Une baie de serveurs dans l’Open space : Cohabitation difficile


Comment avoir un Open space avec une baie informatique ?

Pour des questions de sécurité ou/et de confidentialité, mieux vaut avoir une installation informatique interne.

Bien sûr, il existe de plus en plus de solutions, à commencer par l’usage de l’Internet pour accéder à ses données et ses programmes à distance.
Cela suppose de laisser ses données sous la supervision d’un tiers : l’hébergeur.

baie de brassage hors d'une salle serveur

Son rôle est de mettre des serveurs à disposition, dans lesquels l’entreprise va placer ses données et des programmes. C’est le Cloud.

Tout externaliser suppose d’avoir une activité non stratégique pour l’organisation, et des données non confidentielles. C’est pourquoi l’installation de serveurs au sein de l’entreprise-même permet de conserver ses données sans les diffuser à l’extérieur.

Manque de place

Encore faut-il trouver de la place pour l’installation d’une baie, au minimum, de câblages et autres matériels pour le fonctionnement de l’ensemble, électricité inclue.

Dans des anciens bâtiments, notamment, l’informatisation du travail passe par l’installation d’une baie de serveurs, parfois en l’absence d’une salle serveurs.

C’est déjà compliqué dans un bureau, alors que dire d’un open space ou d’un grand bureau avec plusieurs collaborateurs.

Par exemple, 6 personnes dans 35 m2 ! ça laisse peu de place par personne, 5 m2 en moyenne. Moins puisqu’il faut enlever la place nécessaire aux meubles.

Une baie au sol

Le fait que la baie de brassage soit à même le sol est assez courant.
De nombreuses baies sont plus grandes qu’un homme et fonctionnent bien sans faux-plancher.
Donc, même si la baie est un modèle plus petit, ça passe par rapport à son fonctionnement.

Pour le bon fonctionnement des équipements contenus dans la baie, il y a quelques éléments à vérifier.
D’abord, il faut que le sol soit propre et sec, mais la pièce doit être ventilée, tant pour refroidir les matériels dans la baie que pour les occupants de la salle.

Coexistence baie vs humains

Le côtoiement entre un matériel qui demande un degré d’hygrométrie et de température les plus constants, et des humains qui ont trop chaud ou trop froid selon la saison est assez compliqué.

C’est pourquoi, il faut mesurer ces deux éléments en permanence.

La température à l’arrière d’un serveur et donc d’une baie doit rester entre 20 et 50°C.
Au-dessus, le matériel chauffe trop et s’arrête, en dessous, il fonctionne mal.
Il s’agit là de la température mesurée contre le matériel.

Les humains, eux, ont besoin d’une température autour de 20°C pour travailler.

Avec si peu de place, la baie se trouve, le plus souvent, placée contre un mur. Cette histoire de température est un facteur important.

C’est pourquoi, il faut laisser de la place tout autour de la baie, sauf le mur puisque ce n’est pas possible de le pousser.

S’éloigner du son, de l’électricité, de la poussière

Mieux vaut aussi que la personne la plus proche soit assez éloignée de la baie pour travailler dans un relatif confort.
Donc pas de bureau accolé à la baie, ni d’autres meubles.

En cas de panne, le technicien doit pouvoir intervenir sans interrompre le travail des occupants.

De plus, être à proximité d’une baie, c’est s’exposer au son produit par le matériel.
Le son est celui généré par les ventilateurs des serveurs eux-mêmes, à défaut d’avoir un appareil de climatisation.

Le risque électrique est faible, du même niveau que la présence d’une prise électrique dans le mur.

Néanmoins, un tableau électrique pour couper éventuellement l’arrivée du courant me semble indispensable, et accessible à tous, comme un interrupteur pour la lumière, mais placé de telle façon qu’une manipulation par erreur soit peu probable.

L’air doit circuler vers et en provenance de la baie. Le matériel informatique a tendance a attiré la poussière.
Un nettoyage des locaux doit donc être suffisamment fréquent pour enlever la poussière.
Cette remarque est valable surtout pour les humains qui la respirent.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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10 risques quand une baie de serveurs est installée hors d’une salle informatique


Quels risques d’installer une baie de serveurs dans une salle non prévue pour cela ?

Attention aux fausses économies !

Il est tentant pour une entreprise, surtout une start-up, de faire des économies sur les installations et l’équipement informatique.
Un des moyens est d’installer la baie qui contient les serveurs et les équipements qui les relient au reste des bureaux dans une pièce non conforme aux règles de sécurité.

incendie d'un bâtiment

Les principaux risques et les parades

Voici quelques-uns des risques les plus courants d’une telle installation, n’importe où sauf dans une salle informatique :

1. Le para-foudre

L’absence de para-foudre fait qu’en cas de court-circuit ou de foudre, les matériels les plus importants grillent.

2. Le plancher technique

Une baie ne doit pas reposer directement sur le sol de la pièce, mais sur un plancher technique ou être suspendue au mur pour les petites baies.

Dessous ce plancher, on trouve les câbles, les prises électriques qui relient la baie et/ou les matériels contenus dans la baie, au réseau électrique.

On y trouve aussi les détecteurs de fumée et parfois des détecteurs d’eau, en cas de début d’inondation. Cela arrive lorsqu’il y a des radiateurs à proximité.

Attention, il faut que le plancher supporte le poids de la baie toute équipée, contenu inclus, sinon il y a un risque de déformation du plancher de la salle.

3. La température

Un risque important est celui de la température car le matériel informatique dégage toujours un bon nombre de calories.

C’est pourquoi, une climatisation est nécessaire, pour garder une température constante, en sachant que les limites pour les serveurs, entre 10 et 50°C.
Au-delà, le matériel risque fortement d’être endommagé, notamment les disques durs. Des composants électroniques peuvent fondre et le feu peut prendre.

A l’inverse, si la pièce à une fenêtre et qu’il gèle à l’extérieur, le contraste thermique peut endommager le matériel.

4. L’hygrométrie

Le degré d’hygrométrie doit être le plus constant possible pour préserver le matériel.
C’est pourquoi, il y a moins de risques, dans une salle dédiée et protégée.

5. La protection incendie

Généralement, la protection incendie est assurée par un déclenchement automatique d’une alarme, qui laisse le temps aux personnes présentes de quitter rapidement le local, avant l’ouverture des bombonnes de gaz qui vont absorber l’oxygène de l’air.

C’est pourquoi, la salle doit être entièrement fermée, sans aucune ouverture comme une fenêtre ou le trou d’une serrure, sans compter mur, plafond et passage de câbles.

De plus, il vaut mieux prévoir des extincteurs spécifiques manuels d’une capacité suffisante pour éteindre un départ de feu sur du matériel électrique.
Pas question d’avoir de l’eau pulvérisée ni de poudre par exemple.
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6. L’accès aux matériels et aux données

Autre risque très important dans le fait d’avoir une baie de serveurs dans un local non prévu à cet effet est l’accès aux données.

Seuls les techniciens sont habilités à manipuler ces matériels et à en contrôler l’usage.
Une personne extérieure, comme un visiteur, un vigile de nuit, un animal, un enfant, ou un employé en froid avec l’entreprise et la destruction des serveurs, de la baie, ou des données, etc. peut être volontaire ou involontaire.

7. La poussière

Le matériel informatique attire la poussière. Les saletés s’accumulent rapidement et vont boucher les systèmes de ventilation tant de la baie que des serveurs.

Poussières + chaleur = risque accru de dysfonctionnement et augmentation de la chaleur donc risque d’embrasement.

8. L’emplacement dans la salle

Une salle trop petite empêche l’accès sur tous les côtés de la baie, or il est indispensable de pouvoir accéder à toutes les faces d’une baie et donc d’avoir au moins 50 cm de libre sur chaque côté.

Outre l’utilité de cet espace pour les installations et les dépannages, il sert aussi à la dispersion de la chaleur à condition de ne pas l’occuper avec des produits inflammables, comme du papier, carton ou polystyrène.

9. La qualité de l’électricité

Une baie ou un serveur relié directement au réseau électrique sans la protection intermédiaire par un onduleur subit des micro-coupures et des variations dans le flux électrique.

10. L’assurance et le droit

Il est probable qu’en cas de sinistre, la compagnie d’assurance refuse d’intervenir si la salle où se trouve est non conforme aux normes de sécurité, et pire encore si sa présence est la cause du sinistre.

De plus, il est probable que le règlement intérieur du bâtiment où se trouve la baie avec les serveurs interdise une installation inappropriée, ce qui implique une responsabilité pleine et entière de l’entreprise fautive et déjà pénalisée par un sinistre.

Résumé

Les principaux risques sont :

  • des risques mécaniques : plancher, faux plancher, détecteurs de fumée ou/et d’eau, sécheresse ou humidité, température trop froide, trop élevé ou trop changeante, poussières, encombrement
  • des risques électriques et donc d’incendie ou d’électrocution (il faut intervenir avec un bracelet relié à la masse pour éviter les châtaignes et pire), de conduite de la foudre le long des câbles, de destruction totale ou partielle des équipements intermédiaires (switchs, etc.), d’étouffement par le gaz anti-incendie
  • des risques humains : destruction, vol, mauvaise manipulation, perte de données (la reconstitution des données informatisés passe par l’utilisation du papier, mais si c’est dans la même pièce, tout est détruit en même temps).

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Salle informatique : armoire, câblage, sécurité


La sécurité dans la salle informatique des armoires, câblages etc.

câblage dans une baie de brassage

Téléphonie : Oui ou non

Deux principes s’opposent quant à la présence, dans la salle informatique, des systèmes de téléphonie.

  1. Le premier principe consiste à dire que tant qu’à investir dans une salle informatique, elle contient les équipements de téléphonie qui bénéficient de la même protection.
    D’autant plus que la téléphonie est devenue très liée à l’informatique dans sa dimension Data, c’est-à-dire du transport des données, à commencer par les accès à Internet.
  2. Le deuxième principe consiste à séparer les torchons et les serviettes, à savoir que la salle informatique est sous la responsabilité du service informatique et que la téléphonie est du ressort des services généraux. Les accès aux équipements de téléphonie impliquent des personnes différentes, surtout lorsque les intervenants sont extérieurs à l’organisation.

Sommaire :

Les mesures de protection de la salle informatique

  1. Porte spéciale
  2. Dispositif anti-incendie
  3. Climatisation
  4. Électricité
  5. Armoires, câblage, serveurs
  6. Divers autres équipements

En réalité, il y a convergence d’intérêts. Chaque entreprise ou organisation décide en fonction de ses besoins en sécurité.

La répartition des responsabilités existe déjà

En effet, ce sont les services généraux qui ont la responsabilité des murs, de l’électricité, de la climatisation, etc. et le service informatique des équipements à l’intérieur de la salle informatique, entre autres.

Les deux services fonctionnent la main dans la main, dès que l’organisation est suffisamment importante pour cela.

Les câblages

Quelle que soit la décision des dirigeants de l’entreprise ou de l’organisation, la salle informatique et la salle technique de téléphonie, si elles sont différentes, doivent avoir un mur commun. Cela permet l’utilisation de câblage indifférencié. Le câble sert alors soit à un branchement téléphonique, soit à un branchement informatique à un serveur.

Pour des raisons de besoin en débit, certains établissements sont équipés de câbles en fibres optiques. Ce sont les seuls à être indifférents à la proximité de câblage électrique.

Pour les autres, il faut une certaine distance, d’environ une dizaine de centimètres entre les chemins de câblage informatique et les chemins de câblage électrique. C’est pourquoi, il faut prévoir un câblage de type 6 au minimum.

De plus, certaines organisations vont jusqu’à faire passer la voix par les télécommunications de données, ce qui suppose d’avoir un débit suffisant pour les deux canaux au travers l’accès à l’opérateur téléphonique.

Armoires de brassage

Outre les économies d’échelle sur le câblage et l’intérêt évident de l’utilisation d’un câblage indifférencié, les dispositifs de télécommunication sont reliés aux armoires de brassage informatiques.

S’il y a deux salles, alors le câblage doit passer au travers du mur qui les sépare. Par ailleurs, tous les câbles qui vont vers les autres salles et bureaux passent par des chemins de câble qui doivent être bouchés. Une mousse expansive est utilisée pour assurer l’étanchéité des chemins de câble de telle façon que la salle informatique soit isolée du reste du bâtiment.

Il existe donc une armoire téléphonique reliée à une armoire de brassage. Cette dernière permet de définir l’usage de la prise soit en tant que prise téléphonique soit en tant que prise informatique, uniquement par la pose d’un câble intermédiaire qui décide de la connexion.

Ces armoires de brassage sont généralement posées contre un mur, dans la salle informatique. La rocade de la téléphonie est proche de l’accès de l’opérateur téléphonique, c’est pourquoi il est préférable que l’installation de la ou des salles techniques soient proches du point de connexion de l’opérateur sur la rue.

L’installation du prolongement de ce point extérieur vers la rocade téléphonique sur la propriété de l’entreprise est du ressort de cette dernière.

Armoires et baies informatiques

Par contre, les armoires, ou baies, informatiques, qui contiennent les serveurs et autres équipements informatiques sont placées au centre de la salle informatique ou, tout au moins, de telle façon que tous les côtés de ces baies soient accessibles sans effort.

Chaque câble, chaque point de connexion dans les armoires ou baies de brassage ou informatiques, doit être numéroté et étiqueté par une numérotation unique sur des étiquettes plastiques ignifuges.

Ces baies informatiques disposent souvent de leur propre circuit électrique. Les appareils qu’elles contiennent, entre autres les serveurs, sont reliés électriquement aux baies, lesquelles sont alors branchées sur les prises du circuit électrique de la salle informatique.

Prise de terre et parasurtenseur

Baies de brassage ou armoires informatiques ont en commun la liaison avec une prise de terre.

Il faut aussi prévoir un équipement parafoudre ou parasurtenseur. Cet équipement a pour but de dévier vers la terre tout afflux anormal d’électricité de façon à éviter d’endommager les appareils présents dans la salle informatique ou à y mettre le feu.

Philippe Garin, plus de 20 ans de direction de services informatiques

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Keylogger : Espionnage facile de votre PC


Qu’est-ce que c’est, un keylogger ?

enregistreur de touches

keylogger matériel (source: Wikipedia)

En français, un keylogger [prononcez ki-lo-gueur] s’appelle un enregistreur de touches.

C’est un dispositif, logiciel ou matériel, qui enregistre les touches frappées sur un clavier, à l’insu de l’utilisateur.

Le keylogger matériel ressemble à un bout de câble, discret, que l’espion pose entre le clavier et la prise où est branché le clavier. Les touches frappées sont enregistrées dans le dispositif. Quelques temps plus tard, l’espion récupère son dispositif et n’a plus qu’à regarder le résultat.

Le keylogger logiciel fait la même chose. La frappe des touches est enregistrée dans un fichier que l’espion récupère, généralement via Internet.

L’enregistreur de touches a évolué à tel point que les mouvements de la souris peuvent être enregistrés. De cette manière, l’enregistrement se traduit par une vidéo de tout ce qui se trouve à l’écran et des mouvements de la souris, en plus des touches du clavier.

Les risques

Si toutes les touches sont enregistrées, elles apparaissent les unes après les autres dans l’ordre dans lequel elles ont été frappées, espaces inclus. L’espion n’a plus qu’à redécouper les groupes de touche pour connaître :

  • Les mots de passe saisis, avant tout
  • Les pages visitées sur Internet
  • Le contenu des documents saisis ou modifiés durant la période d’espionnage
  • Les courriers électroniques, destinataires et courrier

En entreprise, ce système est peu utilisé car illégal et toutes les informations recueillies de cette façon par l’employeur seraient inutilisables légalement.

Par ailleurs, si les données de l’entreprise font l’objet d’une récupération au-dehors de l’entreprise, par l’intermédiaire d’un keylogger, c’est l’employé piraté qui peut être mis en cause, à tort, mais comment pourrait-il le prouver ?

Se prémunir

Dans un lieu public, cybercafé, association, école, etc., l’utilisateur doit être particulièrement vigilant. Un keylogger matériel se repère facilement puisqu’il suffit de regarder le câblage du clavier.

Pour se préserver d’un keylogger logiciel, le plus simple est de réserver l’accès à des sites importants pour vous, comme votre banque ou un site d’achat en ligne, à votre propre matériel et jamais d’un lieu public ou du lieu de travail.

Un keylogger logiciel est téléchargé à l’insu de l’utilisateur lorsqu’il télécharge une autre application à partir d’un site peu scrupuleux. Privilégiez les logiciels connus et les sites ayant une très bonne réputation.

L’installation d’un anti-spyware ou logiciel anti-espionnage, en plus de vos anti-virus, car un keylogger n’est pas un virus, vous protégera des keyloggers déjà connus. N’oubliez pas de les mettre à jour régulièrement.

Dans une entreprise, l’installation d’un pare-feu minimise le risque, sans pour autant le faire disparaître surtout en cas de keylogger matériel, installé directement sur un poste de travail.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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