Entrevue d’embauche : 4 questions pas si anodines


4 questions loin d’être anodines posées en entretien d’embauche

Durant un entretien de recrutement, il arrive que le recruteur pose des questions, qui, au premier abord, semblent anodines alors qu’elles ne le sont vraiment pas.

Il convient de bien réagir face à ces questions, souvent simples, parfois saugrenues.

Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

En plus d’apprendre à mieux vous connaître, vos goûts, en termes de lecture, donnent un aperçu de vos préférences.

livres avec couverture en cuir rouge

romans historiques

Plus intellectuel (le) que manuel (le), vos thèmes de lecture en seront le reflet. De la distraction, pour compenser le stress, ou des lectures sportives, reportage, policier ou encore des ouvrages de cuisine, de tricot ou sur les animaux, dont autant d’indicateurs de votre personnalité.

La même question se décline sur les films, les séries, etc.

Racontez-moi une blague !

Si vous êtes un animateur en soirée ou que vous animez les réunions par des traits d’humour, vous serez à votre aise.

Si, au contraire, vous êtes plutôt celui ou celle qui écoute et qui raconte mal une histoire, soyez bien préparé(e). Apprenez-en une seule, au cas où.

blague carambar une surprise partie

blague carambar

Préférez un thème neutre plutôt d’un thème qui dévalorise une catégorie de population.

La même question se trouve aussi posée sous la forme de « racontez-moi une histoire ». Là, l’humour peut être mis de côté si vous préférez.

Si vous gagnez un million au loto, qu’en feriez-vous ?

Joueur de loto ou pas, difficile d’éviter de répondre car d’autres questions remplaceraient celle-là.

En fait, c’est plus l’usage d’une grosse somme d’argent inattendue que le fait que vous soyez joueur, qui entre en ligne de compte.

Économe, vous placez cet argent. Investisseur, vous achetez des parts dans une entreprise ou vous en créez une. Dépensier, vous dépensez tout en maison, voiture, restaurant, voyages.

affiche lotto au québecToutes les réponses sont correctes, puisque ce sont vos impulsions, vos rêves qui ressortent et vous montrez ainsi comment vous pourriez réagir.

A quel poste seriez-vous dans une équipe de football ?

La meilleure réponse est celle qui correspond à votre tempérament. Fonceur, gagnant ou dans la défense, prêt(e) à encaisser tous les coups, au milieu pour distribuer le jeu.

Rien de nouveau sous le soleil. Encore que vous pouvez aussi vous positionner comme arbitre, le gardien des règles.

Conclusion

Les questions anodines ou inattendues d’un recruteur au cours d’un entretien d’embauche sont posées pour en apprendre plus sur le caractère du candidat ou de la candidate.

Refuser de jouer le jeu et refuser de répondre équivaut à se disqualifier soi-même.

Tant que les questions semblent banales, il est tentant de laisser ses habitudes, ses envies, ses rêves se montrer. C’est un excellent moyen pour confirmer ou pour infirmer l’adéquation entre le poste et votre personnalité.

Rien n’est anodin dans un entretien d’embauche.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Deuxième entretien d’embauche : Se préparer pour réussir
6 méthodes pour répondre à la question : Je suis capable de quoi ?
De l’importance des centres d’intérêt sur un CV

Entretien d’embauche : Jamais les mêmes questions. Zut alors !
Entretien d’embauche : le mode de questionnement du recruteur
Quelques exemples de questions lors d’un entretien d’embauche

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Les accords toltèques : Explications


Les 5 accords toltèques

Un peu de philosophie ancienne et qui est, pour une fois, ni chinoise, ni grecque.

Les Toltèques étaient un peuple dans l’actuel Mexique vivant entre 900 et 1200 ans avant notre ère.
Les Aztèques se considéraient comme leurs descendants.

guerriers toltèquesMiguel Ruiz, auteur mexicain, a publié un livre, intitulé « Les quatre accords toltèques » en 1997 et « Le cinquième accord toltèque » en 2010.
On évoque alors les 4 accords toltèques alors qu’ils sont 5.

En réalité, seul le mot « toltèque » est commun entre ces vues de l’esprit et l’Histoire. Aucune découverte archéologique ne corrobore de lien. (Source : Wikipedia).

Il s’agit de 5 conseils de développement personnel dont l’objectif est d’aider à se comporter d’une manière bienveillante les uns envers les autres.

À retenir :

1. « Que votre parole soit impeccable »

2. « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle »

3. « Ne faites pas de suppositions »

4. « Faites toujours de votre mieux »

5. « Soyez sceptique, mais apprenez à écouter »

1. « Que votre parole soit impeccable »

D’autres ont dit : « Le poids des mots ».

Tout ce que l’on écrit et tout ce que l’on dit a un impact sur ceux qui nous lisent ou/et qui nous entendent.

C’est pourquoi, il est important d’user d’un langage positif quand on s’adresse aux autres, tant dans sa vie professionnelle que dans sa vie personnelle.

Même les critiques doivent être positives : Aider l’autre à comprendre ce qu’il a mal fait, lui indiquer ce qu’il a encore comme progrès à faire, sont des propos encourageants, contrairement à une attaque destructrice qui montre les points faibles de la personne, souvent sous la forme d’une attaque personnelle.

Le mensonge, les commérages sont à l’inverse d’une parole impeccable.

2. « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle »

C’est un réflexe que l’on nous a inculqué : Nous prenons à cœur d’être parfait et de considérer que chaque critique émise nous est destinée.
Pourtant, tout n’est pas de notre faute.

Certains combattent les critiques par le stoïcisme, qui est une philosophie grecque, la prise de recul par rapport à la façon dont la critique est exprimée, ou l’analyse des causes et des effets des actions critiquées ou des attaques reçues.

Or les propos tenus peuvent l’avoir été sous le coup de l’émotion, pour lâcher du lest et combattre le stress ou l’exaspération d’une situation dont la personne qui les entend est totalement ou seulement partiellement innocente.

3. « Ne faites pas de suppositions »

Préjugés et jugements hâtifs sont les cibles de cette maxime.

Une source d’erreur de jugement est de supposer connaître la, le ou les « coupables », avant de connaître les causes des actions mises en cause.

Pire, les idées toutes faites sur l’origine d’une anomalie ou d’une personne, sont la source de conflits et d’erreurs, qui mènent de la banale fâcherie aux génocides, en passant par des ruptures familiales, entre amis ou au travail, en passant par des tribunaux ou des guerres, entre individus ou entre groupes d’individus.

Mieux vaut interroger que de critiquer sans savoir ou sans tout savoir et éviter peur, colère et imagination débordante.

4. « Faites toujours de votre mieux »

Penser que l’on peut échouer est la meilleure manière d’échouer ou de repousser l’action que l’on souhaite mener.

Le droit à l’erreur existe, la tolérance existe.

Confier ses difficultés est un signe d’intelligence au contraire de la faiblesse, à condition d’avoir, en retour, la bienveillance et l’aide nécessaire à surmonter ces difficultés.

Il y a une différence fondamentale entre le bien et le mieux.
La perfection existe aussi, certains y arrivent plus facilement que d’autres. Les premiers sont censés aider les seconds à progresser.

C’est contre l’inaction, la procrastination, qu’il faut lutter.

5. « Soyez sceptique, mais apprenez à écouter »

Être sceptique, c’est se faire sa propre opinion en prenant le temps d’analyser les faits et les propos.

Même les déficients mentaux savent ce qu’est le mensonge.

La bienveillance inclue de faire la part entre les erreurs et les mensonges, l’interprétation et la réalité.

L’écoute permet d’intégrer les informations transmises par d’autres. C’est la compilation des informations de sources diverses qui valide une vision des faits, des attitudes, etc.

Un peu d’intelligence fait toujours du bien à tout le monde.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

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Critiquer sans blesser : Mode d’emploi
Force et découragement
Motiver un individu, une équipe

Règles pour un manager pour des phases difficiles de communication
Les 7 systèmes de valeurs personnelles
Comment est-on un mauvais manager

Autres Management

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Recrutement : « Parlez-moi de vous »


Question piège ou Question de préparation ?

parlez-moi de vousUne des questions les plus embarrassantes pour le (la) candidat (e) est bien celle où le chargé de recrutement demande à ce dernier de parler de lui (d’elle).

Entre retracer sa vie début sa naissance, ou du moins, depuis ses études en reprenant l’ensemble des postes occupés, déjà cités dans le CV, durant des stages ou en tant que salarié ou indépendant, et se contenter de parler de son dernier job, il y a une grande marge.

De même, faut-il donner beaucoup de détails ou synthétiser à fond en quelques phrases ?

L’une et l’autre des méthodes sont incompatibles avec une présentation de soi efficace.

Le recruteur pose la question, observe et écoute, dans cet ordre.

Il observe de comportement, l’embarras ou l’aisance du candidat à répondre à la question.
Il fait attention à la voix et à la gestuelle autant qu’aux mots prononcés.
Il se fait une idée de la réaction au stress et du degré de préparation du candidat à l’entretien d’embauche.

Quand le recruteur se trouve être le futur chef, cette question est parfois un simple exercice de style car il recrute occasionnellement et sait que cette question embarrasse souvent, sans trop savoir pourquoi d’ailleurs.

En tout état de cause, ce qui est demandé réclame une réponse.
Le temps de la réflexion est passé, il faut parler. Quoi dire ?

Quand la question arrive au début de l’entretien

Quand le recruteur pose la question au début de l’entretien, c’est qu’il veut se faire une idée de votre parcours, de votre histoire et de votre motivation.

Il veut savoir, à la fois, ce que vous avez fait, ce que vous pouvez apporter à l’entreprise et qui vous êtes, en tant que personne.
Il s’attend à un bref résumé de votre parcours et à une description de vos savoir-faire et savoir-être.

Le recruteur a besoin de savoir si vous allez pouvoir vous intégrer dans l’entreprise et dans l’équipe de travail.

C’est là qu’intervient votre pitch de présentation, celui que vous avez préparé.
Vous savez : Celui qui dure 2 à 3 longues minutes.

Vous le connaissez par cœur et vous êtes capable de lui donner un air de naturel quand vous parlez.
Vous évitez de le réciter en le faisant « vivre » par des mimiques ou des gestes qui le rendent clair et compréhensible, facile à retenir par le recruteur.

Selon votre expérience, vous allez parler :

  • de tout l’intérêt que vous avez eu pour vos études et vos stages, ou
  • des résultats obtenus dans vos deux ou trois derniers postes, ou encore
  • de ce qui vous amène à choisir de postuler pour ce poste dans cette entreprise.

Quand la question arrive à la fin de l’entretien

Le recruteur vous a écouté tout au long de l’entretien.
Il vous a informé sur l’entreprise, sur le poste, et sur l’environnement de travail, parfois même sur les conditions de travail.
Vous avez aussi écouté tout ce qu’il vous a dit.

Vous vous êtes fait une idée de l’intérêt de ce poste pour vous.
Vous l’avez mentalement confronté à vos critères de choix (comme lui) et vous savez si le poste vous conviendrait.

Ce que le recruteur attend de vous, c’est que vous fassiez un résumé de tout ce que vous avez retenu.

Pour cela, vous allez reprendre les différents éléments recueillis et vous allez lui annoncer, pour chacun d’eux :

  1. ce que vous avez déjà fait et qui ressemble à ce qui est attendu,
  2. ce que vous avez compris du poste, et surtout,
  3. en quoi vous êtes le candidat qu’il doit retenir.

Dans les deux cas

« Parlez-moi de vous » est une des questions dont la réponse est déterminante pour la suite de votre candidature.

Une réponse inappropriée ou mal exprimée est un facteur d’échec important.

À l’inverse, une bonne présentation, convaincante, claire et en adéquation avec les attentes du recruteur sur le poste, va vous placer dans les candidats à retenir.

Maintenant, d’autres candidats vont être reçus par le chargé de recrutement et vont entendre la même question.

Qui sera le vainqueur ?

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Question piège du recruteur : Pourquoi vous ?
Le Pourquoi de certaines questions en entretien d’embauche
Entretien d’embauche : Quand répondre à une question provoque des regrets

Emploi : Votre pitch de présentation
30 minutes en entretien d’embauche : Suffisant ?
Entretien d’embauche , discours, présentation : Conseils pour Bien parler

Autres Emploi :

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Entretien d’embauche : Quand répondre à une question provoque des regrets


Regretter d’avoir répondu à des questions

regret d'avoir réponduIl arrive que, dans le feu de l’action de l’entretien d’embauche, on réponde à des questions et que l’on regrette sa réponse.

Dans tout entretien, il y a des questions et des réponses.

Ce qui dérange, c’est le contenu des réponses, pas le fait de répondre.

Quelles questions ?

Il y a deux sortes de questions :

  1. Les questions pour lesquelles vous avez une réponse déjà prête puisque vous les avez préparées avant l’entretien,
  2. les questions nouvelles, auxquelles vous ne vous attendiez pas.

Celles qui dérangent le plus sont les secondes.

Pour réduire le nombre de ces questions, il faut augmenter le nombre de réponses préparées. La durée d’un entretien implique un nombre limité de questions. C’est une sorte de vases communicants entre les deux sortes de questions.

Cela semble une vérité pleine de bon sens et c’est exactement cela.

Internet et préparation

Sur Internet, de nombreux articles sont publiées sur les questions les plus fréquemment posées en entretien d’embauche. Vous en trouverez plusieurs dans mon blog.

Lire est insuffisant, si l’on s’en contente. Il faut se lancer dans une préparation, assez longue, qui consiste à imaginer une ou plusieurs réponses à chacune de ces questions.

Plus vous préparerez de réponses et plus les réponses viendront facilement. Si besoin, demandez autour de vous des conseils de la part de personnes qui vous connaissent bien et qui connaissent votre CV ou parcours professionnel.

Les réponses sont classiques et tournent toujours autour des mêmes sujets. Les réponses à donner doivent être classiques, appropriées à votre cas, tout en étant suffisamment originales pour que le recruteur se souvienne de vous parmi tous les candidats, en bien.

Et pour les questions inattendues

Pour les questions inattendues ou non préparées, plusieurs techniques existent.

D’abord, avec l’entrainement que vous aurez acquis en cherchant des réponses aux questions de la première catégorie, vous saurez plus facilement improviser des réponses.

Dites la vérité, accompagnez vos réponses de gestes amples, c’est-à-dire les bras ouverts, les mains ouvertes, les jambes dénouées et avec le sourire bienveillant.

Si vous « séchez » et ne savez pas quoi répondre, laissez-vous le droit à prendre quelques secondes pour réfléchir.
Un recruteur préfère quelqu’un qui réfléchit 10 secondes que quelqu’un qui répond trop spontanément et qui le regrette tout de suite.

Vous avez aussi le droit de dire que vous n’avez pas de réponse tout de suite à donner, surtout lorsqu’il s’agit d’une question de savoir, de compétences, et que vous répondrez quand vous aurez trouvé une réponse appropriée.

Temporiser est une technique qui marche. Elle peut, aussi, irriter l’autre quand elle est trop fréquente, donc à utiliser sans dépasser 3 ou 4 fois durant l’entretien. Au delà, le recruteur notera que vous en savez moins que ce que vous avez annoncé dans votre CV.

Basez vos réponses sur votre expérience personnelle ou que vous avez lu ou entendu. Les histoires des autres font partie de votre expérience puisque vous les avez retenues.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question
Entretien d’embauche : le mode de questionnement du recruteur
Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise

Différence entre Question fermée et Question ouverte
La question la plus importante
Entretien de recrutement : Décrire une tribu et oser y aller

Autres Emploi:

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Mot d’enfant : La porte débutante


La porte et le « A »

porte_débutante Le grand frère de Marie, 6 ans, vient d’avoir son permis de conduire; il a donc un macaron « A » qu’il pose à l’arrière de la voiture de ses parents, lorsqu’il la conduit.

Lorsque ses parents conduisent, le « A » est enlevé. Ce qui se fait facilement puisqu’il s’agit d’un aimant sur sa face intérieure, plus puissant que les aimants que l’on trouve dans les cuisines ou sur des tableaux blancs.

Un jour, Marie voit le « A » que son frère a posé sur la porte d’entrée de la maison, porte blindée donc avec un renforcement métallique à l’intérieur.

Interloquée, elle s’écrit :

Regarde maman, la porte a un « A ». Elle apprend comment elle se ferme et comment elle s’ouvre !

C’est tellement évident, n’est-ce pas ?

Cette histoire est vraie, sauf le nom.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Mot d’enfant : la logique de la grossesse
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La blonde et la souris
Autoroute en Allemagne : Attention particulière
Exercice de diction : le crayon dans la bouche

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Récapitulatif 14 Humour

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La blonde et la souris


Les débuts de la bureautique

La blonde et sa sourisIl est difficile de se l’imaginer pour une certaine génération, c’était l’époque où les tous premiers ordinateurs de bureau sont arrivés dans les entreprises.

Cette histoire, vraie, est arrivée en 1992 ou 1993. Quatre machines à écrire, dernier modèle, venaient d’être commandées. Je l’ai appris, presque par hasard.

J’ai, tout de suite, signalé qu’il existait des ordinateurs de bureau, encore excessivement chers, qui pouvaient faire beaucoup plus que de simples machines à écrire, aussi perfectionnées soient-elles. La commande a été immédiatement annulée et des ordinateurs commandés.

Voici ces étranges machines qui arrivent. Oh ! Seulement 4 pour commencer et uniquement pour les trois secrétaires de direction et la petite blonde à l’accueil, chargée aussi de travaux de secrétariat. Jusque là, tout va bien.

Vient la question d’apprendre à s’en servir. Taper sur clavier d’un ordinateur est peu différent de taper sur celui d’une machine à écrire. Très bien. Utiliser le traitement de texte est autre chose. Une formation est donc organisée avec un intervenant extérieur.

La formation douloureuse

La formation débute. Le formateur, très pédagogue et compétent, a préparé des exercices simples de saisie de textes, qui permettent d’apprendre les différentes fonctionnalités du logiciel.

Vient la pause de la première matinée. Les secrétaires échangent leurs impressions sur ce nouvel outil.

La petite blonde, commence à se plaindre :

Je trouve qu’il est difficile d’utiliser la souris. J’ai mal au poignet

Ah bon ! Comment ça se fait ?

Je l’ignore. Et vous, pas de difficulté ?

Non !

Je décide de rassurer les secrétaires, très influentes sur leurs chefs respectifs, et de lever les doutes sur une éventuelle torsion des poignets. Je m’assois et prend la souris en main. Je démarre le traitement de texte et commence à taper au clavier.

Arrivé au bout de la ligne, je fais un geste, banal, qui fait sursauter la petite blonde qui s’exclame tout fort et toute étonnée :

Ah ! Mais, on peut soulever la souris ! ?

CQFD (Ce qu’il fallait dire)

D’accord, cette histoire a été un peu arrangée : elle est brune, pas blonde. Le reste, par contre, est authentique.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Mot d’enfant : Les guerres mondiales


Les guerres mondiales vues par des enfants

château en boisLéo et Thomas, âgés respectivement de 7 et 8 ans, jouent tranquillement avec leurs cubes.
Ils construisent un « château fort ».

Leur petit frère, Antoine, 2 ans 1/2, les regarde faire, avec envie.
Quand le château lui a semblé suffisamment grand, Antoine s’approche et, d’un grand coup de pied, met à bas la construction.

Son aîné le prend et l’éloigne et, d’un ton bourru, s’exclame calmement :

 » Première guerre mondiale ! « 

Le jeu reprend. Le benjamin observe, du coin de l’oeil, les cubes s’empiler et le château monter.
Quand la construction atteint la même taille que précédemment, il s’approche à nouveau et démolit le château, une seconde fois

Son aîné, tout aussi ennuyé que la première fois, reprend son frère et l’éloigne.

 » Deuxième guerre mondiale ! « 

Puis il rejoint le cadet, qui a déjà entrepris de reconstruire l’ouvrage.

Toujours dans son coin, le plus jeune attend, avec patience, que l’édifice reprenne forme.
Tout doucement, il s’approche, la même intention en tête.

Soudain, son aîné se lève et intercepte le petit avant qu’il occasionne de nouveaux dégâts.
Simultanément, il s’écrit :

 » Il n’y a pas eu de troisième guerre mondiale ! « 

Et il ramène son petit frère à ses parents pour s’en débarrasser.

Cette histoire est vraie. Seuls les noms ont été changés.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Mot d’enfant : la logique de la grossesse


La grossesse vue par une enfant

Grossesse vue par une enfantC’était au moment de la grossesse de sa tante. Le septième mois était bien avancé et le ventre était bien arrondi.

Jasmine, 4 ans, regardait sa tante, deviser de choses et d’autres, avec sa mère.

La petite fille, curieuse, demande à sa tante pourquoi elle a un « gros ventre ».

Celle-ci lui explique qu’un bébé est dans son ventre et qu’il naîtra bientôt.

« Tu sais, rajoute la tante. Toi aussi, tu étais dans le ventre de ta mère avant de naître !« 

Jasmine, interloquée, regarde sa mère, puis regarde à nouveau le ventre de sa tante.

Elle soupire, secoue la tête et, avec un large sourire, répond :

« Ce n’est pas possible, je suis beaucoup trop grande !« 

Logique ! Non ?

PS : Cette histoire est vraie !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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L’origine du français et de son orthographe


La dernière réforme de la langue française date de 1990.

La France, la Belgique francophone, le Québec sont les trois pays contributeurs à cette réforme.

Le français est un mélange de mots d’origines différentes.

Le substrat principal provient du latin, langue officielle de tous les écrits administratifs jusqu’au 14ème siècle, tel qu’il était parlé à cette époque.
Des mots issus du gaulois ont été intégrés au français : char, charrue, brais, pour ne citer que quelques exemples.

Le français écrit phonétiquement

La Chanson de RolandLes textes en français écrits avant cette époque montrent l’absence de règles communes d’orthographe, d’où la grande difficulté à lire de tels textes, quand on y est pas habitué.

Le français était alors écrit d’une manière phonétique, c’est-à-dire on écrit comme on prononce.

On retrouve ce principe dans de nombreuses langues, comme l’allemand moderne ou le breton : toutes les lettres écrites sont prononcées. Bara = pain, Gwyn = vin => baragouine, verbe signifiant l’incapacité à comprendre ce que dis son interlocuteur quand il emploie des mots inconnus, en l’occurrence les Bretons lors de la première guerre mondiale qui réclamaient à manger et à boire dans les tranchées, ce qui a provoqué un déchaînement de l’état français contre les langues régionales et failli les faire disparaître.
NB : Le mot est plus ancien encore que le début du 20ème siècle.

Le français écrit étymologiquement

Les lettrés du Moyen-Âge ont mis très longtemps à accepter le changement du latin vers le français pour les actes officiels. De plus, pour s’y retrouver plus facilement, ils ont, petit à petit, écrit le français en tenant compte de l’étymologie des mots, c’est-à-dire de leur origine principale, qui est le latin.

Ils ont voulu aussi permettre de différencier des mots qui se prononcent de la même manière ou presque, comme vert, vers, ver, verre, vair.
La fameuse pantoufle de vair n’a jamais été une pantoufle de verre. Le vair est une sorte de cuir souple.

Avec le temps, le système s’est compliqué, ce qui permit aux lettrés de conserver l’ascendant sur une population très largement analphabète.

L’arrivée de l’imprimerie a permis la diffusion de la langue écrite et a renforcé l’usage de la grammaire et de l’orthographe.

L’évolution du français dans l’Histoire

L’apogée de la langue française est parallèle à celle de la puissance de la France, c’est-à-dire au 18ème siècle, le siècle des lumières, celui de Louis XIV.
Toutes les cours européennes parlaient le français, considéré donc comme la langue de l’élite.

Le revers de la médaille est que cette langue, devenue très compliquée pour ceux dont ce n’est pas la langue natale, s’est trouvée détrônée par des langues plus faciles à apprendre, et toujours en rapport avec les puissances politiques coloniales.
L’espagnol et l’anglais, et dans une moindre mesure le portugais.

De nos jours, c’est l’anglais la première langue la plus parlée au monde, car elle est relativement facile à apprendre.
Néanmoins, elle-même contient énormément de mots d’origine française.

Parions que dans un avenir proche, c’est le mandarin qui s’imposera comme la Chine s’impose en tant que puissance mondiale.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Leçon de français aux francophiles
Fautes de français : dur dur, pas glop, nase, grave !
Pausez vous ! Faute de français ou évolution de la langue ?

Alphabet Braille français ; tout sur les lettres et les chiffres
L’allemand est presque devenue la langue officielle des États-Unis ou la légende de Mühlenberg
Origine du nom des notes de musique

Autres Communication et Bien-être :

Récapitulatif 10 Communication
Récapitulatif 10 Bien-être

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Différence entre le français et l’allemand


Histoire alsacienne

L’Alsace a une histoire mouvementée. Rattachée à la France, après la seconde guerre mondiale, par un référendum local, elle a été, tantôt allemande, tantôt française.

Cela se traduit, par exemple, par le fait que le nom des rues à Strasbourg sont inscrites en deux langues sur les murs.

Une statue a été érigée : elle représente une femme avec deux enfants, l’un allemand, l’autre français.

L’humour alsacien tient compte de cette particularité.

Quelle est la différence entre les deux langues parlées en Alsace ?

Eh bien, l’allemand est une langue chantante alors que le français est une langue gutturale.

En voici un exemple, par cette même phrase dans les deux langues :

oiseau dans arbreEn allemand : « Die Vögel singen in die Baümen »

En français : « Les zoizeaux cazouillent dans les arrbrres ! »

Que mes amis alsaciens ne m’en veuillent pas : je n’ai pas inventé cette histoire.

Pourtant, je l’aime bien.

Philippe Garin

Pour rire ou sourire, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Un porc au zoo
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Les 16 Lois de Golub
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Récapitulatif 1 Humour
Récapitulatif 8 Humour

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un porc au zoo


Ah ! Jerzy !

C’est un souvenir de jeunesse, du temps où… Ouf ! Tant que ça !

C’était dans le magazine Pilote, créé, entre autres, par Coscinny, au début des années 70, cette histoire courte et poignante qui a marqué ma vie et influencé mon sens de l’humour dans une direction bien précise : le jeu de mots.

Cette histoire commence

par un enfant qui s’ennuie, seul à la maison. Son père, pour lui faire plaisir, lui offre un animal.

Par n’importe lequel, pas un chien, ni un oiseau, pas un chat ou un poisson rouge, non : un petit cochon, rose à souhait.

La vie en ville, dans un appartement, n’est guère favorable à un animal de compagnie. Peu importe pour le gamin, il se prend d’affection pour ce petit cochon. Il va s’appeler Jerzy.

Il joue avec lui, fait les pires des tours à son père, qui, satisfait de la joie de vivre de son petit garçon, leur pardonne volontiers.

Le garçonnet et le porcelet mangent ensemble, à table, parce le papa n’est pas d’accord pour que son fils mange par terre.

Mais un cochon, ça grandit très vite. Et ça grossit très vite.

Petit à petit, le père se rend compte que ce goinfre de cochon ne se contente plus des épluchures, il lui en faut plus, toujours plus.

Et il grandit. Et il grossit.

Partageant la chambre du gamin, Jerzy prend de plus en plus de place, dans le lit, car ils partagent leur lit…

… jusqu’à ce que le père prenne la difficile décision car cette situation n’est plus tenable. Le porc est devenu trop grand, trop encombrant.

Que faire ? Pas question de l’amener à l’abattoir. Son fils ne lui pardonnerait pas.

Alors, il a une idée lumineuse : il va le remettre au zoo.

« Et père, y colle au zoo, c’porc Jerzy »

Pour ceux qui ne comprendraient pas l’italien ou qui ne prennent jamais le train, ne vous penchez pas au dehors  ;-))
Et père, y colle au zoo c'porc Jerzy

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Heureusement qu’elle s’est mariée


Histoire vraie : heureusement qu’elle s’est mariée

liseuse de microfichesCeci est une histoire vraie.

C’était dans les années 70, les ordinateurs étaient très chers, très lourds, très volumineux et réservés à des calculs qu’un banal ordinateur d’aujourd’hui dépasse de cent coudées.
Donc pas d’ordinateur dans cette histoire.

C’était le début des microfiches

Pour ceux qui ne saurait pas ce que c’est : Vous en apercevez parfois dans des films où il y a enquête.
Les micro-fiches ou microfiches permettent de stocker de l’information sous forme d’image. Les enquêteurs, dans les films, visionnent les microfiches sur lesquelles ils lisent, généralement, des articles de journaux anciens.
Les microfiches ont été à la mode jusqu’à la fin des années 90 dans certaines entreprises où les documents papiers, par exemple des factures ou des bulletins de salaire, étaient « microfilmés » pour faciliter la recherche et la lecture. On en trouve encore dans certaines médiathèques.

Pour microfilmer le papier, il fallait préparer les documents, les classer et leur attribuer des codes, des clés pour permettre l’identification et le classement des microfiches.
On parle de microfilm quand plusieurs microfiches sont regroupées sur un même support, une sorte de sommaire visuel des fiches.

Cette histoire se déroule

dans un bureau de la Caisse Régionale d’Assurance Maladie d’une Région dont je tairais le nom. Le département était celui des retraites.
C’était un bureau paysager que l’on appelle parfois Open Space, à cette différence prêt, qu’aucune cloison ne séparait les employées. Le personnel était presque exclusivement féminin, comme dans beaucoup d’administration.
Là se trouvaient une demi-douzaine d’employées dont la tâche principale consistait à préparer des documents qui devaient être ensuite microfilmés dans un autre service.

Conditions de travail

Le travail était simple, en apparence. Il demandait cependant une concentration importante, car l’erreur n’était pas permise. Si, par inattention une fiche cartonnée ne se trouvait à sa place dans la pile alors c’est tout le paquet qui devait repasser.
Tout devait se faire manuellement.
Chaque fiche devait être minutieusement vérifiée.
Ces fiches provenaient des archives. Ces dizaines de milliers de fiches cartonnées contenaient toutes les informations sur les activités des salariés de la Région et servaient à établir le calcul des pensions à verser aux retraités.

L’incident

Le silence était nécessaire à la bonne marche du service car chacune était penché sur son paquet de fiches.
Soudain, un grand rire éclata dans ce silence pesant.

La curiosité n’étant pas le moindre défaut d’employées dont le travail, plutôt insipide et routinier, laissait peu de place à l’imagination, les têtes se levèrent. Le silence était interrompu. Enfin, un peu de distraction !

Le rire se prolongeait et la personne qui riait en était aux larmes, apportant ainsi le sourire sur le visage de ces collègues.
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Que se passe-t-il ?
– Qu’es-tu trouvé ?

Le rire se calma. Et la personne leva une fiche, d’un air triomphant, pour la montrer à l’ensemble du grand bureau.
– « Heureusement qu’elle s’est mariée ! »
– Comment cela ?
– Et bien, si elle ne s’était pas mariée, elle serait restée pieds-nus toute la vie !

L’incompréhension se lu sur le visage des collègues qui s’étaient rapprochées.
– Lisez la fiche et vous comprendrez

Que pouvait-on lire sur cette fameuse fiche ?

Sur cette fiche, en caractères majuscules, écrits avec délicatesse à l’encre violette par une plume Sergent major, figuraient ces quelques mots :
Nom : CHAUSSE
Nom de jeune fille : PIEDSNUDS

Effectivement, Mlle Piedsnuds avait épousé M. Chaussé.
En trouvant chaussure à son pied, elle a évité de rester « Piedsnuds » toute sa vie.

Heureusement qu’elle s’est mariée !

Ceci est une histoire vraie. Que les personnes qui se sont reconnues lui pardonnent !

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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La courte histoire d’amour de Nopécu


La triste histoire d’amour de Nopécu

Une femme aimait Nopécu, mais elle est partie et ce pauvre Nopécu est resté seul.coeur brisé

L  M  N  O  P  Q

(Elle aimait Nopécu)

N  O  P  Q  R  S  T

(Et Nopécu est resté)

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Noir sur blanc confort visuel ou pourquoi le fond d’écran est blanc


Noir sur blanc confort visuel ou pourquoi le fond d’écran est blanc

Avant les années 1970, les tableaux à l’école étaient noirs et l’on écrivait à la craie blanche

Puis, les tableaux sont devenus verts et la craie a pris de la couleur.

Encore aujourd’hui de très nombreuses écoles ont encore des tableaux verts et utilisent la craie.

C’est plus pour des raisons économiques, car la craie coûte moins cher que des feutres, que pour des raisons sentimentales, dans la mesure où l’on aime bien retrouver, en tant qu’enseignant, l’environnement sécurisant de son enfance à l’école.

En parallèle, les écrans informatiques étaient de simples moniteurs, noirs avec un affichage en vert émeraude, puis, parfois couleur ambre, c’est-à-dire orangé.

Brusquement, vers la fin des années, des écrans en couleurs sont apparus. Petits, comme le célèbre MacIntosh d’Apple, puis de plus en plus grands comme ceux qui servent aussi de téléviseur maintenant.MacIntosh

Mais les écrans ont eu un fond blanc alors que les tableaux à l’école avaient toujours un fond vert.

Les constructeurs se sont rendu compte que le regard, focalisé sur l’écran, enregistrait aussi l’environnement de cet écran.

Or les murs sont généralement de couleurs claires, pastel ou blancs. Le contraste entre le fond de la vision, en blanc, par rapport au petit écran noir, rendait plus difficile la lecture du texte écrit sur l’écran.

Pour éviter un double contraste, les ingénieurs ont pensé qu’en harmonisant les fonds d’écrans avec le fond de la vision, le regard allait se concentrer, avec un minimum d’effort sur le texte à l’écran.

Cette notion d’effort minimum de l’œil est importante dans la mesure où le reproche a été fréquent et polémique par des accusations contre le travail à l’écran qui faisait mal aux yeux.

En réalité, le travail à l’écran permet de révéler plus tôt un défaut de vision qui aurait été détecté plus tard.
Fort de ce constat sur le confort visuel, les fabricants de tableaux ont proposé, aux entreprises et aux écoles, des tableaux blancs avec les feutres noirs ou de couleurs.

Depuis, nous écrivons en noir sur un fond blanc et non plus en blanc sur un fond noir, que ce soit à l’école ou devant un ordinateur.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Secrétaire une vocation


Secrétaire une vocation

secrétaire une vocation

Si tu peux voir un homme démolir tes dossiers,

Et sans dire un seul mot te mettre à reclasser

Si tu sais seconder l’homme en difficulté,

Dans devenir septique quant à sa qualité,

Si tu sais être belle, sans t’en rendre « rasante »,

Si tu peux être vive, mais jamais impertinente,

Très expérimentée sans avoir pris de l’âge,

Aimable et souriante, même à un sauvage,

Si tu sais conserver l’orthographe qui se perd,

Taper, penser, noter, téléphoner, tout faire,

Si tu peux accoucher à l’heure du déjeuner,

N’avoir que des enfants contre tout vaccinés,

Remplacer ton patron, qui au soleil ronronne,

Sans pour autant rêver que sa paie on te donne,

Si tu sors d’H.E.C. sans prétendre à la gloire,

Si tu as fait sciences po, sans en faire une histoire,

Alors mieux qu’un ingénieur, architecte ou ministre,

Mieux qu’Homasse voué au célibat sinistre,

A jamais protégée des sommets où il brille,

Tu seras secrétaire, ma fille.

 

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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