Salons de l’emploi : 3 types d’exposants


Trois types d’exposants sur un salon de l’emploi

salon de l'emploi et de la formationCeux qui embauchent

A priori, il s’agit d’abord des entreprises, en majorité les employeurs ou les sociétés d’intérim, en recherche de profils pour répondre à plusieurs postes à pourvoir.Participer à un salon pour une ou deux offres est ridicule car trop coûteux.

Elles sont très sollicitées et les files d’attente sont les plus longues devant leurs stands.

Ceux qui prévoient

Il y a aussi des entreprises qui participent, plus par habitude peut-être, pour compléter leurs bases de données de CV, leurs CVthèques, pour les éventuels postes à pourvoir dans le futur.

Elles anticipent les besoins. Ce sont celles qui sont en forte croissance ou qui ont un fort turn-over, c’est-à-dire que les nouveaux employés les quittent rapidement.

Ceux qui aident

Le troisième type d’exposants regroupe tous les autres.

On y trouve les institutionnels comme Pôle emploi. ainsi que des organismes divers de formation ou de soutien aux personnes en recherche d’emploi ou qui souhaitent créer leur propre emploi, par la création d’une entreprise, par exemple.

Philippe Garin

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Le TCO ne suffit pas pour changer de logiciel en entreprise


Le TCO permet de savoir quand changer de logiciel, mais ça ne suffit pas

Représentation schématique de la qualité de logiciel

source : Wikipedia

Il faut partir aussi du principe que le logiciel dure plus longtemps que le matériel où il sera installé : Un ERP est amorti sur 7 ans alors qu’un PC fixe l’est sur 3 ans et un PC portable sur 2 ans.

Quant aux logiciels, généralement amorti sur 1 ou 2 ans, sauf ERP (= PGI, Progiciel de gestion intégrée), cela dépend de leur origine et il y a quatre types :

  1. Le système, attaché et fourni avec le matériel, dont la durée de vie est identique à la machine, son coût est intégré à celui de la machine
    .
  2. La bureautique et assimilés, dont la durée de vie est identique à 1 ou 2 fois la durée de vie du système, bien que cela dépend de la fréquence de l’évolution des versions de Windows, de Linux ou d’un autre.
    C’est ainsi que Office2003 est encore utilisé malgré les versions 2007n 2010 et suivantes
    .
  3. Les progiciels métiers, plus spécialisés que les logiciels généralistes que sont ERP et bureautique, sont développés par des entreprises extérieures et répondent à un besoin très précis, tout en étant commercialisés.
    Par exemple, la PAO, Publication Assistée par Ordinateur, la DAO, Dessin Assisté par Ordinateur, un CRM, Gestion de la relation client, etc. Ils coûtent chers et le but est de les conserver le plus longtemps possible. Parfois, ils évoluent aussi et alors il faut faire évoluer l’ensemble de leur environnement : matériels et logiciels, en même temps.
    Cette remarque concerne aussi les bases de données de type Oracle ou autre que j’assimile aux logiciels
    .
  4. Les développements spécifiques sont de deux ordres :
    – Les « purs » développements car aucun logiciel ne peut répondre au besoin, qu’il faut donc couvrir par des programmes spécifiques, par soi-même ou en sous-traitance. Les coûts sont là encore différents selon qui développe et qui maintient les développements.- L’autre ordre est celui des interfaces entres les logiciels et progiciels.
    Par exemple, entre un logiciel de paie et un logiciel de comptabilité ou de trésorerie, entre un logiciel de CAO et un ERP, un CRM et un ERP.

    Ces interfaces sont indispensables pour simplifier le travail de transfert d’informations d’un logiciel à l’autre.

    Elles concernent aussi des transferts entre systèmes différents. Par exemple, entre un lecteur de badge et le système des ressources humaines ou de la sécurité des bâtiments.

    A chaque fois, qu’un des composants changent les interfaces sont à refaire et cela peut s’avérer très coûteux. Malheureusement, c’est la rentabilité de l’entreprise qui est en jeu. Elles sont donc indispensables, même si parfois on se dit qu’il vaut mieux ressaisir les données plutôt que de les transférer.
    Ce n’est pas possible car purement numérique ou encore parce que la volumétrie est trop importante et l’embauche de personnels ne répond pas à ce besoin, et cela coûte aussi

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Les 3 formes normales dans une base de données


Les 3 formes normales dans une base de données

Forme normalePour la conception d’une base donnée, il existe une normalisation qui permet de connaître les dépendances d’un élément vis-à-vis des autres. Chaque élément est indépendant des autres, ou il est dépendant d’un ou de plusieurs autres. Dans ces derniers cas, les éléments de qui dépend d’autres éléments qui sont les éléments d’une clé. Une clé composée d’un seul élément est une clé primaire.

Par exemple : le numéro de matricule est la clé primaire, à partir de la clé, le nom et le prénom du salarié sont uniques. Ils dépendent du numéro de matricule.

Les règles des trois formes normales permettent de faire en sorte qu’un élément dans une base de données ne soit présent qu’une seule fois. Les structures sont les regroupements des éléments qui dépendent d’une clé, clé incluse.

Exemple d’une structure : le fichier du personnel.

Première forme normale

Chaque élément d’une base de données a un nom unique, c’est-à-dire à l’intérieur de la base de données, aucun élément ne porte le même nom

La structure des données a une clé primaire.

Deuxième forme normale

A partir de la structure de la base de données dans la première forme normale, chaque élément, qui n’appartient pas à la clé primaire, dépend fonctionnellement de tous les éléments de la clé.

Ceci permet de définir des clés avec plusieurs éléments.

Troisième forme normale

A partir de la structure de la base de données dans la deuxième forme normale, chaque élément qui n’appartient pas à l’ensemble des éléments de la clé, ne dépend d’aucun des autres éléments qui n’appartiennent pas à la clé.

Là, c’est plus compliqué à comprendre, je vous laisse chercher 🙂

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