Les clés de la réussite selon Steve Jobs


Les facteurs qui mènent au succès

Il est toujours bon de comprendre comment un homme, talentueux, est parvenu à devenir l’un des entrepreneurs ayant un succès aussi grand que celui de Steve Jobs.

Steve Jobs - 2007

Steve Jobs – 2007

Il nous a laissé des conseils pour parvenir à réussir dans ce que nous entreprenons.

1 Suivez votre passion

Choisir un métier qui vous plait est un facteur de succès car vous l’exercerez avec passion.

2 Changez le monde

Quand vous avez une vision claire de votre projet, vous pouvez changer le monde. Voir grand, voir loin, avoir de l’ambition et transmettre sa vision ouvrent les voies du succès.

Confucius

Confucius

3 Soyez curieux de tout

Plus vous apprenez dans de multiples domaines, et plus vous aurez des connaissances qui vous permettons d’aborder n’importe quel sujet. Vous aurez une meilleure compréhension du monde qui nous entoure.

4 Savoir dire non

Réussir passe aussi par savoir se concentrer sur l’action en cours. Évitez de vous disperser quand vous avez fait un choix. Concentrez vos efforts sur des objectifs ciblés et donc plus faciles à atteindre.

savoir dire non5 Créez un lien

Avec vos collaborateurs, avec vos clients, avec vos divers contacts dans la vie, l’interaction avec les autres à titre personnel créer un lien direct qui mène à la prospérité.

6 Sachez communiquer

Les présentations de Steve Jobs étaient des shows à succès. La scénarisation, l’histoire racontée, le divertissement et la mise en lumière de l’objet de votre communication sont des facteurs de réussite.

rêver de réussir7 Faites rêver

Quand ce que vous proposez est simple à comprendre, vous montrez aux autres qu’ils sont doués pour vous comprendre. Cela valorise l’autre. Vous excitez son imagination pour le faire rêver, le rendre plus grand et plus satisfait.

Conclusion

Steve Jobs a personnifié le succès. Il a su partager sa vision et faire de son entreprise l’un des fleurons de l’économie mondiale.

Chacun peut s’inspirer de ces conseils pour avancer dans la vie vers la réussite.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Jack Welch : « Mes conseils pour réussir »
Les 14 règles de Jeff Bezos pour devenir un bon manager
7 conditions de réussite pour la résolution de problème

Start-up : 10 clés du succès
Les 5 plus puissantes motivations au Monde
Les cinq clés de la Communication pour un manager

LES ANNUAIRES DE L’EMPLOI

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Alerte au piratage 1/2


Se protéger des pirates

protection informatiqueDans tout système de protection des données informatiques, il y a un facteur à prendre en compte, car c’est celui qui offre la plus grande faille de sécurité :

L’être humain.

L’accès illégal à l’information se fait par l’une ou l’autre des deux grandes catégories de piratage :

  1. Par des moyens techniques
  2. Par des moyens humains

Les plus efficaces sont la ruse et la tromperie.

C’est pourquoi, la protection des systèmes d’informations en mettant en place toute une batterie de logiciels est coûteuse, fastidieuse à mettre en place, et souvent inutile devant les erreurs humaines que commet l’utilisateur.

1 Le virus

Un virus informatique est un code qui se cache à l’intérieur d’un autre code informatique, d’un programme ou d’une photo.

Pourtant, le plus souvent, il est facile d’introduire un virus à l’intérieur d’un lien.
Le pirate envoie un message dans la boite-aux-lettres d’un utilisateur.

Celui-ci clique dessus, souvent en pensant ouvrir un fichier ou accéder à un site.
Sauf qu’il déclenche ainsi le code qui va transférer ses codes d’accès à son ordinateur.

Ainsi, les meilleurs pare-feu vont laisser passer le faux utilisateur qui aura laissé le pirate usurper son identité.

2 Le phishing ou le jeu

Le pire est quand, abusé, l’utilisateur va donner, de lui-même, ses codes et ses informations confidentielles au pirate. C’est le phishing ou hameçonnage.

Le faux site va collecter les informations. Il ressemble au vrai site, avec une URL proche.
Le vice va même jusqu’à envoyer le malheureux utilisateur vers le vrai site, juste après avoir recueilli ses informations.
Ni vu, ni connu.

Plus encore sur les smartphones que sur les ordinateurs, l’attrait du jeu est piégeant.

Un clic pour lancer un jeu, un quiz, un diaporama, etc. et voilà le piège se refermer et le pirate satisfait.

3 La clé USB ou Le câble

C’est devenu un classique de l’erreur humaine.

Un pirate met un logiciel espion ou un virus sur une clé USB.
Puis, il la dépose dans la rue ou sur un parking, de préférence là où il sait qu’il va pouvoir disposer d’informations souvent confidentielles.

L’utilisateur ainsi visé, trouve la clé, et, par curiosité, va l’introduire dans son ordinateur.
Ni une, ni deux, le programme pirate se déclenche dès cette introduction, sans aucune autre intervention manuelle de l’utilisateur.
Adieu les données confidentielles.

Moins commun, et tout aussi efficace est le câble de connexion piégé.

On se fait prêter un câble pour se connecter au réseau, souvent à l’extérieur de son organisation ou de chez soi, et voilà le travail : Le câble contient un dispositif ou un logiciel, qui va enregistrer et transmettre au pirate les touches sur lesquels vous appuyer.

Le plus solide mot de passe est fourni en clair.

4 Le piratage par Wifi

La borne Wifi est facteur de piratage.

Contrairement aux indications du mode d’emploi, les ondes diffusées par la borne sont captées à plusieurs centaines de mètres de distance.

Un pirate avec le matériel adéquat voit, en temps réel, tout ce que l’utilisateur voit sur son écran.
Un classique de l’espionnage.

La suite dans ce second article.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Mot de passe : En changer tous les combien ?
Sécurité informatique : Supprimer les  » faux positifs « 
Investigations ou la preuve électronique

Compétences numériques : Sécurité informatique
Sécurité informatique : Les scénarii de risques
Sécurité des données : Les 7 points capitaux du comportement responsable

Autres Informatique et Sécurité  :

Récapitulatif 19 Informatique
Récapitulatif 19 Sécurité

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Candidature : Gare aux détails qui font mal


Réussir ou échouer : une question de détails

le détail qui tue

Aïe Une tache juste avant l’entretien

Réussir son CV, sa lettre de candidature, son entretien d’embauche, son intégration dans le nouveau poste, dépend souvent d’un rien. Des détails peuvent vous apportez du succès et aussi des échecs.

Quand plusieurs candidats ont un profil équivalent, les détails deviennent les clés de votre différence par rapport aux autres candidats.

Éléments discriminatoires visibles

La dernière tendance est le CV anonyme. Soi-disant anonyme pour donner plus de chances aux minorités visibles.

Mais alors il faut aussi interdire de mettre une photo, de mettre son nom, de signaler un handicap ou son adresse, si vous habitez dans un quartier qui vous désavantage, ou encore votre âge, pour les juniors ou les seniors.

Éliminez autant que possible, tous les éléments discriminatoires ou pénalisants dans votre CV, lettre ou entretien.

Points faibles

Jusqu’à ce que le recruteur vous pose la fameuse question des points faibles, inutile de se dévaloriser.

Laissez donc l’autre évoquer la question en premier.

Les fautes de français

Les recruteurs sont très sensibles à toutes les fautes de français. Déjà, trois fautes dans les écrits, CV, lettre ou mail de candidature, risquent de provoquer un rejet de votre candidature.

En entretien d’embauche, si vous êtes incapable de vous exprimer correctement, avec une syntaxe correcte, à défaut de connaître suffisamment de vocabulaire, alors vos chances se réduisent beaucoup.

Être joignable

À l’heure de la communication immédiate, la présence d’un téléphone mobile est devenue indispensable.

Le recruteur doit être à même de vous joindre immédiatement ou très rapidement. Faute de pouvoir vous joindre, il passera au prochain candidat.

L’adresse mail est tout aussi indispensable. Vous devez pouvoir envoyer et recevoir des messages écrits et des pièces jointes.

Regardez votre messagerie électronique, écoutez votre répondeur, au moins trois fois par jour, pour vous assurer de pouvoir rappeler le recruteur dans la journée, de préférence au lendemain.

Numéro de téléphone et adresse mail doivent être exacts.

Rien de pire qu’une faute de frappe pour que le recruteur ne puisse vous joindre, et alors… adieu le poste.

La ponctualité

Même s’il est toujours possible d’appeler au dernier moment pour prévenir du retard à votre entretien d’embauche, mieux vaut l’éviter. Préparez donc bien la durée de votre trajet, en prévoyant des incidents possibles.

Par contre, si vous arrivez en avance, attendez l’heure avant de vous montrer sur le lieu de votre rendez-vous.

Les gens en avance irritent tout autant que ceux qui sont en retard.

Refuser de répondre

En dehors des questions interdites en entretien d’embauche et que certains recruteurs se permettent quand même de poser, répondez à toutes les questions de votre interlocuteur.

Prenez le temps de réfléchir sans hésiter trop souvent. Votre agilité mentale, votre sens de la répartie, votre humour seront mieux appréciés si le contenu de votre réponse est en rapport direct avec la question posée.

Soyez honnête, tournez vos phrases dans un sens toujours positif et minimisez tous propos qui pourraient être mal interprétés.

Une bonne impression

Quelle que soit l’ampleur de vos compétences professionnelles, l’immensité de votre savoir ou de votre savoir-faire, si vous laissez une mauvaise impression au recruteur, vous risquez de vous faire éliminer.

A priori, les candidats qui parviennent à décrocher un rendez-vous ont les compétences nécessaires pour assumer le poste.

C’est donc l’attitude, la volonté, la force de conviction, et d’autres traits de caractère qui feront que vous obtiendrez le poste.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Liste d’exemples de points forts et de points faibles
Entretien téléphonique non planifié
Ayez l’air d’être la personne indispensable en entretien d’embauche

Comment rater son entretien d’embauche
Entretien d’embauche : 4 conseils pour inspirer confiance aux recruteurs
Échanger durant l’entretien d’embauche

Autres Emploi :

Récapitulatif 12 Emploi

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Management : 8 différences entre la France et l’Allemagne


8 clés pour comprendre le management en France et en Allemagne

Lorsqu’un Allemand vient travailler en France ou lorsqu’un Français va travailler en Allemagne, il se trouve confronter à une culture différente, à des modes de fonctionnement différents, qui dépassent le cadre de l’entreprise.

50 ans du traité de l'Elysée

Les managers de chaque pays agissent différemment

Des réflexes de base sont mis en question. Une adaptation est indispensable pour bien comprendre et être compris.
Sinon, c’est le retour au pays avec de la rancœur et une interrogation : « mais qu’ai-je fait de mal ? », ou un jugement hâtif : « Ils sont fous ces… ».

Voici 8 clés pour vous aider à comprendre les différences fondamentales de management entre la France et l’Allemagne. Certaines idées toutes faites vont tomber.

FranceFrance

AllemagneAllemagne

1)  Autorité, ou management directif  Consultation ou management participatif
2)  JE décide, je me réserve les décisions pour Me faire valoir  JE délègue, les subalternes prennent des décisions et en assument les responsabilités
3)  Les subalternes exécutent sans discussion  Les subalternes exécutent après discussion
4)  Le « bac + N » détermine toute votre carrière  L’expérience et les compétences priment sur le diplôme
5)  Improvisation, pour plus de réactivité  Planification, pour plus d’efficacité
6)  Le stress est générateur d’activité et accélère les actions  Le stress est perturbateur et freine les actions
7)  Le cadre reste le soir jusqu’à ce que sa tâche soit terminée pour montrer que l’on a le souci du travail  Le cadre part à la même heure que les autres pour montrer que l’on est suffisamment efficace pour avoir terminé à l’heure
8)  On parle de sa vie privée, on se lie d’amitié avec des collègues sur le lieu de travail  On est là uniquement pour travailler, on laisse sa vie privée à la maison

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Les salaires en Allemagne 1/4 : Comparez, c’est possible
5 différences entre l’Arbeitsamt en Allemagne et le Pôle emploi français
Autoroute en Allemagne : Attention particulière

Kompetenz : la compétence allemande
Emploi : apprenez l’allemand ou le néerlandais plutôt que l’espagnol
La gestion stratégique du management

Autres Management et Emploi:

Récapitulatif 11 Management
Récapitulatif 11 Emploi

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Les 3 formes normales dans une base de données


Les 3 formes normales dans une base de données

Forme normalePour la conception d’une base donnée, il existe une normalisation qui permet de connaître les dépendances d’un élément vis-à-vis des autres. Chaque élément est indépendant des autres, ou il est dépendant d’un ou de plusieurs autres. Dans ces derniers cas, les éléments de qui dépend d’autres éléments qui sont les éléments d’une clé. Une clé composée d’un seul élément est une clé primaire.

Par exemple : le numéro de matricule est la clé primaire, à partir de la clé, le nom et le prénom du salarié sont uniques. Ils dépendent du numéro de matricule.

Les règles des trois formes normales permettent de faire en sorte qu’un élément dans une base de données ne soit présent qu’une seule fois. Les structures sont les regroupements des éléments qui dépendent d’une clé, clé incluse.

Exemple d’une structure : le fichier du personnel.

Première forme normale

Chaque élément d’une base de données a un nom unique, c’est-à-dire à l’intérieur de la base de données, aucun élément ne porte le même nom

La structure des données a une clé primaire.

Deuxième forme normale

A partir de la structure de la base de données dans la première forme normale, chaque élément, qui n’appartient pas à la clé primaire, dépend fonctionnellement de tous les éléments de la clé.

Ceci permet de définir des clés avec plusieurs éléments.

Troisième forme normale

A partir de la structure de la base de données dans la deuxième forme normale, chaque élément qui n’appartient pas à l’ensemble des éléments de la clé, ne dépend d’aucun des autres éléments qui n’appartiennent pas à la clé.

Là, c’est plus compliqué à comprendre, je vous laisse chercher 🙂

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Pour en avoir plus :


En complément :

Les paramètres de la maturité des systèmes d’information
Les étapes du développement d’application
Normes sur http://www.sites.google.com/site/phgarinlexiqueinformatique/

Base de données dans http://sites.google.site/phgarinlexiqueinformatique/
Normes informatiques sur http://sites.google.com/site/phgarinlexiqueinformatique/
Limites et réalités du partenariat pour un développement informatique spécifique

Autres Informatique :

Récapitulatif 3 Informatique

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Les cinq clés de la Communication pour un manager


Les cinq clés de la Communication pour un manager

5 clésPour un manager, un des rôles consiste à « motiver » ses collaborateurs.

Comment faire sans se positionner ni comme un juge ni comme un égal ?

Vos collaborateurs savent bien que c’est vous le chef et donc qu’il est normal que vous ayez à les encourager ou à leur faire des remontrances justifiées.

Voici les cinq clés de la Communication qui permet de dire ce que vous avez à dire.

1) VALORISER

2) DROIT AU BUT

3) OUI AU BUT

4) INCITATION A L’ACTION CONCRÈTE

5) CONTRÔLE POSITIF

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Bien démarrer l’entretien individuel annuel avec un collaborateur
Axe de qualification des collaborateurs
Livret d’entretiens avec un nouveau collaborateur

Mener un entretien d’évaluation d’un collaborateur
Management participatif : Le chef décide après
Influence et charisme personnel vs autorité liée au poste

Autres Communication et Management :

Récapitulatif 5 Communication
Récapitulatif 5 Management

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Les cinq clés de la communication


Les cinq clés de la communication 5 arts pour communiquer

Pour bien communiquer, avec le plus d’efficacité, il convient d’appliquer les cinq clés de la communication suivantes :

1) VALORISER

Valoriser son interlocuteur, surtout s’il s’agit d’un collaborateur de son équipe, ou d’un enfant face à un adulte

2) DROIT AU BUT

Dire rapidement ce que l’on a à dire

3) OUI AU BUT

Attendre l’acquiescement de son interlocuteur et reprendre le point précédent jusqu’à ce qu’un signe positif soit donné par l’autre

4) INCITATION A L’ACTION CONCRETE

Demander à son interlocuteur d’agir pour atteindre le but qui vient de lui être donné

5) CONTROLE POSITIF

Vérifier que l’action demandée va démarrer entre immédiatement et dans très peu de temps

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En complément :

Congruent Définition Communication verbale et non verbale
Comment donner confiance à son interlocuteur
Comment présenter un avantage ou un inconvénient

Approche pour la construction d’une atmosphère de sympathie dans le cadre d’un entretien
Comment bien mener un entretien efficace
Pourquoi les propositions, recommandations, nouvelles idées sont-elles souvent refusées ?

Autres Communication :

Récapitulatif 1 Communication

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