Entretien d’embauche : 5 premiers conseils pour bien débuter l’entrevue


5 premiers conseils pour réussir votre entretien d’embauche

Réussir son entretien d’embauche demande de la concentration, une attitude positive, la maîtrise de son stress durant toute la conversation.

C’est l’épreuve par laquelle tous les candidats passent pour avoir une chance de faire la différence, pour rassurer et convaincre l’entreprise de vous embaucher.

Voici les cinq premiers des 10 conseils pour mettre toutes les chances de votre côté :

1/ Arriver à l’heure

Arriver pile à l’heure est preuve de ponctualité.

Cinq minutes à l’avance est un maximum pour laisser à la personne qui vous reçoit de venir jusqu’à l’entrée du bureau ou devant son ordinateur s’il s’agit d’une entrevue via écrans interposés.

arrivé cinq minutes avant ou après l'heure du rendez-vous

bon : 5 min avant ; mauvais : 5 min après

Si vous êtes plus tôt, restez dans la rue ou dans le plus proche café, à l’abri du regard de la fenêtre du recruteur. Prenez soin de garder votre tenue propre. Évitez tâches et miettes et les mains moites.

Si vous sentez que vous aurez du retard, prévenez au plus tôt votre interlocuteur. C’est très désagréable d’attendre un candidat en retard et met le recruteur dans une mauvaise disposition à votre égard.

2/ Être modéré dans sa communication non verbale

D’un côté, il y a les nerveux, ceux qui sont mal à l’aise à cause de l’enjeu ou d’un manque de qualification, voire d’un mensonge sur le CV, ou, au contraire, sont très enthousiastes et cherchent à convaincre par une attitude, hélas excessive.
Ils bougent sans arrêt, la jambe tremblotte, les mains sont incapables de tenir en place, les lèvres tremblent.

D’un autre côté, il y a les paralysés, ceux qui sont immobiles, qui donnent l’impression de ne pas respirer, d’être coincés sur le bout de la chaise, le dos droit, les mains cachées ou crispées.

les 3 singes de la sagesse

les 3 singes de la sagesse

Et puis, il y a la grande majorité, ceux qui s’assoient bien calés dans le siège, le buste en avant, les mains ouvertes qui appuient le discours, sans grands gestes avec les bras.
Le regard se pose 10 cm derrière l’œil gauche de son vis-à-vis. L ’attitude est sereine, la voix posée, le sourire aux lèvres.

3/ Poser des questions

Il se peut que le recruteur vous fournisse tellement d’informations que vous ayez l’impression de tout savoir sur l’entreprise et le poste.

L’entretien d’embauche est un échange pendant lequel le recruteur parle environ un tiers du temps, habituellement, et vous fait parler de vous, de vos forces et de l’apport que représente votre candidature pour l’entreprise.

Un échange comprend aussi des questions, de part et d’autre. Il y a toujours des questions à poser, sur des sujets comme la personnalité des collaborateurs et des collègues.

Venir sans question, c’est comme se déplacer sans argent sur soi.

4/ Prendre des notes

Dans le même ordre d’esprit que les questions à poser, prendre des notes, avec l’accord de votre interlocuteur, est une démonstration de votre intérêt pour le poste et l’organisation.

prendre des notes en entretien d'embauche

prendre des notes

Montrer son intérêt fait partie de la motivation. S’en abstenir, c’est donner l’impression que vous êtes là pour passer un moment sans rien retenir de la conversation. Outre un sentiment désagréable que vous laisseriez, un candidat plus motivé, même moins compétent aura la préférence du recruteur.

5/ Apporter vos documents

En plus de votre bloc-notes, de crayons taillés ou de stylo qui marche, vous aurez besoin d’apporter des documents avec vous.
Indispensables sont votre CV en deux exemplaires, dont l’un pour le recruteur s’il l’a oublié ou feint de l’avoir oublié, votre Lettre de motivation et l’annonce à laquelle vous avez répondu, si tel est le cas.

Vous pouvez aussi, amener avec vous, vos diplômes ou certificats de qualification, habilitation, certifications.

De même, toutes les notes que vous avez prises, préalablement sur l’entreprise, ce qui montrera, mine de rien, que vous êtes motivé suffisamment pour vous êtes renseigné avant l’entretien.

Votre antisèche, c’est-à-dire les réponses préparées aux questions les plus fréquentes, vos questions à poser, etc.

Le prochain article vous propose 5 conseils supplémentaires pour réussir votre entretien d’embauche

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai
Question piège du recruteur : Pourquoi vous ?
20 gaffes qui ruinent un entretien d’embauche

Faire une bonne impression en entretien d’embauche : Mode d’emploi
12 conseils pour convaincre
Comment traiter des trous dans votre CV

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4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai


4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai

Période tous les dangers, la période d’essai peut capoter, si vous vous y prenez mal.

Il existe de nombreux pièges où les croyances que vous avez peuvent vous desservir durant cette période que vous souhaitez réussir, c’est-à-dire aller jusque sa fin et confirmer votre embauche.

période d'essaiLa ponctualité

C’est tout bête. Soyez à l’heure, tant pour arriver sur votre lieu de travail qu’au moment des pauses ou à la fin de votre journée.

Bien sûr, il est tentant de montrer son zèle en adoptant les horaires des collègues voir celles de votre chef. Seulement, la fatigue durant la période d’essai est plus grande que la fatigue quand on a attrapé la routine.

Soyez souple aussi. Si un coup de collier est nécessaire pour une action commune, prenez alors vos responsabilités.
Si le dépassement d’horaires est la règle, à vous de voir si vous l’acceptez ou si votre intérêt est d’interrompre la période d’essai.

Prendre le rythme

Les automatismes viennent avec le temps.

prendre le rythme

prendre le rythme

Vous découvrez de nouvelles façons de faire, des logiciels, un environnement de travail. Tout cela contribue à vous prendre du temps avant d’être aussi opérationnel (le) que les collègues.

Discutez avec les autres, posez-leur des questions, demandez leur aide.
Se faire aider pour acquérir plus vite les connaissances indispensables pour devenir plus efficace.

Restez, cependant, mesuré (e), car vous risquez de ralentir le travail des autres et de trop les déranger. Profitez des moments de leurs pauses où ils sont plus au calme pour vous répondre ; si vous pouvez attendre.

Faites-vous bien voir

Le partage d’opinion et l’expression de son point de vue impliquent de connaître la situation dont il est question.

Laissez les autres lancer la conversation et participez-y en posant des questions, plutôt en donnant votre opinion, surtout si elle est en contradiction avec ce que vous entendez.

Mieux vaut faire profil bas, du moins, durant la période d’essai et ainsi éviter des conflits inutiles.

conversation entre collègues

Attendez avant les remises en question

Il est probable que vous ferez la comparaison entre votre précédent travail et le nouveau.

Si prendre l’initiative de proposer des changements est souvent bien vu de la hiérarchie, le contraire l’est tout autant. L’opposition existe déjà, elle est encore plus forte quand c’est le (la) dernier (ère) arrivé (e) qui en est le point de départ.

La remise en cause doit se faire à bon escient, avec un degré d’acceptation élevé. A vous de trouver les arguments qui touchent ou attendez la fin de votre période d’essai pour le faire.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Les 100 jours de la période d’essai réelle
Période d’essai : Les débuts comme chef de service
Malade pendant la période d’essai : Conséquence

Management : L’entretien d’intégration
Comment présenter un avantage ou un inconvénient
Premier emploi : Adaptation impérative

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Licenciement pour insuffisance professionnelle


L’insuffisance professionnelle est un motif de licenciement

journée Jaccede nantes en 2007Pour être considéré comme valable, le licenciement pour insuffisance professionnelle implique que  :

  1. le salarié soit responsable des faits qui lui sont reprochés
  2. les faits soient précis et vérifiables (Cass. Soc. 20 sept 2006, n°0448381) et en rapport avec le secteur d’activité

Quels sont les insuffisances professionnelles ?

Parmi les faits conduisant à un licenciement pour insuffisance professionnelle, on trouve :

L’insuffisance professionnelle n’est pas une faute

Si le manque de résultat est un motif de licenciement, il ne fait pas partie des insuffisances professionnelles, sauf s’il est la conséquence d’une mauvaise volonté et de l’absence d’actions caractérisée et vérifiable.

La procédure de licenciement est identique à un licenciement pour motif non fautif.

En conséquence, le salarié conserve ses droits :

  • l’indemnité de licenciement, pour un CDI
  • l’indemnité compensatrice de préavis,  si le salarié est concerné
  • l’indemnité compensatrice de congés payés, pour les congés encore à prendre

Source : NetPME

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :


En complément :

Entrevue d’embauche : Parlez-moi de vos erreurs
Entretien annuel d’évaluation du cadre en 6 points
Communication interne : flux d’information et climat social

Rupture du contrat de travail : risques et légalité
La relation commerciale : source d’insatisfactions
Productivité : La force de la volonté est limitée

Autres Emploi et Juridique :

Récapitulatif 15 Emploi
Récapitulatif 14 Juridique

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10 critères d’évaluation d’un stagiaire ou d’un apprenti


Évaluer un stagiaire ou un apprenti

Dans les entreprises qui sont sollicitées pour accueillir des stagiaires ou/des apprentis, se pose la question du bien-fondé de cette démarche.

Une fois que le chef d’entreprise a compris qu’il a tout à gagner en informant et en formant d’éventuels futurs employés à ses méthodes et techniques « maison », arrive le moment de l’évaluation du stagiaire ou de l’apprenti.

Cette évaluation est importante pour la suite à donner à l’issue du stage ou de la formation, tant pour le patron que pour le stagiaire ou l’apprenti. Notamment pour définir les points forts et les axes d’amélioration.

apprentissage

Pour aider les chefs d’entreprise, voici 10 critères d’évaluation, simples et pourtant pratiques :

 Critères Très bien Bien Passable
1 Sérieux
2 Ponctualité
3 Dynamisme
4 Intérêt pour les missions
5 Autonomie
6 Relation avec la hiérarchie
7 Intégration dans le service
8 Compétences techniques
9 Respect des consignes de sécurité
10 Respect des objectifs

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

L’entretien individuel : un exercice difficile pour le manager
Livret d’entretiens avec un nouveau collaborateur
Critères de jugement du personnel

Loi de Jost pour mieux apprendre
Employeur : Les aides à l’embauche d’un contrat en alternance
Contrats en Alternance : c’est quoi et pour qui

Autres Management :

Récapitulatif 14 Management

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Candidature : Gare aux détails qui font mal


Réussir ou échouer : une question de détails

le détail qui tue

Aïe Une tache juste avant l’entretien

Réussir son CV, sa lettre de candidature, son entretien d’embauche, son intégration dans le nouveau poste, dépend souvent d’un rien. Des détails peuvent vous apportez du succès et aussi des échecs.

Quand plusieurs candidats ont un profil équivalent, les détails deviennent les clés de votre différence par rapport aux autres candidats.

Éléments discriminatoires visibles

La dernière tendance est le CV anonyme. Soi-disant anonyme pour donner plus de chances aux minorités visibles.

Mais alors il faut aussi interdire de mettre une photo, de mettre son nom, de signaler un handicap ou son adresse, si vous habitez dans un quartier qui vous désavantage, ou encore votre âge, pour les juniors ou les seniors.

Éliminez autant que possible, tous les éléments discriminatoires ou pénalisants dans votre CV, lettre ou entretien.

Points faibles

Jusqu’à ce que le recruteur vous pose la fameuse question des points faibles, inutile de se dévaloriser.

Laissez donc l’autre évoquer la question en premier.

Les fautes de français

Les recruteurs sont très sensibles à toutes les fautes de français. Déjà, trois fautes dans les écrits, CV, lettre ou mail de candidature, risquent de provoquer un rejet de votre candidature.

En entretien d’embauche, si vous êtes incapable de vous exprimer correctement, avec une syntaxe correcte, à défaut de connaître suffisamment de vocabulaire, alors vos chances se réduisent beaucoup.

Être joignable

À l’heure de la communication immédiate, la présence d’un téléphone mobile est devenue indispensable.

Le recruteur doit être à même de vous joindre immédiatement ou très rapidement. Faute de pouvoir vous joindre, il passera au prochain candidat.

L’adresse mail est tout aussi indispensable. Vous devez pouvoir envoyer et recevoir des messages écrits et des pièces jointes.

Regardez votre messagerie électronique, écoutez votre répondeur, au moins trois fois par jour, pour vous assurer de pouvoir rappeler le recruteur dans la journée, de préférence au lendemain.

Numéro de téléphone et adresse mail doivent être exacts.

Rien de pire qu’une faute de frappe pour que le recruteur ne puisse vous joindre, et alors… adieu le poste.

La ponctualité

Même s’il est toujours possible d’appeler au dernier moment pour prévenir du retard à votre entretien d’embauche, mieux vaut l’éviter. Préparez donc bien la durée de votre trajet, en prévoyant des incidents possibles.

Par contre, si vous arrivez en avance, attendez l’heure avant de vous montrer sur le lieu de votre rendez-vous.

Les gens en avance irritent tout autant que ceux qui sont en retard.

Refuser de répondre

En dehors des questions interdites en entretien d’embauche et que certains recruteurs se permettent quand même de poser, répondez à toutes les questions de votre interlocuteur.

Prenez le temps de réfléchir sans hésiter trop souvent. Votre agilité mentale, votre sens de la répartie, votre humour seront mieux appréciés si le contenu de votre réponse est en rapport direct avec la question posée.

Soyez honnête, tournez vos phrases dans un sens toujours positif et minimisez tous propos qui pourraient être mal interprétés.

Une bonne impression

Quelle que soit l’ampleur de vos compétences professionnelles, l’immensité de votre savoir ou de votre savoir-faire, si vous laissez une mauvaise impression au recruteur, vous risquez de vous faire éliminer.

A priori, les candidats qui parviennent à décrocher un rendez-vous ont les compétences nécessaires pour assumer le poste.

C’est donc l’attitude, la volonté, la force de conviction, et d’autres traits de caractère qui feront que vous obtiendrez le poste.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Liste d’exemples de points forts et de points faibles
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Comment rater son entretien d’embauche
Entretien d’embauche : 4 conseils pour inspirer confiance aux recruteurs
Échanger durant l’entretien d’embauche

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Emploi : à savoir pour un entretien d’embauche en Suisse


Quelques particularités sur la Suisse à connaître quand on postule à un travail

La législation du travail dépend du canton

Il faut savoir que la législation du travail dépend exclusivement du canton. C’est-à-dire que toutes les lois et règles qui s’appliquent dans un canton ne s’appliquent pas aux autres cantons. Si vous obtenez un diplôme de médecin à Genève, vous ne pouvez pas exercer à Lausanne et réciproquement.

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Un diplôme étranger n’est pas reconnu en Suisse, il faut passer les épreuves en Suisse. La seule concession est que vous êtes dispensé d’y suivre les études avant de se présenter aux épreuves.
Selon le canton, certains diplômes peuvent être reconnus. Il faut se renseigner auparavant.

En Suisse, on parle plusieurs langues,

mais chaque canton a sa langue officielle.

Bien que l’apprentissage d’une autre langue nationale soit encouragé et parfois obligatoire dans certains cantons, ce n’est pas un avantage.

Parler l’anglais est souvent la seule possibilité de se faire comprendre, même entre suisses.

Par contre, la loi fédérale autorise chacun à parler sa propre langue, quel que soit le canton. C’est parfois la cacophonie, mais les suisses sont des gens très pondérés.

Deux éléments sont très importants pour travailler en Suisse : La propreté et la ponctualité

La propreté

Si vous avez une seule tache alors tant pis pour vous. C’est éliminatoire.

Votre tenue, à tout moment, et particulièrement dans un entretien d’embauche, doit être impeccablement propre. Pas une seule tâche, même de sueur.
Prenez le temps pour ne pas arriver en nage.

La ponctualité

« Avant l’heure ce n’est pas l’heure et après l’heure ce n’est plus l’heure ». Cet adage est une règle fondamentale pour les Suisses.

Vous devez arriver pile à l’heure, demandez de combien de temps vous disposez et respecter impérativement cette durée, ni moins ni plus. Et ceci à la minute près.
Ce sont des maniaques de la ponctualité, au moins autant que de la propreté.

La politesse

Quand on dit bonjour, on ajoute toujours le nom de la personne. Il faut donc connaître le nom de son ou ses interlocuteurs : « Bonjour Madame Machin, bonjour Monsieur Truc » ! Pas de « bonjour » seul, ni de ‘bonjour monsieur » ou « bonjour madame », sans le nom.

Les Suisses sont fiers de l’être

Les Suisses considèrent tous les Étrangers de la même manière, du moment que vous soyez non Suisse.
Vous serez considéré(e) de la même manière quelle que soit votre nationalité, sauf si vous êtes Suisse (où là d’autres particularités existent)

Les Suisses sont très fiers d’avoir l’un des tous premiers niveaux de vie au Monde. C’est cependant un tabou dans les conversations, surtout entrevue d’embauche.

Il ne faut cependant pas faire l’erreur de se baser uniquement sur le salaire annoncé, beaucoup plus élevé que dans les autres pays, car la vie aussi est très chère et les Douanes suisses sont très efficaces dans la chasse aux resquilleurs sur ce qu’il est autorisé d’importer en Suisse pour la vie courante, surtout envers les frontaliers.

Les Suisses ne sont pas lents

Ils sont très pragmatiques. Ils réfléchissent avant de parler, ce qui donne parfois l’impression qu’ils sont lents, d’où la légende.
Généralement, ce ne sont pas des impulsifs.

Ils ne coupent jamais la parole et s’attendent à ce que leurs interlocuteurs respectent ces règles.

Comme beaucoup, ils sont procéduriers. Chacun parle à son tour, avec des phrases construites et réfléchies.

Ces règles s’appliquent à tous, même aux Suisses et même en dehors des entretiens d’embauche.

Philippe Garin

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Pour en avoir plus :

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Quelques conseils avant un entretien d’embauche

Jours fériés aux Pays-Bas, en Suisse
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