Les signes révélateurs de vos mensonges


20 signes pour repérer un menteur

Comme le répète un célèbre médecin d’une série télévisée :

« Tout le monde ment ».

Le mensonge fait partie des outils qui, consciemment ou inconsciemment, nous permet de vivre en société.
C’est un moyen de se protéger, d’obtenir satisfaction ou de se mettre en valeur ou mettre l’autre en valeur.

conjurer son mensonge

conjurer son mensonge

Quelle que soit la raison pour laquelle nous détournons la vérité, il existe des signes qui permettent de remarquer que notre interlocuteur ment ou invente un mensonge.

Stress et rythme cardiaque

Mentir provoque un stress, lié à la peur que son mensonge soit détecté.
Le rythme cardiaque change à cause d’une hausse de la production d’adrénaline.
La respiration augmente pour suivre l’accélération du coeur.

Ces trois premiers symptômes sont utilisés par les détecteurs de mensonge.

Pour s’assurer d’avoir affaire à un (e) menteur (se), même le détecteur de mensonge est insuffisant face aux personnes habituées à mentir.

Elles peuvent s’auto-suggérer d’augmenter son stress pour générer de faux signes et perturber le calibrage de l’appareil lors des premières questions posées.

polygraphe détecteur de mensongeVoici d’autres signent. Leur accumulation créé un faisceau de présomption assez grand pour laisser à penser que ce qui est dit est un mensonge.

Le menteur ou la menteuse

    1. cache ses lèvres, ou pose un doigt devant sa bouche
    2. va « inventer » pour combler le silence et donner plus d’informations que demandé
    3. se répète et donne trop de détails, souvent inventés au fur et à mesure
    4. va utiliser plus de mots pour répondre
    5. debout, va s’approcher doucement vers la sortie
    1. assis, va se crisper sur sa chaise
    2. va détourner la conversation et changer de sujet
    3. va rougir durant son mensonge, à différencier de la timidité
    4. va fuir le regard de son interlocuteur
    5. baisse les yeux
    1. devient agressif pour brouiller la conversation
    2. s’agite, devient nerveux
    3. se touche les cheveux, les oreilles ou bouge les pieds, se caresse le nez
    4. tire ses sourcils vers le haut et le milieu du front
    5. fait de petits mouvements de tête
  1. change de voix, souvent vers les aigus
  2. respire plus fort
  3. sue. La sueur est provoquée l’augmentation de chaleur créée par le stress
  4. met jusqu’à 10% plus de temps pour répondre
  5. relâche ses muscles, quand il (elle) pense avoir été convaincant (e)

Et vous

Êtes-vous un bon « détecteur de mensonge » ?

Source : étude américaine parue dans Medisite

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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En complément :

25 excuses pour une absence au travail
CV : Les 3 mensonges sur les diplômes
Entretien d’embauche : Bonnes et mauvaises raisons de vos départs

Quand répondre à une question provoque des regrets
Entretien de recrutement : Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise
Canular : Les dangers de la rumeur sur Internet

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Le syndrome de l’imposteur ou Suis-je à ma place


Ou « Ai-je le droit de postuler ? »

Le Tartuffe ou l'ImposteurLe syndrome de l’imposteur se manifeste dans le monde du travail.

C’est le même sentiment, fugace ou persistant, qui touche la personne qui est en poste, ou celle qui est en recherche d’emploi :
Celui de se sentir trop incompétent (e) pour travailler au poste qu’on occupe ou qu’on aimerait bien occuper.

Le syndrome de l’imposteur touche qui et quand ?

Ce sentiment touche tous les âges, tous les métiers, à tout moment dans sa carrière : du débutant au chevronné.

Cependant, il est plus fort dans les moments importants de changement :

  • Lorsque votre promotion est annoncée,
  • Suite à une critique ou à une série de critiques sur son travail,
  • Réflexion sur un éventuel départ de l’organisation pour laquelle on travaille,
  • Bilan sur sa carrière, ses compétences, ses expériences, ses capacités,
  • Au moment d’envoyer une candidature à un poste,
  • etc.

Certains passent leur carrière entière sans se poser une seule fois la question de savoir si, il ou elle, avait la légitimité d’occuper chacun de ses postes.

Celles et ceux, qui se sentent ou se sont sentis en décalage avec le poste, sont ainsi en fonction des traits de caractère suivants, détectés par des chercheurs de l’université de Gand en Belgique :

  1. Conscience professionnelle,
  2. Névrose,
  3. Amabilité,
  4. Franchise,
  5. Extraversion,
  6. Perfectionnisme,
  7. Satisfaction au travail,
  8. Engagement envers l’entreprise

Pourquoi ?

L’autocritique et le perfectionnisme sont les principales sources du syndrome de l’imposteur.

Ajoutez une bonne dose de manque de confiance en soi, et vous avez les ingrédients du doute sur ses capacités et sur le fait d’avoir ou de postuler au « bon » poste.

Dans une description de poste et au cours de l’entretien d’embauche avec le supérieur hiérarchique, il existe des différences ou des lacunes dans le profil du postulant ou du salarié par rapport au « candidat idéal », défini par l’employeur.

Ce sont ces points faibles, ces lacunes, ces manques qui donnent le sentiment inconfortable de prendre la place de quelqu’un de plus qualifié.

Ben alors ?

C’est se méprendre sur la démarche de recrutement.
Si vous êtes à ce poste, c’est que le recruteur a estimé que vous êtes capable, par vous-même ou par des formations internes ou par un coaching interne, de combler les compétences absentes ou lacunaires.

C’est ce qui vous donne une marge de progression.
C’est là qu’interviennent les fameuses Soft Skills ou compétences comportementales, celles qui vous permettent de vous perfectionner et donc de remplir vos missions au mieux pour vous et pour l’entreprise.

Se débrouiller tout (e) seul (e) ou demander de l’aide sont deux possibilités pour apprendre et mettre en œuvre ce qu’il faut pour répondre à la confiance de votre manager et de votre employeur.

Certaines tâches sont plus compliquées que d’autres.
Considérez-les comme des épreuves, des obstacles à franchir avec succès, grâce à votre esprit et à votre habilité à agir au mieux.

Dites-vous bien que si vous avez ce poste, c’est que vous le valez bien, même si, parfois, vous en doutez.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Recrutement : Mensonges et réalité


Comment détecter les mensonges du candidat ?

mentir en entretien d'embaucheLors d’un entretien d’embauche, le chargé de recrutement doit vérifier les dires du candidat. Pour cela, il pose des questions sur le contenu du CV et de la lettre de motivation.

L’un comme l’autre peuvent avoir été arrangés, soit pour une meilleure présentation visuelle, soit pour donner une meilleure image du candidat.

Le CV

La forme est importante, car c’est elle qui permet une lecture fluide et de se concentrer sur le contenu.

Le fond est toujours plus douteux. Le candidat peut avoir enjolivé son rôle ou/et ses compétences, quand il n’a pas menti sur son diplôme.

Pour le diplôme, selon l’âge du candidat, le recruteur se met, de plus en plus souvent, en contact avec l’organisme de formation, pour vérifier l’exactitude du cursus et du résultat des examens.

Un mensonge à ce niveau-là jette une ombre sur le reste du CV et un doute sur la véracité du reste.

Ce que l’on attend du candidat, c’est la capacité à exécuter les actions à mener pour tenir le poste.

Si des compétences sont issues de formation que le candidat n’a pas suivi ou qui n’a donné lieu à aucun diplôme alors le candidat sera éliminé.

Il en est de même pour ses réalisations, c’est-à-dire ce qu’il a fait dans ses postes précédents, notamment chez son dernier employeur ou/et durant les 5 dernières années.

Il est fréquent que les réalisations soient celles d’un groupe, il s’agit donc, pour le recruteur, de définir le rôle exact personnel du candidat.
Participer à une décision est différent de proposer une solution ou prendre une décision.

Le niveau de responsabilité et d’implication sont différents. Or, c’est cela que le recruteur souhaite.

La lettre de motivation

Le mensonge dans une lettre de motivation est très difficile à déceler, pour peu que le candidat soit un beau parleur.

Certains candidats sont tellement bons que ce qu’ils racontent paraient plausible, logique, réel. Mais est-ce une histoire inventée, lue, entendue ou est-elle vraiment arrivée ?

C’est en faisant raconter son histoire que le recruteur va sentir le mensonge en entretien d’embauche.

L’entretien d’embauche

L’entretien d’embauche est l’exercice indispensable pour détecter toute anomalie dans le discours et le parcours du candidat.

Le degré de préparation de celui-ci sera apprécié à son expression.
Le choix de ses mots, ses hésitations et son langage non-verbal sont de bons indicateurs de l’adéquation entre le CV et la lettre de motivation d’un côté, et de l’autre, la réalité du terrain telle qu’elle a été dans les précédents emplois.

Que faire en cas de doute ?

Les techniques sont multiples :

« C’est au pied du mur… »

Si, malgré toutes les précautions et évaluation, le candidat réussit à passer quelques mensonges à travers les filtres du recruteur, il lui reste à réussir sa période d’essai.

Si le travail est exécuté selon les attentes de l’employeur alors les mensonges passeront à la trappe.

S’ils sont détectés après la période d’essai, ils peuvent être motifs d’un licenciement pour abus de confiance ou insuffisance professionnelle.
L’employeur peut même se retourner contre son salarié, surtout s’il s’agit d’un cadre.

Si, au contraire, des lacunes apparaissent dans le savoir-faire du nouvel embauché alors des vérifications supplémentaires risquent de démontrer des mensonges de celle ou celui qui va devenir un ex-salarié (e) très rapidement.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Entretien de recrutement : Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise
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Le Pourquoi de certaines questions en entretien d’embauche

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Dénoncer un harcèlement : 1. Préparer son dossier


1. Préparer son dossier contre le harcèlement

Ça parait tout bête, mais la plupart des victimes de harcèlement moral ou sexuel au travail sont insuffisamment préparées. Elles craquent tout simplement.

Sommaire Dénoncer un harcèlement au travail :

  1. Préparer son dossier
  2. Se plaindre
  3. Cesser le travail

La justice compare les preuves aux lois et décide si une faute a eu lieu puis de la sanction dans la limite indiquée dans le Code pénal.
Pas de sentiment dans l’esprit des juges. Ou, s’ils en éprouvent, ils se doivent de les mettre de côté lorsqu’ils prononcent une sentence.

Il est impératif de bien préparer son dossier et de rassembler un maximum de preuves.

La victime doit prouver

C’est la victime ou prétendue victime qui doit prouver les faits reprochés à la personne qui harcèle et qui est considérée comme innocente jusqu’à preuve du contraire.

Les preuves doivent, en plus, être légales. Il est donc impossible d’enregistrer à l’insu du harceleur ses propos ou ses gestes.

Par contre, s’il existe des caméras dans le lieu où le harcèlement a lieu ou a eu lieu alors ces enregistrements sont des preuves.

La victime aura le droit de les demander lors d’un futur procès, sous réserve que ces enregistrements existent encore au moment de la demande.

Il en est de même de tout ce qui est écrit : courrier, courriels, SMS, papier. Ce sont les preuves les plus « sûres ».

Les déclarations en tout genre explicites d’un harcèlement moral ou sexuel sont les plus appréciées des juges.

Le doute sur les témoignages

Plus aléatoires sont les témoignages, surtout des collègues. Ils peuvent, s’ils le désirent, décrire les faits qu’ils ont vus et les paroles qu’ils ont entendues, sans y apporter de conclusions eux-mêmes.

Outre la difficulté à convaincre des personnes qui craignent peut-être pour leur emploi, le témoignage est pris en compte selon l’appréciation des juges.

D’une part, il y a toujours une suspicion d’influence d’une ou l’autre des parties sur le témoin, ensuite il y a une grande part de subjectivité et la même scène décrite par 2 personnes différentes sans se concerter sera plus ou moins concordante.

Évidemment, en cas d’une agression physique, la victime peut aussi apporter une preuve rédigée par un médecin.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Peur de ne pas réussir : Comment réagir


Pire que le trac, la déconsidération de soi

peur de l'échecVous doutez de vous-même ?

Après une série d’échecs ou une seule rebuffade, votre moral est au plus bas.

Un dépit amoureux ou un licenciement, un cadeau raté reçu à votre anniversaire ou une réduction qui vous est passé sous le nez, une remontrance de votre chef ou un harcèlement sur Internet, etc. : il y a tellement d’occasions de se sentir oublié (e), frustré (e), décontenancé (e), rabaissé (e), au point de penser que l’on est bon à rien, malgré ses qualités et son savoir-faire.

La peur de l’échec

La peur de l’échec est un des premiers symptômes que l’on éprouve dans sa vie.

Elle apparaît dès l’école, surtout quand une leçon est mal apprise ou que l’on s’est entiché de son ou sa camarade de classe.

La peur de manquer des connaissances ou des compétences pour parvenir au résultat envisagé est au moins aussi forte que celle d’essuyer un refus et de perdre l’estime de l’autre.

Le manque de confiance en soi

Le manque de confiance en soi vient aussi des discours entendus dans sa vie professionnelle autant que dans sa vie personnelle.

Quand vos parents, vos professeurs, votre conjoint (e), vos enfants, vos chefs disent du mal de vous ou vous répètent que d’autres font mieux que vous, ou encore vous ignorent, on peut dire que cela pèse sur le moral.

Se sous-estimer

Mettez-vous la barre trop haute ?

Sans vouloir pécher par excès de zèle ou surestimer ses qualités et ses compétences, dites-vous que l’opinion des autres sur vous-même à moins d’importance que votre propre opinion sur vous-même.

C’est vous qui avez raison !

Accumulez les échecs pour progresser

Si vous ratez cette fois-ci, ce sera pour une prochaine fois.

Préparez-vous, formez-vous, renseignez-vous et quand vous pensez être prêt (e), lancez-vous.

Avoir peur de l’échec conduit à la paralysie, alors dites-vous que l’occasion fait le larron : une opportunité que l’on laisse passée vous fait éprouver des regrets.

Préférez-vous avoir des regrets ou des remords ? Ceci est une question entendue dans un entretien d’embauche.

Agir, c’est se donner le droit de se tromper. Le droit à l’erreur que l’on s’accorde, permet de rebondir sur de meilleures bases, sous réserve d’avoir compris ce qu’il aurait fallu faire.

Analyser ses erreurs

Certains échecs sont sans rapport avec vous :

Un amour non réciproque, un licenciement économique, une inondation soudaine, etc. sont autant d’exemples où l’échec est indépendant de votre volonté.

D’autres échecs sont bien les vôtres :

Ne rejetez pas systématiquement tous les malheurs qui vous arrivent sur les autres. On a vite fait de trouver des boucs-émissaires alors qu’une analyse plus objective montre que vous avez commis une erreur.

Faites la part des choses et rebondissez.

Progresser

D’autres font mieux que vous ou ont plus de chance. Et alors ? La jalousie est un sentiment négatif.
Être envieux (se) devrait vous aider à vous surpasser.

Si vous voulez parvenir à atteindre les mêmes objectifs que les plus chanceux, les plus intelligents ou les plus entreprenants, alors déterminez vos points forts et vos axes d’amélioration.

Renforcez les premiers et minimisez les seconds.

Philippe Garin

Pour vous faciliter le recrutement, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Recruteur : Les bonnes questions en entretien d’embauche


7/7 Les bonnes questions

Parler …

Lors d’un entretien d’embauche, le recruteur pose des questions auxquelles le candidat répond. Il lui arrive aussi de répondre aux questions du candidat lorsque celui-ci en pose.

les bonnes questionsSommaire :

1 La passion et l’enthousiasme
2 La richesse de la personnalité
3 La curiosité de bon aloi

4 Tout est dans le détail
5 La lumière intérieure et extérieure
6 Audace, ambition ou provocation

7 Les bonnes questions

Souvent, c’est le recruteur qui doit solliciter son interlocuteur pour lui faire poser des questions. Si le recruteur fournit trop d’informations sur l’entreprise et le poste, le candidat n’a plus de questions à lui poser, alors il perd le bénéfice de faire parler le candidat.

et faire parler

Le bon partage du temps de parole est 1/3 du temps pour le recruteur et 2/3 pour le candidat.

Il existe deux techniques utilisées par le chargé de recrutement pour provoquer la conversation et permette l’écoute et l’observation. Exemples :

  1. Donner un ordre : « parlez-moi de vous », « racontez-moi ça plus en détail »
  2. Poser des questions ouvertes ou fermées : « quels sont vos points faibles ? »,
    « envisagez-vous de déménager ? »

Pendant l’entretien d’embauche, le recruteur doit avoir le CV devant les yeux. Il est préférable qu’il le parcoure une nouvelle fois avant le rencontrer le candidat.

Faire raconter son CV au candidat permet de le laisser s’exprimer. Seulement, cela peut prendre du temps, surtout quand le candidat a une longue carrière derrière lui où quand il a changé fréquemment d’employeurs.

Trop peu n’en faut

Le recruteur doit choisir, compte tenu du temps prévu pour l’entretien, les points sur lesquels il souhaite mettre l’accent et obtenir des informations complémentaires de la part du candidat.

Là encore, plus de niveau hiérarchique du poste est élevé, plus les questions seront orientées sur le contenu des actions et projets menés, des responsabilités et des initiatives prises, du rapport avec ses collaborateurs ou/et collègues.

Sincérité et doute

De même, il est intéressant pour un recruteur de connaître les motifs des départs successifs. Il est indispensable de savoir s’il s’agit de savoir si le départ est au candidat lui-même, pour des raisons personnelles ou professionnelles, s’il s’agit de départ volontaire ou non.

En cas de doute sur la sincérité des réponses, le recruteur hésitera à retenir le candidat. Son rôle consiste à vérifier la véracité des informations transmises par le candidat. Un contrôle de référence sera nécessaire pour lever les doutes ou les confirmer.

Références

Dans ce cas, deux possibilités existent. La plus simple est de prendre contact avec les personnes nommées par le candidat durant l’entrevue. Cela évite de chercher des noms et des numéros de téléphone. L’autre consiste à le faire sans prévenir préalablement le candidat ou en l’avertissant que c’est le recruteur qui choisira qui appeler. La meilleure personne à même de parler du candidat est son chef direct. Il y a aussi le responsable des ressources humaines des anciennes sociétés pour lesquelles le candidat à travailler.

Toutefois, le recruteur préfère éviter de prendre de tels renseignements. Il privilégiera un candidat clair, précis, responsable, qui a tiré le meilleur de ses erreurs passées pour éviter de les reproduire ou encore dont les motifs de départ sont crédibles ou/et facilement vérifiables.

Honnêteté

Face à un candidat honnête, le recruteur se doit aussi d’être honnête. S’il envisage de repousser sa candidature, il devra en faire part à la fin de l’entretien ou juste après, pour libérer le candidat et lui permettre de se positionner sur un autre poste.

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Faute du recruteur : 7. Ne pas vérifier auprès des autres
Contrôle de référence : Peur du référent ?
Motifs de départ : papillon ou pas de bol

La voix pour bien communiquer en entretien d’embauche et ailleurs
Vidéoconférence : entretien d’embauche ou pas, 6 conseils pour soigner votre communication
Réussir son entretien d’embauche au téléphone

Autres emploi :

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Arnaques, fraude, virus : Pôle emploi met en garde


Usurpation d’identité de Pôle emploi pour voler les demandeurs d’emploi

La page Soyez vigilants de Pôle emploiÊtre au chômage, c’est être fragilisé. L’incertitude de l’avenir est grande. Des difficultés financières apparaissent. Des effets se font sentir : déprime, insatisfaction, rancœur, peur.

C’est alors qu’arrive un message dans votre boîte-aux-lettres électronique ou sur votre smartphone.

Pôle emploi met en garde : Soyez vigilant !

C’est le nom de la page http://www.pole-emploi.fr/candidat/soyez-vigilants–@/index.jspz?id=116414 accessible sur le site de Pôle emploi.

Cette page signale toutes les arnaques, fraudes et tentatives d’escroquerie dont sont victimes des demandeurs d’emploi, prêts à répondre pour trouver un emploi.

Consultez cette page régulièrement. Hélas ! Des escrocs profitent de l’état de faiblesse des demandeurs d’emploi pour les voler.

Des faux entretiens, de fausses offres

Ces offres ou ces entretiens ont pour but de vendre des formations ou, pire, de vous faire signer un contrat de travail fictif. Vous penseriez signer un contrat de travail, or il s’agit d’un contrat de dupe.

  • Ne signez rien avant d’en parler à votre conseiller Pôle emploi.
  • Ne payez jamais pour une offre d’emploi
  • Ne fournissez jamais de RIB et vos coordonnées bancaires Attendez pour cela d’être dans l’entreprise, si elle existe. Et ne donnez jamais vos codes d’accès à votre compte bancaire.

Ou des numéros surtaxés

Une annonce qui vous demande de téléphoner pour en savoir plus est le signe que votre conversation va vous coûter cher. Plus le numéro qui suit le 08 est élevé et plus la surtaxe est importante. Le pire : un numéro qui commence par 0899

De fausses applications à NE PAS télécharger

Les couleurs vous font croire que l’application est mise à votre disposition par Pôle emploi et vos codes d’identification vous sont volés

Ou de faux mails

Il est très attrayant de cliquer sur la pièce jointe dans ces mails qui vous proposent travail et richesse, sauf que vous introduisez un virus sur votre PC, tablette ou smartphone. À distance, le pirate va piller tous vos codes, saura sur quelles touches vous appuyez et volera tout votre argent de votre compte bancaire.

De fausses récompenses à des sondages

Vous pensez répondre à un sondage de Pôle emploi contre un cadeau.

Le soi-disant organisateur vide votre compte en banque avec les codes que vous donnez pour soi-disant recevoir votre récompense.

Ou lors de l’actualisation mensuelle

Des pirates interceptent votre connexion au moment où vous actualisez votre situation mensuelle, vous réclament vos données bancaires et vide votre compte quand vous pensiez recevoir un cadeau ou une petite somme d’argent

Protégez-vous !

Du bon sens avant tout

  • Dès qu’une offre vous semble suspecte par son contenu, n’y répondez pas.
  • Aucun recruteur ne fait de cadeau, ni vous demande de payer, ni demande des codes d’accès.
  • En cas de doute, consultez votre conseiller Pôle emploi. Ne vous laissez pas impressionner par un interlocuteur qui fait pression sur vous.
  • Signalez une fraude potentielle sur le portail officiel de signalement des contenus illicites sur internet.
  • Protégez votre smartphone, tablette ou PC.

Gardez la tête froide !

Source : Pôle emploi

Philippe Garin

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Méthode : ACP ou Approche centrée sur la personne


L’Approche Centrée sur la Personne ou ACP

est le résultat des travaux de Carl Rogers (1902-1987), psychologue et psychothérapeute américain, pressenti pour être Prix Nobel de la Paix en 1987.

Carl Rogers

Carl Rogers

Les principes en sont

  • La confiance dans la personne
  • Le respect de la personne

L’ACP permet une relation de confiance et de respect mutuel, entre Vous et votre conseiller, dans un climat d’ouverture, de compréhension empathique, de sincérité.

Vous êtes alors libéré de la peur du jugement. Vous êtes mieux à même de réaliser votre potentiel, sans se préoccuper de « normes » et aller vers l’autonomie, la confiance et le mieux-être.

L’approche centrée sur la personne est utilisée dans des moments

  • d’hésitation par rapport à des choix,
  • de crise : perte de travail, changement de lieu ou d’emploi, mise à la retraite
  • de doute sur ses potentiels.

L’ACP s’adresse à toute personne sans distinction de genre, d’âge, d’origine raciale ou ethnique, d’opinions politiques, philosophiques ou religieuses, d’appartenance syndicale ou politique, d’état de santé ou d’orientation sexuelle

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Management participatif : Le chef décide après


La prise de décision est TOUJOURS l’apanage du chef

Les décisions les plus importantes nécessitent une réflexion.

Un bon chef va réunir ses collaborateurs, leur exposer la problématique, sans fournir de piste initiale de réflexion.
Il va les inciter à ce qu’ils fassent part, ouvertement et sans critique sur la personne, de leurs réflexions au groupe et à lui-même.

C’est parmi ses proches collaborateurs, réunis ensemble pour réfléchir, que le chef écoute et alimente sa propre réflexion avec celles des autres.

L’émulation de groupe peut, certes, générer des tensions entre les collaborateurs. Son rôle est de faire baisser cette tension. C’est d’autant plus facile lorsque le style de management est participatif, car les collaborateurs savent alors ce que leur chef attend d’eux.

Ne pas déranger équipe au travail

Le plus important est de faire avancer la réflexion, surtout lorsque les décisions à prendre sont les plus importantes, en particulier celles qui sollicitent du manager, son intelligence, sa sagesse, ses compétences et sa compassion.

De telles réunions servent lors de questions qui demandent l’assentiment de tous les proches collaborateurs. Plus l’enjeu est important et plus le manager a besoin de prendre une décision qui ne fasse pas appel à sa seule intuition, bonne ou mauvaise.

La prise de décision appartient entièrement au manager. Le devoir de ses collaborateurs est de lui apporter toutes les informations dont il a besoin pour se décider.

Pour que cela fonctionne,

il faut que les collaborateurs n’hésitent pas à lui faire part de leurs doutes, et même de leurs analyses, surtout si elles sont contradictoires.

Un bon manager n’attend pas de ses subordonnés qu’ils soient des béni oui-oui et disent toujours comme lui. A quoi serviraient-ils alors ?

Le rôle d’un bon subordonné est de critiquer les idées des uns et des autres, en premier celles de leur chef, lorsque c’est nécessaire. C’est à eux que revient le devoir de lui exposer tous les points de vue possibles sur la situation. La libre discussion est une des composantes majeures du management participatif.

Le respect du chef envers ses collaborateurs s’exprime par une grande qualité d’écoute et par une expression de neutralité sereine.

Le chef laisse ses collaborateurs discuter entre eux comme s’il n’est pas là.

Ses interventions visent à définir les prémices d’un éventuel consensus ou à guider la conversation vers une décision finale. Il prendra partie uniquement à la fin de la réunion et des échanges entre participants.

Généralement, au moment où tout le monde semble d’accord sur la solution à mettre en oeuvre, ou la définition de l’objectif à atteindre ou un ensemble de réponses à apporter à la question du débat, la décision à prendre semble si évidente que toute autre prise de décision unilatérale par le chef en devient inutile.

Il est étonnant de constater la facilité avec laquelle certaines solutions sont trouvées lorsque le manager laisse les choses évoluer autour de lui.

La meilleure façon d’évaluer les compétences d’un manager est de voir comment son service fonctionne sans lui. Non seulement, il fait appel à l’intelligence et aux compétences de ses collaborateurs, mais, en plus, ceux-ci savent ce que le manager attend d’eux, qu’il soit présent ou non. En cas d’absence, ils lui feront un compte-rendu.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Prise de décision : L’heure du doute et de la remise en question


Vous doutez d’avoir pris la « bonne » décision.

C’est une situation passagère ou conjoncturelle, sil'heure du doute et de la remise en question

  • La question de savoir si vous avez pris la bonne décision vous vient à l’esprit furtivement.
  • Vous avez une baisse de régime, de la fatigue
  • Vos résultats sont diminués
  • Votre situation a changé récemment

C’est une situation plus profonde et structurelle, quand

  • Le doute s’installe durablement et devient récurrent
  • Votre envie de poursuive perdure
  • Vous ne parvenez pas à maintenir vos bons résultats
  • Votre situation a changé depuis quelques temps

Le doute arrive sans crier gare, au détour d’une conversation, d’une image vue, d’un son entendu, d’une sensation soudaine.

Il convient d’analyser l’origine de ce mal-être avant de se poser les questions pour remettre en cause la décision déjà prise

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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10 conseils pour décider de poursuivre ou d’abandonner une décision


avoir un doute sur le bon choixQuelques temps après avoir décidé et pris une décision,

Vous commencez à douter d’avoir fait le bon choix

La décision de poursuivre ou de laisser tomber, de remettre en cause la décision initiale, mérite une analyse.

  1. Identifiez les signes révélateurs de votre doute pour éviter de les négliger
  2. Posez-vous la question de savoir si le doute est conjoncturel ou structurel
  3. Reprenez les critères qui vous ont fait prendre la première décision et comparez-les avec la situation actuelle
  4. Doutez des critères sélectionnés du choix initial, ne doutez pas de vous ni de votre propre jugement. Vous êtes intrinsèquement la même personne
  5. Donnez-vous du temps. Fixez une date pour prendre la décision d’abandonner ou de poursuivre
  6. Donnez-vous le droit d’être incertain (e). Ne cherchez pas la perfection.
  7. Accordez-vous le droit à l’erreur, sans culpabiliser
  8. Agissez pour redresser la barre, raccourcir les délais, acquérir les compétences manquantes, renforcer votre vision positive de votre environnent et de vos relations avec les autres
  9. Faites appel à des personnes de confiance, famille, amis, collègues, coach
  10. Contactez-moi : phgarin@gmail.com

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Prise de décision : D’où vient votre mal-être, votre malaise


Vous avez un doute sur une décision que vous avez déjà prise

vous doutez de votre choixAvant de décider de poursuivre le choix pris ou de laisser tomber et de changer de vie, d’orientation, d’employeur, il convient de chercher les causes de son mal-être.

Vous reconnaissez-vous dans l’une ou l’autre de ces affirmations :

  • Vous avez décidé sans avoir suffisamment réfléchi
  • Vous avez décidé à la dernière minute, en vitesse
  • Vous avez décidé plus selon vos sentiments que selon vos capacités
  • Votre choix a produit un résultat insuffisant ou décalé par rapport au résultat attendu initialement
     
  • Votre objectif est toujours aussi lointain
  • Vous avez le sentiment que les perspectives demeurent trop vagues et incertaines
  • Les inconvénients réels sont plus importants ou plus nombreux de ceux imaginés, lors de votre prise de décision
     
  • Vos critères de choix étaient trop élevés, comparés à la réalité du terrain
  • Vous pensez avoir fait trop de compromis avec vos valeurs, vos envies, votre vision
  • Vous avez l’impression que le choix précédent vous a été imposé ou que vous avez été trop influencé (e)
     
  • Vous avez le sentiment de ne pas avoir été suffisamment libre de votre choix
  • Vous vous sentez décalé (e) dans votre nouvel environnement issu de votre décision précédente
  • Vous êtes en conflit avec les autres, famille, amis, collègues

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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