4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai


4 conseils pratiques pour réussir sa période d’essai

Période tous les dangers, la période d’essai peut capoter, si vous vous y prenez mal.

Il existe de nombreux pièges où les croyances que vous avez peuvent vous desservir durant cette période que vous souhaitez réussir, c’est-à-dire aller jusque sa fin et confirmer votre embauche.

période d'essaiLa ponctualité

C’est tout bête. Soyez à l’heure, tant pour arriver sur votre lieu de travail qu’au moment des pauses ou à la fin de votre journée.

Bien sûr, il est tentant de montrer son zèle en adoptant les horaires des collègues voir celles de votre chef. Seulement, la fatigue durant la période d’essai est plus grande que la fatigue quand on a attrapé la routine.

Soyez souple aussi. Si un coup de collier est nécessaire pour une action commune, prenez alors vos responsabilités.
Si le dépassement d’horaires est la règle, à vous de voir si vous l’acceptez ou si votre intérêt est d’interrompre la période d’essai.

Prendre le rythme

Les automatismes viennent avec le temps.

prendre le rythme

prendre le rythme

Vous découvrez de nouvelles façons de faire, des logiciels, un environnement de travail. Tout cela contribue à vous prendre du temps avant d’être aussi opérationnel (le) que les collègues.

Discutez avec les autres, posez-leur des questions, demandez leur aide.
Se faire aider pour acquérir plus vite les connaissances indispensables pour devenir plus efficace.

Restez, cependant, mesuré (e), car vous risquez de ralentir le travail des autres et de trop les déranger. Profitez des moments de leurs pauses où ils sont plus au calme pour vous répondre ; si vous pouvez attendre.

Faites-vous bien voir

Le partage d’opinion et l’expression de son point de vue impliquent de connaître la situation dont il est question.

Laissez les autres lancer la conversation et participez-y en posant des questions, plutôt en donnant votre opinion, surtout si elle est en contradiction avec ce que vous entendez.

Mieux vaut faire profil bas, du moins, durant la période d’essai et ainsi éviter des conflits inutiles.

conversation entre collègues

Attendez avant les remises en question

Il est probable que vous ferez la comparaison entre votre précédent travail et le nouveau.

Si prendre l’initiative de proposer des changements est souvent bien vu de la hiérarchie, le contraire l’est tout autant. L’opposition existe déjà, elle est encore plus forte quand c’est le (la) dernier (ère) arrivé (e) qui en est le point de départ.

La remise en cause doit se faire à bon escient, avec un degré d’acceptation élevé. A vous de trouver les arguments qui touchent ou attendez la fin de votre période d’essai pour le faire.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

Les 100 jours de la période d’essai réelle
Période d’essai : Les débuts comme chef de service
Malade pendant la période d’essai : Conséquence

Management : L’entretien d’intégration
Comment présenter un avantage ou un inconvénient
Premier emploi : Adaptation impérative

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8 étapes pour s’orienter professionnellement


S’orienter professionnellement en huit étapes

Le chemin vers l’emploi passe parfois par un changement d’orientation, au début, au milieu ou à la fin de sa carrière. Jeunes diplômés, chômeurs, ou simple envie de faire autre chose.

Il est alors temps de se poser les bonnes questions pour s’orienter correctement.

A Confronter ses caractéristiques personnelles à celles du métier

Suis-je en mesure d’exercer ce métier ?

choisir un métier Yalc'had Skoazell

Choisir un métier

B Chercher de l’information sur le marché du travail et de la formation

Est-ce que je connais les débouchés ?

C Trouver des pistes de métier diversifiées

Dans quels nouveaux métiers puis-je me projeter ?

job_index

D Prioriser des pistes de métier

Quel est le métier que je préfère ?

E Expliciter son expérience, ses choix et son projet professionnel

Suis-je capable d’expliquer mon projet et d’argumenter mes choix ?

F Mettre en œuvre et adapter mon plan d’actions

Est-ce que je connais les étapes pour réaliser mon projet ?

Gestion de projet : diagramme de Gant

Gestion de projet : diagramme de Gant

G Identifier dans son environnement les soutiens à son projet

Mon entourage soutient-il mes choix ?

H Activer et élargir son réseau

Comment faire jouer mes relations ?

Source : Pôle emploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Orientation professionnelle : Les classements de métiers
Reconversion : Les étapes
Le Conseil en Évolution Professionnelle : Les 8 questions fondamentales

Les 5 types de risques dans un projet pro ou perso
Changement : Dix conseils pratiques pour en gérer la conduite
Communication : La notion de filtre dans la déperdition d’information

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Les modalités de suivi et d’accompagnement des demandeurs d’emploi


Comment les demandeurs d’emploi sont accompagnés

Les modalités de suivi et d’accompagnement des demandeurs d’emploi dépendent du degré de difficultés rencontrées par ces derniers.

Pour faire simple, plus vous êtes autonome et moins vous êtes suivi.

Attention ! Jamais, dans les statuts de Pôle emploi figure la recherche d’un emploi à votre place. Par contre, plusieurs prestations sont proposées pour vous faciliter la recherche.

Chaque conseillère et conseiller de Pôle emploi dispose d’un nombre plus ou moins important de demandeurs d’emploi à accompagner. Il dépend, justement des modalités de suivi et d’accompagnement suivants :

services proposés par Cap emploi 77

services proposés par Cap emploi 77

Suivi

Cette modalité de suivi s’adresse aux demandeurs d’emploi les plus proches du marché de l’emploi et dont l’autonomie dans la recherche d’emploi est la plus grande, avec une supervision par le conseiller référent de la recherche d‘emploi et de la transmission d’offres au demandeur.

Guidé

Les modalités d’accompagnement s’adressent aux demandeurs d’emploi qui nécessitent d’être appuyés par leur conseiller référent dans la recherche d’emploi, notamment à travers des contacts dont la nature et la fréquence sont personnalisées.

Renforcé

Cette modalité s’adresse aux demandeurs d’emploi qui ont besoin d’être fortement accompagnés par leur conseiller référent dans leur trajectoire de retour à l’emploi, notamment à travers des contacts dont le rythme et le contenu répondent au besoin du demandeur d’emploi.
Pour mettre en œuvre cet accompagnement, le conseiller a recours à l’ensemble de l’offre de service.

Pour en savoir plus, adressez-vous directement à votre conseillère ou conseiller qui vous suit.

Source : Pôle emploi

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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En complément :

Les catégories administratives des demandeurs d’emploi pour le Pôle Emploi
Jeune au chômage : Le PACEA ou Parcours contractualisé d’accompagnement vers l’emploi et l’autonomie
Chômage : Sanctions plus dures pour ceux qui ne respectent pas les règles

Stagnation dans sa recherche d’emploi : se remettre en question
Chômeurs, un traitement inégal par Pôle emploi
Le Titre Emploi Service Entreprise ou Tese pour simplifier les formalités d’embauche et de gestion

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Deuxième entretien d’embauche : Se préparer pour réussir


Quelles questions préparer pour une seconde entrevue de recrutement ?

Vous étiez préparé pour le premier entretien d’embauche et vous avez franchi le cap : Vous êtes sélectionné (e) pour passer un second entretien.

Vous pensiez avoir tout dit et avoir tout appris durant la première entrevue.
Que va-t-il falloir ajouter cette fois-ci ?

1 Vos interlocuteurs

Si l’interlocuteur principal, voire unique, rencontré lors du premier rendez-vous, est issu du milieu des Ressources Humaines, il sera peut-être absent au second.

deuxième entretien d'embaucheCe qui est sûr, c’est la présence de votre futur chef. Celui ou celle avec qui vous allez travailler, qui va vous confier vos missions et superviser votre travail.

Son objectif principal sera de vous imaginer dans son équipe et estimer la réussite de votre intégration potentielle.

Ses questions vont aussi porter sur vos savoir-faire, source initiale du besoin qui a conduit au lancement du recrutement.

De votre côté, repassez-vous le déroulé du dernier entretien pour trouver de nouvelles questions.

2 Vos questions

Même si vous pensez avoir fait le tour des questions durant la première interview, certains sujets méritent d’être éclaircis. Tout flou ou mauvaise compréhension doit s’effacer et vos questions porteront, en partie, sur les sujets déjà traités.

des questions pour nousD’autres questions seront nouvelles.
Voici un échantillon de 10 sujets de questions pour un deuxième entretien d’embauche :

  1. La culture de l’entreprise
  2. La stratégie globale de l’entreprise
  3. Les objectifs à court et moyen terme
  4. La structure de votre future équipe
  5. Les personnalités de vos principaux contacts dans l’entreprise : collègues, supérieurs, collaborateurs
  6. Le périmètre d’autonomie du poste
  7. Les conditions d’accueil et d’intégration
  8. Le contenu du contrat de travail
  9. Les conditions de travail
  10. La protection sociale

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Les signes encourageants dans un entretien d’embauche
Candidature : Quelles sont vos motivations
Management : Comment évaluer l’intégration d’un nouveau salarié

Le Pourquoi de certaines questions en entretien d’embauche
Contrat de travail : Les droits et obligations
Se sentir bien en entreprise : Les 7 critères

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2020 : Le nouveau statut « cadre »


Qu’est-ce qui fait qu’un salarié est un cadre

Au premier janvier 2019, les caisses de retraite AGIRC et ARRCO ont fusionné.

L’AGIRC, créée en 1947, était la caisse spécifique pour les cadres.

Donc, la définition d’un cadre était simple : un salarié était un cadre parce qu’il cotisait à une caisse de retraite de cadres.

Alors depuis cette fusion, qu’est-ce que le statut cadre ?

AGIRC et ARRCO fusionnées

L’Accord National Interprofessionnel

Le 18 juin 2020, l’Accord National Interprofessionnel, ou ANI, a été signé par 5 syndicats pour les salariés et 3 syndicats pour le patronal.

Les cadres conservent une retraite spécifique et cotisent en conséquence à hauteur de 1.5% de leur salaire brut.

Voici les 3 critères qui définissent, depuis cette date, le statut cadre.

  1. Qualification et diplôme
  2. Autonomie et/ou encadrant
  3. Responsabilités sociales et économiques

Pour être cadre, il faut donc répondre à ces trois critères simultanément.

ANI Accord National interprofessionnel

1. Qualification et diplôme

Premier pilier de l’ANI : Le cadre est celui qui dispose « du niveau de qualification requis au travers de ses diplômes et de son expérience ».

La VAE, ou Validation des Acquis de l’Expérience, la formation continue, permettent de remplir le première critère pour obtenir le statut de cadre, pour les autodidactes ou les moins diplômés.

2. Autonomie et/ou encadrant

Second pilier : Le cadre doit être autonome, et/ou encadrer des collaborateurs.

Fini les encadrants, agents de maîtrise. Ils sont cadres pour peu qu’ils remplissent les deux autres critères.

De même, le statut cadre permet à des salariés autonomes de le devenir, même s’ils n’encadrent personne.

3. Responsabilités sociales et économiques

Troisième pilier : le cadre a des « Responsabilités sociales et économiques ».

Pour avoir une définition plus précise, des accords de branches sont en cours de discussion entre les partenaires sociaux.

Conséquences

La première conséquence est pour les cadres qui possédaient ce statut avant la fusion des caisses : Leur statut est maintenu, pour peu qu’ils sont toujours dans le même poste.

Pour ceux qui ont changé d’emploi, la nouvelle définition s’applique.
Néanmoins, il faudrait perdre un ou plusieurs des piliers de l’Accord National Interprofessionnel pour perdre ce statut en changeant de poste.

Autre conséquence, le chômage des cadres reste bien inférieur à celui des autres salariés.
La durée moyenne de leur retour à l’emploi est généralement plus courte. Comme avant.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Employabilité : Les 8 compétences que les entreprises attendent d’un cadre
Entretien annuel d’évaluation du cadre en 6 points
Les 12 caractéristiques du meneur et du suiveur

Management participatif : Comment ça marche, points forts, points faibles
Premier poste de manager : L’angoisse du premier jour
Organisation verticale : D’où provient la reconnaissance du manager par son équipe ?

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Pourquoi ces 5 qualités incontournables sont à mettre dans vos points forts


Pourquoi ces 5 qualités incontournables sont à mettre dans vos points forts

Anticiper les réponses aux questions du recruteur fait partie du processus de recherche d’emploi.

Comme la question des points forts est toujours évoquée en entretien d’embauche, il est intéressant de citer des qualités parmi celles qui font de vous un futur collaborateur précieux et incontournable.

incontournable pont des soupirsDe plus en plus, l’anticipation à cette question se traduit par une liste de softs skills et de savoir-être dans une rubrique à part sur le CV. Les mots sont variables, les idées demeurent.

Chacune de ses 5 qualités principales en amènent d’autres. Le choix des mots est donc plus étendu et de loin. Voici de quoi les comprendre.

1. L’adaptation

L’adaptation est une qualité qui vous permet de vous intégrer rapidement à l’équipe en place.

adaptation incontournableElle implique l’usage d’autres qualités :

L’écoute, qui est la capacité de laisser l’autre parler

L’attention ou la concentration, pour fixer son esprit sur ce que vous faites, dites, écouter

La mémorisation, qui permet de retenir les nouvelles notions, les noms, les méthodes, les outils, etc.

La capacité à faire face à l’imprévu et proposer des solutions

L’apprentissage, la remise en question d’anciens savoirs au profit de nouveaux acquis par des nouvelles formations ou autoformations

2 La fidélité

La fidélité est une forme de confiance mutuelle entre le (la) salarié (e) et le chef d’entreprise.

La durée d’occupation d’un poste est indépendante de la fidélité dans la mesure où l’on peut rester pour d’autres raisons. Cependant, c’est un signe de stabilité, toujours recherchée par les responsables.

fidélité à son entrepriseC’est l’intégrité, l’honnêteté et la fiabilité du collaborateur qui amènent le chef à faire confiance. Réciproquement, le (la) salarié (e) sera d’autant plus fidèle que les marques d’appréciation positives et de confiance lui sont données par ses chefs.

La parole et les actes des uns et des autres rendent la collaboration fructueuse pour chacun.

Une recommandation positive de son ancien employeur lors d’une séparation sera toujours d’un bon effet auprès du futur employeur.

3. L’esprit d’équipe

Bien que souvent évoquer sur un CV ou dans un entretien d’embauche, l’esprit d’équipe est une qualité qui se démontre par les actes.

Sur un CV, l’esprit d’équipe se traduit dans les réalisations et dans les centres d’intérêt.

esprit d'équipeLe succès obtenu à plusieurs permet de valoriser sa participation au groupe. Un faux-pas d’un membre de l’équipe est rattrapé par les autres. L’efficacité et la qualité au travail s’en trouve renforcées et le collaborateur corrige ses faiblesses.

De même, faire partie d’un groupe sportif ou musical ou avoir un engagement de bénévole dans une association sont des marques de l’esprit d’équipe.

La bonne ambiance au sein d’une équipe, l’harmonie et le respect mutuel sont des facteurs favorables aux yeux dans une candidature

4. Le dépassement

Quand l’employeur définit les savoir-faire qu’il attend de son (sa) futur (e) collaborateur (trice), il cherche aussi quelqu’un qui puisse compléter une équipe et pallier à ses propres lacunes.

C’est pourquoi, s’il reste le décideur, il attend des propositions d’améliorations ou de développement de la part de ses collaborateurs.

dépassement de soiAvoir le sens de l’initiative et la confiance en un responsable à l’écoute des propositions entraîne une plus grande autonomie du collaborateur. Cette autonomie lui permet de gagner en influence au sein de son équipe.

La réactivité et l’anticipation sont deux qualités bien appréciées.

La curiosité et la recherche de progression personnelles du futur salarié sont aussi des atouts pour l’employeur, le prochain autant que l’actuel.

Le dépassement du cadre strict de la description de poste par les réalisations bien décrites dans un CV et bien expliquées sur sa lettre de motivation et dans le discours en entretien d’embauche va fortement et positivement impressionné le recruteur.

5. L’implication

L’implication du salarié pour son entreprise va au-delà de la motivation attendue par le futur employeur.

Montrer par ses actes, son sourire, son discours positif rend le collaborateur plus sympathique.

implication motivéeS’impliquer, c’est s’engager avec enthousiasme. La passion pour un projet amène le collaborateur à vouloir la réussite de ce qu’il entreprend au sein de l’organisation.

L’implication pour son entreprise amène à améliorer les conditions de travail, l’efficacité des autres collaborateurs, la reconnaissance du travail effectué, l’amélioration des pratiques au sein de l’organisation.

Un salarié impliqué dans le succès de son entreprise sera précieux pour son futur patron.

Conclusion

Dans une recherche d’emploi, il est important de démontrer au futur employeur les avantages et les bénéfices qu’il peut tirer d’une collaboration avec son (sa) futur (e) salarié (e)

Le savoir-faire et le savoir sont indispensables lors d’un recrutement.

Les qualités personnelles et comportementales peuvent pallier à certains manques du (de la) candidat (e). Les 5 qualités décrites ici sont bien des incontournables à prouver pour se distinguer des autres candidats et être retenu par le recruteur.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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En complément :

Exemples de points faibles présentés comme des points forts
Quels Points faibles mettre dans une lettre de motivation ?
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche

Exemples de points faibles présentés comme des points forts
Et vos points faibles ?
Pourquoi les recruteurs intéressent-ils aux soft skills ou savoir-être

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Comportements liés à votre personnalité à éviter en entretien d’embauche


Comportements liés à votre personnalité à éviter

Sommaire :

  1. Comportements à éviter, les deux premiers
  2. Comportements à éviter en cas de stress
  3. Comportements liés à votre personnalité à éviter

Autonomie ou indépendance

La question reste dans le monde du travail et on oublie la politique.

Toute organisation a besoin de communication entre ses membres. Il est impossible de travailler les uns sans les autres.

arrogance : Louis XIV de France

Le Roi Soleil

Si vous êtes un (e) candidat (e) qui refuse un superviseur, un contrôle de sa hiérarchie ou qui décide seul (e) dans son coin, alors le recruteur cessera rapidement d’analyser votre candidature.

Par contre, si vous savez prendre des initiatives et en assumer la responsabilité, au sein d’une équipe ou avec une équipe, en lien avec les objectifs fixés par votre direction alors vous augmentez vos chances auprès du recruteur.

Arrogance et prétention

Il est plus facile à un athlète de prouver qu’il saute plus haut, plus long ou qu’il soulève des poids que d’autres sont incapables de soulever, que de démontrer son intelligence ou ses qualités.

Nous sommes habitués à être modeste ou à montrer de la modestie. C’est bien en famille ou avec des amis.

Dans le monde du travail, il faut montrer son savoir-faire pour progresser ou pour garder son poste.

L’arrogance ou la prétention sont des défauts qui apparaissent rapidement dans un entretien d’embauche.

Prétendre être le (la) meilleur (e) pour le poste, annoncer des potentialités sans démontrer comment vous les avez acquises, affirmer sans preuve, sont autant d’attitudes qui mettent à mal la bienveillance du recruteur.

Montrez plutôt que vous êtes quelqu’un d’agréable à fréquenter et cela suffira.
Votre ambition doit être à la hauteur de vos capacités, ni en-dessous, ni au-dessus.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Recrutement : La richesse de la personnalité
Points faibles à citer en entretien 3/6 : Un défaut, et alors ?
Mauvaise réputation sur Internet : C’est gênant quand on cherche un emploi

Jeune au chômage : Le PACEA ou Parcours contractualisé d’accompagnement vers l’emploi et l’autonomie
Devise 047 : ne fais jamais confiance à un homme qui porte un meilleur costume que toi
La Grille AGGIR pour mesurer la perte d’autonomie

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La Grille AGGIR pour mesurer la perte d’autonomie


Tous concernés par la perte d’autonomie

perte d'autonomieLa perte d’autonomie fait l’objet de sollicitation des assureurs.

La Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, ou CNSA, a défini un questionnaire, dont le résultat est présenté sous la forme d’une grille, appelée Grille AGGIR, pour Autonomie Gérontologique et Groupes Iso-Ressources.

Il existe 6 niveaux de perte d’autonomie, appelé, Groupe Iso-Ressources, ou GIR.

Ils représentent la capacité de la personne âgée à effectuer 10 activités corporelles et mentales, dites activités discriminantes, et 7 activités domestiques et sociales, dites activités illustratives

Seules les personnes relevant des GIR 1 à 4 ont le droit à l’APA, ou Allocations de Perte d’Autonomie.

Les personnes relevant des GIR 5 ou 6  peuvent demander une aide ménagère ou une aide auprès de sa Caisse de Retraite.

Les assureurs proposent le financement des frais occasionnés par la perte d’autonomie, pour compléter l’APA, voire pour la remplacer lorsqu’une personne se voit refusée l’APA.
Pour cela, les assureurs utilisent aussi la Grille AGGIR dans leurs offres.

Le questionnaire

Le questionnaire est basé sur l’évaluation des activités suivantes :

Activités corporelles et mentales (dites « discriminantes »)

  • Communiquer verbalement et/ou non verbalement,
    agir et se comporter de façon logique et sensée par rapport aux normes admises par la société
  • Se repérer dans l’espace et le temps
  • Faire sa toilette
  • S’habiller, se déshabiller
  • Se servir et manger
  • Assurer l’hygiène de l’élimination urinaire et fécale
  • Se lever, se coucher, s’asseoir, passer de l’une de ces 3 positions à une autre
  • Se déplacer à l’intérieur du lieu de vie
  • Se déplacer en dehors du lieu de vie
  • Utiliser un moyen de communication à distance (téléphone, alarme, sonnette, etc.) dans le but d’alerter en cas de besoin

Activités domestiques et sociales (dites « illustratives »)

  • Préparer les repas et les conditionner pour qu’ils puissent être servis
  • Gérer ses affaires, son budget et ses biens,
    reconnaître la valeur monétaire des pièces et des billets,
    se servir de l’argent et connaître la valeur des choses,
    effectuer les démarches administratives, remplir les formulaires
  • Effectuer l’ensemble des travaux ménagers courants
  • Utiliser volontairement un moyen de transport collectif ou individuel
  • Acheter volontairement des biens
  • Respecter l’ordonnance du médecin et gérer soi-même son traitement
  • Pratiquer volontairement, seul ou en groupe, diverses activités de loisir

L’évaluation se fait selon trois niveaux

 

Niveau Autonomie Évaluation
A fait seul spontanément
et totalement
et habituellement
et correctement
B fait seul non spontanément
et/ou partiellement
et/ou non habituellement
et/ou non correctement
C ne fait pas seul ni spontanément,
ni totalement,
ni habituellement,
ni correctement.

La Grille AGGIR

Le résultat du questionnaire donne la grille suivante :

Caractéristiques du demandeur en fonction du Gir auquel il est rattaché
Gir Degrés de dépendance
Gir 1 – Personne confinée au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales sont gravement altérées et qui nécessite une présence indispensable et continue d’intervenants
– Ou personne en fin de vie
Gir 2 – Personne confinée au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales ne sont pas totalement altérées et dont l’état exige une prise en charge pour la plupart des activités de la vie courante,
– Ou personne dont les fonctions mentales sont altérées, mais qui est capable de se déplacer et qui nécessite une surveillance permanente
Gir 3 Personne ayant conservé son autonomie mentale, partiellement son autonomie locomotrice, mais qui a besoin quotidiennement et plusieurs fois par jour d’une aide pour les soins corporels
Gir 4 – Personne n’assumant pas seule ses transferts mais qui, une fois levée, peut se déplacer à l’intérieur de son logement, et qui a besoin d’aides pour la toilette et l’habillage,
– Ou personne n’ayant pas de problèmes locomoteurs mais qui doit être aidée pour les soins corporels et les repas
Gir 5 Personne ayant seulement besoin d’une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage
Gir 6 Personne encore autonome pour les actes essentiels de la vie courante

Les demandes d’évaluation ou de réévaluation sont à envoyer, par courrier, au service dédié dans du département du domicile de la personne concernée.

Source : Service public

Philippe Garin

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Les conseils d’un avocat gratuits : C’est possible
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Le Médiateur national de l’énergie : Rôle et moyens

Du nouveau dans la page Juridique
Un exercice pour vous relaxer et diminuer vos tensions
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20 atouts à mettre en avant dans une candidature ou liste 8 de points forts


Vos compétences comportementales et vos savoir-être sont vos atouts

Une analyse des offres par Pôle emploi montre un besoin de compétences différentes des compétences techniques :
Il s’agit du comportement au sein de l’entreprise.

Il est inutile d’avoir un super-technicien ou une super-ingénieure s’ils sont incapables de s’intégrer à l’équipe dans laquelle ils vont évoluer.

faire du sport est bon pour la santé

Le comportement des salariés est, au moins, aussi important que leurs connaissances techniques.

Ce comportement évolue au cours du temps, selon l’âge et l’expérience des salariés.
L’objectif de responsable est de faire en sorte que tout le monde travaille en bonne harmonie et que les salariés sont satisfaits de travailler ensemble.

Dans le cadre d’un recrutement, le chef d’entreprise attend les 20 qualités personnelles et capacités individuelles suivantes :

Les qualités recherchées

  1. Capacité d’adaptation
  2. Rigueur
  3. Persévérance
  4. Gestion du stress
     
  5. Réactivité
  6. Force de proposition
  7. Autonomie
  8. Sens de l’organisation
     
  9. Capacité à actualiser ses connaissances
  10. Créativité
  11. Capacité d’initiative
  12. Curiosité
     
  13. Prise de recul
  14. Connaissance et respect des règles
  15. Capacité de décision
  16. Capacité à fédérer
     
  17. Travail en équipe
  18. Sens de la communication
  19. Sens de la relation client
  20. Soucis de qualité

Source : Pôle emploi

Vos atouts

Vos atouts se trouvent dans cette liste.

Trouvez-les !

Après avoir extrait de cette liste les qualités qui sont vos atouts, mettez-les par ordre de préférence.

Trouvez des illustrations de moments où vos atouts vous ont servi dans votre vie précédente, professionnelle plus que personnelle.

Vous aurez ainsi de quoi mettre sur votre CV et dans votre Lettre de motivation, ce qu’attendent les recruteurs.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Points faibles entretien d’embauche ou Liste 1 des points forts et points faibles
Définition Points faibles Points forts
Points faibles et points forts : Pourquoi le recruteur pose la question en entretien d’embauche

Points faibles à citer 2/6 : Les échecs professionnels
Bilan de compétences : 6 raisons pour en établir un
Cerveau droit ou cerveau gauche : Trouver vos points faibles et vos points forts

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Créer son propre emploi : oui, non, peut-être


Ça veut dire quoi : créer son propre emploi

musée de Tautavel, taille de pierre

premier tailleur de pierre ?

« Créer son propre emploi » est une expression qui signifie trouver une alternative au recrutement classique par une indépendance dans le travail.

Indépendance vs autonomie

L’autonomie

L’autonomie est la possibilité de décider à l’intérieur d’un cadre et avec des contraintes librement consenties ou partiellement imposées par une autorité autre que soi-même.

L’autonomie est accordée dans une entreprise par le contrat de travail, le statut du poste et le style de management.

Par exemple, les cadres supérieurs gèrent les ressources mises à leur disposition comme ils l’entendent en tenant compte de leur domaine de responsabilité et de la politique fixée par le conseil d’administration ou/et le patron.

L’indépendance

L’indépendance est de n’avoir de compte à rendre à qui que ce soit. Cela est vrai dans le domaine du travail quand on est seul à décider de ses activités et seulement à l’intérieur des limites que l’on se fixe soi-même. Quoi que !

Se mettre à son compte est idéal pour ceux qui souhaitent trouver un travail rapidement sans avoir de patron, gérer leur temps de travail à leur guise. Cependant, des limites existent toujours.

Les limites de la création de son propre emploi

Les limites du statut

D’abord, il faut décider du statut de son activité. Cela va de l’auto-entrepreneuriat à la Société anonyme, en passant par tout un panel de statuts, selon que l’on veut créer son entreprise seul ou à plusieurs.

Le statut détermine la manière dont la rémunération sera effectuée, dont les impôts seront calculés et donc la protection sociale sera assurée.

Les limites financières

S’il est possible de créer une entreprise sans apporter un capital élevé, il en faut suffisamment pour avoir une trésorerie capable d’assurer les dépenses incontournables pour l’investissement et le fonctionnement de l’entreprise.

Cela implique son argent personnel, l’apport de financement externes et les aléas de la vie d’une entreprise, comme les retards de paiement des clients ?

Les limites commerciales

On peut être très bons dans son domaine de prédilection, encore faut-il trouver des clients et les satisfaire en leur apportant services et produits qui leur conviennent.

Le temps à passer, les efforts de communication et de persuasion, pour trouver des prospects et les transformer en clients, se heurtent à la concurrence, à la fatigue, au manque de connaissance, etc.

Les limites psychologiques

Si bien souvent, on a envie de quitter son job ou du chômage pour créer son propre emploi, franchir le pas nécessite une réflexion, une envie et un environnement favorable en plus des connaissances, compétences et du franchissement des limites ci-dessus.

Devenir son propre patron, c’est avoir le soutien des siens, familles, amis, personnes prêtes à aider le futur entrepreneur.
C’est aussi passé du statut de salarié ou d’ex-salarié, ou encore d’étudiant, à celui d’aventurier des affaires.

S’il est possible de se perdre, de perdre son temps et son argent, voire son environnement familier, il est possible que créer son propre emploi génère aussi de substantiels revenus, qui assureraient un meilleur avenir financier, d’accomplissement de soi et de satisfaction.

Alors toujours hésitant (e) ?

Philippe Garin

Pour vous faciliter la transition, contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :


En complément :

Efficacité : Tenez compte de vos préférences au travail
Nacre : Novel Accompagnement pour la Création et la Reprise d’Entreprise
PEPITE et Statut d’étudiant entrepreneur

Exonérations pour les Salariés créateurs d’une entreprise
Réussir sa transition entre l’école et le monde du travail
Dépôt de bilan : rebondir

Autres Emploi, Juridique et Management :

Récapitulatif 17 Emploi
Récapitulatif 17 Juridique
Récapitulatif 17 Management

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10 critères d’évaluation d’un stagiaire ou d’un apprenti


Évaluer un stagiaire ou un apprenti

Dans les entreprises qui sont sollicitées pour accueillir des stagiaires ou/des apprentis, se pose la question du bien-fondé de cette démarche.

Une fois que le chef d’entreprise a compris qu’il a tout à gagner en informant et en formant d’éventuels futurs employés à ses méthodes et techniques « maison », arrive le moment de l’évaluation du stagiaire ou de l’apprenti.

Cette évaluation est importante pour la suite à donner à l’issue du stage ou de la formation, tant pour le patron que pour le stagiaire ou l’apprenti. Notamment pour définir les points forts et les axes d’amélioration.

apprentissage

Pour aider les chefs d’entreprise, voici 10 critères d’évaluation, simples et pourtant pratiques :

 Critères Très bien Bien Passable
1 Sérieux
2 Ponctualité
3 Dynamisme
4 Intérêt pour les missions
5 Autonomie
6 Relation avec la hiérarchie
7 Intégration dans le service
8 Compétences techniques
9 Respect des consignes de sécurité
10 Respect des objectifs

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour améliorer votre efficacité d’encadrant(e), contactez-moi : phgarin@gmail.com

Pour en savoir plus :

En complément :

L’entretien individuel : un exercice difficile pour le manager
Livret d’entretiens avec un nouveau collaborateur
Critères de jugement du personnel

Loi de Jost pour mieux apprendre
Employeur : Les aides à l’embauche d’un contrat en alternance
Contrats en Alternance : c’est quoi et pour qui

Autres Management :

Récapitulatif 14 Management

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Débutant : 6 conseils pour réussir son entrée sur le marché du travail


Bien débuter dans le monde du travail

Passer d’un environnement « protégé » des études, avec ou sans diplôme, au monde du travail, implique de comprendre et de s’adapter à l’inconnu.

Les embûches sont nombreuses. A l’heure où la génération Y commence à se faire pousser par la suivante, encore plus critique vis-à-vis des modes de management rencontrés dans les entreprises, plusieurs conseils s’avèrent nécessaires pour réussir son intégration.

Premier jour de travail

1. Se faire à l’idée de devenir « grand (e) »

Le monde du travail est celui des adultes. Quel que soit son âge, travailler, c’est passer de l’adolescence insouciante à l’âge des responsabilités, avec les avantages et les inconvénients qui vont avec.

Le débutant se tournera auprès de son environnement hors du contexte professionnel pour faire part de ses sentiments et ressentiments. Se tourner vers un collègue ou son chef suppose de rester dans des questions professionnelles. Les états d’âmes positives ou non sont à « externaliser ».

L’autonomie pour le logement, les trajets, les repas, la vie affective, accompagne l’autonomie dans le travail.

2. Se faire à un environnement multiforme

Avant, son environnement est homogène : même âge, mêmes préoccupations, mêmes intérêts, même humour, des types de relations interpersonnelles connus.

Après, le débutant découvre des personnes de tous les âges, de toutes origines et de toutes formations, de tous types de caractères et de visions du monde et du travail, des relations très variées avec les autres.

3. Se faire à l’idée que les autres « savent »

Une attitude qu’ont beaucoup de jeunes diplômés est de croire que leur formation leur permet d’être opérationnels dès leur arrivée dans leur premier poste.

La réalité se révèle différente. Les autres salariés ont de « l’expérience ». Ils ont appris leur métier et ses subtilités sur le tas, dans la pratique. De nombreux postes font l’objet de formations continues ou sont occupés par des personnes sans formation. D’ailleurs, le débutant va découvrir des tas de métiers dont il n’avait jamais entendu parler, sauf s’il a eu la chance d’y effectuer un stage.

Même les collègues qui exercent le même métier ont des trucs et astuces que le débutant doit apprendre.

4. Se faire à l’observation et la surveillance

Chefs, collègues, partenaires, clients, fournisseurs, tous observent, analysent, critiquent ou conseillent le débutant. Une nouvelle tête les intéresse. Au débutant de se montrer sous son meilleur jour et de montrer ce dont il est capable.

Se sentir surveillé (e) et savoir que cette première période d’essai est favorable à une séparation prématurée, signe d’échec, est générateur de stress, comme tout ce qui est inhabituel.

5. Se faire aux habitudes de la « maison »

La « maison » est l’entreprise et non plus le domicile de maman et papa, ce nid où l’on pouvait se réfugier quand quelque chose allait mal.

Le style de management, l’ambiance, les rituels des salariés et du patron, sont à apprendre le plus vite possible. Le débutant sera soumis à des conseils donnés par ses collègues et aussi à des ragots ou des opinions très diverses, y compris de la part des mauvaises langues. Il va lui falloir faire la part des choses.

Le choix de ses vêtements, de son aspect physique, coiffure, barbe, maquillage, accessoires va se trouver influencé par l’entreprise et le poste occupé. Pas question de rester campé (e) sur ses habitudes précédentes, sauf si elles sont les mêmes, ce qui est extrêmement rare.

6. Se faire remarquer « en bien »

La capacité d’adaptation des débutants est forte. L’envie de montrer ce dont ils sont capables également. En très peu de temps, bien encadré, un débutant va devenir opérationnel rapidement.

Des erreurs sont inévitables, les sanctions doivent être adaptées. Apprendre de ses erreurs est un leitmotiv qui accompagne tout salarié tout au long de sa carrière, alors autant s’y faire tout de suite.

L’entreprise a parié sur le débutant et sa capacité à appréhender son poste et à devenir productif selon les espérances de l’employeur.

Le débutant va se faire remarquer en réalisant, jusqu’au bout, d’une manière la plus autonome possible, en suivant toutes les règles de l’entreprise, avec humilité, qualité et efficacité, sans heurt avec les autres, les tâches qui lui sont confiés.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Visitez notre site : www.boosteremploi.com

Pour en savoir plus :

En complément :

CV pour un premier emploi : Meubler est inefficace
Trouver son premier emploi est différent de trouver un job
Jeunes diplomés et premier emploi : Lâchez la pression

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Premier poste de manager : L’angoisse du premier jour
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Autres Emploi et Management :

Récapitulatif 14 Management
Récapitulatif 14 Emploi

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L’électricité dans la salle informatique


Salle informatique : Au courant

Lumière !

La lumière de la salle informatique est produite uniquement par des tubes au néon ou autres lampes à gaz inertes pour éviter tout risque d’accident.

Prévoir aussi un éclairage de secours en cas de panne de l’éclairage ordinaire.

Sommaire :

Les mesures de protection de la salle informatique

  1. Porte spéciale
  2. Dispositif anti-incendie
  3. Climatisation
  4. Électricité
  5. Armoires, câblage, serveurs
  6. Divers autres équipements

électricité dans la salle informatique

Armoires et prises

C’est dans la salle informatique que doit se trouver la ou les armoires électriques avec les fusibles.

Systématiquement, tous les équipements présents dans la salle informatique, y compris les prises électriques, doivent être branchés à la terre. Chaque prise doit avoir son fusible.

Le nombre de prises électriques doit être suffisamment important pour pouvoir installer tous les équipements électriques à installer dans la salle informatique au présent et au futur, de telle façon que chaque câble d’alimentation électrique ait sa propre prise sans avoir besoin d’installer de multiprises.

Les prises électriques doivent être réparties géographiquement dans la salle informatique. En cas de risque d’inondation fort, à une certaine hauteur. Dans le cas très majoritaire, au sol, dans le faux-plancher. De préférence les prises sont à proximité des armoires informatiques, tout en prévoyant d’en avoir un peu partout, puisque l’emplacement des armoires informatiques peut changer avec le temps et les besoins de l’organisation.

Coupure d’électricité : Aïe ?

Une coupure générale de l’électricité dans le bâtiment doit laisser intact l’alimentation électrique de la salle informatique. C’est pourquoi, l’autonomie de l’installation électrique doit être garantie.

Les personnes, habilitées à pénétrer dans la salle informatique, d’y pénétrer, grâce à leurs cartes ou badges magnétiques, ce qui suppose que le lecteur de carte soit alimenté par l’électricité de la salle informatique, doivent pouvoir déconnecter et arrêter tous les équipements contenus dans la salle, sans perte de fonctionnalités ni de données.

Onduleur

Le courant dit « soutenu » est signalé par une couleur rouge du fond des prises électriques. Il s’agit de prise dont l’alimentation passe par un onduleur. L’onduleur est un appareil qui reçoit en entrée l’électricité du secteur, comme tout autre appareil électrique, bien que souvent il s’agisse de courant triphasé. En sortie, l’onduleur produit un courant « propre », c’est-à-dire sans fluctuation et permanent.

En cas de rupture de l’alimentation générale, les batteries de l’onduleur, génératrices d’électricité, prennent automatiquement le relais. La durée de vie des batteries et donc leur nombre et la taille de l’onduleur dépend de la quantité d’appareils électriques présents dans la salle informatique.

La durée doit être suffisante pour que les personnes habilitées accèdent à la salle informatique pour arrêter tranquillement tous les équipements.

L’onduleur doit faire l’objet d’une maintenance annuelle et les batteries doivent être vérifiées et changées régulièrement.

L’onduleur assure une continuité de la fourniture d’électricité limitée dans le temps, c’est pourquoi, un autre dispositif s’ajoute pour une protection de longue durée, à savoir un générateur ou groupe électrogène.

Groupe électrogène

Le générateur est installé à l’extérieur du bâtiment où se trouve la salle informatique. Il est connecté à la salle en amont de l’onduleur de façon à ce qu’il se déclenche automatiquement lorsque les batteries de l’onduleur se sont vidées.

Le groupe électrogène a sa propre réserve de carburant, elle-même protégée des intrus et de toute action néfaste. Cette réserve doit permettre d’assurer une alimentation sur plusieurs jours voire plusieurs semaines.

La durée d’une utilisation continue du groupe électrogène dépend de la durée d’approvisionnement en carburant de ses réserves. En théorie, dans un environnement où l’approvisionnement est facile et régulier, le groupe électrogène pourrait fonctionner des années durant.

Comme tous les dispositifs de sécurité, le groupe électrogène doit faire l’objet de maintenance régulière et de test de bon fonctionnement.

Philippe Garin, plus de 20 ans manager en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Parefeu : Segmenter le réseau
Redémarrer après une panne : 74% des entreprises sont mal préparées
Botnet et machines zombies

Inventions grâce à la perception du temps
Le MTBF ou temps moyen entre 2 pannes : second critère de choix après le TCO ou coût total de possession
Décès : Démarches à effectuer

Autres Informatique, Management et Sécurité :

Récapitulatif 12 Informatique
Récapitulatif 12 Management
Récapitulatif 12 Sécurité

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La PNL ou Programmation Neuro-linguistique


La PNL ou Programmation Neuro-Linguistique

est un autre élément important à connaître pour un entretien d’embauche : A découvrir par 3 exemples

PNL arrondiLa PNL a été décrite pour reproduire les stratégies de réussite d’experts grâce à l’observation, l’analyse du comportements et l’apprentissage de l’observation et de la reproduction.

La modélisation PNL concernait des gens repérés pour leurs talents : d’abord des thérapeutes, et s’est ensuite étendue à des inventeurs, des sportifs, des managers, des artistes, des étudiants ou bien encore des informaticiens.

La Programmation Neuro-Linguistique est sensée aider ceux qui le souhaitent :

  • à rester actif vis-à-vis de leurs propres objectifs,
  • de retrouver les ressources nécessaires pour les atteindre,
  • de développer sa flexibilité,
  • de retrouver de l’autonomie,
  • de trouver plus de satisfaction dans la vie,
  • d’amener plus de compréhension et de respect mutuel,
  • d’augmenter l’estime de soi,
  • d’apprendre à apprendre.

Source : Wikipedia

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Communication non verbale
Dresser son bilan
PNL Code de représentation VAKO

PNL visuel, auditif ou kinesthésique
L’observation est un travail des cinq sens
Modèle de Kolb ou l’apprentissage par l’expérience

Autres Communication et Emploi :

Récapitulatif 4 Communication
Récapitulatif 4 Emploi

Tous les articles de cette catégorie sont listés dans la page Emploi de ce blog

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Définition des critères d’exigence dans le domaine des Relations entre les personnes.


Définition des critères d’exigence dans le domaine des Relations entre les personnes.

Que ce soit pour une recherche d’emploi, l’encadrement de personnes, son bien-être personnel, il existe des domaines pour lesquels il convient d’être vigilant et exigeant.

Sommaire : Définition des critères d’exigence dans le domaine de :

relations entre les personnes

Voici des critères d’exigence dans le domaine des Relations entre les personnes.

E         Relations entre personnes

E1      Bonne présentation

Faire une première impression positive sur les autres, éveiller l’attention et le respect, et diffuser un climat favorable.

E2      Construire des relations

Faire une bonne première impression et être capable de la maintenir. Etre capable d’avoir de contact facile avec des personnes autres et se faire accepter par eux, de bien se comporter avec les gens, et de se comporter de façon à créer et à développer des relations étroites avec ses partenaires.

E3      Empathie

La capacité de reconnaître les sentiments et les besoins de l’autre et d’y répondre par son propre comportement.

E4      Compétences de management

Meneur d’individus ou de groupes (collaborateurs directs ou de niveau hiérarchique égal au sien) pour atteindre des objectifs par un comportement adéquat.

E5      Flexibilité

Capacité à pouvoir changer le comportement des autres pour atteindre un objectif.

E6      Habileté de négociation

Présenter le contenu d’informations et / ou d’arguments de telle façon que les interlocuteurs soient prêts à les accepter et à les approuver.

E7      Persévérance (aspect quantitatif = résistance)

À un certain point de situation ou d’un plan d’action, pouvoir tenir longtemps, même dans des conditions difficiles et malgré les échecs temporaires, jusqu’à ce que l’objectif soit atteint ou qu’il soit évident qu’il n’y ait plus d’opposition.

E8      Autonomie

Prendre des décisions et des mesures, qui permettent d’enraciner fortement sa propre conviction, plutôt que de se laisser influencer par l’opinion des autres.

E9      Habileté de vente / Force de conviction

(voir avec la négociation d’habileté)

Mettre en pratique des méthodes de communication interpersonnelles adéquates pour convaincre des personnes (employés dans l’entreprise et / ou clients) d’une idée, d’un plan d’action, d’une action ou d’un produit.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

En complément :

Entretien Qualités personnelles recherchées ou points forts pour un recrutement
Congruent Définition Communication verbale et non verbale
Schéma de la déperdition de l’information

Sentir son auditoire pour être un bon orateur
Comment donner confiance à son interlocuteur
PNL visuel, auditif ou kinesthésique

Autres Bien-être et Communication :

Récapitulatif 1 Bien-être
Récapitulatif 5 Communication

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