Embauche des débutants : comment convaincre


Comment convaincre un recruteur quand on n’a pas d’expérience

Un débutant est quelqu’un qui débute, c’est-à-dire aussi bien un jeune qui découvre la réalité du marché de l’emploi qu’une personne plus expérimentée qui change de métier grâce à une reconversion.

Dans un cas comme dans l’autre, il est difficile de faire valoir son expérience, puisqu’elle n’existe pas ou presque, selon que vous avez effectué des stages en entreprise.

Vous pouvez mettre en avant ces stages en complément du savoir acquis durant la formation.

En cas de reconversion, les compétences transposables existent et peuvent aider à convaincre le recrutement en entretien ou/et la lettre de motivation.

Voyons quelles sont les autres arguments pour convaincre un recruteur de vous embaucher.

s’adapter – trouver sa place

1/ Votre adaptabilité

En fonction des différents stages petits boulots, jobs d’été ou autres expériences professionnelles, vous démontrez votre capacité à vous adapter à un nouvel environnement de travail.

Montrez combien de temps ont été nécessaire pour devenir opérationnel d’un manière indépendante.
Ajoutez-y une démonstration de la confiance que vous a accordez votre tuteur durant le stage.

2/ Vos compétences

Il y en a toujours. Il faut juste les nommer et démontrer que vous avez des compétences.

Toute activité compte. Cela inclue les activités de vos centres d’intérêt, sport, loisir, bénévolat. Repérez celles qui se rapprochent le plus de celles qui vous seraient demandées si vous êtes embauché.

Toute action qui vous a amené à utiliser ou à acquérir des compétences sont à mettre en avant.

3/ Votre écoute

Il est très désagréable pour un recruteur en entretien d’embauche d’avoir un débutant qui parle sans écouter.

Au contraire, un débutant qui pose des questions et écoute les réponses, rebondit sur celles-ci pour approfondir le sujet, fait ainsi la démonstration de son intérêt pour le poste.

écouter activement

Si, après en avoir demandé l’autorisation, le candidat prend des notes pour conserver les réponses, ce sera un signe de cette écoute et de son intérêt.

L’écoute, c’est aussi comprendre la question du recruteur et y répondre. Mieux vaut dire que l’on donnera la réponse plus tard parce que vous l’ignorez plutôt de te tenter d’inventer une réponse complètement inconnue.
Quant à répondre à côté, c’est la preuve d’un manque d’attention.

4/ L’envie et l’ambition

Quand un débutant démarre, il a tout à apprendre. Autant le savoir-faire concret qui concerne son travail proprement dit, que la vie dans une équipe, la culture de l’entreprise.

Le recruteur a besoin d’être rassuré sur l’investissement qu’il envisage de faire en recrutant. C’est souvent là que la question suivante est posée : « Vous vous voyez où dans cinq ans ? ».

Un débutant qui va rester deux ans, histoire d’apprendre le métier, est complètement inintéressant pour le futur patron. Il veut de bons collaborateurs et les conserver. Il veut rentabiliser son investissement, sans devoir recommencer trop rapidement à son goût.

sincérité – c’est faire ce que l’on dit

Pour convaincre, montrez votre enthousiasme, votre envie de travailler et de commencer une carrière. Répondez que vous espérez démontrer vos capacités et évoluer au sein de l’entreprise, sans aller jusqu’à prendre la place de votre éventuel futur chef.

De plus, si vous ajoutez que vous êtes prêt à vous former pour combler les lacunes, cela ajoute un plus à vos propos pour convaincre.

Attention, dans les deux précédents paragraphes, vous devez être sincère. Si votre véritable intention est de rester deux ans puis de partir voir ailleurs, cela risque d’être perçu par votre interlocuteur passera votre candidature à la trappe.
La sincérité est impérative, autant que la vérité.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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Confiance en soi : 5 signes que vous en avez plus que vous ne le pensez


Vous êtes plus confiant en vous

Vous pensez que votre confiance en vous est faible parce que vous êtes plutôt introverti ? C’est faux !

Pour estimer votre confiance en vous, analysez ces cinq signes, beaucoup plus importants pour reconnaître à quel point une personne est confiante.

Qu’est-ce qui rend réellement une personne sûre d’elle ?

Pouvoir prononcer un discours devant des centaines de personnes sans aucun problème ?
Vous vendre parfaitement lors d’un entretien d’embauche ou lors d’un rendez-vous ?

confiance en soi

jusqu’à quel point être sûr de soi ?

En réalité, d’autres qualités sont beaucoup plus importantes.

1. Vous demandez facilement de l’aide aux autres

Vous pensez que demander de l’aide est un signe de faiblesse ? Au contraire !

Souvent, seules les personnes qui ont vraiment confiance en elles osent demander de l’aide quand elles ne peuvent pas se débrouiller seules.
Être incapable de faire quelque chose, seul (e), est tout sauf gênant. C’est plutôt un signe de force que d’admettre que vous avez besoin d’aide pour quelque chose. Peu importe qu’il s’agisse de demander son chemin, de faire la cuisine ou d’un sujet émotionnel.

2. Vous savez être seul (e)

Les humains sont des êtres sociaux – nous avons besoin de soignants et d’autres personnes autour de nous. Et il est tout aussi important de pouvoir passer du temps avec soi-même.

du temps pour soi

du temps pour soi

Si vous avez du mal à supporter votre propre compagnie, alors vous êtes généralement moins aussi sûr (e) de vous que vous pourriez l’être. Donc, si vous pouvez gérer, voire avoir besoin de temps pour vous de manière régulière, c’est un signe clair de votre confiance en vous.

3. Vous admettez vos erreurs

La confiance est sans rapport avec la perfection. Quiconque croit que les personnes sûres d’elles font et disent toujours ce qui est bien est une erreur.

Nous faisons tous des erreurs. Si vous pouvez réfléchir sur vous-même et admettre que vous avez fait quelque chose de mal, vous êtes probablement assez fort dans votre tête.

Il faut beaucoup de confiance en soi pour, d’abord, admettre ses erreurs, et ensuite, s’excuser devant les autres.

4. Vous définissez des limites claires

Pouvoir dire non est un trait de santé mentale important.
Donc, si vous parvenez à vous démarquer et à dire clairement quand vous ne voulez pas ou ne pouvez pas faire quelque chose, vous êtes probablement plus confiant en vous que vous ne le pensez.

Respecter vos propres besoins est un signe clair de la vraie force, car cela n’a rien à voir avec la persévérance, peu importe ce que vous en pensez.

sous le feu des projecteurs

sous le feu des projecteurs

5. Vous ne cherchez pas la vedette

Il n’y a rien de mal à profiter de l’attention des autres. Mais si vous voulez être le centre d’attention tout le temps et que vous avez besoin d’une validation de l’extérieur, vous êtes probablement aux prises avec une assez faible estime de soi.

Ceux qui ont vraiment confiance en eux n’ont pas besoin d’être sous les projecteurs (tout le temps), mais sachez que la valeur d’une personne réside à l’intérieur – et non sur la façon dont elle est perçue de l’extérieur. 

Sources : psychologietoday.com, forbes.com.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

Pour plus de conseils, contactez-moi : phgarin@gmail.com

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5 Conseils pour mieux se concentrer


5 Conseils pour mieux se concentrer

La fatigue ou le manque d’intérêt sont deux des facteurs qui font que nous sommes distraits ou que nous ayons du mal à nous concentrer sur ce que nous écoutons, écrivons, disons, faisons.

De tout temps et en tout lieux, le manque d’attention est souvent lié à notre esprit. Il vagabonde, il imagine, se soustrait à la tâche ingrate que l’on s’impose et qui nous est imposée.

Selon une étude américaine en 2020,

  1. 28% du temps de travail d’un employé est perdu en bavardages, vagabondages des idées et plus généralement à la déconcentration au travail,
  2. 34% des distractions serait dû aux interruptions d’autres employés ;
  3. 29% viennent de la lecture de mails,
  4. 23% de discussions entre collègues
  5. 21% de réunions
soyez attentif

soyez attentif

Pour se (re)concentrer sur son travail, voici quelques conseils de non aloi :

1/ Se concentrer sur une autre activité

Afin de discipliner son esprit, autant le faire sur une distraction qui demande de la concentration : le jeu en solitaire : Mots croisés et équivalent, sudokus, et autres jeux de mémoire qui font appel à la réflexion et oblige à se concentrer exclusivement sur le jeu.

Ceci a pour conséquence, d’apprendre au cerveau à se concentrer sur la tâche du moment, tout en créant les connexions synaptiques nécessaires qui aident, par la suite, à se concentrer sur son travail.

2/ Faire des pauses

Quand le cerveau surchauffe, il « décroche » sans nous prévenir. On s’acharne à poursuivre au risque de faire des erreurs par manque de concentration. Plus on veut poursuivre et plus la concentration se perd.

C’est pourquoi, faire des pauses régulières permet au cerveau de décompresser. La tension artérielle baisse et le sang circule mieux. Le cerveau est mieux irrigué.

pause chocolat

pause chocolat

Reprendre un travail après une pause où l’on a agi par de simples actes comme se désaltérer, manger un en-cas, aller aux toilettes, se laver les mains, permet une déconnexion rapide et une meilleure concentration.

3/ Dormir

La qualité du sommeil influence grandement la concentration et l’efficacité au travail.
La quantité de sommeil entre aussi en jeu. Selon chacun d’entre nous, le nombre d’heures de sommeil est différent, néanmoins, il se situe généralement autour de 7 à 8 heures au quotidien. Dans le silence, le noir et sans interruption.

4/ Avoir une activité physique

Outre le fait d’améliorer la circulation sanguine par une pratique du sport, il est toujours possible de trouver des moments pour avoir une activité physique.

Elle permet d’éliminer les déchets toxiques pour notre organisme. Il s’agit le plus souvent de la marche. Une bonne marche, vive, sans flâner, monter les escaliers, laisser la voiture plus loin ou descendre une station de bus, de tram ou de métro avant sa destination.

méditer, respirer

méditer, respirer

5/ Respirer consciemment

Une pause relax, une séance de sophrologie, ou un moment de méditation, sont autant de techniques qui aident à se concentrer.

Prendre conscience de sa respiration, respirer lentement en faisant attention à l’inspiration et à l’expiration, permet de se concentrer, sur soi d’abord, puis sur son travail ensuite..

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Manque de repos : Causes, erreurs et risques
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Productivité : Relaxez-vous autant que vous travaillez

6 comportements des personnes mentalement fortes
Concentrez vous sur les choses importantes plutôt que de rester concentré
Gestion du temps : Concentré de tomates ou la technique Pomodoro

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Faire attention à ce que l’on mange


Avec plaisir

repas de NoëlJe fais très attention
à ce que je mange.

Je ne mange que
ce qui me plait.

Source : Brigitte.de (Magazine allemand)

Traduction par Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Cuire trop de pâtes
Méthode pour bien se nourrir
Cosmétique et nourriture

Pour faire durer le mariage
Docteur, je suis allergique à ma femme
Un tuyau pour le ménage

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Récapitulatif 18 Humour

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6 Facteurs de diminution de la déperdition d’un message


Plusieurs facteurs minimisent la déperdition d’un message

Imaginez deux personnes qui discutent. L’une raconte une histoire personnelle à l’autre, avec beaucoup de détails et de précision, durant une heure, sans prise de notes.

Comment la seconde personne va-t-elle rapporter ce qu’elle a entendu par écrit avec suffisamment de fidélité au récit initial ?

discussion à deuxLà, commence la mémoire à fonctionner d’une manière sélective.
Certains facteurs entrent alors en jeu pour permettre un rapport plus précis en diminuant la déperdition de l’information ordinaire.

1. L’attention

Il parait évident que plus la seconde personne va prêter attention à ce que dit la première, plus elle retiendra d’informations dans sa mémoire.

La concentration sur les paroles attendues augmentera la mémoire.

2. Le savoir

Le savoir du passé, que l’on appelle aussi connaissance, est un facteur qui favorise la mémoire.

Si les deux personnes se connaissent bien, la seconde a, peut-être, des connaissances sur le passé de la première, ce qui lui permettre de rapporter plus tard des circonstances ou des éléments qui ont été répétés durant cette conversation.

De plus, si la seconde personne a elle=même, des connaissances sur le sujet raconter, elle sera susceptible de retenir plus d’informations que si elle découvrait le sujet pour la première fois.

3. L’objectif ou intérêt

Savoir que l’on va avoir un résumé à rédiger, ou, plus généralement, que l’on va avoir à rapporter des paroles que l’on a attendu, favorise la mémoire.

Si l’enjeu du rapport est en lien direct avec un objectif important pour la deuxième personne, elle retiendra plus d’informations.

4. Le réflexe professionnel

Il y a le facteur appelé un mécanisme professionnel.

En effet, certaines professions sollicitent la mémoire, à titre professionnel, ce qui l’active plus que pour d’autres professions. Exemples : forces de l’ordre, journalistes, comédiens, ou … élève, etc.

5. Le talent oratoire

La première personne a un talent oratoire plus ou moins développé qui va retenir, plus ou moins, l »intérêt de son auditoire.

Par exemple, une histoire dramatique, effrayante ou cocasse sera plus facilement retenue qu’une histoire banale du quotidien.

6. Le non-verbal et l’ancrage

Encore un autre facteur, les autres sens que l’ouïe. Une association peut se faire entre un son ou une odeur et l’histoire entendue.

Par exemple, si l’histoire racontée l’a été autour d’une tasse de thé avec un gâteau forêt-noire dans le salon à la décoration à grosses fleurs sur la tapisserie, au milieu de meubles de style normand avec une pendule qui a marqué seize heures par 4 coups de gong et son tic-tac, il se passe alors un phénomène d’ancrage.

Se retrouver dans des conditions similaires et la mémoire revient d’un seul coup grâce à ces stimuli avec plus de détails que sans ancrage.

La combinaison de plusieurs facteurs

La combinaison de deux facteurs ou plus parmi ceux cités augmente le pourcentage d’informations retenues dans la mémoire ou, plus précisément, va les faire revenir plus facilement dans la mémoire consciente au moment de rédiger un rapport du récit entendu.

La déperdition de l’information sera fortement diminuée.

Merci à ma lectrice, qui a inspiré cet article.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :

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Déperdition de l’information : Pourquoi
La communication non verbale : Le message total
Convention et référentiel commun indispensables

Congruent Définition Communication verbale et non verbale
Compréhension dans la communication
La quantité d’informations transmises par un message

Autres Communication :

Récapitulatif 17 Communication

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Stress : Utilisez votre intuition 1/2


Utilisez votre intuition pour gérer votre stress

Votre intuition est votre amie

suivez votre intuitionNotre esprit est sollicité de tous les bords. Au travail ou à la maison, durant ses loisirs et les transports, notre cerveau est actif en permanence.

L’afflux d’informations et le nombre de tâches à réaliser sont renforcés par une (télé)communication qui ne nous lâche pas. Nous sommes connectés jour et nuit, 365 jours par an.

Même la nuit, nous éprouvons du mal à récupérer, tant notre esprit est (pré-)occupé.

Alors, nous nous organisons. Nous mettons en place une liste de tâches, appelée aussi to-do-list depuis la dominance de l’anglais dans les entreprises, et nous modifions tout le temps notre agenda pour tenir compte de l’avancement de nos tâches et des interruptions.

La concentration devient difficile en raison des sollicitations des autres, ou des interruptions pendant son travail, sans oublier nos manies de se précipiter sur nos mails entrants ou notre téléphone.

Fiez-vous à votre intuition

Combien de stress accumulez-vous ? Combien de retard prenez-vous dans vos actions ? Êtes-vous suffisamment concentré (e) pour les terminer et ne plus y penser ?

Votre intuition ne vous dit-elle pas qu’en continuant ainsi, vous risquez de saturer plus ou moins rapidement et de craquer ?
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Du calme !

Voici les premières recommandations à ériger en règle au quotidien :

1.      Une seule action à la fois et jusqu’au bout

Quel que soit ce que vous commencez à faire, faites uniquement cela

Ne commencez aucune autre tâche avant d’en avoir terminé avec celle-là.

2.      Agissez en toute conscience

Quand vous commencez une tâche, donnez-lui un nom ou/et une description.

Prendre conscience que vous exécutez une tâche permet de se concentrer sur elle, que ce soit une tâche routinière ou une nouvelle.

3.      Soufflez entre deux tâches

Une brève pause est nécessaire entre deux actions.

Cette pause vous permet de sortir la précédente de votre esprit, de reprendre votre souffle physiquement ou/et intellectuellement, avant de passer à la suivante.

Fermez les yeux quelques secondes ou buvez une seule gorgée vous permet de choisir la prochaine action à mener.

4.      Écoutez les autres

Chefs, collaborateurs, collègues, clients, fournisseurs, partenaires, sont tous des briseurs de concentration. Comme il est impossible ou inconvenant de les éloigner sans les écoutez, écoutez-les avec attention.

Sans cette attention, votre esprit sera occupé à se demander ce que l’importun voulait alors que vous auriez pu vous en débarrasser immédiatement, en écoutant vraiment.

Si l’interruption nécessite une action de votre part alors laissez votre intuition décider de quand vous allez vous y consacrer : tout de suite car il y a urgence, quitte à devoir reprendre plus tard la tâche en cours au moment du dérangement, ou plus tard, parmi toutes les autres tâches qui vous attendent.

Les autres recommandations sont dans l’article : Stress : Utilisez votre intuition 2/2

Philippe Garin

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Pour en avoir plus :

En complément :

Tests de réaction au stress et aux tensions
Stress technologique : comment le maîtriser
Burn out : Les symptômes pour le repérer

A quoi sert un planning
7 règles pour rester concentré sur son travail
Principes de la planification

Autres Bien-être et Organisation :

Récapitulatif 15 Bien-être
Récapitulatif 15 Organisation

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Emploi Entretien de recrutement : Des trous dans son CV


Pourquoi cacher les trous de son parcours professionnel ?

cacher les trousBeaucoup de chercheurs d’emploi pensent qu’en indiquant uniquement les années et non pas les mois et années des périodes de travail en entreprise, le trou sera caché.

En fait, c’est l’inverse. Vous attirez l’attention. D’autres vont chercher à pallier à cela en changeant les dates pour les faire coïncider ou pour réduire la durée de la période où ils étaient au chômage.

Là encore, ce sont de fausses bonnes idées.

Il est plus facile d’expliquer au recruteur que vous aviez besoin de souffler un peu avant de vous mettre à la recherche d’un nouvel emploi, que vous vous êtes occupé de vos enfants, que vous avez suivi une formation, que vous avez mis du temps à trouver un recruteur ou un employeur qui s’intéresse à vous, etc.

Le recruteur comprendra d’autant plus facilement que les périodes de trous se trouvent dans des moments de crise économique. Un licenciement économique, par exemple, concerne souvent plus d’une personne et la concurrence entre eux est plus forte dans la recherche d’emploi, surtout dans des métiers spécialisés ou dans un domaine où le nombre d’entreprises est réduit.

Philippe Garin

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Pour en savoir plus :


En complément :

Votre corps parle
Mentir en entrevue ou se sentir mal à l’aise
Panique à bord

Soyez vous-même
Surtout gardez votre calme
Préparation à l’entretien d’embauche

A savoir sur le recruteur et le CV
100 mots pour OSER
Soyez positif – Ne dites pas, dites

Autres Communication et Emploi :

Récapitulatif 8 Communication
Récapitulatif 9 Emploi

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Urgences Réactions courantes au stress en situation d’urgence


Réactions courantes au stress en situation d’urgence

séisme Sumatra techtoniqueLes réactions courantes au stress durant une situation d’urgence ou d’une catastrophe ou immédiatement après sont généralement mineures ou temporaires chez les spécialistes des interventions d’urgence.

Les réactions au stress deviennent problématiques lorsque les symptômes perdurent ou perturbent la vie quotidienne.

Réactions physiques (votre corps)

  • Fatigue
  • Maux de tête, d’estomac, étourdissements
  • Mal de dos, douleurs musculaires
  • Raideur dans le cou, les épaules
  • Manque d’énergie ou fatigue généralisée
  • Augmentation/réduction de l’appétit
  • Insomnie
  • Augmentation de la pression sanguine, du rythme cardiaque, de la respiration

Réactions intellectuelles (votre pensée)

  • Difficulté à résoudre les problèmes
  • Réduction de la durée d’attention
  • Réflexion et compréhension ralenties
  • Difficultés à se concentrer
  • Indécision
  • Inquiétude
  • Autocritique
  • Refus de la réalité

Réactions émotives (vos sentiments)

  • Anxiété
  • Peur
  • Irritation / attitude de confrontation
  • Colère
  • Culpabilité
  • Tristesse
  • Stupeur

Réactions comportementales (vos actes)

  • Agitation
  • Baisse d’efficacité
  • Difficultés à communiquer
  • Incapacité de se détendre
  • Consommation accrue d’alcool, de tabac ou de drogues ou médicaments
  • Sur-contrôle
  • Baisse de l’estime de soi
  • Isolement

Source : Gouvernement du Canada

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Stress technologique : comment le maîtriser
Tests de réaction au stress et aux tensions
Les événements susceptibles de faire augmenter le stress durant une urgence

Catastrophe stress et mesures personnelles à prendre pour se préparer
Moi, stressé (stressée) ?
Don d’organes : Lesquels ?

Autres Bien-être :

Récapitulatif 5 bien-être

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La monotonie du débit de la voix


La monotonie du débit de la voix

Jacques Wagrez Les Voix de Jeanne d'ArcEntendre un orateur parler d’une voix monocorde avec un débit monotone engendre une tendance à l’endormissement ou à l’agacement, à cause de l’effort que la concentration nécessaire pour écouter.

En français, l’accent doit être mis sur le dernier mot. C’est ce qui nous permet de comprendre qu’il s’agit de la fin d’une phrase, qu’elle soit affirmative, impérative ou interrogative.

Rythmer le débit de la voix, c’est varier la vitesse à laquelle on prononce les mots.

C’est aussi introduire des pauses, plus ou moins courtes.

Parler plus ou moins haut, permet de « réveiller » l’attention de l’auditoire.

Lorsque le sujet contient des émotions, elles doivent être transmises tant par le choix des mots que par la modulation et le débit de la voix.

Aux points précédents respirer et placer sa voix, s’ajoute donc le troisième : rythmer la voix.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Le timbre de la voix
Sentir son auditoire pour être un bon orateur
Être à l’aise avec soi pour bien parler

Avoir de la conversation ou comment parler en public
La voix pour bien communiquer en entretien d’embauche et ailleurs
Vidéoconférence : entretien d’embauche ou pas, 6 conseils pour soigner votre communication

Autres Communication :

Récapitulatif 5 Communication

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Sentir son auditoire pour être un bon orateur


sentir_son_auditoireSentir son auditoire pour être un bon orateur

On ne peut être un bon orateur que si l’on est soi-même un auditeur attentif.

Écoutez convenablement n’est pas si simple que ça. Beaucoup de gens ont semblant d’écouter. Il suffit de les observer un moment pour se rendre compte. Vous parlez, votre interlocuteur vous laisse parler, puis il part à son tour.

Elle ne parle pas pour répondre ce que vous venez de dire, mais pour poursuivre son idée. En fait, il n’y a pas de dialogue mais deux monologues. L’échange n’existe pas

L’observation en silence est un moyen de faire attention à ce que disent les autres.

Ne pas faire attention signifie : vous n’êtes pas intéressant, je me moque de ce que vous dites, parlez toujours vous parlez pour rien.

Faire attention, au contraire, signifie : je ne suis peut-être pas d’accord avec vous, mais je reconnais que vos arguments peuvent être valables et qu’ils sont, de toute façon, sérieux.

D’un côté, il y a du mépris. De l’autre côté, de la considération.

Personne n’aime se sentir méprisé. Ni vous, ni votre interlocuteur. Si c’est le cas et que votre interlocuteur s’en rend compte, attendez vous à des représailles, au minimum il s’éloignera de vous.

Même si vous êtes persuadé d’avoir raison, même si vous croyez votre interlocuteur de mauvaise foi, écoutez-le attentivement, tenez compte de ce qu’il dit, appuyez-vous sur ses paroles pour mettre en avant vos propres arguments, ou alors n’engagez pas la conversation.

En dehors de présentation magistrale où le public n’est là que pour entendre ce que vous dites sans que vous ayez envie de dialoguer avec lui, vous serez un bon orateur si vous établissez un échange valable, qui prête autant d’importance à ce que disent les autres qu’à son propre discours.

Philippe Garin

Pour plus de conseils dans la communication, contactez-moi : phgarin@gmail.com

En complément :


En complément :

Avoir de la conversation ou comment parler en public
Être à l’aise avec soi pour bien parler
Lire pour bien converser

Retenir, classer dans sa mémoire pour mieux restituer quand vous prenez la parole
Pourquoi les propositions, recommandations, nouvelles idées sont-elles souvent refusées?
Stratégie pour une bonne présentation

Autres Communication :

Récapitulatif 5 Communication

Retenir, classer dans sa mémoire pour mieux restituer quand vous prenez la parole


Retrouver dans sa mémoire quand on parle

mémoire de stockageLire constitue un bon moyen de connaître du contenu sur des thèmes qui constitueront des sujets de conversation, A CONDITION de pouvoir retenir ce qu’on lit.

Lire ne suffit donc pas, il faut trier et classer dans sa mémoire ce qu’on lit.

La mémoire est comme une grande armoire avec des dossiers suspendus, des classeurs ou des tiroirs.

Dès qu’un sujet de conversation est lancé, votre mémoire va chercher le bon dossier et va vous permettre de retrouver le contenu que vous allez pouvoir ressortir.

Presque tous les brillants causeurs possèdent une excellente mémoire.

Le petit fait qui viendra appuyer un raisonnement, le détail pittoresque qui accrochera l’attention, l’anecdote qui rendra un exposé plus vivant, une citation qui en imposera, sont tenus en réserve dans un coin de leur mémoire pourra être retirés au moment opportun.

Donc, quand vous lisez, pensez au classement, par thèmes ou mots-clés, où stocker ce que vous lisez.
Par un réflexe, en entendant un mot ou une expression dans la discussion, votre mémoire ira chercher matière à conversation.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Pour en savoir plus :


En complément :

Avoir de la conversation ou comment parler en public
Être à l’aise avec soi pour bien parler
Lire pour bien converser

PNL 3 exemples
Le recrutement conversationnel ou social : Mode d’emploi pour les entreprises
Le trac : Comment le vaincre

Autres Communication :

Récapitulatif 5 Communication

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La quantité d’informations transmises par un message


Les causes de la déperdition d’informations transmises par un message

perte d'informationsEntre deux interlocuteurs, il existe de multiples causes de déperdition ou de déformation du message.

Entre le Message initial et le Message final, la quantité d’informations transmises diminue à chaque étape.

C’est ce qu’on appelle la déperdition d’information

Ce que l’émetteur veut dire,

C’est le message initial qu’il formule dans sa tête.

Ce que l’émetteur dit réellement

perd déjà de son sens à cause

  • d’un vocabulaire insuffisant,
  • d’idées confuses,
  • de l’émotivité ou/et
  • du trac.

Ce que le récepteur entend

est déformé par

  • du bruit ambiant,
  • une mauvaise audition ou/et
  • un support inadapté.

Ce qu’il écoute

est moindre à cause

  • d’un manque d’intérêt,
  • la fatigue,
  • une émotivité,
  • une projection personnelle ou/et
  • un message trop long.

Ce qu’il retient

est encore moins d’information car la mémoire est peu fidèle.

Philippe Garin, plus de 20 ans de management en entreprise

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Les cinq clés de la communication
Compréhension dans la communication

Schéma de la déperdition de l’information
Information
Communiquer correctement pendant un entretien d’embauche

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Récapitulatif 1 Communication

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