, ce qui, une fois encore, est un gain de temps pour lui.

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Deuxième effet positif : La montée en puissance du collaborateur

Si le (la) collaborateur (trice) ne possède pas les informations recherchées au moment où le manager les demande, il (elle) va s’y mettre, acquérir ainsi des connaissances et ainsi progresser.

Troisième effet positif : Amélioration des images réciproques

Quand un manager trouve des connaissances, des compétences chez un collaborateur, l’image que donne ce dernier est bonne. Lorsque le collaborateur présente des informations qu’il est parvenu à trouver et les présente clairement, en détail ou d’une manière synthétique selon la demande du manager, son image grandit aussi.

De l’autre côté, le collaborateur apprécie d’être sollicité et d’avoir la possibilité de montrer son savoir-faire, ce qui renforce la bonne image qu’il a de son manager.


La décision et l’action

Une fois que toutes les informations nécessaires sont mises à sa disposition, le manager prend sa décision, lui et lui seul ou en participation avec sa propre hiérarchie.

Dans le management participatif, et dans d’autres formes de management, le manager informe son (sa) (ses) collaborateur (trice) (s) (trices) de la décision qu’il a prise.

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Premier effet positif : Pas de surprise à l’annonce de la décision

Les collaborateurs, ayant été consultés préalablement à la prise de décision, sont déjà au courant, puisqu’ils y ont contribué par l’apport d’informations. Pas d’effet de surprise, sauf, peut-être si radio moquette ou radio machine à café a mal fonctionné, pour les autres collaborateurs.

L’effet de surprise est aussi atténué si la décision prise s’avère différente de celle attendue

Le gain de temps tient aussi dans le fait que l’annonce de la décision est courte, puisque tout le monde sait de quoi il s’agit.

Deuxième effet positif : L’action qui suit la décision s’engage rapidement

Le management participatif permet de lancer l’action qui suit la décision sans perte de temps.

Le manager sait déjà qui va mener l’action : sa ressource va être la personne qui l’a aidé à prendre sa décision, dans la plupart des cas.

Le (la) collaborateur (trice) sollicitée dans la recherche d’informations dispose donc des informations nécessaires pour mener l’action. Elle aussi va gagner ainsi du temps.


plus et moins


Les côtés négatifs du management participatif

Premier écueil possible : La grosse tête du collaborateur

De savoir que son manager le (la) consulte, peut laisser penser au (à la) collaborateur (trice) que rien ne se décide sans lui (elle).

C’est au manager de bien faire comprendre quel est le rôle de chacun et de faire participer ses collaborateurs au bon moment et non pas en permanence.

Être en mesure de prendre la décision sans en avoir l’autorité peut laisser penser au collaborateur, qu’il pourrait être le manager, qu’il pourrait faire mieux que le manager, surtout si la décision prise par le manager est différente de celle qu’il aurait prise.

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Deuxième conséquence potentielle : La frustration et/ou la rancoeur

La frustration du collaborateur peut se transformer en guerre larvée entre le (la) collaborateur (trice) et son manager. L’ambiance au sein du service peut se dégrader. Les personnes non sollicitées vont se mettre à jalouser « les chouchous du chef ».

Au manager de faire en sorte que tous ses collaborateurs soient sollicités dans le management participatif, en fonction des sujets à traiter et de la connaissance qu’il a des compétences et connaissances de ses collaborateurs.

Dans la répartition des tâches suite à la décision du manager, la rancoeur d’un collaborateur envers un autre peut se présenter, surtout lorsque la décision prise avec la collaboration d’une personne implique qu’une autre personne va s’attacher à mener l’action qui suit la décision.
D’une part, la personne qui a participé aurait peut-être aimé être choisie pour l’action, de l’autre celle qui doit mener l’action aurait peut-être aimé s’en passer surtout lorsqu’elle sait que la décision est la suite de l’apport d’informations par un (e) collègue qu’elle n’apprécie pas.

Troisième point à surveiller : L’image du manager

Le manager peut se prendre au jeu au point que certains n’hésitent pas à le critiquer sur son manque de charisme, ce qui n’a aucun rapport.

Selon le cas, l’image du manager peut aussi se dégrader auprès de collaborateur, moins performant et qui rechigne à montrer incompétence ou lacune.

Quatrième effet négatif : La perte de compétences du manager

Le manager peut se trouver démuni en cas d’absence ou de perte d’un collaborateur, surtout si celui-ci (celle-ci) est la personne qu’il faisait participer.

Sa propre hiérarchie s’attend à trouver en lui des compétences, qui, de fait, se trouvent chez les collaborateurs et non pas chez le manager.

C’est ce qu’on appelle aussi : atteindre son degré d’incompétence.

De là à dire que, plus le manager est haut dans la hiérarchie et plus il est incompétent…

Heureusement, chaque poste demande des compétences différentes et celle de faire participer ses collaborateurs en est une, n’est-ce pas ?

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