Perfectionniste : Force ou faiblesse


Prenez du recul sur votre perfectionnisme annoncé

Dans un entretien d’embauche, la question des points faibles est souvent posée. Les petits malins qui ont préparé des réponses à l’avance, proposent souvent la réponse : « je suis perfectionniste ». Est-ce vraiment la bonne réponse ?

Et si vous l’êtes vraiment, alors comment pouvez-vous vous améliorer ?

1/ « Je ne suis pas le centre du Monde »

Soyons sérieux, si vous faites une erreur, si vous avez un problème, croyez-vous que cela intéresse les milliards d’habitants de notre planète ?

Peu de gens sont à l’affut de vos erreurs et vont se lancer dans une campagne de critiques à votre égard.

Pour prendre du recul, demandez-vous si, dans 5 ans, ce que vous avez manqué ou fait d’une manière imparfaite a encore de l’importance. Si vous répondez oui, êtes-vous de bonne foi ?

perfectionnisme

perfectionnisme trop poussé !

2/ « ça semble plus facile chez les autres »

Quand vous regardez ce que font les autres, vous avez l’impression qu’ils savent exactement ce qu’ils font et pourquoi, vous croyez être la seule personne à improviser.

En réalité, personne n’a de plan réfléchi complètement à l’avance. Tout le monde a des doutes et des interrogations sur ce qu’il fait, improvise… et le cache avec plus ou moins d’habilité.

Improviser est une qualité envie par les perfectionnistes, qui veulent tout contrôler. Or l’imperfection ouvre des perspectives, stimule l’imagination et nous fait découvrir de nouvelles méthodes, procédés et autres savoir-faire. Quitte à se tromper de temps en temps.

3/ « je prends de mauvaises décisions »

Les perfectionnistes ont tendance à remettre leurs décisions à plus tard.

Vous voulez étudier tous les scenarii et connaître les conséquences de chaque alternative.

D’abord, il est important de savoir ce qui est bon et ce qui est mauvais. C’est une question de point de vue et de circonstances. Ce qui pourrait être un bon choix, peut s’avérer un mauvais plus tard ou inversement.

citation mark twain décision expérience

Quitter son emploi, en démissionnant, pour partir travailler ailleurs, et ne pas finir sa période d’essai, est arrivé plus d’une fois, au moment où la pandémie de corona virus Codiv19 est arrivée.

De même, vendre son affaire pour se reconvertir en salarié, juste avant le premier confinement et laisser les ennuis à son successeur, a plutôt été un choix judicieux.

Faites-vous confiance, votre intuition vous aide à prendre une décision. Décider rapidement, restez pragmatique, convaincu. Soyez plus malin et dépassez votre (in)confort de perfectionniste.

4/ « j’ai une seule vie… »

« et quand je serai mort, tout sera fini ».

Rechercher toujours le chemin le plus droit, simplement parce qu’il est le plus proche et le plus simple, parce que c’est ce que les autres attendent de vous, est ressentit comme un sujet en soi.

Le perfectionnisme mène votre vie, ronge votre confiance en vous et limite vos expériences quand vous en créer de nouvelles. Il freine vos chances de rencontrer ce qui vous rend heureux.

la timidité freine les rencontresVos plus grosses difficultés, vos plus grosses erreurs, vont s’effacer avec le temps et devenir complètement sans importance. Alors profitez, entre temps, pour vous concentrer sur ce qu’il y a de plus positif. Voyez ce que vous faites bien, plutôt que de vous concentrer sur ce que vous faites moins bien.

Vous avez si peu de temps et d’énergie à perdre à vouloir être le plus parfait possible, que cela vous empêche de vous développer, de découvrir votre propre voie. Libérez-vous de ce carcan de perfectionnisme qui vous enferme.

Alors si un recruteur vous demande quels sont vos points faibles et que vous répondez « perfectionniste », ajoutez que vous agissez pour évoluer vers le « lâcher prise » pour mieux vous concentrer sur l’essentiel.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Comportements à éviter en cas de stress dans un entretien d’embauche
Citez-moi 3 points forts et 3 points faibles
La mise en situation et les soft skills

Prise de décision : Incertitude quand tu nous tiens !
Recrutement : « Parlez-moi de vous »
Critiqué(e) en public : Comment réagir

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7 conseils pour agir sans stress


Comment agir sans stresser

Au travail, à la maison, dans la rue, Il y a de nombreuses occasions de stresser.
Vivez-vous dans le stress permanent ou seulement à l’occasion ?

L’adrénaline est une hormone sécrétée en réponse à un état de stress.
Elle répond à un besoin d’énergie, par exemple pour faire face au danger.

Encore faut-il que le danger soit réel.

formule chimique de l'adrénalinePour éviter de stresser au quotidien, dans ses actions, voici 7 règles d’organisation :

1. Menez votre action la plus désagréable en premier

Plus vite vous aurez cette tâche qui vous rebute ou qui est pénible, derrière vous et mieux vous vous sentirez.

Procrastiner en laissant de côté une tâche peu enrichissante, obligatoire et pourtant qui est la plus lointaine dans votre échelle de satisfaction, c’est prolonger son stress.

expression visage devant quelque chose de désagréableAlors que commencer sa journée en se débarrassant de cette action qui vous embête, c’est vous libérez de ce stress.

Ce qui est fait, n’est plus à faire

 

2. Oubliez la perfection

Outre que chercher la perfection fait perdre un temps fou, cela use vos nerfs.

L’effort produit pour atteindre la perfection est-il à la hauteur des attentes des autres ?

Tableau de Pablo Picasso au MOMA de New-YorkSouvent, vous êtes stressé (e) à l’idée de montrer que vous êtes parfait (e), alors que les autres se contentent facilement que vous agissez simplement bien.

Le mieux est l’ennemi du bien

 

3. Laissez faire votre instinct

Que vous notez tout ce qui vous passe par la tête et agissez selon votre to-do-list ou que vous agissez sur une idée à peine ébauchée, peu importe.

instinct du joueur de pétanqueSi vos actions et votre nature sont en harmonie, vous éviterez d’autant plus facilement de stresser.

Faites-vous confiance !

 

4. Cessez de vous plaindre

Les autres font toujours moins bien que vous ou différemment de vous ?
Vous vous lâchez en le leur disant, ou vous ronchonnez dans votre coin.

se plaindre stresser et perdre son tempsDans les deux cas, vous perdez du temps et de l’énergie. Vous stressez pour rien.

Take it easy, Akuna matata, Sois cool !

 

5. Faites des vraies pauses

Du genre, déconnexion le temps d’une pause-café ou d’une micro-sieste.
Ou même plus long.

pause-café une tasse pleine de café et une mainUne pause qui va vous permettre de vous régénérer, l’esprit et le corps.

Prendre soin de soi passe par se faire du bien

 

6. Faites-le maintenant

Et maintenant, avec ou sans méthode, agir maintenant est toujours de bon moment.

Vous respirez un bon coup, inspirez, expirez et allez-y.

Se lancer dans l’action permet d’avancer. Quel que soit le moment, il y a toujours quelque chose à faire ou à commencer de faire.
saut en parachute go go goPrêt (e) ou pas, agir dissipe l’énergie accumulée et fait disparaître le stress.

Trois, deux, un, partez !

 

7. Réjouissez-vous des petites victoires

Chaque étape franchie, chaque cap dépassé, chaque objectif atteint, si petit soit-il, doit être l’occasion de se réjouir.

Se dire que tout va bien, fêtez votre victoire, c’est autant de bons moments qui vont chassez le stress de votre esprit.

Thibaut après le YES de SuzanIl sera plus facile de repartir, plein (e) d’énergie, sur la prochaine tâche.

Yes !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en avoir plus :

En complément :

Comportements à éviter en cas de stress dans un entretien d’embauche
17 causes de stress au travail
Maîtriser son stress en entrevue d’embauche 1/2 : Préparez-vous

Stress : Utilisez votre intuition 1/2
Recrutement : Les sources de stress du recruteur
L’entretien individuel annuel : conseils pour le salarié pour déstresser

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Prendre du recul : Une évolution positive


Prendre du recul : Une évolution positive

prendre du reculLa capacité à prendre du recul est une qualité personnelle ou compétence douce (soft skill).

Cela évite des réactions trop brusques et inadaptées à la situation.

Quand un événement arrive, il y a la réaction émotionnelle naturelle qui vient en premier.
Cette réaction est spontanée et est en fonction de son caractère et de son éducation.

Puis, en quelques fractions de seconde, la raison intervient pour nous dire si nous avons bien réagit ou l’inverse, ou nous retient pour nous empêcher de réagir d’une manière inappropriée.

Toujours quelques fractions de seconde plus tard, jusqu’à quelques secondes, notre raison nous fait trouver la « bonne » réaction.
Bonne ou mauvaise car la réaction est influencée par la compréhension de la situation.

Un exemple pour bien comprendre

Pour bien comprendre cela, il faut s’imaginer se trouver avec un enfant dans un magasin qui se met à faire un caprice.
La réaction émotionnelle va être de le faire taire, peut-être avec une tape ou un cri contre lui.

Puis, notre raison nous dit que frapper un enfant ou crier après un enfant est une mauvaise chose et nous décidons de laisser tomber cette réaction.

La réaction va être ensuite différente selon le moment :

  • Prendre l’enfant dans ses bras,
  • Céder à son caprice,
  • Lui expliquer qu’il est impossible de satisfaire à son caprice,
  • etc.

Peu importe, en tout cas le pire a été évité.

Suivre sa tête ou suivre son cœur ?

Le recul, c’est la possibilité de choisir entre différentes réactions que notre raison nous propose.

Pour la tête, c’est la logique et le raisonnement qui vont primer, c’est avoir un cerveau gauche.

Pour le cœur, c’est l’intuition et les sentiments qui vont décider, c’est avoir un cerveau droit.

Nous sommes tous un peu les deux, parfois plus analytique parfois plus sensible, avec toujours une préférence naturelle pour un côté ou l’autre.

Un bon manager prend du recul

Lorsque vous avez une équipe à encadrer, avant de pousser des cris en disant que le travail était mal fait, rassemblez les informations nécessaires avant de décider.

À un poste de responsabilité, vous devez impérativement réagir en toute connaissance de cause.

Prendre du recul évite de dire ou de faire des bêtises.

Pas trop de recul

Attention à réagir à temps.

Quand on prend trop de recul, on risque de laisser penser à l’autre que l’on est incapable de réagir correctement, c’est-à-dire de décider de la réaction à prendre.

Comme tout ce processus prend généralement moins d’une seconde, c’est l’expérience qui nous aide.

Au début de sa vie, professionnelle ou personnelle, le processus est un exercice qui demande la capacité à évaluer les différentes options, donc à envisager ces options.

Avec de l’expérience, on utilise inconsciemment le passé pour trouver une réaction la plus appropriée possible.

Par contre, le manque d’expérience nous propose qu’une seule option ou zéro.
Zéro signifie que l’on reste bloqué sans savoir comment réagir.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :

En complément :

Das Kind – L’enfant
Cerveau droit ou cerveau gauche : Trouver vos points faibles et vos points forts
Management : A savoir pour manager la génération Y

Quand la critique devient harcèlement
Les 5 types de risques dans un projet pro ou perso
Prise de décision : L’heure du doute et de la remise en question

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Le MBTI pour mieux se décrire en quelques mots


Un test pour décrire son mode de fonctionnement

C’est important pour son orientation professionnelle et sa carrière.

Lire l’article précédent pour comprendre pour c’est aussi important pour soi.

Par principe, vous serez plus heureux (se) et efficace si votre orientation, votre métier est en adéquation avec votre mode de fonctionnement.

Le MBTI, Myers Briggs Type Indicator, permet de se décrire en quatre mots, ou encore en quatre lettres.

Bien sûr, chacun de nous a un mode de fonctionnement qui est une combinaison de toutes les lettres, même si nos tendances naturelles sont représentées pas 4 d’entre elles, d’après ce test.

Il est rare que le sentiment soit absent d’une décision après l’avoir analyser, par exemple. Ou encore, de jeter tous ces catalogues de fournitures et de listes de prix, péniblement rassemblés, pour décider sur un coup de cœur.

Les mots-clé de la personnalité

Les huit préférences du MBTI sont issues des réponses aux questions aux grandes questions suivantes :

1. Par quoi êtes-vous le plus attiré ?

Extraversion (E) : par le monde extérieur

Introversion (I) : par le monde intérieur

2. À quoi vous attachez-vous pour recueillir de l’information ?

Sensation (S) : aux faits, au concret

Intuition (N) : aux nouvelles possibilités

3. Comment prenez-vous vos décisions ?

Pensée analytique (T, Think en anglais) : de façon logique et rationnelle

Sentiment (F, Feel en anglais) selon vos valeurs personnelles

4. Quel est votre mode de vie idéal ?

Jugement (J) : organisé, voire routinier

Perception (P) : souple, adaptable

Combinaisons

Avec toutes les combinaisons possibles votre profil s’adaptera facilement, ou non, aux études que vous allez poursuivre et au travail que vous allez exercer.

Alors , choisissez bien !

MBTI est une marque déposée de OPP

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

pourquoi les recruteurs s’intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être ?
Offre d’emploi : Les exigences et les souhaits dans les annonces
Prise de décision : Comment est-elle prise ?

Qualités personnelles recherchées ou points forts pour un recrutement
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche
Réorientation, reconversion : Faites ce que vous aimez ?

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Se connaître, trouver son mode de fonctionnement


Connaître son mode de fonctionnement pour soi

son mode de fonctionnement personnelC’est également important pour son orientation professionnelle.

Tourné (e) vers

Difficile de penser qu’un comptable puisse être un extraverti.
Et pourtant cela existe.

Sera-t-il plus heureux dans son travail ?
Il y a peu de chance que ce soit le cas, car cela va à l’encontre de cette tendance naturelle d’aller vers les autres.

S’informe

La décision de prendre telle ou telle orientation dans ses études ou sa carrière est également conditionnée par la quantité d’informations nécessaires pour prendre la décision qui vous convient.

Certains ont besoin de beaucoup d’informations et passent un temps important à se renseigner avant de se lancer ou d’éviter de se lancer.

C’est le cas inverse pour les aventuriers, les découvreurs.
Ils partent en vacances avec un objectif : découvrir une région, une ville sans se préoccuper davantage des conditions de vie sur place.
Alors que les premiers vont passer un mois pour aller dans un endroit qu’ils connaissent déjà pour éviter toutes surprises, les mauvaises principalement.

Chacun son truc pour se sentir bien dans la vie, comme au travail !

Décide

Décider est aussi une question de sensation et d’intuition.

La sensation est physique et l’intuition est intellectuelle.

Nombreux sont ceux qui « sentent » concrètement qu’ils sont faits pour suivre la voie de droite, que de nombreux indices ou très peu soient présents, alors les autres n’ont aucune idée de ce à quoi ils vont avoir affaire, mais qui se décident pour suivre la voie de gauche, quand même, parce qu’ils ont l’intuition qu’ils vont apprendre de ce choix.

Action

Après le recueil d’information et la prise de décision, il faut se lancer dans l’action.
Vous agissez après analyse de la situation, donc après l’avoir jugée, ou vous agissez selon vos sentiments, donc d’après ce que votre cœur vous dicte.

Se découvrir

Dans les relations de travail, et dans les entretiens d’embauches, il est question de faire passer des tests de personnalité.
Le MBTI est l’un de ceux-là.

Bien que sa fiabilité soit subjective, puisque passer le test à plusieurs semaines d’intervalle peut produire des résultats différents, il est utilisé car il s’appuie sur des préférences, donc sur la personnalité.

Il s’agit d’une série de questions dont les réponses indiquent les tendances psychologiques de votre personnalité.

Lire la suite dans ce second article

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :


En complément :

La pyramide de Maslow
PNL : Découvrez votre dominante par ce test
Voyez-vous bien les couleurs ? Le test de Diana Derval

Points faibles Points forts : Les connaître, pourquoi ?
Connaître ses limites face à un recruteur en entretien d’embauche
Harmonisation des objectifs professionnels et privés

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Stress : Utilisez votre intuition 2/2


Faites confiance à votre intuition

avoir du talent, c'est bien, avoir de l'intuition, c'est mieuxLes premières recommandations sont dans l’article précédent : Stress : Utilisez votre intuition 1/2

Votre intuition est toujours votre amie

5.      Tout vient à point

Votre intuition est votre guide. Elle vous aide à choisir les actions à mener. Plus une tâche est importante à vos yeux, plus votre esprit la ramènera sur le devant de vos préoccupations.

Vous choisissez ce que vous allez faire, par instinct, car vous savez ce que vous avez à faire.

Pour les petites têtes qui « oublient » comme pour celles qui ont des astuces pour ne rien oublier, sachez que nous savons, tous, ce qui est important.

Un exemple :
Si vous n’avez rédigé aucune liste de courses, vous êtes capables d’acheter vos provisions. Quand vous vous rendez compte, en rentrant que vous avez oublié quelque chose, celle-ci est toujours négligeable. Les courses les plus importantes sont bien dans votre panier.
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6.      Bilan et planning

De temps en temps, en fin de la journée de travail, récapitulez ce que vous avez fait dans la journée, mentalement ou par écrit. Puis mettez-vous en mémoire les actions à mener pour le reste de la journée, le lendemain, la semaine ou plus longtemps.

Calmez ainsi vos sentiments. Les aspects négatifs, comme une frustration, un souci, une peur, un manque de temps, etc. reviennent dans votre mémoire au moment que vous aurez choisi.

Puis, mettez-les de côté. Cela vous évite de les avoir en permanence à l’esprit, surtout pendant les moments où vous avez besoin de calme, par exemple avant de vous endormir le soir.

7.      Ce n’est pas grave !

Faire confiance à son intuition demande un apprentissage. Faites-le en vous faisant confiance. Prenez le temps d’y réfléchir.

Vous craignez d’oublier un rendez-vous, de dépasser le jour où vous devez rendre un travail, votre intuition vous fera jeter un coup d’œil sur votre agenda et vos pense-bêtes.

Votre to-do-list devient alors une aide et non plus un dictateur.
Inscrivez-y des informations utiles pour vous vider l’esprit et laissez votre intuition vous dire quoi et quand agir et choisir les informations dont vous avez besoin.

Philippe Garin

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Pour en avoir plus :

En complément :

Moi, stressé (stressée) ?
Stress : maladie contagieuse ou faute du management ?
Burnout : Symptômes, Causes et Conséquences

Critères de planification de ma situation personnelle
Les bases de la productivité 1/4 : L’état d’esprit
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Stress : Utilisez votre intuition 1/2


Utilisez votre intuition pour gérer votre stress

Votre intuition est votre amie

suivez votre intuitionNotre esprit est sollicité de tous les bords. Au travail ou à la maison, durant ses loisirs et les transports, notre cerveau est actif en permanence.

L’afflux d’informations et le nombre de tâches à réaliser sont renforcés par une (télé)communication qui ne nous lâche pas. Nous sommes connectés jour et nuit, 365 jours par an.

Même la nuit, nous éprouvons du mal à récupérer, tant notre esprit est (pré-)occupé.

Alors, nous nous organisons. Nous mettons en place une liste de tâches, appelée aussi to-do-list depuis la dominance de l’anglais dans les entreprises, et nous modifions tout le temps notre agenda pour tenir compte de l’avancement de nos tâches et des interruptions.

La concentration devient difficile en raison des sollicitations des autres, ou des interruptions pendant son travail, sans oublier nos manies de se précipiter sur nos mails entrants ou notre téléphone.

Fiez-vous à votre intuition

Combien de stress accumulez-vous ? Combien de retard prenez-vous dans vos actions ? Êtes-vous suffisamment concentré (e) pour les terminer et ne plus y penser ?

Votre intuition ne vous dit-elle pas qu’en continuant ainsi, vous risquez de saturer plus ou moins rapidement et de craquer ?
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Du calme !

Voici les premières recommandations à ériger en règle au quotidien :

1.      Une seule action à la fois et jusqu’au bout

Quel que soit ce que vous commencez à faire, faites uniquement cela

Ne commencez aucune autre tâche avant d’en avoir terminé avec celle-là.

2.      Agissez en toute conscience

Quand vous commencez une tâche, donnez-lui un nom ou/et une description.

Prendre conscience que vous exécutez une tâche permet de se concentrer sur elle, que ce soit une tâche routinière ou une nouvelle.

3.      Soufflez entre deux tâches

Une brève pause est nécessaire entre deux actions.

Cette pause vous permet de sortir la précédente de votre esprit, de reprendre votre souffle physiquement ou/et intellectuellement, avant de passer à la suivante.

Fermez les yeux quelques secondes ou buvez une seule gorgée vous permet de choisir la prochaine action à mener.

4.      Écoutez les autres

Chefs, collaborateurs, collègues, clients, fournisseurs, partenaires, sont tous des briseurs de concentration. Comme il est impossible ou inconvenant de les éloigner sans les écoutez, écoutez-les avec attention.

Sans cette attention, votre esprit sera occupé à se demander ce que l’importun voulait alors que vous auriez pu vous en débarrasser immédiatement, en écoutant vraiment.

Si l’interruption nécessite une action de votre part alors laissez votre intuition décider de quand vous allez vous y consacrer : tout de suite car il y a urgence, quitte à devoir reprendre plus tard la tâche en cours au moment du dérangement, ou plus tard, parmi toutes les autres tâches qui vous attendent.

Les autres recommandations sont dans l’article : Stress : Utilisez votre intuition 2/2

Philippe Garin

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Pour en avoir plus :

En complément :

Tests de réaction au stress et aux tensions
Stress technologique : comment le maîtriser
Burn out : Les symptômes pour le repérer

A quoi sert un planning
7 règles pour rester concentré sur son travail
Principes de la planification

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Modèle de Kolb ou l’apprentissage par l’expérience


Modèle de Kolb ou l’apprentissage par l’expérience

David A. Kolb est un théoricien américain qui a développé un modèle d’apprentissage par l’expérience, appelé aussi le cycle de Kolb

Le cycle de Kolb est répétitif et composé de quatre phases :

  1. L’expérience concrète
    basée sur du vécu ou sur une intuition
  2. L’observation réfléchie
    qui permet une réflexion, une analyse avant de se lancer dans l’action
  3. La conceptualisation abstraite
    qui est la conclusion, la synthèse, une généralisation ou une théorie
  4. L’expérimentation active
    qui est la mise en pratique du concept, l’application, la réalisation concrète

le cycle de Kolb

Le vocabulaire associé à chaque phase

Pour illustrer chacune des phases du cycle de Kolb, certains mots permettent de mieux comprendre la phase de l’apprentissage expérimental dans laquelle on se trouve :

  1. L’expérience concrète
    Abstraction, Accepter une situation, Choisir, Concentration, Expérience vécue, Intuition, Orienté vers le présent, Réceptif, Ressentir
  2. L’observation réfléchie
    Essayer, Observation, Obtention de résultats, Pertinent, Prise de risque, Réflexion, Réserve
  3. La conceptualisation abstraite
    Analyser, Conceptualiser, Concret, Engager, Evaluer une situation, Logique, Orienté vers le futur, Penser, Rationnel
  4. L’expérimentation active
    Action, Agir, Etre attentif, Expérimentation, Impartial, Mise en question, Pragmatique, Pratiquer, Prise de responsabilité

Philippe Garin, plus de 20 ans manager en entreprise

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Pour en avoir plus :

En complément :

L’écoute active, ça s’apprend
Modèle
Méthode

Présentation 1 Modèles   -2-   -3-   -4-   -5-   -6-   -7-

Méthodes dans l’organisation ou l’informatique
Méthode SCORE ou Chercher les causes profondes
Questions clés à propos des quatre méthodes d’Analyse

Autres Communication, Informatique et Organisation :

Récapitulatif 1 Communication
Récapitulatif 8 Communication

Récapitulatif 4-1 Informatique
Récapitulatif 4-2 Informatique

Récapitulatif 2 Organisation
Récapitulatif 8 Organisation

Tous les articles de ces catégories sont listés dans les pages Informatique et Organisation et la page Communication de la page Autres catégories

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Prise de décision 10 méthodes


Prise de décision 10 méthodes

pile ou faceLorsque l’on est amené à prendre une décision, de nombreux facteurs entrent en jeu.

Ses connaissances et son expérience jouent beaucoup, ainsi que son éducation, son milieu social, les pressions de son entourage.

Quel que soit votre mode de fonctionnement, vous avez une décision à prendre.

Voici 10 méthodes pour vous aider à prendre une décision

  1. Réfléchir en solo
  2. Analyser les chiffres
  3. Opter pour le collectif
  4. Se tourner vers un tiers
  5. Se fier à son intuition
  6. Agir, puis réfléchir
  7. Ne pas décider
  8. Utiliser le Mind mapping
  9. Faire comme tout le monde
  10. S’en remettre au hasard

Les plus faciles à mettre en œuvre :

  • Réfléchir en solo
  • Agir, puis réfléchir
  • Faire comme tout le monde
  • Se tourner vers un tiers
  • Ne pas décider

Les plus crédibles :

  • Analyser les chiffres
  • Opter pour le collectif
  • Se tourner vers un tiers

Les plus rapides :

  • Agir, puis réfléchir
  • Faire comme tout le monde
  • S’en remettre au hasard
  • Réfléchir en solo

Les plus efficaces :

  • Opter pour le collectif
  • Se fier à son intuition
  • Utiliser le Mind mapping
  • Analyser les chiffres

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Pour en savoir plus :


En complément :

L’analyse de décision orientée objectifs (ADOO)
1ère des 3 étapes de la Méthode d’Analyse de décision : L’évaluation des variantes
2ème des 3 étapes de la Méthode d’Analyse de décision : L’impact des inconvénients

3ème des 3 étapes de la Méthode d’Analyse de décision : Le respect des règles de l’exécution
Analyse préalable de l’activité de décision
Définition des critères d’exigence dans le domaine de la Prise de décisions.

Autres Management et Organisation :

Récapitulatif 5 Management
Récapitulatif 2 Management
Récapitulatif 2 Organisation

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