Différence entre le français et l’allemand


Histoire alsacienne

L’Alsace a une histoire mouvementée. Rattachée à la France, après la seconde guerre mondiale, par un référendum local, elle a été, tantôt allemande, tantôt française.

Cela se traduit, par exemple, par le fait que le nom des rues à Strasbourg sont inscrites en deux langues sur les murs.

Une statue a été érigée : elle représente une femme avec deux enfants, l’un allemand, l’autre français.

L’humour alsacien tient compte de cette particularité.

Quelle est la différence entre les deux langues parlées en Alsace ?

Eh bien, l’allemand est une langue chantante alors que le français est une langue gutturale.

En voici un exemple, par cette même phrase dans les deux langues :

oiseau dans arbreEn allemand : « Die Vögel singen in die Baümen »

En français : « Les zoizeaux cazouillent dans les arrbrres ! »

Que mes amis alsaciens ne m’en veuillent pas : je n’ai pas inventé cette histoire.

Pourtant, je l’aime bien.

Philippe Garin

Pour rire ou sourire, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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un porc au zoo


Ah ! Jerzy !

C’est un souvenir de jeunesse, du temps où… Ouf ! Tant que ça !

C’était dans le magazine Pilote, créé, entre autres, par Coscinny, au début des années 70, cette histoire courte et poignante qui a marqué ma vie et influencé mon sens de l’humour dans une direction bien précise : le jeu de mots.

Cette histoire commence

par un enfant qui s’ennuie, seul à la maison. Son père, pour lui faire plaisir, lui offre un animal.

Par n’importe lequel, pas un chien, ni un oiseau, pas un chat ou un poisson rouge, non : un petit cochon, rose à souhait.

La vie en ville, dans un appartement, n’est guère favorable à un animal de compagnie. Peu importe pour le gamin, il se prend d’affection pour ce petit cochon. Il va s’appeler Jerzy.

Il joue avec lui, fait les pires des tours à son père, qui, satisfait de la joie de vivre de son petit garçon, leur pardonne volontiers.

Le garçonnet et le porcelet mangent ensemble, à table, parce le papa n’est pas d’accord pour que son fils mange par terre.

Mais un cochon, ça grandit très vite. Et ça grossit très vite.

Petit à petit, le père se rend compte que ce goinfre de cochon ne se contente plus des épluchures, il lui en faut plus, toujours plus.

Et il grandit. Et il grossit.

Partageant la chambre du gamin, Jerzy prend de plus en plus de place, dans le lit, car ils partagent leur lit…

… jusqu’à ce que le père prenne la difficile décision car cette situation n’est plus tenable. Le porc est devenu trop grand, trop encombrant.

Que faire ? Pas question de l’amener à l’abattoir. Son fils ne lui pardonnerait pas.

Alors, il a une idée lumineuse : il va le remettre au zoo.

« Et père, y colle au zoo, c’porc Jerzy »

Pour ceux qui ne comprendraient pas l’italien ou qui ne prennent jamais le train, ne vous penchez pas au dehors  ;-))
Et père, y colle au zoo c'porc Jerzy

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


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