Attirer les candidats : Agir pour réussir


Attirer les candidats : Agir pour réussir

Cet article est la suite de Attirer les candidats par l’offre d’emploi

C’est un vrai défi que d’attirer les talents dans votre entreprise.

5/ La notoriété de votre entreprise

Les noms connus attirent, celle de votre entreprise, de vos produits et services. Et aussi, de vos actions de sponsoring, d’engagement dans la vie locale ou à une plus grande échelle, vos campagnes publicitaires sur Internet sont autant d’éléments pour vous faire connaître, en bien.

se faire connaître par le sponsoring

se faire connaître par le sponsoring

Interrogez les réseaux sociaux, vos clients, vos fournisseurs et même vos salariés sur l’image donnée par votre entreprise, sur sa réputation d’employeur.
Mettez en place une diffusion d’articles sur votre actualité, etc. dans les réseaux sociaux, notamment ceux fréquentés par vos candidats-cibles.

6/ Mieux gérer votre recrutement en ligne

Les offres d’emploi doivent être aussi bien accessibles et pratiques d’utilisation sur un smartphone que sur une tablette ou un ordinateur. Le « cliquer ici pour postuler » est plus direct s’il permet l’envoi du CV, d’une lettre de motivation ou la copie d’un diplôme, même sur le plus petit des écrans.

La possibilité de partage de votre offre doit également être inclue dans votre système de diffusion pour atteindre le réseau des candidats directement intéressés.

7/ Le traitement des candidatures

Rien de plus décourageant, pour un candidat, que d’attendre sans savoir s’il va recevoir une réponse. Il a besoin de savoir à quel stade de l’analyse de sa candidature se trouve.

no reply barré

répondez aux candidats éliminés !

Sans aller à perdre du temps, votre bonne réputation passe aussi par les réponses négatives que vous fournissez aux candidats malheureux. Une brève explication sur leurs lacunes suffit généralement pour les aider à comprendre.

Pour les profils retenus, l’approfondissement de leurs motivations et capacité d’intégration dans l’équipe en place, doit se faire dans un délai assez court pour éviter qu’ils se découragent et aillent voir ailleurs.

Deux semaines pour les rencontrer. Une à deux semaines pour décider et faire votre choix définitif. La durée du processus dépend évidemment du poste à pourvoir.

8/ Recruter et… retenir

L’accueil et l’intégration sont tout aussi important que le recrutement proprement dit.
Tenez vos promesses lors des entretiens d’embauche.

Un plan de formation peut être mis en place.
Un plan de carrière aussi, plus ou moins rapidement. Mieux vaut attendre la conclusion définitive et positive de la période d’essai.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Erreur de recrutement : Comment l’éviter 
CDD : Délais de carence, période d’essai, préavis

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Les 4 étapes pour le recruteur AVANT la rédaction d’une offre d’emploi


Les étapes principales interne en entreprise avant une offre d’emploi

all you need is loveUn processus de recrutement dans une organisation est pris en charge par la ou le responsable des ressources humaines.
Dans les structures importantes, le processus est confié à une ou un chargé (e) de recrutement.

Il s’agit d’un processus en 4 étapes commun avant de rédiger une offre d’emploi qui correspond au poste à pourvoir.

Les voici :

1ère étape : Pourquoi ?

La première étape consiste à définir le besoin.

C’est plus que de répondre à la demande de la direction, du patron ou d’un autre chef de service.

La première question est celle du pourquoi.

Il y a des réponses évidentes lorsqu’il s’agit de remplacer un (e) salarié (e) qui quitte l’entreprise et dont le travail nécessite des compétences absentes parmi les autres salarié (e)s ou une répartition de la charge que ses collègues sont dans l’impossibilité d’assurer.

Pour une création de poste, il faut savoir la motivation et connaître la politique globale de l’entreprise ou de l’association.

Le surcroit de travail, de nouveaux produits ou services, ou encore l’installation d’un nouvel établissement pour être plus proches de ses clients ou fournisseurs sont les raisons les plus fréquentes.

2ème étape : Quoi ?

Lorsqu’une fiche de poste existe déjà, il convient de vérifier les aménagements éventuels qui tiendront compte de la situation.

Des tâches en plus ou en moins, selon le besoin du responsable du service concerné.

Dans une création de poste, sans équivalent dans la structure, implique de liste les principales responsables et tâches à effectuer par le ou la futur (e) salarié (e)

Le meilleur moyen est de prendre en considération le (la) responsable du besoin. Il ou elle va décrire ce qu’il espère de sa ou son futur (e) collaborateur (trice).

3ème étape : Comment ?

Pour exécuter les diverses tâches, le ou la futur (e) salarié (e) va devoir posséder un certain nombre de compétences.

Le (la) chargé (e) de recrutement va donc définir le (la) candidat (e) idéal (e), chez qui toutes les compétences seront réunies.

Il s’agit, avant tout, de savoir-faire, de savoirs et de savoir-être, adaptés au poste.

Le niveau de compétences intervient alors.
Par exemple, la dextérité et la capacité de taper sur un clavier sont fortement réclamées chez un (e) assistant (e) de direction, moins pour son ou sa supérieur(e) hiérarchique. Inversement, la capacité à manager une équipe est évidemment plus forte chez le (la) cadre que chez sa ou son assistant (e).

4ème étape : Les critères de sélection

Dernière étape avant de rédiger une offre d’emploi, la définition des critères de sélection.

C’est la partie la plus compliquée du travail du (de la) chargé (e) du recrutement.

Sachant que toutes les compétences ont peu de chance de se retrouver dans un profil, il faut définir celles qui sont éliminatoires ou nécessaires et celles qui sont facultatives.

Un savoir manquant peut être compensé par une formation donnée au (à la) futur (e) collaborateur (trice).

Un manque d’expérience et donc de maîtrise d’une compétence peut être compensé par un (e) tuteur (trice) interne, responsable de l’évaluation du résultat avant la fin de la période d’essai.

Dans les deux cas, des personnes qui postuleraient auraient encore une chance, sous réserve que ces savoirs et expériences soient nécessaires sans être éliminatoires.

Il en est de même de la formation de base, scolaire, universitaire, apprentissage, etc., avec ou sans diplôme.

Parmi les critères de sélection qui prennent de plus en plus d’importance au sein des Ressources Humaines, les savoir-être et comportementaux ou soft skills.

C’est pourquoi, il est indispensable de les lister aussi.
Cependant, ils apparaissent rarement dans l’offre d’emploi.

D’autres critères de sélection viennent de la politique interne de l’entreprise.
Par exemple, la proximité du lieu d’habitation au lieu de travail, les disponibilités horaires, la fourchette de salaire, etc.

Une fois toutes ces étapes franchies, la recherche des candidat(e)s démarre avec le budget dédié à ce projet.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Plan de communication : Les 6 bonnes questions


Les 6 questions à se poser pour bien communiquer

Quel que soit le sujet sur lequel on souhaite communiquer, le processus de transmission de l’information commence par se poser les bonnes questions.

L’importance des éléments et le succès de la communication dépendent de l’importance que l’on donne aux réponses des questions de cette check-list.

Tout plan de communication contient les réponses aux questions suivantes :

communication écrite, visuelle verbale donc complète

1. Qui sont les destinataires ?

Plus précisément, la question est de savoir qui compose la cible du message.

La même information transmise, par exemple, à un particulier ou à un professionnel, le sera d’une manière différente.

Cela peut aller jusqu’à préciser, dans le message lui-même, qui est concerné, de façon à attirer l’attention des uns et laisser indifférents les autres.
L’un des meilleurs exemples est celui de promotions sur des véhicules où le message indique si elles excluent les professionnels ou leur sont réservées.

De même, le choix des mots sera différents selon que la cible est le grand public ou un parterre de thésards (Bac + + )

2. On parle de quoi ?

Il y a le sujet principal, l’objet du message à transmettre. On le retrouve, par exemple, dans l’entête d’une lettre ou dans l’objet d’un mail.

Il y a aussi le contenu du message. L’information peut être une consigne, une supplique ou demande, une invitation, une réponse, etc.

Les arguments, les exemples, les réflexions et les conseils, l’expression de ses sentiments, figurent parmi les éléments qui permet de déterminer le corps du message à communiquer.

3. Quand communiquer ?

L’impact de la communication sera différent selon le moment où la communication aura lieu.

Ce peut être le bon moment si l’information est instantanée ou presque, comme dans le journalisme.
Le bon moment est peut-être à une heure précise dans la journée, quand les personnes destinataires sont au travail ou chez eux.

La communication peut également avoir lieu à des moments différents dans l’année. Le marché des jouets a surtout lieu avant Noël, par exemple.

4. Avec quelle fréquence ?

La répétition d’un message est l’une des méthodes les plus concrètes pour s’assurer que le message touchera bien toutes les personnes cibles.

C’est le principe même de la publicité, et aussi celui de l’éducation des enfants. Ces derniers ont la capacité d’oublier très rapidement ce qui vient de leur être dit, surtout les plus jeunes et que le message les dérange.

Au travail, les consignes de sécurité doivent faire l’objet de communication régulièrement dans des milieux dangereux alors que dans un milieu tranquille et sans danger, la récurrence du message sera plus large.

Le message unique est souvent la seule fréquence, notamment dans le quotidien.

5. Comment communiquer ?

C’est la question du canal de communication.

Elle sera verbale, écrite ou visuelle.

La communication peut se faire en parlant en face-à-face, au travers d’un média comme le téléphone, la messagerie, la télévision, la radio ou les prospectus.
Elle peut aussi être indirecte, via le bouche-à-oreille.

6. Avec quels moyens ?

La communication professionnelle demande une organisation, un planning et un budget.

Il faut déterminer exactement les réponses aux questions précédentes et définir qui va s’occuper, avec quels moyens matériels et financiers et en combien de temps.

L’organisation implique une ou plusieurs personnes. Il est évident que le service marketing d’une entreprise international ou le maire d’un village ont des moyens de mise en oeuvre de leurs communication sans rapport avec la communication d’un coach sur un terrain de sport ou la mère de famille envers ses enfants.

Conclusion

Toutes ces questions clés sont importantes dans un plan de communication structuré ou dans une simple et banale, en apparence, communication sans grand enjeu.

Une lettre sera une lettre, pourtant elle sera différente si elle contient des injures ou une demande de rendez-vous, selon qu’elle s’adresse à un partenaire commercial ou une administration ou un ami.
Son impact sera différent si elle est envoyée par la poste, écrite à la main, ou publiée dans un blog ou envoyée dans une campagne de mailing.

Philippe Garin

Pour un accompagnement personnalisé, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Compétences numériques : La Communication
La Process communication ; Les 6 personnalités
CNV Communication non violante : Les 4 étapes de l’OSBD

Danger : fausse annonce, vraie boite-aux-lettres = complice
Quand la critique devient harcèlement
6 facteurs de diminution de la déperdition d’un message

Autres Communication :

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Emploi : Les 20 compétences du candidat idéal


Le candidat idéal devrait posséder ces 20 compétences

capacités et compétencesUne étude du cabinet EY et de LinkedIn sur la révolution des métiers, basées sur plus de 7000 offres d’emploi révèle l’intérêt des entreprises pour un équilibre des compétences réparties entre les savoir-faire et les savoir-être.

C’est le principe de la « tête bien faite » ET de la « tête bien pleine ».

Les entreprises ont besoin de compétences techniques. Elles prêtent aussi de plus attention aux capacités personnelles des candidats à réagir dans un monde où tout va de plus en plus vite.

Les 10 compétences comportementales les plus attendues sont :

  1. La communication
  2. Les relations interpersonnelles
  3. La maîtrise des langues
  4. Le travail en équipe
  5. L’adaptabilité
  6. Le charisme
  7. L’autonomie
  8. La gestion du stress
  9. La capacité d’apprendre
  10. La capacité à résoudre des problèmes

Les 10 compétences sectorielles et techniques les plus recherchées sont :

  1. Les techniques informatiques
  2. Les capacités d’analyse
  3. La maîtrise de la bureautique
  4. Le management
  5. Les compétences financières
  6. Les connaissances réglementaires
  7. La vente et le marketing
  8. Les opérations et les processus internes
  9. Les compétences en organisation
  10. La gestion de la relation client

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :


En complément :

Définition des critères d’exigence dans le domaine Connaissances et compétences professionnelles
Il ne suffit pas de savoir, il faut aussi appliquer
Offre d’emploi : Les exigences et les souhaits dans les annonces

Le recrutement conversationnel ou social : Mode d’emploi pour les entreprises
Emploi : Exprimez vos talents
Recherche d’emploi : Pourquoi le poste vous a échappé

Autres Emploi :

Récapitulatif 17 Emploi

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Candidature : Et si la réponse dépasse 3 semaines


Les cas où il faut plus de 3 semaines

Après avoir déposé sa candidature, il faut prendre patience. Les délais sont variables, bien que dans la majorité des cas, il faille attendre 3 semaines avant d’avoir une réponse de la part du chargé de recrutement.

Au delà des trois premières semaines après la parution d’une annonce d’offre d’emploi, les espoirs sont encore présents, car dans certains cas les délais s’allongent.

Déception

Si les candidats de la « short-list » ont déçu ou s’il y a trop peu de candidats finalistes alors le cycle va recommencer.

D’abord, les CV de la pile « au cas z’où » vont être analysés, avec leurs lettres de candidature. Le même processus de la troisième semaine reprend. Si c’est insuffisant, alors c’est le cycle complet qui recommence avec la prolongation de l’offre annoncée.

calendrier coché

Indisponibilité

Il peut y avoir des variantes à ce scénario qui tient compte du nombre de candidats et de la disponibilité des intervenants, notamment chez l’employeur.

Le manque de disponibilité un problème fréquent car les employeurs mettent le recrutement après les affaires courantes, sans compter les congés, etc. D’où un délai d’une semaine supplémentaire possible.

Très rarement, le délai dépasse 4 semaines avant un premier contact avec un candidat.

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :

En complément :

Entretien d’embauche : Entre déception et espoir
Autopsie du discours d’un candidat malheureux
Relancer le recruteur : Mode d’emploi

Pour une image positive : abandonnez vos tics de langage
Recrutement : Attirer les talents façon 21ème siècle
Les bonnes questions pour se fixer ses priorités

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Entretien d’embauche : Pourquoi remercier


Pourquoi remercier de l’entretien d’embauche ?

dire merciIl est de bon ton de remercier son ou ses interlocuteurs après un entretien d’embauche.

Généralement, c’est une pratique utilisée par les cadres dans le processus de recrutement pour un poste à responsabilités. Toutefois, elle est à la portée de tous, à condition de le remercier correctement.

C’est un excellent moyen pour :

  • Se rappeler au bon souvenir du recruteur, surtout si celui-ci est le futur employeur
  • Compléter l’échange avec des informations supplémentaires

Se rappeler au bon souvenir du recruteur

Un cabinet de recrutement va convoquer plusieurs candidats avant d’effectuer la sélection de trois ou quatre d’entre eux pour le présenter à son client : l’employeur.

Dans ses conditions, envoyez un message, par mail ou par téléphone, permet de fixer dans la mémoire du recruteur votre image et vos propos plus que les autres candidats, sous réserve que les autres « oublient » de remercier pour l’entretien.

Lorsque l’entretien a eu lieu avec l’entreprise qui embauche, les acteurs sont le responsable hiérarchique ou un autre responsable fonctionnel en plus de ceux qui viennent du service RH.

Si elle est passée par un cabinet externe alors elle a rencontré les 3 à 4 candidats sélectionnés. L’impact que laisse chacun des candidats est alors plus important que sans le cabinet et/ou après avoir reçu de nombreux postulants.

C’est alors que le message de remerciement permet au candidat de sortir du lot dans la mémoire des représentants de l’employeur.

Compléter l’échange

Plus le poste proposé est élevé dans la hiérarchie et plus les questions posées durant l’entretien d’embauche sont complexes, difficile à répondre, piégeantes.

Il est fort possible que le candidat ait besoin de réflexion avant de répondre, soit parce qu’il doit se rappeler certains faits ou chiffres, soit parce qu’il n’a tout simplement pas la réponse sur le bout de la langue.

Parfois également, le candidat doit fournir des informations supplémentaires, comme une ébauche d’un plan d’actions à son arrivée dans le poste, au cas où il serait retenu.

Dans tous les cas, lorsque le recruteur demande des informations supplémentaires ou bien lorsque le candidat a retrouvé la mémoire ou encore qu’il pense qu’il est nécessaire d’apporter des précisions aux réponses données durant l’échange, le mot de remerciement devient une nécessité.

Remercier est alors totalement inclus dans la démarche du candidat.

Quant au recruteur, il attend cette preuve d’intérêt du candidat pour le poste et l’entreprise.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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Emploi : Autopsie du discours d’un candidat malheureux
Recrutement : Informer les candidats malheureux 1/5
Remerciements de Sylvie

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Récapitulatif 14 Emploi

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PCA et PRA : L’analyse des enjeux et des besoins


PCA et PRA : L’analyse des enjeux et des besoins

analyse des enjeux et des besoinsPour mettre en place un PCA, Plan de Continuité d’Activité ou un PRA, Plan de Reprise d’Activité, il faut décrire les besoins et les enjeux pour l’entreprise.

Chaque entreprise, même au sein d’une même branche, a des besoins et des enjeux différents des autres entreprises.

Certes, elles ont des points communs : par exemple, les entreprises de distribution alimentaire ont besoin d’avoir au moins une caisse enregistreuse en bon état de marche en permanence. Toutefois les enjeux sont différents selon qu’il s’agisse d’une boulangerie ou d’une épicerie, sans parler des grandes surfaces qui disposent de nombreuses caisses.

L’analyse des besoins et l’analyse des enjeux sont deux analyses qui vont de pair pour définir la criticité et l’impact d’un dysfonctionnement du système d’information sur le fonctionnement de l’organisation.

L’analyse des besoins

L’analyse des besoins permet de découper l’organisation en plusieurs principaux processus métiers, par exemple vente au comptoir, stockage, fabrication, comptabilité, site internet de e-commerce, etc.

Pour chacun d’eux, l’analyse des besoins informatiques par la méthode DIC, permet de lister les éléments de l’infrastructure informatique et les besoins en informatisation des processus fonctionnels, selon les critères de disponibilité, d’intégrité et de confidentialité du système d’information.

L’analyse des enjeux

L’analyse des enjeux permet de :

Définir les scénarii de risques. Par exemple : épidémie de grippe parmi le personnel, impossibilité de connexion à Internet, piratage de données clients,

D’évaluer l’impact de chaque scénario sur le fonctionnement de l’entreprise. Par exemple : Production en baisse, perte du CA ou non conversion d’un prospect en client.

Besoins et enjeux ensemble

La convergence des besoins en informatique (physique) et informatisation (données et programmes) avec les enjeux pour les dirigeants de l’entreprise et les responsables de service, va associer :

Chaque besoin DIC aux éléments concernés de l’infrastructure informatique et des applications

Chaque enjeu pour l’organisation à des besoins de sécurisation de ces mêmes éléments du système d’information

En résultat, on obtient pour chaque élément de l’infrastructure informatique et de télécommunication, un degré de criticité, plus ou moins important selon les enjeux pour le bon fonctionnement de l’organisation.

C’est alors que la phase suivante de la définition d’un PCA ou/et d’un PRA peut démarrer : L’audit des vulnérabilités

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour des conseils en sécurisation de votre système d’informations, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Lexique informatique
Identification Exigence de conservation des données
Choix par évaluation de projet

Vérification des comptabilités informatisées (code des impôts)
Open space : des solutions matérielles
Démission d’un salarié = fuite d’informations : Comment s’en prémunir

Autres Informatique, Management, Organisation et Sécurité :

Récapitulatif 14 Informatique
Récapitulatif 14 Management
Récapitulatif 14 Organisation
Récapitulatif 14 Sécurité

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Productivité: Une seule action à la fois


Productivité: Une seule action à la fois

chiffre 1Pour certains, cela semble une hérésie ou impossible, pour d’autres une évidence : une seule action à la fois mène pourtant à une amélioration de sa productivité personnelle.

L’analyse d’une action a permis, depuis l’avènement de l’industrie, un découpage des tâches. L’arrivée de la mécanisation, puis de l’électronique, a réduit la durée de l’action et amélioré la qualité de la production en diminuant les erreurs humaines.

Sommaire :

Les habitudes dans la productivité

  1. Une seule action à la fois
  2. Tenez compte de vos préférences au travail
  3. Travaillez tous les jours, même durant les vacances, sans exception
  4. Il faut 30 jours pour prendre une habitude
  5. Agir régulièrement pour se sentir bien
  6. La force de volonté est limitée, pensez-y quand elle s’épuise
  7. Acceptez un nouveau projet, quand votre esprit et votre cœur vous disent oui, tous les deux
  8. Ignorez les gens qui n’ont rien à faire de votre temps

D’ailleurs, une machine n’effectue qu’un mouvement à la fois. Son travail est linéaire, même lorsqu’il est répétitif.

Les prémices et conséquences

Il est rare qu’une action soit isolée. Une autre action ou plusieurs autres actions la précédent. Un ou plusieurs autres actions la suivent. La réflexion porte aussi sur les différentes options, c’est-à-dire des actions alternatives selon le résultat de l’action que l’on va mener.

Les prémices

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Le temps de la réflexion

Juste avant l’action proprement dite, il y a le temps de la réflexion. La durée de la réflexion est fonction de la complexité de la tâche à accomplir et de la concentration de celle ou celui qui y réfléchit.

le temps de la réflexion

Complexité et combinaisons

Mener plusieurs réflexions et plusieurs actions en parallèle conduit à multiplier les combinaisons et la complexité du processus de réflexion avec le risque de mélanger l’intégration dans la réflexion d’éléments du passé autant que les actions à mener.

En gros, le chaos est proche. Plus on veut mener d’actions en parallèle et plus il y a d’interférences dans la réflexion et dans l’action.

Réflexe et combinaison

Les interférences dans les processus rendent la durée de réflexion plus importante que la somme des durées de chaque processus de réflexion, ne serait-ce que parce qu’il faut se concentrer à nouveau sur un sujet à la fois, même si en arrière-plan de son cerveau, les autres réflexions continuent.

Un seul processus à la fois

De plus, la concentration est plus importante et donc le temps de la réflexion est plus court, lorsque l’esprit a un seul sujet à traiter à la fois

un seul processus

La qualité de l’action

Lorsque le temps de l’action est venu, l’ensemble des ressources physiques et intellectuelles se concentre sur son exécution. L’attention que l’on y porte est entière et le résultat plus conforme aux attentes.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :

En complément :

Management participatif : Votre plus grande satisfaction
Réflexions pour une orientation professionnelle
Productivité : Un résultat rapidement

Le Kaizen : Difficile à mettre en place ?
Dégradation de la relation personnelle avec le responsable hiérarchique
Le grizzly affamé

Autres Organisation :

Récapitulatif 14 Organisation

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Recrutement : Informer les candidats malheureux 2/5


Recrutement : Informer les candidats malheureux 2/5

Informer immédiatement après l’appel téléphonique ?entrevue téléphonique

L’entretien téléphonique a pour but de s’assurer de la disponibilité du candidat, de sa volonté et de sa motivation, ainsi que l’obtention de renseignements absents ou mal décrits dans le CV ou/et la lettre de motivation qui l’a accompagnée.

Il sert donc à préciser une certaine adéquation entre le cahier des charges de l’entreprise qui propose le poste et le profil du candidat.

Sommaire :

  1. Recrutement : Informer les candidats malheureux 1/5
  2. Recrutement : Informer les candidats malheureux 2/5
  3. Recrutement : Informer les candidats malheureux 3/5
  4. Recrutement : Informer les candidats malheureux 4/5
  5. Recrutement : Informer les candidats malheureux 5/5

À l’issue de cette étape, seuls ceux qui ont été suffisamment convaincants sont convoqués à un entretien d’embauche, en face-à-face ou par des moyens plus modernes de visioconférence.

Les autres auront, selon le cabinet, reçu immédiatement une réponse négative, ou bien devront patienter, sans savoir.

Informer après l’entretien d’embauche ?entrevue d'embauche

Après l’entretien d’embauche, le cabinet va présenter à son client, les CV retenus ainsi que les résultats d’éventuels tests et les appréciations du chargé de recrutement sur chaque profil de candidat.

L’attente est douloureuse. Ceux qui font partie de la short-list, présentée au client, n’en savent pas plus que ceux qui ont été éliminés car pas assez convaincant ou qualifiés pour le poste.

Un deuxième entretien a alors lieu avec l’entreprise qui embauche. D’autres entretiens peuvent avoir lieu avec des interlocuteurs identiques ou différents, en fonction du poste à pourvoir : plus le poste est élevé dans la hiérarchie et plus le processus de recrutement est long et les entretiens nombreux.

Lorsque l’entreprise décide de retenir l’un des candidats, il lui propose un contrat de travail. Le travail du cabinet consiste alors à prévenir tous les candidats malheureux qu’ils n’ont pas été retenus, sauf s’il s’est servi d’un robot.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Entretien téléphonique non planifié
Faire face à un contact agressif au téléphone
Les objections au téléphone

Entretien d’embauche : Que faites-vous de vos mains ?
6 faiblesses positives pour l’entretien d’embauche
Entretien d’embauche : avant de partir au rendez-vous

Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 14 Emploi
Récapitulatif 14 Management

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Le chargé de recrutement veut vous imposer


Une impression désagréable à l’issue de l’entrevue de recrutement

mal au ventreVotre entretien d’embauche vient de se terminer. Cela s’est bien passé puisque le chargé de recrutement vous a annoncé qu’il allait présenter votre candidature à son entreprise cliente, s’il fait partie d’un cabinet externe, ou à d’autres personnes de la société, s’il en fait partie lui-même.

Pourtant, vous avez, vous, l’impression d’un décalage avec ce que vous pensez de votre discours durant l’interview de recrutement et le discours du recruteur.

Vous avez des doutes

Vous êtes, certes, content (e), de la suite que le chargé de recrutement vous a annoncé, puisque le processus se poursuit.
Et pourtant, vous vous sentez mal à l’aise.

  • Vous avez des doutes sur votre capacité à tenir le poste
  • Le poste est différent de ce à quoi vous vous attendiez
  • L’entreprise vous paraît moins attractive qu’au début de votre candidature
  • Les conditions de rémunération, de progression, de formation, de trajet, etc. contiennent des contraintes que vous avez découvertes durant l’entretien seulement
  • Vous ne savez pas dire d’où vient cette sensation désagréable

Alors vous vous demandez :

« Pourquoi veut-il imposer ma candidature ? »

Il existe de multiples raisons pour lesquelles un recruteur cherche à poursuivre le processus de recrutement avec vous.

Vis-à-vis de vous

Votre interviewer peut avoir déceler des possibilités que vous n’avez pas vu vous-même. Vous vous êtes sous-estimé ou vous disposez de qualités qui pourraient servir à l’entreprise à un autre poste, par exemple à la place d’une personne qui va bientôt quitter l’entreprise, volontairement ou non.

Vous considérez certains points comme des points faibles alors qu’il s’agit de points forts pour l’entreprise. Tout est relatif. Vous avez mal cerné le poste.

Le recruteur peut avoir considéré que certains de vos critères sont mineurs alors qu’ils sont importants pour vous. Par exemple, le besoin d’un déménagement.

Vis-à-vis de l’entreprise en interne

Lorsque le chargé de recrutement appartient à l’entreprise qui embauche, il se doit de montrer sa capacité à trouver des candidats qui pourraient « faire l’affaire ».

Il sait que l’oiseau rare est difficile ou impossible à trouver alors il présentera à sa hiérarchie des candidats « moyens » et qui conviendraient, malgré certaines faiblesses.

Il justifie ainsi son poste et ses propres compétences de recruteur.

Vis-à-vis de l’entreprise cliente

C’est tout l’intérêt du cabinet d’imposer un de ses candidats car c’est sa source de revenus. Sa crédibilité est en jeu, comme un chargé de recrutement interne, sauf qu’il peut multiplier le nombre de contrats pour les futurs postes à pouvoir.

Certains cabinets,même, acceptent le deal avec leur client et ne sont payés que si le client embauche un des candidats présentés, voire même à la fin de la période d’essai.

Dans tous les cas,

Les encouragements du recruteur servent uniquement à convaincre le (la) candidat (e) qu’il (elle) a une chance d’être choisi (e).

De plus, il repasse à d’autres la décision finale, en « refilant le dossier » aux vrais décideurs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Recruteur : La présélection des candidats
Entretien d’embauche : La prise de notes par le recruteur
Connaître ses limites face à un recruteur en entretien d’embauche

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Faute du recruteur : 3/7 Avoir la certitude que 5 ou 6 « OK » = « extra ordinaire »
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Bâtir l’Expérience Client 3/3 : L’ingénierie inversée et Kaizen


L’Expérience Client L’ingénierie inversée

L'Expérience client ExcellenceUn aspect important du management par les processus est l’amélioration continue (Kaizen en Japonais). Mettre en place la philosophie de l’amélioration continue, c’est pour l’entreprise l’assurance qu’elle sera en mesure de répondre aux marchés qui évoluent sans cesse et aux aspirations des clients.

Sommaire :

Plus qu’une formule : « Une véritable démarche »
Objectif et pertinence

L’entreprise se doit d’apporter une évolution constante à sa relation avec le client. Elle doit articuler sa vision articuler sa vision et les stratégies qui en découlent à partir de la perception par le client, et ensuite concentrer les améliorations des processus en direction de lExpérience Client et du succès (avec les produits et services de l’entreprise).

En travaillant avec les données clients, les analyses qui en découlent, les entreprises peuvent tire profit de « l’ingénierie inversée ». C’est-à-dire partant des aspirations des différentes catégories de clients, et utiliser le résultat de ces investigations pour définir comment l’entreprise doit se comporter à travers les processus, l’organisation, la technologie, afin de délivrer une Expérience Client optimale et des résultats à succès.

En portant une attention permanente sur l’Expérience Client, l’entreprise contribuera à maintenir les collaborateurs, les processus, les pratiques, la technologie dans le cercle vertueux de l’évolution continue gage d’une excellente relation avec le Client au cours du temps.

En aucun cas, l’excellence de la Relation Client, tout comme la parfaite intégration des processus de gestion ne doivent prendre place après la réflexion sur l’exécution des tâches.

En conclusion

Peut-être, que ce que je viens d’écrire n’est pas magique du tout.
Peut-être est-ce simplement du bon sens.

Rappelons-nous simplement que nos clients sont la base de tout.
Sans client, l’entreprise n’est rien !

Par Philippe Gaultier

Présenté par Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Amélioration : 10 principes pour être efficace en entreprise et ailleurs
Actions d’amélioration au sein d’une entreprise
La méthode des 5S

Faute du recruteur : 4. Organiser un entretien improvisé à plusieurs
Faute du recruteur : 5. Suivre scrupuleusement un script pré défini
Faute du recruteur : 6 Prenez du recul
Faute du recruteur : 7. Ne pas vérifier auprès des autres

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Bâtir l’Expérience Client 2/3 : Objectif et Pertinence


L’Expérience Client : Objectif et Pertinence

L'Expérience client PertinenceAu lieu de gérer la perspective Client seulement à partir d’un produit, d’un service de l’entreprise ou d’un département, la plupart des systèmes internes devraient ajouter une dimension encore plus large comme celle de l’Expérience Client et des Clients ambassadeurs de l’entreprise (ou de la Marque).

Sommaire :

Plus qu’une formule : « Une véritable démarche »
L’ingénierie inversée

Le processus joue un rôle clé dans l’apport de ces dimensions et il va permettre d’atteindre l’objectif avec pertinence.

En interne cela se caractérise par des fonctionnalités transversales, des équipes de plusieurs départements pour élaborer, définir, et mettre en place les stratégies clients, les traduire en processus. Cette démarche va véritablement fédérer l’entreprise.

Les entreprises qui laissent prospérer des solutions séparées, des processus en silos, et ce pour chaque catégorie de client ne manqueront pas d’affaiblir la faculté de répondre à leurs clients.

Finalement cela conduira à un sentiment de frustration, puisque l’entreprise n’est pas en mesure de proposer une Expérience Client et ce quels que soient les canaux utilisés.

Ces entreprises, n’ont probablement pas encore élaboré une stratégie de l’Expérience Client, et encore plus certainement, développé des solutions spécifiques pour chaque canal, sans tenir compte de la nécessité d’une intégration harmonieuse dans les processus, les stratégies et la vision.

Par Philippe Gaultier

Présenté par Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Définition de l’effectivité et définition de l’efficience
L’analyse de décision orientée objectifs (ADOO)
9 conseils pour atteindre et tenir ses objectifs

Les 7 fautes du recruteur qui ruinent l’entretien d’embauche
Faute du recruteur : 1. Considérer que la timidité signifie incapacité à
Faute du recruteur : 2. Élargir le champ des possibilités
Faute du recruteur : 3. Avoir la certitude que 5 ou 6 « OK » = « extraordinaire »

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Bâtir l’Expérience Client 1/3 : une démarche, un parcours


L’Expérience Client : une démarche, un parcours

Plus qu’une formule : « Une véritable démarche »

L'Expérience client démarchePour ceux qui travaillent en gérant via les processus, c’est une seconde nature que de détricoter les activités et les initiatives de l’entreprise.

Sommaire :

Objectif et Pertinence
L’ingénierie inversée

En les convertissant en processus de support et en évaluant leur bien fondé et leur efficacité, il sera aisé de déterminer si ces activités ou initiatives ont la capacité à accomplir la tâche demandée.

Cependant, la perception beaucoup de collaborateurs au sein d’une entreprise se résume aux activités et initiatives, et ils ne réalisent pas que les processus sont essentiels pour faire en sorte que les choses se réalisent.

Les initiatives, qui sont souvent entourées d’un fort battage sont bien difficile à envisager comme étant la symbiose des processus, des données, des pratiques et objectifs des collaborateurs.

Un parcours varié

Ne nous y trompons pas : L’Expérience Client c’est une réalité et elle appartient au client et à lui seul.

Le rôle d’une entreprise, est de tout faire pour que la grande majorité de ses clients – si ce ne sont tous ses clients – aient la meilleure expérience. C’est tout simplement la façon dont elle interagit avec le client partout et n’importe où, à tout moment.

Les interactions avec les clients dans la plupart des organisations sont de plus en plus orientées dans de multiples directions comportant ainsi de nombreux points de contacts.

Les entreprises doivent désormais être en mesure de procurer une expérience unique, extra-ordinaire, quel que soit le canal utilisé.

De plus l’entreprise doit gérer de belle manière la façon dont elle répond aux besoins et désirs des clients, en se basant sur le vocabulaire de ces derniers, sans omettre d’y inclure le message de la (grande) qualité de ses produits et services.

Les processus peuvent alors devenir des interfaces dynamiques et pertinentes tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’entreprise.

La gestion des processus doit être l’instrument pour concevoir, entretenir l’efficacité et la réactivité d’outils sophistiqués. Ces outils devant parfaitement répondre aux besoins des Clients, tout en prenant en compte les exigences qui, elles, varient d’un client à un autre.

Les processus bien conçus et orientés vers le client vont conduire à une grande différence lors de l’intégration des points de contact car ils permettront d’obtenir une vision unique des interactions avec le Client.

Par Philippe Gaultier

Présenté par Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Concentrez-vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré
Indicateurs d’efficacité
Analyse préalable de l’activité de décision

L’âge, véritable handicap pour l’emploi ?
Un excellent CV… suffisant ?
Le CV : l’obsession ?

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VAE : Le processus de la Validation des Acquis de l’Expérience


VAE : Le processus de la Validation des Acquis de l’Expérience

transformez votre expérence en diplômePour obtenir un diplôme ou une certification professionnelle par l’intermédiaire d’une VAE, il faut passer par certaines étapes qui forment le processus de la Validation des Acquis de l’Expérience

Étape 1 et Étape 2 : S’informer

Le processus commence par une réunion collective au Point relais conseil de votre département

La seconde étape est une réunion individuelle avec un conseil du Point relais conseil

Ces deux étapes ont pour but de vous informer sur la VAE et de vous aider à identifier le diplôme ou la certification professionnelle qu’il est possible d’obtenir par ce processus.

De même, en fonction de la qualification ciblée, le conseil va vous indiquer l’organisme certificateur qui délivre diplôme ou certification professionnelle

Étape 3 : Dépôt du pré dossier de recevabilité

A l’issue de la deuxième étape, vous établissez un pré dossier de recevabilité, seul (e) ou avec l’aide d’un conseiller du Point relais conseil

Dans ce dossier figurent tous les éléments nécessaires à l’organisme certificateur auprès de qui vous le déposez et qui vont lui permettent de décider si la demande de VAE est possible pour le diplôme ou la certification professionnelle ciblé(e)

Étape 4 : Constitution du dossier

Environ 1 mois, après le dépôt du pré dossier de recevabilité, l’organisme certificateur donne son aval pour la constitution du dossier

Il peut aussi le refuser si le pré dossier est insuffisant, les conditions d’expérience insuffisantes pour le diplôme ou la certification envisagé(e)

Le dossier de VAE peut être constitué de deux façons :

La mise en situation permet, pour certaines qualifications professionnelles ou diplômes de se rendre compte que les compétences sont bien acquises. Elle est souvent nécessaire pour des métiers d’artisanat ou des métiers manuels

Dans tous les cas, la constitution du dossier prend plusieurs mois, car il s’agit de fournir suffisamment de détails propres à convaincre les examinateurs que les acquis de l’expérience sont suffisants pour valider le diplôme, sans passer préalablement par une formation

Tous les éléments de compétences et de connaissances sont à mettre dans le dossier, même lorsqu’il s’agit d’une qualification professionnelle manuelle car le dossier est uniquement sur papier

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Étape 5 : Dépôt du dossier ou Mise en situation

Le dossier est déposé auprès de l’organisme certificateur qui délivre le diplôme ou la certification professionnelle

L’organisme certificateur désigne un jury pour décider de la suite à donner à un dossier de VAE

Le dossier est alors étudié par les membres du jury

Étape 6 : Convocation par le jury

Selon l’organisme, le jury peut se réunir une ou deux fois par an. Généralement, les jurys sont constitués pour valider les formations initiales, auxquelles s’ajoutent les demandes par le biais de la VAE

Pour certains diplômes ou qualifications professionnelles, le jury demande une mise en situation. Par exemple, un chef de cuisine doit montrer qu’il sait cuisiner et pas seulement en description dans son dossier

Dans tous les cas, le(la) candidat(e) doit défendre son dossier et montrer son savoir et savoir-faire, comme s’il(elle) présente un dossier de fin de formation ou le passage d’un examen de fin d’études

Étape 7 : Décision du Jury

Après avoir étudié le dossier et convoqué le (la) candidat(e), le jury a trois options :

  • fournir le diplôme ou la qualification professionnelle
  • accepter qu’une partie du diplôme ou de la qualification professionnelle soit validée, la partie manquante devra, dans un délai de trois ans, être validée à l’issue d’une formation complémentaire
  • refuser le diplôme ou la qualification professionnelle, comme cela peut se produire à la fin d’une formation initiale classique

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour booster votre recherche d’emploi, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :


En complément :

VAE : Les financements
VAE : Qu’est-ce que la Validation des Acquis de l’Expérience ?
Formation en e-learning (distanciel, à distance)

Formation par serious game (jeu sérieux)
Formation présentielle (en présence d’un formateur)
Formation présentielle vs serious game vs e-learning

Les niveaux de qualification et de diplômes
Senior Arguments contre le « Pas assez diplômé »
Axe de qualification des collaborateurs

Échelle d’évaluation pour Aptitudes et comportements 1     2     3     4     5     6     7

Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 6 Emploi
Récapitulatif 7 Emploi

Récapitulatif 2 management
Récapitulatif 6 Management
Récapitulatif 7 Management

Tous les articles de ces catégories sont listés dans les pages Emploi et Management

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Amélioration : 10 principes pour être efficace en entreprise et ailleurs


Amélioration : 10 principes pour être efficace en entreprise et ailleurs

AméliorationVous manquez d’efficacité pour améliorer votre situation, professionnelle ou personnelle, dans votre entreprise ou ailleurs ?

Vous vous demandez pourquoi et comment ?

Voici quelques principes pour augmenter l’efficacité de votre processus d’amélioration :

1. Abandonner les idées fixes

Tant que vous vous agrippez à la corde qui vous serre le cou, vous survivrez…
…Sans résoudre votre problème.

2. Au lieu d’expliquer ce qui est impossible à faire, réfléchissez à comment le faire

Vous trouverez toujours une « bonne » raison pour ne pas mettre en oeuvre une solution qui permette d’avancer.

3. Refuser l’état actuel des choses

Si vous ne voulez pas voir l’éclat du problème, vous ne pourrez pas voir d’ombre d’une solution.

4. Réaliser immédiatement les bonnes propositions d’amélioration

Si vous ne démarrez pas le processus par une première action, vous risquez de vous voir prolonger votre problème.

A attendre le bateau de secours sans prendre place dans le canot de sauvetage, le tsunami de vos problème risque de vous submerger.

5. Ne pas chercher la perfection

La perfection n’existe pas. Les solutions miracles non plus.

A chercher LA perfection, vous risquez de passer à côté de solutions qui vous permettraient de franchir les étapes vers la résolution de votre problème, pas à pas.

6. Corriger l’erreur immédiatement sur le terrain

La mise en oeuvre d’une solution se fait sur le terrain.

Elle permet d’avancer vers l’amélioration ET de détecter d’éventuels dysfonctionnements ou problèmes cachés jusque là par le problème désormais résolu.

7. Trouver des idées novatrices

Le Monde bouge en permanence.
Ce qui était valable hier, peut être devenu obsolète aujourd’hui.

Les vieilles idées ne marchent pas toujours.
De nouvelles idées résoudront les nouveaux problèmes.

8. Identifier en premier lieu la cause réelle afin de chercher ensuite la solution

Mieux vaut savoir où se trouve l’incendie avant d’appeler les pompiers.
Une cause apparente peut cacher un problème plus important.

L’amélioration de la situation passe par la source réelle des problèmes.
N’endiguez pas une rivière en aval, si elle peut changer son cours en amont.

9. Enregistrer les idées de 10 personnes au lieu d’attendre l’idée géniale d’une seule

Une idée en amène une autre. Chacun apporte sa pierre à l’édifice de la réflexion.
L’union fait la force tant dans la recherche des causes que dans celle des solutions et encore plus dans leurs mises en oeuvre.

10. Rendre l’amélioration permanente

En permanence, des évènements, intérieurs ou extérieurs, influencent sur une situation, même les plus optimisées.
C’est pourquoi, l’amélioration est un processus qualité, lui aussi, permanent.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Méthode SCORE ou Chercher les causes profondes
Carences dans une organisation décelées par son informatisation
Les causes des dysfonctionnements

Actions d’amélioration au sein d’une entreprise
Les 10 clés du changement
Les 6 défis de la modernité

Autres Management et Organisation :

Récapitulatif 6 Management
Récapitulatif 6 Organisation

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