3 astuces pour se concentrer et gagner du temps


Principes de productivité

Dans son travail, il arrive que la fatigue ou la procrastination nous font décaler une tâche, à moins que le temps prévu pour l’exécuter soit allongé. En tout cas, aucune satisfaction à la clé. Le travail perd de son intérêt.

Voici quelques astuces pour gagner en efficacité :

1/ Fixer objectifs et priorités

Parmi toutes les tâches que vous avez, certaines sont plus prioritaires que d’autres.

Les plus prioritaires sont celles qui vous permettent d’atteindre vos objectifs. Évidemment, vous avez, au travail, toujours deux types d’objectifs : ceux qui vous sont donné par votre hiérarchie et vos propres objectifs.

principe_d_eisenhowerPar ailleurs, il est plus facile de se fixer des étapes pour atteindre ses objectifs à long terme et de déterminer les actions à mener pour atteindre chaque objectif intermédiaire. Cela permet, en plus, de maintenir sa motivation et la satisfaction du travail effectué.

2/ Soyez linéaire

Une chose après l’autre. La première de la journée sera la plus importante. Qu’elle soit simple ou compliquée, la tâche la plus importante est à faire en premier, quand les énergies sont au plus fort.

Évitez les distractions et fixez-vous une limite de temps avant la pause. Restez sur cette tâche jusqu’à ce que vous ayez atteint un degré suffisant de satisfaction, par exemple quand elle est terminée ou suffisamment avancée pour passer, plus tard, à la suite.

Conservez les pauses entre les tâches pour vous ressourcer. Dormez, mangez, faites de l’exercice physique, respirez, sont indispensables pour restaurer son énergie avant de poursuivre.

Si vous manquez d’éléments pour travailler sur une tâche ou si l’envie vous manque, mieux vaut passer à une autre tâche de même priorité.

planification détaillée

planification détaillée

3/ Planifier sans excès

Quand vous êtes un exécutant, un membre d’une équipe avec des tâches bien précises, il est difficile de planifier plus de 70% de son temps. Les 30% restants sont dus à des interruptions imprévues de tout ordre.

Quand vous êtes encadrant d’une équipe, la limite est de 50%. En effet, vous êtes plus sollicité que les premiers par des éléments extérieurs indépendants de votre volonté.

Prévoyez des moments où vous êtes indisponible pour tout dérangement et des plages horaires pour des activités non planifiées. Si on veut vous déranger, qu’on attende le « bon » moment, celui que vous aurez fixé.

Vous avez gagné du temps, estimez la durée de la prochaine tâche et voyez si vous avez le temps de l’exécuter avant la fin de la journée, sinon choisissez une tâche plus courte, voire de moindre priorité qui peut être terminée dans le temps restant.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Productivité : Fixez-vous des objectifs physiques
Harmonisation des objectifs professionnels et privés
Du découpage d’un projet en tâches

Comment s’assurer que toutes les tâches prévues ont bien été menées
40 pièges pour perdre du temps
Pour être un manager performant

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5 Conseils pour mieux se concentrer


5 Conseils pour mieux se concentrer

La fatigue ou le manque d’intérêt sont deux des facteurs qui font que nous sommes distraits ou que nous ayons du mal à nous concentrer sur ce que nous écoutons, écrivons, disons, faisons.

De tout temps et en tout lieux, le manque d’attention est souvent lié à notre esprit. Il vagabonde, il imagine, se soustrait à la tâche ingrate que l’on s’impose et qui nous est imposée.

Selon une étude américaine en 2020,

  1. 28% du temps de travail d’un employé est perdu en bavardages, vagabondages des idées et plus généralement à la déconcentration au travail,
  2. 34% des distractions serait dû aux interruptions d’autres employés ;
  3. 29% viennent de la lecture de mails,
  4. 23% de discussions entre collègues
  5. 21% de réunions
soyez attentif

soyez attentif

Pour se (re)concentrer sur son travail, voici quelques conseils de non aloi :

1/ Se concentrer sur une autre activité

Afin de discipliner son esprit, autant le faire sur une distraction qui demande de la concentration : le jeu en solitaire : Mots croisés et équivalent, sudokus, et autres jeux de mémoire qui font appel à la réflexion et oblige à se concentrer exclusivement sur le jeu.

Ceci a pour conséquence, d’apprendre au cerveau à se concentrer sur la tâche du moment, tout en créant les connexions synaptiques nécessaires qui aident, par la suite, à se concentrer sur son travail.

2/ Faire des pauses

Quand le cerveau surchauffe, il « décroche » sans nous prévenir. On s’acharne à poursuivre au risque de faire des erreurs par manque de concentration. Plus on veut poursuivre et plus la concentration se perd.

C’est pourquoi, faire des pauses régulières permet au cerveau de décompresser. La tension artérielle baisse et le sang circule mieux. Le cerveau est mieux irrigué.

pause chocolat

pause chocolat

Reprendre un travail après une pause où l’on a agi par de simples actes comme se désaltérer, manger un en-cas, aller aux toilettes, se laver les mains, permet une déconnexion rapide et une meilleure concentration.

3/ Dormir

La qualité du sommeil influence grandement la concentration et l’efficacité au travail.
La quantité de sommeil entre aussi en jeu. Selon chacun d’entre nous, le nombre d’heures de sommeil est différent, néanmoins, il se situe généralement autour de 7 à 8 heures au quotidien. Dans le silence, le noir et sans interruption.

4/ Avoir une activité physique

Outre le fait d’améliorer la circulation sanguine par une pratique du sport, il est toujours possible de trouver des moments pour avoir une activité physique.

Elle permet d’éliminer les déchets toxiques pour notre organisme. Il s’agit le plus souvent de la marche. Une bonne marche, vive, sans flâner, monter les escaliers, laisser la voiture plus loin ou descendre une station de bus, de tram ou de métro avant sa destination.

méditer, respirer

méditer, respirer

5/ Respirer consciemment

Une pause relax, une séance de sophrologie, ou un moment de méditation, sont autant de techniques qui aident à se concentrer.

Prendre conscience de sa respiration, respirer lentement en faisant attention à l’inspiration et à l’expiration, permet de se concentrer, sur soi d’abord, puis sur son travail ensuite..

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Manque de repos : Causes, erreurs et risques
Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire
Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez

6 comportements des personnes mentalement fortes
Concentrez vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré
Gestion du temps : Concentré de tomates ou la technique Pomodoro

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Un exercice pour vous relaxer et diminuer vos tensions


Nerfs à fleur de peau ? Voici comment vous détendre

bronzer sur la plageLa peur et la nervosité peuvent conduire à l’irritabilité, qui mène à des contractions musculaires sur l’ensemble du corps.

L’objectif de cet exercice est de diminuer ces irritations, et donc de diminuer peur et nervosité.

Une partie des excitations est déviée d’une zone du cerveau vers une autre.
De cette façon, les muscles, le rythme du cœur et la tension artérielle diminuent leur activité.

Bientôt, vous pourrez doser l’activité de votre cerveau, au point de sentir et repousser consciemment les sources de nervosité qui influencent sur votre corps.
Vous vous sentirez, ainsi, plus reposé (e) et détendu (e).

Exercice de relaxation

À faire chez vous, sur le sol ou sur un lit, ou encore dans un fauteuil confortable au bureau.

De cette façon, vous pourrez vous endormir, aussi est-il préférable de prévoir une minuterie pour une durée de 30 minutes maxi.

  1. Placez un oreiller sous votre tête et un coussin sous vos genoux
    Allongez-vous confortablement, la tête légèrement penchée vers l’avant et fermez les yeux.
    Respirez consciemment, lentement et profondément.
     
  2. Concentrez-vous d’abord sur les muscles de votre front.
    Ils doivent être souples et détendus.
    Enchaînez avec les autres muscles du visage.
    Relâchez-les, les uns après les autres.
     
  3. Descendez et relâchez les muscles du cou.
    S’ils sont encore tendus, déplacez votre oreiller de façon à ce que votre tête ne soit plus maintenue que par lui et la gravité et non plus par les muscles.
     
  4. Portez votre attention sur les muscles de la poitrine.
    Détendez tous les muscles et inspirez lentement et profondément.
    Retenez quelques secondes l’air dans vos poumons, puis expirez lentement et entièrement avant de reprendre cette séquence de respiration 10 fois.
     
  5. Maintenant, concentrez-vous sur le ventre.
    Détendez vos muscles du ventre. Ils doivent, tous, devenir souples.
     
  6. Passez aux jambes. Vous devez trouver la bonne position.
    Pour cela, redressez légèrement les orteils en arrière.
     
  7. Ensuite, concentrez-vous sur les muscles des bras et des mains.
    Laissez-les se détendre et devenir souples.
     
  8. Enfin, pensez à votre corps dans son ensemble.
    Essayez de relâcher tous les muscles.
    Autorisez-vous à ce sentiment agréable d’un corps entièrement relâché.
     
  9. Comptez lentement de 100 à rebours.
    Imaginez que vous êtes tranquille à la plage, en train de vous faire réchauffer par le soleil.
    Vous vous laissez porter par des milliers de grains de sable.
    Détendez-vous complètement. Respirez normalement.

Maintenant, vous vous sentez calme et libéré (e) de vos tensions et de vos soucis.
Votre corps et votre esprit sont relaxés

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :

En complément :

Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez
Pour bien parler : Respirez correctement
Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire

Le trac : Comment le vaincre
Lâchez-prise vs relaxation
Insomnies ! Quoi faire ?

Autres Bien-être :

Récapitulatif 19 Bien-être

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Manque de repos : Causes, erreurs et risques


Manque de repos : Causes, erreurs et risques

ondes cérébrales pendant le sommeilLe mauvais sommeil et le manque de repos touche une personne sur trois en France.

Entre trop ou pas assez de sommeil, ou encore s’endormir à des moments inappropriés, les troubles du sommeil sont fréquents.

La concentration de la population dans les centres urbains favorise ces troubles, à cause des bruits ambiants notamment.

La sédentarité provoquée par le manque d’activités physiques et par l’hyper-connectivité, au téléphone et autres écrans, accentue les problèmes.

On s’endort avec une température de 37°C, tout ce qui réchauffe le corps, donc le cerveau, centre du sommeil, ralentit l’endormissement.

Les affections

  • Insomnie
  • Hypersomnie
  • Apnée du sommeil
  • Narcolepsie

Les causes

  • Stress
  • Suractivité professionnelle
  • Problèmes de transport
  • Connexion prolongée à Internet
  • Jeu sur écran
  • Sieste trop longue
  • Autres affections : Rhume, angine, etc.

Les erreurs

  • Prendre de la caféine après 17:00 : Café, coca
  • Faire du sport avant de se coucher
  • Prendre un bain chaud avant de se coucher
  • Dormir dans une pièce trop chaude
  • Manger gras ou épicé avant de dormir
  • Boire de l’alcool
  • Se laisser éclairer par la lumière bleue

Les risques

  • Obésité, prise de poids
  • Diabète
  • Infarctus
  • AVC, accident vasculaire cérébral
  • Hypertension
  • Dépression, sautes d’humeur
  • Défaillance de la mémoire, de l’attention

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Pour en savoir plus :


En complément :

Insomnie vs sommeil fractionné
Le sommeil fractionné
Risques cardiovasculaires : Les facteurs du risque

Apnée du sommeil : Masquez vos ronflements
Résolvez vos problèmes durant votre sommeil
4 heures de sommeil par jour

Autres Bien-être :

Récapitulatif 19 Bien-être

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Efficacité personnelle : Savoir se concentrer, comment faire


Se concentrer est parfois difficile

se concentrerDans une période d’intenses réflexions comme les révisions avant de passer des épreuves pour un diplôme ou un concours, il est nécessaire de se concentrer pour être efficace.

Seulement voilà, l’esprit vagabonde, la procrastination est toute proche. La concentration vous fuit.

Vous vous endormez le soir, avec une idée précise sur votre programme du lendemain, et, le lendemain soir, vous avez la passé la journée sans avancer vraiment.

Comment se concentrer

La concentration signifie être capable de rester actif sur une action avec l’esprit et le corps qui pensent et qui agissent uniquement sur l’action en cours.

Pour cela, il faut plusieurs éléments, liés à nos différents sens.

1 La vue

Regardez l’objet, par exemple un texte ou une image, en « oubliant » tout ce qui est autour, donc en focalisant son attention sur cet objet ou cette pensée.
Pour la pensée, fermer les yeux est une solution.

2 L’ouïe

Il faut aussi se couper des sons parasites, c’est-à-dire tout ce qui peut perturber, par exemple, la musique, la télévision, les publicités sur Internet, les bruits de la rue ou de la maison, bref de l’endroit où l’on se trouve.

Le filtre de ses oreilles doit laisser passer uniquement le son « utile ».

Dans certains cas, une musique douce, par exemple, le bruit de la pluie, de la mer, nous conditionnent à nous concentrer sur le présent.

3. Le toucher

Le toucher implique que l’on fait abstraction de la façon dont se tient.

Debout, assis, allongé, peu importe, le contact avec le corps se fait uniquement par rapport à l’objet que l’on touche volontairement et sur lequel on veut se concentrer.

La chaleur ou le froid sont également des facteurs perturbants de la concentration. Il est plus facile de se concentrer quand l’environnement est à la bonne température.

4. L’odorat

L’odorat a un rôle puissant, car il est tourné vers le passé et les souvenirs, positifs ou négatifs, qui occupent alors l’esprit.

Évitez les parfums forts, si vous êtes sensibles aux odeurs, mieux vaut des senteurs printanières, par exemple, une légère odeur de muguet ou, mieux, pas d’odeur du tout

Cela permet au cerveau de désactiver la partie qui sert à l’identification des odeurs.

5. Le goût

Le rôle du goût est moindre, sauf si l’objet de ta concentration est une recette de cuisine.

Pour la concentration, évitez les moments où vous avez faim.

Calmer sa faim permet de faire abstraction de ce facteur perturbant.

6 Le cerveau

Le plus compliqué est le cerveau et les pensées.

Parfois, faire une pause et s’occuper à tout autre chose permet de chasser de son esprit, pendant un temps, ce qui nous préoccupe.

Par exemple, faire des mots-croisés, jouer au solitaire, faire un puzzle sont des activités qui nécessitent de la concentration et qui empêchent de penser à autre chose.

Une fois, la période de détente passée, vous êtes plus à même de vous concentrer.

6 Autres conseils :

Dormir. Quand on fait une sieste, au minimum de 10 minutes, on a « vidé » le cerveau.

Vient ensuite la respiration. Assis confortablement, les bras ballants, inspirez lentement par le nez, puis expirez profondément par la bouche.
Répétez une dizaine de fois l’exercice, tout en étant dans un environnement non parasité par les autres sens.

Parfois aussi, passer sous la douche ou prendre un bain permet de détendre son corps.
Cela permet la production d’endorphines qui calment. La concentration est plus facile par la suite.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en avoir plus :

En complément :

Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez
Regardez des informations visuelles plutôt que tu texte
Entretien d’embauche : L’écoute pour se mettre au diapason

Résolvez vos problèmes durant votre sommeil
Une information précise est proche de l’expérience sensorielle
Maigrir Lueur d’espoir

Autres bien-être et Organisation :

Récapitulatif 19 Bien-être
Récapitulatif 19 Organisation

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6 Facteurs de diminution de la déperdition d’un message


Plusieurs facteurs minimisent la déperdition d’un message

Imaginez deux personnes qui discutent. L’une raconte une histoire personnelle à l’autre, avec beaucoup de détails et de précision, durant une heure, sans prise de notes.

Comment la seconde personne va-t-elle rapporter ce qu’elle a entendu par écrit avec suffisamment de fidélité au récit initial ?

discussion à deuxLà, commence la mémoire à fonctionner d’une manière sélective.
Certains facteurs entrent alors en jeu pour permettre un rapport plus précis en diminuant la déperdition de l’information ordinaire.

1. L’attention

Il parait évident que plus la seconde personne va prêter attention à ce que dit la première, plus elle retiendra d’informations dans sa mémoire.

La concentration sur les paroles attendues augmentera la mémoire.

2. Le savoir

Le savoir du passé, que l’on appelle aussi connaissance, est un facteur qui favorise la mémoire.

Si les deux personnes se connaissent bien, la seconde a, peut-être, des connaissances sur le passé de la première, ce qui lui permettre de rapporter plus tard des circonstances ou des éléments qui ont été répétés durant cette conversation.

De plus, si la seconde personne a elle=même, des connaissances sur le sujet raconter, elle sera susceptible de retenir plus d’informations que si elle découvrait le sujet pour la première fois.

3. L’objectif ou intérêt

Savoir que l’on va avoir un résumé à rédiger, ou, plus généralement, que l’on va avoir à rapporter des paroles que l’on a attendu, favorise la mémoire.

Si l’enjeu du rapport est en lien direct avec un objectif important pour la deuxième personne, elle retiendra plus d’informations.

4. Le réflexe professionnel

Il y a le facteur appelé un mécanisme professionnel.

En effet, certaines professions sollicitent la mémoire, à titre professionnel, ce qui l’active plus que pour d’autres professions. Exemples : forces de l’ordre, journalistes, comédiens, ou … élève, etc.

5. Le talent oratoire

La première personne a un talent oratoire plus ou moins développé qui va retenir, plus ou moins, l »intérêt de son auditoire.

Par exemple, une histoire dramatique, effrayante ou cocasse sera plus facilement retenue qu’une histoire banale du quotidien.

6. Le non-verbal et l’ancrage

Encore un autre facteur, les autres sens que l’ouïe. Une association peut se faire entre un son ou une odeur et l’histoire entendue.

Par exemple, si l’histoire racontée l’a été autour d’une tasse de thé avec un gâteau forêt-noire dans le salon à la décoration à grosses fleurs sur la tapisserie, au milieu de meubles de style normand avec une pendule qui a marqué seize heures par 4 coups de gong et son tic-tac, il se passe alors un phénomène d’ancrage.

Se retrouver dans des conditions similaires et la mémoire revient d’un seul coup grâce à ces stimuli avec plus de détails que sans ancrage.

La combinaison de plusieurs facteurs

La combinaison de deux facteurs ou plus parmi ceux cités augmente le pourcentage d’informations retenues dans la mémoire ou, plus précisément, va les faire revenir plus facilement dans la mémoire consciente au moment de rédiger un rapport du récit entendu.

La déperdition de l’information sera fortement diminuée.

Merci à ma lectrice, qui a inspiré cet article.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Déperdition de l’information : Pourquoi
La communication non verbale : Le message total
Convention et référentiel commun indispensables

Congruent Définition Communication verbale et non verbale
Compréhension dans la communication
La quantité d’informations transmises par un message

Autres Communication :

Récapitulatif 17 Communication

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4 autres raisons pour quitter prématurément l’entretien d’embauche


Vous avez envie d’écourter l’entretien d’embauche

désintérêt du recruteur

désintérêt du recruteur

Un premier article vous donne 4 premières raisons pour quitter prématurément l’entrevue d’embauche.

Écourter un entretien d’embauche est une décision importante, parfois indispensable.

Voici 4 autres motifs qui vous donnent envie d’interrompre le recrutement.

Sommaire :

Interrompre l’entretien d’embauche : Oui, mais quand ?
4 premières raisons pour quitter prématurément l’entretien d’embauche
4 autres raisons pour quitter prématurément l’entretien d’embauche

Comment interrompre poliment un entretien d’embauche ?

Indice 5 : Le recruteur semble désintéressé

Essayez de faire la part des choses et de comprendre pourquoi le recruteur vous donne l’impression d’être démotivé durant votre entretien d’embauche.

Il est possible qu’il en soit à son 10ème entretien de la journée et qu’il manque de concentration.

Sinon, il manque peut-être de préparation, vous confond avec quelqu’un d’autre ou se mélange avec un cv qu’il a juste parcouru.

Le manque d’intérêt du chargé de recrutement à votre égard est un manque de respect de sa part.

Vous méritez qu’il vous écoute, qu’il vous donne des informations fiables et qu’il note vos réponses.
Sinon, son appréciation sera faussée, à moins qu’il ait déjà choisi un autre candidat, du moins dans sa tête.

Si l’attitude du recruteur vous dérange, surtout s’il appartient à l’entreprise ou à l’organisation au sein de laquelle vous souhaitez travailler, dites « non » et montrez que vous, au moins, respectez votre interlocuteur.

Indice 6 : Les réponses à vos questions sont insatisfaisantes

Il est irritant de poser des questions précises et d’obtenir des réponses floues ou incomplètes.

Soit le recruteur ignore les réponses qu’il doit vous donner, ce qui arrive avec les recruteurs extérieurs à l’entreprise,
soit il cherche à vous cacher des informations qui iraient dans un sens négatif pour vous.

Dites « non » en cachant votre frustration tout en signalant que cette décision est prise sur la base des informations obtenues durant l’entretien.

Indice 7 : Votre interlocuteur vous semble antipathique

Avant de quitter prématurément l’entretien, posez-vous la question de savoir

  1. Pourquoi votre interlocuteur est aussi antipathique, et
  2. Si cela a un sens en cas d’autres éventuels entretiens futurs

Essayez de savoir ce qui dérange l’autre.
Est-ce un élément de votre CV, de votre personnalité ou de votre entourage ?
Ressemblez-vous à la personne qui partageait sa vie et qui vient de le quitter ?

Les raisons viennent peut-être de préjugés à votre encontre.
Il peut montrer de l’arrogance, un comportement déplacé, une attitude colérique ou narcissique.

S’il s’agit d’un futur collègue, d’un futur chef, la question se pose de savoir comment il gère le stress dans l’organisation ou bien s’il cherche à vous provoquer pour vous faire réagir émotionnellement.

En tout cas, voilà des raisons pour dire « non » et partir avant la fin de l’entrevue.

Indice 8 : Le recruteur vous pose des questions interdites

Certains entretiens semblent se dérouler dans une ambiance si sympathique que le recruteur se permet de poser des questions interdites.

D’autres, au contraire, mettent une pression telle, dès le départ, que vous en perdez vos moyens.
Votre stress monte et brusquement vous restez bloqué (e) sur une question interdite.

Vous avez le droit et même le devoir de rappeler à l’ordre votre interlocuteur en lui signalant que la réponse à sa question est sans rapport direct avec le poste à pourvoir et que sa question est hors la loi. Alors vous pouvez dire « non » et prendre congé.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Comment reconnaître mon propre comportement de fuite au travail
Les 4 facteurs influençant les comportements
Les rôles dans a communication ou sachez pourquoi vous communiquez mal

Entretien d’embauche : L’écoute pour se mettre au diapason
Préparation à l’entretien d’embauche
Chômage : Les idées reçues ont la vie dure – Sondage

Autres Emploi :

Récapitulatif 17 Emploi

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Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez


Travail vs Relaxation

chaise longue pour se détendreUn bon équilibre entre le travail et la détente ; voilà ce qui rend productif.

Relaxer le corps

Le temps du repos permet de reposer son corps.

Bien dormir, c’est dormir suffisamment longtemps pour respecter son propre rythme naturel.

C’est aussi, avoir un sommeil de bonne qualité, qui fait que l’on se réveille en forme.

Une petite sieste de 10 minutes permet de couper le rythme de la journée, juste avant de reprendre ses activités d’après-déjeuner.

Une chaise longue, un chapeau, le soleil qui caresse votre corps sans le brûler = un moment de détente au calme.

Une activité physique pour éliminer les toxines, sans se forcer outre-mesure.

Relaxer l’esprit

La relaxation de l’esprit est également importante.

Les mots-croisés, la lecture d’un roman, assembler un puzzle, faire la cuisine et même les émissions de jeux à la télévision, sont des dérivatifs pour dériver les pensées ailleurs que vers le travail.

Recevoir des amis ou leur rendre visite.
Écouter de la musique relaxante en faisant le vide en soi tout en prenant conscience de sa respiration.

Toutes ces activités sont relaxantes et permet de recharger ses batteries, de retrouver de l’énergie.

Il faut se fixer des limites

Point trop n’en faut non plus. À trop se détendre, on s’approche de la procrastination et du désir de repousser à plus tard les tâches associées au travail.

La modération évite de trop forcer sur les activités physiques.

Inutile de remplacer la concentration au travail par une concentration sur un problème intellectuel de loisir.

Finir une activité de détente avant de se mettre au travail, et terminer une tâche de travail avant de se délasser, permettent dans les deux cas, une meilleure productivité.

Cette règle permet de se concentrer sur ce que l’on fait, ou ne fait pas.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour une meilleure organisation dans votre travail, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Les bases de la productivité 3/4 : L’hygiène de vie

Friday Wear ou Le vendredi relax
Lâcher-prise vs relaxation
Burn out : Les symptômes pour le repérer

Journée de travail : 10 minutes avant de partir
10 conseils pour gérer les premiers jours de manager 1/2
Menu à préparer chaque matin pour un bon jour

Autres Organisation :

Récapitulatif 16 Organisation

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Entretien annuel d’évaluation du cadre en 6 points


6 points d’évaluation des cadres

Chaque année, en entretien individuel, le cadre va évaluer ses collaborateurs.
De multiples exemples existent. Celui-ci est destiné à l’évaluation des cadres et autres encadrants, ceux qui ont la responsabilité de collaborateurs.

Les cadres aussi ont droit à leur grille d’évaluation.

1. Connaissances

  1. Démontre des connaissances techniques et organisationnelles
  2. Comprend la nature des affaires de l’entreprise : Stratégie, procédés, marchés et environnement
  3. Analyse et résout les problèmes de manière logique et structurée
  4. Apporte un jugement à partir de ses connaissances : décisions claires et compréhensibles

Critères d'évaluation du cadre

2. Apprentissage

  1. A envie d’apprendre et de progresser
  2. Recherche, accepte de manière constructive et utilise les remarques négatives pour adapter ou modifier son comportement
  3. Encourage activement et soutient ses collègues en cas de difficulté et dans une optique de progression
  4. Encadre et fait progresser son équipe : feedback régulier relatif aux performances et aux comportements attendus
  5. Partage ses connaissances avec les autres
  6. En tant que responsable, veille au développements des compétences de son équipe

3. Changement

  1. S’adapte rapidement face à des changements d’objectifs ou de situation et les mène à bien
  2. Agit en tant qu’« entrepreneur » : Se concentre sur la création de valeur, prend volontairement des risques mesurés pour la réalisation des projets importants
  3. Traite la résistance et la peur du changement de manière à rendre le changement possible
  4. Soutient les idées novatrices et crée un environnement qui encourage l’innovation
  5. Sait garder confiance et maîtrise même dans des situations difficiles

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4. Leadership

  1. Mène les missions et les projets avec ténacité
  2. Mène son équipe en utilisant des objectifs et des plans d’amélioration prédéfinis
  3. Se bat pour la mise en oeuvre de ses idées
  4. Est acteur dans l’organisation, l’application et l’exécution
  5. Se fixe et/ou fixe les bonnes priorités et permet la bonne réalisation de toutes les missions
  6. Donne la priorité à ses clients internes ou externes en développant des relations durables dans un esprit gagnant – gagnant

5. Interaction

  1. Développe des relations de travail en sachant écouter et accepter les différences
  2. Travaille en équipe en faisant preuve de coopération avec tous les services
  3. Motive tous les membres de l’équipe pour atteindre des objectifs communs
  4. Traite les conflits de manière constructive et juste
  5. Fait preuve d’intégrité et est digne de confiance

6. Vision

  1. Décline et communique à son équipe les objectifs stratégiques, dans son domaine de responsabilité, en objectifs opérationnels
  2. Est capable de développer et de décrire les besoins à venir dans le cadre de son activité
  3. Influence, motive et obtient le support de son entourage
  4. Reste concentré et conserve le cap même dans les moments difficiles

Philippe Garin, plus de 20 de management en entreprise

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Pour en avoir plus :

En complément :

L’entretien d’intégration
10 critères d’évaluation d’un stagiaire ou d’un apprenti
L’entretien individuel : un exercice difficile pour le manager

Livret d’entretiens avec un nouveau collaborateur
La génération Y au travail
Management participatif : Comment ça marche, points forts, points faibles

Autres Management :

Récapitulatif 15 Management

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Stress : Utilisez votre intuition 1/2


Utilisez votre intuition pour gérer votre stress

Votre intuition est votre amie

suivez votre intuitionNotre esprit est sollicité de tous les bords. Au travail ou à la maison, durant ses loisirs et les transports, notre cerveau est actif en permanence.

L’afflux d’informations et le nombre de tâches à réaliser sont renforcés par une (télé)communication qui ne nous lâche pas. Nous sommes connectés jour et nuit, 365 jours par an.

Même la nuit, nous éprouvons du mal à récupérer, tant notre esprit est (pré-)occupé.

Alors, nous nous organisons. Nous mettons en place une liste de tâches, appelée aussi to-do-list depuis la dominance de l’anglais dans les entreprises, et nous modifions tout le temps notre agenda pour tenir compte de l’avancement de nos tâches et des interruptions.

La concentration devient difficile en raison des sollicitations des autres, ou des interruptions pendant son travail, sans oublier nos manies de se précipiter sur nos mails entrants ou notre téléphone.

Fiez-vous à votre intuition

Combien de stress accumulez-vous ? Combien de retard prenez-vous dans vos actions ? Êtes-vous suffisamment concentré (e) pour les terminer et ne plus y penser ?

Votre intuition ne vous dit-elle pas qu’en continuant ainsi, vous risquez de saturer plus ou moins rapidement et de craquer ?
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Du calme !

Voici les premières recommandations à ériger en règle au quotidien :

1.      Une seule action à la fois et jusqu’au bout

Quel que soit ce que vous commencez à faire, faites uniquement cela

Ne commencez aucune autre tâche avant d’en avoir terminé avec celle-là.

2.      Agissez en toute conscience

Quand vous commencez une tâche, donnez-lui un nom ou/et une description.

Prendre conscience que vous exécutez une tâche permet de se concentrer sur elle, que ce soit une tâche routinière ou une nouvelle.

3.      Soufflez entre deux tâches

Une brève pause est nécessaire entre deux actions.

Cette pause vous permet de sortir la précédente de votre esprit, de reprendre votre souffle physiquement ou/et intellectuellement, avant de passer à la suivante.

Fermez les yeux quelques secondes ou buvez une seule gorgée vous permet de choisir la prochaine action à mener.

4.      Écoutez les autres

Chefs, collaborateurs, collègues, clients, fournisseurs, partenaires, sont tous des briseurs de concentration. Comme il est impossible ou inconvenant de les éloigner sans les écoutez, écoutez-les avec attention.

Sans cette attention, votre esprit sera occupé à se demander ce que l’importun voulait alors que vous auriez pu vous en débarrasser immédiatement, en écoutant vraiment.

Si l’interruption nécessite une action de votre part alors laissez votre intuition décider de quand vous allez vous y consacrer : tout de suite car il y a urgence, quitte à devoir reprendre plus tard la tâche en cours au moment du dérangement, ou plus tard, parmi toutes les autres tâches qui vous attendent.

Les autres recommandations sont dans l’article : Stress : Utilisez votre intuition 2/2

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Open space : Des solutions humaines


Des solutions contre les nuisances dues aux personnes

open space : trop pleinPlus le nombre de personnes qui travaillent dans un open space est important, plus ils sont entassés sur quelques mètres carrés, et plus ils sont soumis au stress de la présence des autres.
L’activité de chacun a un impact sur son propre travail.

Sommaire :

Les bruits

Tout ce qui est générateur de bruit est facteur de perturbation.

Cela commence par les bruits parasites : le crayon qui sert de baguette de tambour, les ongles sur le clavier, les bijoux qui se cognent entre eux ou contre la table, le fredonnement de la dernière chanson à la mode, etc.
Autant de bruits que l’on peut facilement éliminer.

La voix

La voix est un instrument indispensable pour son travail, à condition qu’elle soit faible pour ne pas déranger les autres tout en restant audible lors des échanges de vive-voix ou au téléphone.
De même, les échanges doivent être professionnels, courts si possible. Les bavards se verront regardés d’un mauvais œil par les autres ou subiront les conséquences négatives dans leurs rapports aux autres.

Lors d’une conversation téléphonique, la voix monte avec l’énervement face à un interlocuteur qui ne comprend pas les explications qu’on lui donne, qui lui-même hausse le ton, qui est de mauvaise foi, etc. Cela se fait involontairement.

Dans de tels cas, mieux vaut basculer sur un téléphone portable, si ce n’est pas déjà fait, et s’éloigner de l’open-space pour se rendre, par exemple, dans un bureau ou une salle de réunion vide.

Pour se concentrer

Lorsque le travail nécessite une forte concentration, il est préférable de signifier aux autres ce besoin.
Un petit écriteau mentionnant ce besoin, sur le coin du bureau, un casque anti-bruit sur les oreilles permettent de prévenir les autres de ne pas vous déranger, à condition de ne pas en abuser au risque de laisser penser que vous souhaitez un isolement total et permanent.

L’utilisation des plages horaires où les autres sont absents, moments de pause ou de réunion, pour effectuer le travail demandant le plus de concentration est aussi un moyen d’améliorer son efficacité au travail.

Soi et les autres

Si l’aménagement de l’open space peut minimiser les bruits et la vue des autres, il est parfois indispensable de se créer sa propre espace personnel.
L’open space est partagé, son poste de travail est SON espace à soi.

La spontanéité et la présence des autres provoquent l’envie de partager des informations sans s’éloigner de son poste de travail.
Que ce soit des échanges de propos professionnels ou plus personnels, le mieux est de les éviter dans l’open space.

Partagez vos trucs et astuces pour vous sentir bien en open space et pour y travailler efficacement, contactez-moi.

Philippe Garin

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Productivité : Une question de temps ou d’énergie ?


Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie

énergie Dans son activité professionnelle, chacun a des tâches à effectuer. Selon le métier, ces tâches sont très diverses. Cependant, elles ont toutes un point commun, elles produisent un résultat.

Sommaire :

  1. Principe de Pareto ou principe des 80-20
  2. Si être productif signifie être égoïste, alors soyez égoïste
  3. Ce n’est pas une question de temps, c’est une question d’énergie
  4. Démarrez seulement lorsque vous êtes vraiment prêt
  5. Laissez-vous guider par sa paresse permet de trouver le chemin le plus facile
  6. Faites ce qui permet d’avoir un résultat le plus rapidement
  7. Ralentissez quand vous pensez qu’il faut le faire
  8. Finissez rapidement, souvent, sans rechercher la perfection

Le temps passé à exécuter sa tâche est la mesure commune de nos sociétés pour la rémunération des salariés. Nos contrats de travail contiennent une durée légale et un montant fixe de salaire.

Certains ont des primes ou une partie variable de la rémunération basée sur les résultats obtenus.

Par contre, si les cadres ont aussi un contrat de travail avec des conditions de durée de travail et de rémunération, ils sont jugés en fonction de leur mission, peu importe le temps qu’il y passe, alors que les non-cadres sont payés en « heures supplémentaires » lorsqu’ils dépassent la durée prévue.

Les pauses

La question des pauses durant la journée de travail ou la semaine, pause-café, pause-pipi, pause repas, etc. est source de conflits sociaux ou de simples grognements lorsque le règlement intérieur de l’entreprise ou le chef est trop souple ou trop ferme.

Le point de vue de chaque salarié sur la pause des autres est toujours plus sévère que sur ses propres pauses. Celles des autres sont toujours trop longues ou trop fréquentes, à moins que l’on juge mal ceux qui n’en prennent presque jamais.

La productivité en est affectée

Pour un travail intellectuel comme pour un travail manuel, l’énergie dégagée pour produire le résultat de ses actions dépend de la concentration à son travail plus que du temps que l’on y passe.

Bien souvent, la fin de la journée arrive sans que l’on soit parvenue à faire tout ce qui était prévu : la liste des tâches effectuées, dans la qualité ou la quantité attendue, s’est moins réduite qu’envisagée. Le temps a été mal estimé ou des interruptions ont généré un décalage dans le temps.

Avec une concentration d’énergie sur son travail, sans distraction par les autres ou par des évènements extérieurs à la tâche, permet une meilleure productivité. Sa tâche sera exécutée, peut-être dans la durée prévue, sans dépassement de temps, et le résultat produit sera plus élevé que si la concentration avait manquée. Le nombre d’anomalies, d’erreurs ou d’idées, sera plus important.

Rechargez vos batteries

Faire des pauses, boire et s’alimenter légèrement, permet d’éliminer les facteurs de distraction en les concentrant sur certains moments de la journée. Une bonne gestion du temps permettra de séparer le temps réservé à des tâches qui demandent une forte concentration et du temps pour les autres tâches et les pauses.

Cela commence avant de se mettre au travail et même avant d’être sur le marché du travail. L’énergie et la concentration sont des valeurs indispensables dans l’apprentissage et la formation dès la maternelle, pour tous les enfants scolarisés.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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La mémoire pour une meilleure efficacité personnelle


Efficacité personnelle : La mémoire est indispensable

noeud à son mouchoirLa mémoire est un mécanisme du cerveau humain. Comme tout muscle, le cerveau doit s’entraîner pour être efficace.

Dans le domaine de la mémoire, le mécanisme est toujours le même :

1ère étape : L’apprentissage

Quel que soit le sens utilisé, l’odorat, la vue, l’ouïe, le goût, la peau, l’information sera reconnue d’une manière consciente ou inconsciente. C’est l’encodage de l’information.

2ème étape : Le stockage

Pour parler de mémoire, après avoir décodé l’information, il faut que le cerveau la stocke, c’est-à-dire l’enregistre, la trie, la classifie selon un système propre à chacun. Le stockage est plus ou moins profond et durable. On parle de mémoire à court terme et de mémoire à long terme.

Si l’information transmis par un des sens n’est pas stockée, alors elle est perdue.

3ème étape : La restitution

Le seul intérêt de stocker des informations en mémoire est de les rechercher, de les trouver et de les restituer.

Solliciter sa mémoire permet de rapprocher plusieurs informations entre elles, d’acquérir et de stocker d’autres informations dans les mêmes classifications ou, grâce à l’imagination, de créer de nouvelles classifications d’informations.

La restitution d’information se fait aussi bien consciemment qu’inconsciemment, par une sollicitation extérieur, un stimulus ou par une réflexion interne volontaire.

L’analyse et la créativité sont d’autant plus grandes que le nombre d’informations à disposition du cerveau sera plus grand et que le cerveau va les retrouver dans un délai le plus court possible.

Expertise

Des adultes

Plus la mémoire s’exerce, plus il y aura d’informations stockées dans la mémoire. C’est ainsi que l’on peut parler d’expert en mémorisation. Les acteurs de théâtre et les chercheurs en sont deux exemples typiques.

Les premiers sont capables d’enregistrer, très rapidement et de restituer des textes d’une complexité et d’une grande longueur, au cours de leurs prestations sur les planches.

Les seconds possèdent en mémoire des informations nombreuses et détaillées sur leurs domaines d’expertise et s’en servent pour leurs travaux de recherche, afin d’augmenter encore plus leurs savoirs.

Les enfants

Un autre exemple typique de l’exercice de la mémoire vient des enfants.

De la naissance à l’âge de deux ans, l’enfant va apprendre à reconnaître le son de la voix de ses parents et des autres membres de la famille, à se tenir assis, plus debout et enfin à marcher.
Il apprendra une ou deux langues, celles de ses parents, avec les accents.
Il prendra des habitudes de comportement, reconnaitra les goûts des aliments et de tout ce qu’il portera à sa bouche. Le jeu lui sera très utile pour ces apprentissages.

Plus tard, à l’école, les enfants apprennent ce qui leur est enseigné.

Mémoire sélective

Plus l’attention est concentrée sur l’apprentissage, plus la mémoire fonctionne.

Tant que le cerveau fonctionne correctement, la mémoire sera à même de restituer des informations très anciennes. Mais la mémoire est sélective. Si une information n’est pas bien encodée, pas bien enregistrée et surtout pas bien restituée, elle perd de sa vigueur, de netteté. On passe alors de la connaissance, « je sais », à la croyance, « je crois ».

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Déperdition de l’information : Pourquoi
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Confiance en soi : Un indicateur pour la mesurer


Définition de la confiance en soi

Le Petit Larousse nous donne la définition suivante :

Sentiment, conscience que l’on a de sa propre valeur et dans lesquels on puise une certaine assurance.

Ah! L’assurance !

C’est une affirmation, une promesse formelle que quelque chose est vrai, certain, sûr

Oui, mais que ce passe-t-il quand un évènement déclenche un doute, contredit ses certitudes, met en cause sa situation, son avenir, son assurance ?

Par exemple : la perte de son emploi, une séparation amoureuse, un décès

Les symptômes

Des signes existent et nous alertent :

  • Vous vous rongez les ongles
  • Vous dormez mal
  • Vous manquez de concentration dans ce que vous faites
  • Vous perdez l’appétit
  • Vous perdez du poids ou vous prenez du poids, rapidement
  • etc.

Tous ces symptômes ne sont pas toujours simultanés. Les causes de l’apparition de ces signes sont diverses. Il est difficile de les imputer uniquement à la perte de confiance en soi.

Proposition d’un indicateur pour mesurer la confiance en soi

Laissons aux spécialistes, psy et autres, décortiquer et expliquer la confiance en soi.

Voici une proposition pour mesurer la confiance en soi : le papier toilette

Plus vous avez confiance en vous et
moins vous utilisez de feuilles de papier toilette.

unité de mesure de confiance en soi

Allez, avouez, à chaque prise de papier toilette, vous prenez combien de feuilles ?

  • Une, deux : Quelle confiance ?
  • Trois, quatre : Déjà moins sûr de vous ?
  • Cinq, six, sept, plus : Oh la la !

Chéri (e), il nous reste combien de « confiance en soi » en stock ?

Besoin de regagner confiance en vous ?

Que vous craigniez de perdre votre emploi, que vous venez de le perdre, ou que vous êtes au chômage depuis longtemps, si vous avez besoin de reprendre confiance en vos capacités, si vous voulez avancer et garder espoir, ou… si vous voulez prolonger la vie de votre rouleau de papier toilette,

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Visitez notre site : www.boosteremploi.com

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Lâcher-prise vs relaxation


Se relaxer ou lâcher-prise

lâcher prise

Faut-il lâcher prise pour se relaxer ?
Et puis, qu’est-ce que cela veut dire ?

Se relaxer

Se relaxer est un mécanisme physique dont l’impulsion de départ est donnée par sa propre volonté.
La relaxation consiste à une déconcentration mentale et musculaire.

Les meilleurs résultats sont obtenus le matin ou le soir, ou encore avant une épreuve sportive.

Une mise en condition est nécessaire à la relaxation :

  • Choisir, de préférence, une pièce calme et une température neutre, ni trop froid, ni trop chaud
  • Être allongé ou assis confortablement avec la nuque calée et les bras posés sur des accoudoirs ou sur un support comme le soir
  • Fermer les paupières, être immobile, diminuer son niveau d’alerte

Les conséquences de la relaxation

La relaxation permet une diminution de la tension artérielle, du pouls et de la respiration.
Elle passe aussi par une prise de conscience de son corps, en particulier de sa respiration.
Et aussi :

  • D’avoir une sensation de bien-être
  • Une diminution de la fatigue, de la douleur, des insomnies
  • Une diminution d’émotions fortes, comme la colère et l’anxiété

Lâcher prise

Le Lâcher prise démarre aussi par une décision de sa propre volonté et a des implications sur le physique.
Seulement le lâcher prise est avant tout un mécanisme psychique qui permet de faire le vide dans ses pensées.

Il est possible de lâcher prise sans passer par la relaxation

Un moyen efficace est celui du rideau de fumée : avoir une activité qui nécessité de la concentration mentale au point d’arriver à ne plus penser aux préoccupations qui occupe l’esprit et empêchent le lâcher prise.
Par exemple, le sudoku ou les mots-croisés.

Ces exercices mentaux sont effectués en pleine conscience.
Elle ne relaxe le corps que parce qu’il faut rester dans une position physique telle que les mouvements sont réduits au minimum.

Le lâcher prise n’est pas le renoncement, l’abandon de la réflexion individuelle et personnelle ou du contrôle de ses émotions ou de ses pensées.

C’est aussi un moyen de décontraction qui permet, ensuite, de mieux réfléchir aux sujets qui nous préoccupent.
C’est une mise entre parenthèse et pour un temps relativement court des pensées qui nous parasitent.

Se relaxer pour lâcher prise ou lâcher prise pour se relaxer ?

Dans les 2 cas, c’est une question de volonté.

L’environnement joue aussi son rôle et toute perturbation extérieure interrompt l’un et l’autre des deux mécanismes de la volonté.

Les objectifs sont quasi-identiques. C’est l’ordre de priorité et les moyens de parvenir au but qui les différencient.

En gros, pour se sentir physiquement mieux, alors les techniques de relaxation peuvent parvenir au résultat attendu, et pour penser plus efficacement, alors le lâcher prise permet de faire une pause mentale et d’épurer ses pensées parasites.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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